( 26 août, 2018 )

Et si vous pouviez ajouter quelques heures à votre vie ?

Qui n’a pas rêvé de rendre le temps élastique, de pouvoir tirer dessus sans qu’il ne casse, de s’en servir pour réparer ses erreurs, car nous en faisons tous, ou simplement pour prolonger un moment de pur bonheur. Qui n’a pas rêvé d’avoir des journées plus longues pour finir un livre ou l’écriture d’un manuscrit ? Ou simplement un peu plus de temps pour peut-être rêver ou dormir. Si je pouvais rajouter quelques heures à ma vie, ce serait pour trouver encore plus d’inspiration pour écrire  ce qui n’a jamais été écrit, pouf aimer encore un peu plus, pour savourer la caresse du soleil, la douceur d’une rose, pour rassembler mes amis autour d’un grand repas, pour tenter de croiser l’impossible, pouf attraper une étoile. Peut-être tout bonnement pour vivre sans avoir à me précipiter …

 

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( 25 août, 2018 )

Premier retour rentrée littéraire 2018

Le paradoxe d’Anderson de Pascal Manoukian

 

Premier livre de la rentrée littéraire que j’attaque. D’abord, j’avoue que la couverture, très moyenne surtout avec le nom de l’écrivain en gros. Cela me fait penser à ces éditions qui vendent l’auteur et non le livre. Bon, je ne vais pas m’arrêter à si peu.

Le paradoxe d’Anderson, je ne savais pas ce que c’était, ou tout du moins je n’avais pas retenu ce phénomène qui démontre que même si un jeune étudiant obtient un diplôme supérieur à celui de son père, ne pourra pas pour autant accéder à une classe sociale supérieure. À partir de cela, on se doute que l’on va se trouver en plein roman social, peut-être un peu trop politisé pour moi, mais on sent l’auteur engagé dans la lutte des classes, et j’avoue que j’aime cela. Il est totalement anormal que notre société cautionne un tel paradoxe au XXI siècle.

Un enfant d’ouvrier ne pourra jamais être médecin ? Heureusement, certains cas démontrent dans la vraie vie l’inverse.

Pour en revenir au roman, c’est l’histoire de Léa, 17 ans, qui vit dans le nord de l’Oise, fille d’ouvriers, fille de parents au travail précaire facilement délocalisé. Une histoire bien construite, facile à lire (je l’ai lu en une journée) mais toujours pas de coup de coeur ( je commence à me dire que je suis vraiment trop difficile)

 

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( 25 août, 2018 )

EVIE , mon avis

EVIE  de K.L Slater aux éditions Milady

 

Voilà un roman, polar, devrais-je dire qui vient de sortir. J’ai craqué pour la couverture qui m’a beaucoup plu. L’histoire est bien écrite. J’ai eu un peu de mal avec la construction du polar au début, « trois ans plus tôt «  entrecoupé par aujourd’hui et cette réalité, Toni, l’élément clé du livre, une mère en souffrance, est-ce elle qui est dans le com, enfermée dans son corps ?

Au fut et à mesure du roman, on découvre que sa fille de cinq ans Evie a disparu, évaporée, sans laisser de trace, quoique, on s’interroge tout de même sur cette auxiliaire de vie à l’école d’Evie. On s’interroge même sur tout le monde même sur Toni. Le dénouement est original même s’il est un peu tiré par les cheveux.

Un très bon suspense ! Pas encore un coup de coeur ( je sais, je deviens vraiment très difficile), mais un bon roman que j’ai pris plaisir à lire.

 

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( 25 août, 2018 )

L’estime de soi et les maladies thyroïdiennes

Malheureusement, c’est une réalité, nous ne sommes pas assez compris, nous les malades de la thyroïde. Pourquoi ? Simplement parce que c’est ainsi ! Les autres ne nous comprennent pas, ne veulent surtout pas comprendre, alors l’estime que nous avons de nous baisse petit à petit.

Retrouvons cette confiance pour pouvoir donner un grand coup sur la table !

 

Nous vivons une époque de transition où enfin, l’accent est mis sur la nécessité de ne pas négliger la confiance en soi. Cela passe par des petits exercices simples à faire chaque jour, des aides thérapeutiques parfois plus poussées. Ce manque de confiance en soi va inéluctablement avoir un impact négatif sur le long terme. Quand on n’a pas confiance en soi, on va systématiquement chercher à se justifier ouvrant ainsi une brèche où s’engouffreront les manipulateurs et les personnes malveillantes.

L’estime de soi est souvent directement liée à l’enfance. Si nous avons été suffisamment entourés, félicités, nous ne nous heurterons pas à cette peur de ne pas être à la hauteur. Ce qui veut signifie, allez-vous me dire, que rien ne peut l’égratigner ? C’est là justement que la bâton fait mal. On peut passer une moitié de vie en étant serein, en ayant confiance en soi, et il suffit une personne qui va avoir perçu la faille (car nous en avons tous une bien cachée entre les lignes) pour frapper très fort. On perd alors ses repères, on ne croit plus en rien. C’est un peu comme si on avait construit depuis des années un château de cartes, et qu’un doigt avait tout fait s’écrouler. Les cartes à terre, qui a envie de les ramasser ? De tout recommencer ? De tout reprendre à zéro ?

Personne et pourtant il le faut ! Quitter cette spirale négative qui engloutit tout sur son passage.

Il est impératif de se battre pour retrouver cette estime pour ne pas s’enfermer dans une peur continue de l’échec. Se dire que même le plus grand a un jour échoué, que même celui qui nous critique n’est pas parfait, même nos parents, même nos aïeux. Il n’existe pas une seule personne sur la terre qui ne soit pas trompée tout simplement parce que l’erreur est humaine.

Alors ayons confiance en nous, fermons la porte aux remarques négatives ou aux pics destinés à nous déstabiliser. Nous sommes tous importants, porteurs de réussite. Croyons en nous et le monde s’ouvrira.

Ensemble, nous y arriverons !

 

Continuez à offrir Maladies thyroïdiennes à vos soignants. C’est un peu cher, mais cela commence à ébranler le milieu médical alors continuons ! Le retour d’un médecin parisien nous est parvenu.

 

«  Lorsque madame … m’a apporté votre livre, j’ai failli le ranger, puis je l’ai lu par curiosité. Au départ, j’étais vexé. C’est moi le médecin qui sait tout. Et puis, j’ai découvert des témoignages qui malgré mon grand âge, j’ai soixante-quatre ans, m’ont ébranlé. Peut-être ai-je mal diagnostiqué un jour ? J’ai fait de mon mieux. En tous cas, bravo pour votre détermination, car c’était osé d’oser ! »

 

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( 25 août, 2018 )

La rentrée littéraire

 

 

La rentrée littéraire, c’est un événement très attendu par les éditeurs et les auteurs, et pourtant, ce n’est pas le meilleur moment pour publier son livre. On a l’impression de se heurter à une grosse vague laissant sur le sable des tonnes de couvertures. Seulement, le budget des français restant le même, en clair pas très important, un choix s’impose, ce choix se focalisera essentiellement sur « les noms connus ».

Personnellement, j’ai vécu une rentrée littéraire, il y a quelques années, faisant suite au succès de Carla. Le second tome a fait un flop, simplement parce qu’il fut noyé dans la masse. Les chroniqueuses s’aventurant plutôt vers des valeurs médiatiques, car restons lucides, ces amatrices de chroniques, je parle des rémunérées, cherchent avant tout à faire un buzz avec leur site, visent le livre qui aura le plus gros impact avec les lecteurs pour obtenir le plus de clics possibles, en clair celui dont la maison d’édition aura le plus investi. En tous les cas, je lisais dernièrement que cette rentrée littéraire comportait 567 romans, dont 381 français. Si un lecteur lambda arrive à en lire cinq, ce sera le maximum ! J’ai eu la liste entre les mains, et je pense que ce sera comme avec l’été littéraire, un peu plat. Toujours les mêmes, Bourdin, Nothomb, Boissard, des noms qui ne m’ont jamais accrochée. Enfin, j’espère tout de même trouver un coup de coeur, qui sait ? Une perle sortie de l’ombre…

 

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( 25 août, 2018 )

cette violence que l’on cautionne

Je suis fatiguée de cette violence gratuite que tout le monde cautionne. Une personne que je connais s’est fait défoncer dans un bar, et lors de sa plainte, on lui a juste dit « Il va falloir vous habituer à la violence ! Elle est partout. » Et bien non, je refuse moi de m’habituer à la violence, à la haine, à cette facilité que les gens ont de vouloir faire du mal aux autres. J’en ai assez que l’on minimise les actes de malveillance comme s’ils étaient une normalité dans notre société.

La violence envers autrui n’est pas normale, pourtant on passe notre temps à fermer les yeux jusqu’à culpabiliser la victime.

Je me souviens d’une époque, pas très longtemps au final, où une personne m’a interpellée plusieurs fois, prodiguant des menaces verbales violentes. Il y avait du monde, voisins ou amies, et pourtant, cela n’a rien enlevé à ma peur. D’autres personnes sont même allées jusqu’à oser affirmer que j’étais folle ! Folle parce que j’avais peur de traverser une rue et de croiser cet homme dans sa voiture blanche, peur de croiser par hasard « l’autre » que l’on m’intimait d’éviter, peur tout simplement. Je n’ai pas été non plus prise au sérieux au commissariat, où une bien gentille policière m’avait fait comprendre que sans coups, sans viol, ce type de violence n’avait aucun intérêt pour la justice, car il y en avait tant.

J’ai mis des années à me reconstruire, car cette peur ayant déclenché chez « les autres » un autre regard, une suspicion, je me suis retrouvée avec une étiquette sur le front « parano », « peureuse » voire « dingue », prise bien malgré moi, dans un vrai tourbillon. J’en suis sortie, mais avec un sacré travail personnel. Tout le monde n’a pas ma chance.

Trop souvent, nous nous trouvons face à cette violence, et elle est si forte que nous disparaissons face à elle. C’est elle qui prend le pouvoir.

J’en ai assez de cautionner cette violence. Des enfants mettent le feu à une école ou une voiture, c’est normal, ils ont une vie dure. Des couples s’entredéchirent n’hésitant pas à prendre un tiers comme bouc émissaire, c’est normal, vivre à deux, c’est compliqué. Les gens s’insultent sans cesse, se traitent de noms d’oiseaux, c’est normal, c’est à la mode. Et la liste est longue. Et bien non ! Ce n’est pas normam ! La violence n’est pas normale.

Je refuse de cautionner la violence ! Alors place à la bienveillance.

( 24 août, 2018 )

Ces livres que l’on n’aime pas.

 

Certains romans sont plébiscités sur les réseaux sociaux à tel point que lorsque l’on désire donner notre avis, contraire à l’avis général, on déclenche un véritable tsunami.

«  Comment ? Tu n’as pas aimé ! », résultat on se sent presque honteux de ne pas aimer. Et pourtant, on ne peut aimer tout le monde, tout comme on ne peut pas toujours expliquer pourquoi. Ce phénomène est omniprésent dans le milieu de l’auto édition où se crée un réseau basé sur des pages de fans. On assiste alors à un pugilat lorsqu’une pauvre lectrice donne un avis négatif pourtant dénué de méchanceté. Sommes-nous dans un monde où ne pas être un mouton est condamnable ?

Je pense à un auteur en particulier, pire que Louis XIV, qui même s’il écrit fort bien, n’a pas mon aval. Je n’ai jamais pu finir un seul de ses livres. Notre plume est opposée. Lui, c’est sombre, noir, moi j’aime la lumière, la gaité même dans un meurtre bien glauque. Après, je ne m’autoriserai pas à poster un commentaire négatif, ne souhaitant pas que l’on me fasse la même chose. Un roman reste subjectif, porteur d’émotions, et si le style est bon, le juger serait un acte de malveillance.

En tous les cas, il y a des livres que l’on aime pas, et c’est important de ne pas oublier que même si un écrivain a 350 commentaires positifs, personne ne peut avoir un cent pour cent ! Ne jamais oublier que les autres, eux, ne se fatiguent tout simplement pas à poster.

 

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( 24 août, 2018 )

Cette pré-retraite, un mythe ?

 

On peut adorer son travail et ne plus avoir envie de continuer, parce que l’on est trop fatigué, parce que la vie nous semble trop courte, ou simplement parce que l’on a une envie de la croquer à pleine dents !

 

J’aime enseigner, mais je suis fatiguée de ne croiser qu’une majorité d’élèves, insolents, grossiers, paresseux. Quelques pauvres petits essaient, eux, de nager dans cette mer tumultueuse. Honnêtement, je comprends qu’il y ait un tel déficit dans ma profession. Qui veut vraiment être enseignant à notre époque ? Quelle reconnaissance avons-nous ? Celle de la hiérarchie ? Certainement pas. Le salaire ? Faut pas rêver ! Les parents ? Une poignée … Les vacances ? Un bien mince privilège quand on voit que nous n’avons ni prime ni avantages sociaux …

Envie de partir, oui, surtout lorsque je découvre, car on s’était bien gardé de m’en informer, que je pouvais prétendre à ma mise en retraite anticipée.

Cette pré-retraite me fait l’effet d’un mythe,  je n’aurais pas l’âge légal aussi je n’ai pas l’impression de demander mon départ en retraite, mais une ouverture vers autre chose.

Plus de cris dans les couloirs, plus d’insultes dans les cours de récréation, plus  ce stress qui serre le ventre. C’est certain que monter des projets, voir briller les yeux de certains, cela va me manquer, mener des débats aussi, mais profiter de la vie, j’en rêve ! Pouvoir enfin faire des dédicaces en librairie sans avoir peur d’être éreintée le lendemain, m’inscrire dans des clubs d’art, pouvoir visiter les musées, écrire bien sûr, lire jusqu’à l’overdose, monter des ateliers d’écriture, des réunions littéraires, me mettre à la photographie, à la peinture …

 

« Tu vas être traumatisée » me disait avant les vacances une collègue, un peu envieuse. Traumatisée de quoi ? De pouvoir partir jeune ? ( car n’ayant pas 60 ans, je serai encore jeune !) en pré-retraite ce qui dans la tête ne veut surtout pas dire retraite ( dans mon portefeuille aussi ). Ben non, je saute de joie comme un cabri. Seule la maigre pension me fait un peu grincer des dents, mais la liberté n’est pas nécessairement liée à l’argent !

C’est un rêve qui se dessine, mais comme tout rêve, je garde les pieds sur terre. Mon dossier est prêt. Rendez-vous dans douze mois, là je saurais si le mythe est devenu réalité, ou pas.

( 23 août, 2018 )

Cette porte qui nous appelle …

Nous nous sommes tous retrouvés un jour face à une porte entrebâillée juste pour nous, cette porte tout au fond de ce chemin. Pousser cette porte, passer le seuil, avancer. L’impression de rentrer dans cette lumière dont parlent ceux qui ont fait une NDE. Ce besoin de franchir une ligne invisible pour renaître simplement. Qui n’en a pas rêvé un jour ?

Il y a un temps pour tout, pour souffrir, pour pleurer, pour aimer, pour rêver, pour exister.

Parfois, nos routes ont croisé certaines personnes dont le lien s’est étiré jusqu’à se rompre. On désirerait pourtant que ce lien ne casse pas, on fait tout pour le conserver, même si la blessure est profonde, même si cet autre n’est plus qu’un étranger, même si un mur nous sépare. Difficile de mettre le mot fin à ce qui a vraiment compté, pourtant d’autres liens vont se tisser, des liens extraordinaires qui se trouvent derrière cette ligne rouge, de nouveaux liens merveilleux qui surgiront au moment où on s’y attendra le moins.

Alors cette porte qui nous appelle, courons vers elle, on a trop attendu l’impossible, on a trop espéré, maintenant à nous de construire notre demain, un nouveau monde nous appartient !

 

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( 23 août, 2018 )

L’amitié de coeur

L’amitié, c’est ce lien qui relie les âmes avec un joli ruban que l’on peut défaire à tout moment sans le dénouer complètement en créant de nouvelles boucles. Seulement, il y a les amis, et les autres, ceux qui s’infiltrent, attrapent le ruban, mais le lâchent quand ils en ont assez sans se soucier de celui qui tient l’autre bout. On parle souvent de trahison amoureuse, mais on minimise les dégâts d’une relation amicale qui avorte.

Je constate que dans notre monde égoïste, nous assistons de plus en plus à ces comportements, les personnes qui partent sans explication ou simplement parce qu’ils sont passés à autre chose, ceux qui « rompent » avec juste un sms, ou pire ceux qui entretiennent un faux lien pour mieux enfoncer ensuite. Cela me choque étant quelqu’un fidèle et de parole. Lorsque je m’engage, je le fais à fond, aussi bien dans une cause que pour une personne, totalement, sinon je ne m’engage pas.

 

La plupart des gens aujourd’hui s’investissent pour un temps, quand eux ont besoin de cette interaction, puis ils lâchent, ne pensant qu’à leur pomme, refusant, à la moindre difficulté, cette plus petite marche à monter. Les amitiés sont aujourd’hui des kleenex. On prend, puis on jette.

 

Je regrette ce monde où l’amitié de coeur prévalait sur tout le reste.

J’en vois des « amis » qui font des promesses, proposant leur aide pour faire un site ou de la promotion, pour aider à trouver un travail, pour donner un coup de main, mais au final, il ne reste vite qu’un tas de poussière sur le pas d’une porte. Je rêve encore comme une enfant d’un monde où l’hypocrisie serait bannie, car inutile, où la sincérité serait reine, où les promesses seraient tenues.

Utopie ? Curieusement, je ne pense pas, juste un regard sur son voisin, juste cesser de vivre dans une bulle égocentrique, juste surtout cesser de vouloir des amis pour ne parler que de soi. L’amitié de coeur, c’est le partage de bien plus que de simples mots, et chaque jour, mes vraies amies me le prouvent, et ce petit feu qui continue de brûler rattrape tout …

À ces vrais amis, parfois juste un souffle dans ma nuit, merci d’être là … d’exister

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