( 24 août, 2014 )

Citation du dimanche

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Jolie citation.
Je n’ai pas grand chose à rajouter sauf que le temps passe vite, les moments de bonheur aussi. Les jours nous sont comptés alors pourquoi porter une camisole ? Vivre chaque minute comme si c’était la dernière, oser écrire ce que l’on n’a jamais écrit, lire le livre dont on a toujours rêvé, aimer jusqu’à ne plus pouvoir se relever .. Aller jusqu’au bout de ses rêves même si certaines ronces poussent systématiquement le long du chemin, ne pas faire demi-tour et continuer ! Toujours ! Ne jamais renoncer !

( 23 août, 2014 )

Ce que les auteurs attendent d’un éditeur ….

Suite à une forte demande, j’ai fait un petit sondage sur les réseaux sociaux sur différents groupes afin de voir les attentes de tous ceux qui écrivent … Je livre les posts les plus marquants et merci à tous d’avoir joué le jeu !

En espérant que l’éditeur idéal existe bien sûr ! Mais j’en suis certaine …

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Un éditeur doit capable d’avoir un coup de cœur, de prendre le risque d’éditer un inconnu… cela sous-entend aussi qu’il aime avant tout les livres, les auteurs avant l’argent… il doit impérativement ne rien demander à l’auteur sur le plan financier et exiger de la qualité sur le plan de l’écriture… Avoir un bon réseau de distribution et appâter les libraires avec une commission suffisamment généreuse…

Un bon éditeur ne flaire pas l’air du temps mais hume les manuscrits, un bon éditeur enfin paye les droits d’auteur

Un bon éditeur ne peut être qu’à compte d’éditeur en deux mots, l’auteur signe et n’a rien à payer ni à faire.

C’est aussi une personne de confiance (et non un service en ligne) avec laquelle on peut parler de son livre, des hésitations, des corrections…

Pour moi un bon éditeur est un éditeur qui respecte les volontés de mise en page de l’auteur, qui ne s’approprie pas le livre. Bien sûr, que les DA soient assez importants pour l’auteur et que l’éditeur ne s’occupe pas seulement du référencement, mais aussi fasse la promotion du livre.

Un éditeur est une personne fidèle à ses auteurs, qui les connaît, qui sait qui ils sont et qui se bat pour les mener en haut du sommet.

Un éditeur, un vrai, un bon est totalement gratuit et fait rapporter plein d’argent à ses auteurs.

Un éditeur s’occupe de la distribution de A à Z …

Un éditeur prend des risques pour ses auteurs.

Un éditeur met en avant ses auteurs plus que lui-même.

Un good éditeur inscrit ses auteurs à des prix littéraires gratuitement et les pousse à se surpasser …

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Désolée de ne pas avoir pris tout le monde mais les grands thèmes reviennent : le sérieux, la promotion, la gratuité …

Maintenant vous savez tous ce que les «  gribouilleurs » attendent d’un VRAI éditeur …

Bonne chance !

 

 

( 23 août, 2014 )

Le négativisme

 

 

Merveilleuse citation, que je publie avec son autorisation, de mon amie auteure Nathy LaBell que vous pouvez retrouver sur cette page :

http://www.edilivre.com/365-delices-pour-le-coeur-1e69721a84.html#.U_coKGIayK0

 

Tellement vrai … Nous vivons dans une société où règne le négativisme à outrance. Notre monde regorge de dépressifs, de personnes frustrées par la vie, bridées dans leurs envies.
Par bonté d’âme, si on est doté d’un minimum d’empathie, on tend à tendre la main, à vouloir aider les autres, à colmater les brèches de chacun. La pensée positive est une vraie valeur, plus difficile à mettre en place que le côté obscur mais on y récolte aussi beaucoup plus de bonheur … Lorsque l’on est certain de n’avoir fermé aucune porte, il faut penser un peu à soi et se tourner vers ceux qui croiront dans les mêmes rêves que les nôtres. On ne peut sauver tout le monde … Certains préfèrent rester dans leurs erreurs et y croire plutôt que se tourner vers la lumière … Croire en l’autre, c’est lui offrir la possibilité de se dépasser, d’atteindre des objectifs quasi impossibles …
Je ne remercierai jamais assez tous ceux qui ont cru en moi et qui continuent de le faire …
Seule, je n’aurai pas réussi … Merci à tous …

 

Et comme c’est si bien dit dans  » les étoiles contraires » : Parfois on reçoit plus que ce que l’on espérait …

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( 22 août, 2014 )

Émotion du jour …

« : les morts ne sont visibles que dans l’œil dénué de paupière de la mémoire
J’ai craqué hier sur cette citation extraite du magnifique roman de John Green. »NOS ÉTOILES CONTRAIRES »
Certains détracteurs avaient écrit sur certains forums que c’était un roman facile, presque niais. Je m’élève contre ce jugement. Ce livre est sublime. Bien sûr cela parle de jeunes et alors? Faut-il dénigrer simplement parce que l’on écrit sur des enfants qui découvrent l’amour ? Enfants atteints d’un cancer incurable. Le parallèle avec l’écrivain personnage fascinant dont l’écriture a soulevé de nombreuses questions, à nous simple auteur … Au passage toujours cette question récurante : différence entre un auteur et un écrivain ?
Je lis très peu de livres de ce genre surtout traitant le cancer. L’ayant vécu par le biais de mon propre enfant dans ma chair, j’ai en général du mal à rester neutre, mais cette fois, je n’ai aucun regret … C’est amusant, positif malgré le drame de la vie … J’ai versé des larmes sur ces mots plein de poésie …
 » J’ai peur de l’oubli. J’ai peur comme d’un aveugle qui a peur du noir. »
Peut-être finalement est-ce tout simplement cela la mort ? Être oublié ? Ces jeunes ne le seront pas car ils sont allés jusqu’au bout de leur rêve, vivant leur amour au-delà de tout …
Une bonne leçon pour tous les adultes qui ont peur d’eux-mêmes, enfermés dans une vie bien rangée. Ces enfants même si leurs étoiles sont contraires ont trouvé la clé …

merci de ne plus poster de commentaires en anglais. Je ne parle pas un seul mot et ne peux les autoriser sans les comprendre ! ( surtout l’abus …26 pour aujourd’hui ! Quel intérêt ! )

( 21 août, 2014 )

Écrire : Pourquoi écrire un roman policier plutôt qu’un roman autobiographique ?

80% des jeunes auteurs racontent leur histoire leur premier roman. Pourquoi ? Parce que c’est plus facile de faire vibrer des mots à partir d’un vécu qui nous est propre.
Ayant des facilités d’écriture, cet exercice n’aurait pas été trop difficile. Mais je n’aime pas la facilité surtout en écriture. De plus, j’écris mon journal intime depuis l’âge de treize ans, et j’aurai eu l’impression d’être dans « la copie » de ma propre vie.
Écrire son histoire, c’est se livrer aux autres et je ne me livre qu’à mes amis, pouvant alors, si je suis en confiance, écrire des pages et des pages sans aucune limite, un peu trop parfois. Mais c’est ce qui est merveilleux avec les amis, ils comprennent … Se dévoiler à des inconnus m’est impossible. La critique est aisée et la blessure peut faire très mal ensuite.
Je suis trop idéaliste pour revêtir une armure. Je n’ai pas toujours su éviter les coups et j’en porte des cicatrices. Je ne voulais pas me faire mal en éditant.
J’ai donc choisi sans hésitation des personnages imaginaires que j’ai posés dans un univers policier, pour Rouge et Blanc, addict des thrillers et des polars, dans un monde s’adressant tout d’abord à mes amies ( pour Carla).
Bien évidemment, en tant qu’auteur, je pose mes idées de la vie, mes émotions, mon ressenti sur les grandes valeurs de notre société, mais je n’y mets que très exceptionnellement mon histoire.
Je l’ai fait dans Rouge, en hommage à mon fils Christophe, le chapitre Chris à qui je dois ce que je suis aujourd’hui …
Dans Carla, j’ai écrit un chapitre sur une maladie qui m’a terrassée brutalement il y a quelques mois, sans crier garde, maladie m’ayant permis de sympathiser avec de nombreuses personnes formidables. J’ai découvert la souffrance quotidienne de dizaines de femmes incomprises car à notre époque seul le cancer, la dépression, le sida sont considérés comme des maladies importantes. Les autres sont juste des ersatz. Et bien, je dis non ! J’ai eu envie de sonner l’alarme et de dire avec mes mots : un peu d’empathie, bon sang ! Toute souffrance est à écouter, toute personne malade est à aider ….
Ecrire reste à chaque instant, pour moi, un plaisir que seuls les écrivains peuvent comprendre, me permettant de libérer mon imaginaire emportant avec moi des lecteurs de plus en plus nombreux … Magie des réseaux sociaux où sans publicité, on arrive à être  » reconnue ».
Je suis donc simplement la plume permettant de laisser des traces sur le papier blanc afin que vivent les rêves à jamais …

( 20 août, 2014 )

Tout sur Carla, mon prochain roman …

CARLA … Vous êtes nombreux à me parler de Carla … Est-ce mon éditrice ? Une nouvelle amie ? Et bien non, Carla est le titre de mon roman devant sortir avant la fin de l’année en édition numérique, édité par une édition à droit d’édition, une « vraie » comme certains disent.
La réécriture de Carla vient d’être terminée. J’attends les dernières modifications de mon éditrice et le rêve s’envolera …
Carla est un roman qui s’adressera en premier aux femmes car c’est pour elles que ce livre fut écrit. Vous avez été si nombreuses sur ce blog à me raconter vos histoires, vos déboires que j’ai voulu vous rendre hommage à toutes. Le livre est aussi pour les hommes afin qu’ils comprennent que l’on ne doit jamais jouer avec le cœur d’une femme …
Carla raconte au travers de différents chapitres la vie d’une femme du XXI siècle de seize ans à cinquante ans … Ses amours, ses peines, ses pertes, ses trahisons, ses douleurs …
Carla parlera à chacun d’entre vous. Nul ne peut y être insensible. Carla est l’âme de notre société !
Carla c’est mon rêve de demain … J’espère une fois encore que vous le ferez vivre ..

( 19 août, 2014 )

Coup de cœur : Fran Nuda

Deux dos à dos, mots à mots de Fran Nuda

Cet ouvrage est d’un genre totalement différent, un livre où on court sur les mots, sur l’écriture, sur les émotions. Superbement bien écrit … Un livre de poésie en prose …
Un vrai coup de cœur … On parle toujours de Coelho et de ses jolies maximes. J’en ai trouvé certaines toutes aussi touchantes dans l’œuvre de Fran Nuda … Bravo …

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Ainsi advint la nouvelle vie de S . De Fran Nuda.

J’ai énormément ce roman écrit dans un style très fin racontant la vie de sept femmes totalement différentes, montrant la manière dont elles vivent les événements et surtout l’amour. J’ai aimé l’analyse faite vis à vis des hommes et de leurs façons de voir ces femmes. J’ai particulièrement apprécié l’originalité avec les paragraphes type :
E comme expérience, Extase, ..
Et surtout j’ai adoré les derniers phrases de chaque histoire pleine d’humour et d’une morale que l’auteur a su mettre en évidence avec brio.
Le passage au monde de la poésie est également très appréciable et très original, mélange prose et rimes … Bravo pour les poèmes dont les mots chantent comme des musiques.
C’est un livre très agréable à lire que je recommande vivement.

 

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( 19 août, 2014 )

Vivre sa vie n’est pas vivre dans le virtuel

Je rebondis sur un post d’une collègue poétesse de talent qui se plaignait de ce monde virtuel sclérosant. Le virtuel n’est pas un monde où l’on peut s’épanouir. C’est juste un outil. J’en ai fait justement un de mes chapitres de Carla. Le danger du jeu, des personnes qui s’adonnent aux jeux de rôle mélangeant réalité et fiction. Et j’en ai connues ! Personnellement, ça me fait peur …

L’été est le meilleur moment pour s’ouvrir aux autres. Le froid de l’hiver ne nous a pas poussés à hiberner. Il faut prendre le temps de s’assoir sur une chaise longue, de laisser le soleil chauffer son visage, de regarder une rose éclore, ou comme les enfants les nuages imaginant les différents monstres ou dessins qu’ils forment. Il faut trouver le temps de renouer avec ses amis,de discuter,de rire.
Personnellement j’ai passé un merveilleux été entre des vacances superbes en famille, mes projets d’écriture qui avancent positivement, mes nombreux rendez-vous pris avec mes fidèles amies … Et je ne parle pas des quantités de livres que j’ai dévorés. Je suis comblée et heureuse ..
Un joli été même si le soleil ne fut pas toujours présent … De jolies amitiés dans la vraie vie … Et juste pour colmater le tout, des liens forts qui se sont ajoutés chaque jour avec mes amis auteurs des réseaux sociaux … Le virtuel ne doit pas être la base de la vie ma un des ingrédients qui permettant de peindre notre tableau en mille couleurs …

bonne journée à tous dans la paix et la bonne humeur ..

 

 

( 18 août, 2014 )

Apprendre à partager …

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Que c’est dur de partager ! Les enfants de trois ans sont prêts à se battre comme des fous pour ne pas prêter leur nounours ou leur petite voiture. On serait tenté de penser que les grands sont différents. Il n’en est rien ! Avez-vous déjà constaté cet adulte refusant de donner les clés de sa voiture à son meilleur ami, trouvant un prétexte tordu. Ou cet autre rechignant à prêter son livre fétiche .. J’ai même entendu un jour un homme dire qu’il préférerait prêter sa femme … Que sa moto ! Bravo ! De quoi faire frémir toutes les féministes …
Cette mentalité se retrouve sur nos groupes sociaux où chacun se veut altruiste, sympa, prêt à tout pour son voisin mais au final, tout n’est qu’un jeu de rond de jambes où chacun tente de trouver sa propre place.
J’ai passé ma vie à me battre contre ce système de pensées. Je ne contribuerai pas à jouer ce rôle qui n’est pas le mien, à faire du lèche botte à untel pour qu’il lise mon livre contre … Contre quoi ? Un pacte avec le Diable ? Je ne demande rien à mes amis, à mes lecteurs sauf une seule chose : rester eux mêmes et partager ! Alors si Rouge, tout comme Blanc se promène à travers les foyers, j’en suis ravie ! Si des ebooks sont lus par des voies pas toujours conventionnelles, et bien je ferme les yeux car pour moi, le plus important est de savoir si mes écrits valent la peine d’être diffusés ou s’il est préférable que je les garde au chaud … J’exagère … À lire vos messages, ils plaisent donc ne jouez pas les égoïstes et partagez votre livre, prêtez-le, offrez- le … Faites le voyager ! Car les mots ne sont pas faits pour être figés mais pour telle l’électricité se propager à travers des réseaux immenses d’amitié et de solidarité ….

( 17 août, 2014 )

papier ou numérique ? liseuse ou tablette ?

Livre papier ou livre numérique …
Le duel revient sans cesse sur les différents groupes des réseaux sociaux, il y a encore un an, j’aurai fait partie des réfracteurs de l’Ebook. Je lui trouvais que des défauts : fait mal aux yeux, anonyme … Je fais partie de la vieille école qui aime l’odeur du papier. Je ne peux résister à un livre ! Et puis, pour une question de prix, je me suis mise à l’Ebook et j’y ai trouvé de nombreux avantage : son prix ! Incontestablement, un Ebook est moins cher, sa place : 3000 ebooks sur une tablette prennent moins de place que si les livres étaient empilés. Son intérêt … Moins de scrupule à laisser un Ebook qu’un livre papier … Va savoir pourquoi !
Je lis mes ebooks pour le moment sur mon iPad. J’ai donc eu cet été le souci de la tablette brûlante au soleil … J’hésite aujourd’hui : liseuse ou pas ? Je n’ai pas de réponse ! J’irai tester un de ces jours à la FNAC. Si quelqu’un a une idée ?
En attendant je viens de finir un livre ( papier() de Sir Cédric  » le premier sang  » de la série Eva Särta.
Résumé (de l’éditeur)
Cité les Ruisseaux. Surveillance de nuit. Eva Svärta et Erwan Leroy espèrent enfin faire tomber Ismaël Constantin. Mais le feu ravage son appartement et le caïd meurt brûlé vif.
Neuilly-sur-Seine. L’argent, le pouvoir, la beauté… Madeleine Reich avait presque oublié qu’il y avait un prix à payer. Ce soir, les anciennes blessures se rouvrent, et l’heure est venue d’affronter sa peur.
Eva, la policière albinos, ne le sait que trop bien : le temps n’a pas de prise sur les liens tissés dans le sang. Surgis de l’ombre, les fantômes du passé réclament leur dû…
 J’ai franchement adoré et je viens de commander la suite  » la mort en tête « 
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