( 16 août, 2014 )

Pourquoi écrire ?

Question existentialiste qui me fut posée : C’est bien beau de dire que l’on écrit pour soi, pour le plaisir, mais pourrais-tu l’expliquer en chanson ?
J’ai trouvé l’idée amusante alors j’ai cherché … Étant fan de JJG, quelles paroles mieux que les siennes pourraient également coller à ce besoin d’écrire …
Tout simplement parce qu’écrire permet de mettre de la lumière sur la vie …
J´accepterai la douleur
D´accord aussi pour la peur
Je connais les conséquences
Et tant pis pour les pleurs
J´accepte quoiqu´il m´en coûte
Tout le pire du meilleur
Je prends les larmes et les doutes
Et risque tous les malheurs
Tout mais pas l´indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Et j´apprendrai les souffrances
Et j´apprendrai les brûlures
Pour le miel d´une présence
Le souffle d´un murmure
J´apprendrai le froid des phrases
J´apprendrai le chaud des mots
Je jure de n´être plus sage
Je promets d´être sot
Tout mais pas l´indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Je donnerai dix années pour un regard
Des châteaux, des palais pour un quai de gare
Un morceau d´aventure contre tous les conforts
Des tas de certitudes pour désirer encore
Echangerais années mortes pour un peu de vie
Chercherais clé de porte pour toute folie
Je prends tous les tickets pour tous les voyages
Aller n´importe où mais changer de paysage
Effacer ces heures absentes
Et tout repeindre en couleur
Toutes ces âmes qui mentent
Et qui sourient comme on pleure
…………………………………………
Tout mais pas l’indifférence … Tout mais pas une vie sans écrire …sans vous …
( 15 août, 2014 )

Encore un joli retour que je dois à Linkedln

BLANC est en vente depuis un mois et plus de 50 ventes au compteur malgré l’été qui ralentit la promotion. Merci à mes collègues auteurs d’Edilivre pour leurs promotions régulières et leurs avis positifs.
Un nouveau commentaire d’une journaliste ( qui ne souhaite pas que son nom apparaisse car en vacances) d’un magazine féminin ( ce serait sympa qu’elle le diffuse après ses vacances). Merci à elle ..

 » Tombée par le plus grand des hasards sur le roman policier BLANC de Sylvie Grignon, j’ai eu un véritable coup de cœur. Le style est limpide et très attachant, l’intrigue policière m’a tenue en haleine jusqu’à la dernière page, la documentation est parfaite. J’ai particulièrement apprécié l’univers du monde des gens du voyage dépeint avec pudeur et véracité. C’est de l’excellent travail. Très étonnée également que ce roman soit publié chez Edilivre dont j’avais, pour avoir lu beaucoup d’extraits insipides, un à priori très négatif. La qualité de ce roman, de sa maquette est à la hauteur de grandes éditions. Je me suis aperçue une fois le roman fini que c’était le second d’une trilogie. Que les lecteurs se rassurent, je ne fus nullement gênée ce qui est signe d’un vrai talent.
Un petit roman qui mériterait d’avoir sa place dans les devantures à côté des grands romans. Je suis convaincue qu’un jour ce sera le cas ! Félicitations Sylvie Grignon ! Et mes compliments sont sincères car d’habitude, je suis réputée pour être assassine. »

Si vous souhaitez découvrir BLANC, n’hésitez pas !
22€ sur les sites FNAC ou Edilivre.
12€ en Ebook …

Bonne lecture à tous …

http://www.edilivre.com/blanc-sylvie-grignon.html#.U9if9WIayK0

( 14 août, 2014 )

Nos erreurs …

Nos erreurs que nous écrivons sur la toile de nos vies …

 

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Nous faisons parfois des erreurs tout simplement parce qu’au moment où nous les faisons, cela ne semble pas des erreurs.
J’ai entendu cette phrase prononcée dans une série télé. Toute la magie de la vie réside dans cette phrase. L’homme ne peut que faire des erreurs car au final il ne sait pas que c’est une erreur. Il le découvre que bien plus tard. La question qui me vient automatiquement à l’esprit est la suivante : si l’homme, par un hasard que lui offrira la vie, découvre que son actes, son geste sont des erreurs, que va-t-il faire ? S’excuser envers tous ceux qui l’ont offensé ? Se terrer pour cacher sa honte ? Persévérer dans son erreur pour ne pas perdre la face ? Feindre juste l’indifférence pour que l’erreur rejoigne l’oubli. ?
Ne serait-il pas préférable vu le nombre d’erreurs que chaque individu commet dans sa courte existence, d’éviter au maximum ces erreurs, de réfléchir un peu plus et surtout de se souvenir qu’une erreur même infime peut enclencher un véritable séisme qui peut ensuite détruire des vies …

( 13 août, 2014 )

365 délices pour le cœur … Coup de cœur lecture

En solidarité avec mon groupe d’auteurs Edilivre, je continue mes chroniques.
Aujourd’hui, 365 délices pour le cœur de Nathy Labell

C’est un livre d’un genre totalement différent des ouvrages précédant, un recueil de maximes et de phrases sur le bonheur et la pensée positive. J’ai vraiment beaucoup aimé étant depuis toujours une grande fan de jolies phrases. Cet ouvrage est plein de belles valeurs, de positivisme qui font défaut trop souvent à notre société. Les personnes à tendance dépressives y trouveraient une vraie source de jouvence en faisant une lecture quotidienne. Personnellement, je retournerai régulièrement glaner une phrase au hasard selon mon humeur …
À commander sans modération car le bonheur n’en a pas besoin…

http://www.edilivre.com/365-delices-pour-le-coeur-1e69721a84.html#.U-vPKmIayK0

( 13 août, 2014 )

Hommage

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Hommage à Robin William

On ne peut que saluer un acteur de génie. Qui n’a pas vu un jour le magnifique film  » le cercle des poètes disparus » ou « madame Doubtfire. » Je me remémore aussi le film Péter Pan que j’avais adoré, réaliste où on faisait vivre le Péter Pan adulte ayant oublié ce que rêver voulait dire.
Un grand homme est parti, un grand homme qui a choisi de quitter ce monde malgré sa renommée mondiale, son succès, son argent nous laissant un goût d’amertume et surtout une grande question : comment un homme qui a tout, peut-il avoir été malheureux ? Un mot, un seul : dépression, fléau du siècle … Elle emporte tel un ouragan tout sur son passage. Nous avons tous un rôle à jouer. Notre société est de plus en plus négative. Nous nous devons d’être là pour tendre la main et tout faire pour maintenir la paix et l’harmonie.

( 12 août, 2014 )

Coup de cœur lecture … Clandestin de Nunzia Benedetti

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Clandestin de Nunzia Benedetti.
Texte magnifiquement bien écrit sur un sujet délicat. Superbe analyse de cet homme en attente d’un univers qu’il pense meilleur que celui où il vit, le jardin d’Eden quelque part, ailleurs, puis l’horreur, le drame. On vit avec les mots, on sent les émotions au diapason avec le héros. C’est beau, c’est fort, c’est vrai … Une fin …
À lire sans hésiter … C’est le troisième livre que je lis de Nunzia et c’est mon préféré. Un vrai coup de cœur !

http://www.edilivre.com/clandestin-nunzia-benedetti.html#.U-p3Y2IayK0

( 12 août, 2014 )

L’espoir …

L’espoir, c’est vouloir quelque chose, la foi c’est croire en quelque chose et le courage, c’est faire quelque chose. Au final, il est facile de croire car cela nous amène l’espoir. Par contre, il est très difficile d’avoir du courage parce qu’il nous faut surmonter nos peurs et ce n’est pas une mince affaire. La peur est ce qui nous paralyse, ce qui va semer les doutes, planter des graines qui vont nous ralentir. Cette peur sera là pour nous rappeler ce qu’hier nous a enlevé alors que nous devons impérativement nous tourner vers ce que demain sera.
Ce processus ne se fait pas en un jour, il faut parfois des mois, des années pour surmonter sa peur.
Seulement il faut se souvenir d’une chose important, même si l’espoir semble avoir disparu, il ne meurt jamais. C’est la même chose que si on tourne une page de vie ratée, cela arrive, on ne doit pas s’y arrêter, juste se dire que la prochaine page sera bien meilleure. Parce que continuer son histoire, c’est se donner un nouveau but. Se donner un nouveau, c’est tout simplement se donner un rêve … Vivre, c’est rêver … Vivre, c’est espérer ….

( 10 août, 2014 )

Mensonge ou vérité

 

Même si je suis à 300 % dans ma réécriture jusqu’à en avoir mal aux yeux, je m’octroie des moments de pause en regardant mes séries télé. Hier, j’étais plongée dans XIII saison 2.
J’adore ! Hormis le scénario un peu tiré par les cheveux, il y a de magnifiques phrases énoncées. J’en ai relevé une :
Le mensonge règne sur le monde on peut choisir de l’ignorer ou de se battre pour la vérité.
C’est si vrai ! Quand je vois des personnes sur les réseaux sociaux s’inventer des statuts bidons ( romanciers alors qu’ils n’ont pas écrit une ligne, éditeur alors qu’ils ne savent pas écrire, avocat ou même médecin par messagerie ) je me demande où va le monde !
Dernièrement, c’est une personne se réclamant du domaine médical qui  » ausculte » sans connaître la personne, sans savoir qui elle et en se faisait tout de même payer 50€ l’heure ( rien que ça !) . Faut que cessent ces mensonges, ces individus qui jouent un rôle, qui manipulent le pauvre crédule à distance. Je m’insurge contre cela, étant je me connais suffisamment confiante pour tomber dans ce type d’arnaques … Bon, un peu moins ces dernières semaines. Certaines claques sont positives !
Je revendique le droit à la vérité même si elle fait mal, le droit à savoir, le droit à ne pas rester dans le doute et l’ignorance. Le droit tout simplement d’entendre : On ne sait pas non plus … Plutôt que des suppositions insipides donnant un faux espoir.
La vérité permet d’avancer, permet d’être plus serein et surtout offre une clé importante : l’espoir.

( 9 août, 2014 )

La réécriture …

Un auteur est souvent avant tout un lecteur qui se nourrit de littérature. Lorsque l’on prend la plume, on est déjà imprégné de textes, d’ histoires, de styles différents. On ne fait que poser ses chaussures dans des se tiers qui nous ont précédés. Au début, on va imiter puis on va trouver son style, pas nécessairement celui que les grands hommes de lettres attendent, mais on s’en fiche. On écrit !
Notre manuscrit fini, envoyé, puis accepté par un éditeur, on se plonge dans la réécriture.
Je croyais ce travail facile. Il ne l’est pas ! Il faut rentrer en communion avec la vision que l’autre attend de nous et qui n’est pas nécessairement la notre. On se libère à ce moment-là des contraintes. Notre texte devient un support. Autour, on y met, comme en cuisine, les différents épices. Réécrire, c’est donner vie à l’œuvre.
Avec le recul, j’ai conscience que Rouge, qui ne fut qu’une ébauche, aurait nécessité tout un travail approfondi de corrections et d’analyse afin d’aller encore plus loin dans l’essence même des personnages. Un jour, peut-être, le remettrais-je à jour ? Ou peut-être choisirais-je de le garder intact comme point de départ de mon évolution dans ce monde de l’écriture.
Une chose est sûre, l’écriture est un travail de Titan. Je passe depuis deux jours plus de huit heures sur la relecture de CARLA et j’ai la sensation d’avancer à pas d’escargot. Mais tant que je prends du plaisir à pousser mon manuscrit, je ne suis pas prête d’arrêter !
J’espère simplement que ce ne sera pas pour rien …

( 8 août, 2014 )

La réécriture …

Le travail de réécriture est le plus gros travail qui existe dans l’écriture. Plongée, le nez dans le guidon dans les corrections et les directives de mon éditrice, je ne vois plus le jour. À la fois, épuisée et exaltée, j’ai l’impression de survoler des montagnes, jonglant d’une idée existante à une nouvelle inspiration parfois soufflée. Peut-être est-ce parce que c’est le premier roman dirigé ou bien parce que je n’ai aucune contrainte m’obligeant, mais j’éprouve un véritable plaisir à faire ce travail. Chaque mot semble danser rien que pour moi, chaque sentiment semble prendre vie. Mais j’y passe tout de même plus de six heures par jour alors que je suis en vacances. Cela fait un peu beaucoup !
Marchera ou ne marchera pas ? Peu importe ! Carla aura eu le mérite de m’apporter un retour très positif sur mon travail d’auteure. Bien sûr, je préférerai qu’il se vende et que beaucoup l’apprécient mais on ne peut plaire à tout le monde. C’est là tout le poker de la vie …
Parler de la vie me fait penser à une série que je regarde en voster  » the lottery » dont le thème interpelle. Un proche futur (2025) où l’humanité est devenue infertile, et où plus un seul enfant ne naît. Quand une scientifique parvient à fertiliser un embryon, le gouvernement lui arrache sa découverte, et décide de lancer une grande loterie nationale, pour savoir qui aurait la chance de porter le premier bébé d’un monde renaissant… Excellent idée de roman … Que devient l’homme sans descendance ? Les rapports entre humains ? Mêle l’amour ?
Un bon sujet de réflexion …

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