( 14 août, 2018 )

I have a dream

Comme dirait le grand monsieur qui a écrit cette phrase, j’ai un rêve, quoique non, que dis-je, j’ai des dizaines de rêves. J’écris autant que je rêve ou bien je rêve puis j’écris, allez savoir, en tous les cas, je ne cesse de rêver à l’impossible, à ces nuages au-dessus de ma tête sur lesquels j’aimerais m’assoir, avec un bon livre, et peut-être aussi une âme-soeur.

Je rêve à un monde où les gens cesseraient de juger, de critiquer, de grogner, de ne jamais être contents.

Je rêve d’un monde où la gentillesse prévaudrait sur tout, où le regard ne serait jamais méchant.

Je rêve d’un monde où aimer serait la seule véritable valeur, où la vérité ne serait jamais cachée.

Je rêve d’un monde où les larmes n’existeraient que pour les livres tristes.

Je rêve de revoir ceux qui ont déserté ma vie, ceux qui dansent sur les étoiles, ceux que j’aime.

I have a dream …

Que la vie ne soit que couleur … impossible, peut-être pas, mais il ne faut pas qud je sois la seule à le vouloir !

 

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( 14 août, 2018 )

Les maladies thyroïdiennes et le coeur.

 

Dire que ce sont des maladies psychologiques, dans la tête, c’est oublier que ces dysfonctionnements thyroïdiens peuvent poser de vrais problèmes cardiaques.

Il est bon de le redire, une thyroïde bien équilibrée est nécessaire pour notre coeur et nos vaisseaux sanguins, elle va réguler la pression artérielle, le nombre de battements cardiaques dans une minute, et l’élasticité de nos vaisseaux. En cas de dérèglement, ce fonctionnement est remis en question. Un malade atteint de la maladie d’Hashimoto aura un risque accru de maladie cardiaque, de crise cardiaque, de vaisseaux sanguins obstrués et d’hypertension artérielle. Les risques de problèmes cardiaques augmentent avec les anticorps anti-TPO élevés.

Ce qui ne veut pas dire que ce sera pareil pour chaque personne ! Mais une thyroïde défectueuse pourra voir sa fréquence cardiaque et son rythme changer, augmentant la vitesse ou la diminuant, dans tous les cas fatigant le coeur.

De plus, le cholestérol va s’accumuler même avec une alimentation saine. ( le second nombre de la tension le montre)

Que faire ? Aller voir un cardiologue. Ils sont tous au courant des problèmes thyroïdiens, parfois bien plus qu’un endocrinologue. La plupart vont se contenter de surveiller, si le coeur n’a pas de lésion, de faire attention au dosage du Levothyrox.

Le mien fut extrêmement clair :

D’abord éviter le stress qui provoque des hausses de tension dites tension de stress. Apprendre à gérer ce stress par la Cohérence Cardiaque ( très efficace, si on y pense lors de la montée du stress)

Faire de l’exercice tous les jours, minimum 10 000 pas. Pas nécessairement des mouvements violents, de la marche, du vélo de ville ou d’appartement.

Éviter le surplus de graisse, et manger sainement sans se priver de plaisirs ( important pour le moral)

Éviter trop de sucre.

Je suis atteinte de la maladie Hashimoto et il ne me reste presque plus de thyroïde, sous traitement gouttes L_Thyroxine.

Une fois encore chaque personne est différente. Certaines auront un coeur plus lent avec une petite tension, d’autres un rythme cardiaque élevée.

Personnellement mon coeur n’est plus régulier depuis Hashimoto. Je peux passer de 60 battements à 130 sans avoir bougé. Ayant déjà fait un petit incident, j’applique le plus possible la Cohérence Cardiaque qui en moins de cinq minutes régule bien mon coeur.

N’hésitez pas à regarder :

https://www.coherenceinfo.com/

Je n’y pense pas sauf quand il tambourine. En dehors des gouttes de L_Thyroxine, je ne puis prendre aucun traitement allopathique, étant allergique aux excipients, donc j’essaie de vivre sainement. Je vis ! J’ai des coups de fatigue, quelques moments de panique lorsque le coeur s’emballe trop, mais dans l’ensemble, je gère. Cela demande du temps, un changement de vie, mais c’est possible ! Et j’espère bien qu’une crise cardiaque ne m’emportera que dans vingt ans !

Courage à tous !

Pour rappel, Maladies thyroïdiennes, dévoreuses de vie en vente papier sur le site fnac

et celui de l’éditionEvidence éditions ( choisir lettre suivie)

Sur Amazon, essentiellement en numérique.

Un recueil regroupant plus de 1200 témoignages ( une synthèse bien sûr ! Pas tous les témoignages, ceux qui étaient les plus marquants et les plus représentatifs pour aider tous les malades)

 

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( 13 août, 2018 )

Il est temps …

« Il est temps de tourner la page et de fermer le livre, de sortir de ta cage pour essayer de vivre. Il est temps de tourner la page et de fermer le livre oublier ta rage, essayer de vivre »

Slimane Film Break

 

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( 13 août, 2018 )

Et si on s’était aimés avant ?

Qui n’a pas rêvé d’un autre passé, d’une autre vie ? Et si on s’était rencontrés avant, serions-nous ensemble aujourd’hui ? Comment savoir si nous étions prédestinés ou si simplement le hasard de la vie nous a fait nous croiser, nous quitter, nous sourire, nous perdre ?

J’aime beaucoup cette vision de « l’âme soeur », même si je n’aime pas l’idée de personnes prédestinées.  Penser que « dans une autre vie », nous nous sommes déjà croisés, c’est amusant. Par contre aller plus loin dans l’analyse, se dire que ces personnes sont là pour nous enseigner des leçons sur notre vie, nous faire ressentir une même longueur d’ondes, j’aime cette version.

Je ne crois pas que l’on épouse « son âme-soeur » très souvent, simplement parce que l’évolution ne peut se faire que par paliers et ces rencontres ne peuvent-être que spéciales, hors du temps. Souvent, comme me disait une amie, ce sont ces liaisons qui défient le temps, dont l’impact apporte une lumière sans toucher à la vie, en l’éclairant, en lui donnant une autre saveur. Des personnes qui s’inscrivent comme des évidences puis repartent en nous laissant un sillon de ce qu’ils furent ou que parfois la mort emporte.

Alors si on s’était aimés avant, je pense que tout serait différent aujourd’hui, parce que chaque morceau de vie correspond à une expérience, une réalité, une possibilité.

Les personnes, les choses, les événements qui nous sont « destinées » sont celux qui vont nous faire évoluer. Ce seront ces hasards qui n’en sont pas, ces livres sur lesquels on tombe et qui nous ouvre l’esprit, cette allée que l’on prend au lieu d’une autre, une direction un jour dans une rue ou un magasin.

Comment reconnaître ces personnes ? C’est fort simple, lorsqu’on est avec, on peut se dire simplement «  Ta présence suffit à ma faire grandir. Chaque mot que tu dis touche mon âme. Tu es important pour moi simplement parce que je sais que tu existes. »

Beaucoup passent à côté de ces attirances parce qu’elles obligent à sortir de leurs zone de confort, mais quel bonheur de savoir qu’elles ont existé, qu’elles existeront à jamais.

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( 12 août, 2018 )

Les retours continuent …

Tout est dit …

 

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( 12 août, 2018 )

L’envie de lire cet été …

Curieusement cette année, mon envie de lire sur la plage, durant ces vacances,  s’est un peu ralentie. La faute au soleil, certainement, tellement chaud que j’ai passé plus de temps dans l’eau que sur la plage. D’un autre côté, je n’ai eu aucun coup de coeur littéraire contrairement à mes lectures de début juillet. J’ai dû débuter une dizaine de romans stockés sur ma liseuse, et cruelle déception, c’était fade, sans intérêt. Parfois je me demande à tant lire si je ne suis pas devenue trop difficile ou peut-être écrivant aussi, je veux être surprise, un livre que je n’aurais su écrire. Je n’ai donc aucun excellent livre à conseiller ! Côté polar, j’ai vraiment lu des daubes, quant aux romans, que du « culcul ». Décevant surtout tous édités chez de TRES grands éditeurs. Une fois encore, à se demander comment sont faites ces mises en avant !

L’envie de lire restant pour moi une passion, j’attends avec impatience la rentrée littéraire qui annonce les nouveaux Chattram, Adker-Olsen, Weber, Larson, Donato Carissi, Arnaldur, des valeurs sûres, même si j’ai été en Juin déçue d’autres valeurs « sûres ». En attendant, je continue ma PAL en espérant tomber sur LE coup de coeur de mon été !

 

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( 11 août, 2018 )

Nostalgie du retour …

 

Voir la grande bleue s’éloigner, les larmes ne pouvant s’empêcher de couler, c’est fini, encore un été qui s’achève. Plus je vieillis et plus j’ai de mal à regagner la région parisienne, cette brume de pollution en atteignant la grande couronne, l’air moins respirable, le temps plus lourd, le grisâtre des immeubles. Où sont les petites villas de mon Héraut ? Chaque année, je me dis que c’est fini, que je vais quitter Paris, que ma fin de vie ce sera ces plages, cette mer que j’aime tant, cette douce chaleur. Et puis, comme chaque année, au bout d’une heure, la vie reprend, parce qu’il y a d’un côté les rêves et de l’autre, la réalité. Je sais bien que mes enfants, mes amis sont plus proches de Paris que de Valras, alors je range aussi bien mes valises que mes douces illusions, en priant juste pour que l’an prochain, je puisse encore courir sur le sable chaud, faire d’un été un rêve …  Au fond, ce n’est déjà pas mal ? Non ?

 

Souvenirs …

 

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( 10 août, 2018 )

Quand l’amour est mort …

Il n’y a pas un seul mois cette année où je n’apprends la séparation d’un couple que j’ai côtoyé. Toujours difficile la fin d’une relation qui souvent pèse comme un échec. Comment être certain que c’est vraiment la fin ? Je pense qu’il n’existe pas à notre époque un seul couple qui va passer sa vie sans se voir fléchir à un moment.

C’est normal, un couple est formé de deux personnes différentes, qui ne vont pas évoluer nécessairement au même rythme. Il peut alors arriver que l’on se réveille en se disant juste que l’on n’aime plus. Est-ce pour autant la fin d’un amour ou simplement le modelage d’une nouvelle forme d’amour ?

Les gens vieillissent et nombreux ceux qui ont envie d’être à nouveau amoureux, qui  rêvent de retrouver des sensations oubliées, celles du premier baiser, de la première caresse.  Cette fracture va se jouer sur un fil. C’est l’ouverture des critiques, des crises , des mots trop violents. Il y a un mal-être, mais personne n’arrive à le formuler. Rien ne va plus. En général, les couples en souffrance vont trouver une excuse « bateau », c’est de la faute de l’autre ou simplement vont détruire la racine même de l’amour.

Comme je l’ai déjà expliqué, l’homme n’est pas fait pour n’avoir qu’une seule personne dans sa vie. C’est la religion qui a institutionnalisé la monogamie aussi bien masculine que féminine. L’envie d’aller brouter une nouvelle herbe, même si c’est inconscient, reste réel. Après tout, la vie ne sera-t-elle pas plus belle avec cet autre ?

J’ai tendance à penser, mais cela n’engage que moi, que chaque couple vit des moments où la coexistence est compliquée, parce que l’Homme oublie d’arroser la fleur la plus importante de sa relation, l’amour, prenant une relation qui vit sur la durée comme acquise. La plupart des couples ne font plus d’efforts, s’installent dans une routine même sexuelle, reproduisent en fait le schéma parental sécurisant.

Cela veut-il dire pour autant que l’amour est mort ?

L’amour est un sentiment tellement puissant qu’il ne peut mourir que si on l’enferme en cage. L’amour se nourrit de beauté, de positivisme. Et surtout l’amour se donne sans limite. Un amour même vivant ne protège donc pas contre un coup de coeur qui n’est pas plus synonyme de la mort d’un couple, juste une petite lumière d’alerte qui crie que l’on est toujours vivant !

( 10 août, 2018 )

Le bonheur d’être parents

Quoi de plus beau que mettre un enfant au monde ? Instant magique, unique, et puis il y a « l’après », on devient parents pour des années, et certains parents n’y sont pas préparés. Ils font des enfants comme ils achètent le nouveau smartphone, puis quand bout de chou devient moins intéressant, ils le calent devant la télévision ou sur une tablette. Seulement quand on est parents, c’est pire que le mariage, c’est pour la vie. Pas de divorce possible. Et, parfois le bonheur d’être parents se colorie de ces galères que l’on oublie qu’avec le temps, mais qui pourrissent bien la vie. Ces pics de fièvre au mauvais moment juste le jour où on ne peut vraiment pas s’arrêter de travailler, les réveils en pleine nuit alors que l’on est déjà crevés, le super canapé tout neuf qui est déjà vacciné de traces de chocolat. De jeunes insouciants, on devient parents responsables. Fini les soirées avec les copains, les prises de risque, on apprend à faire ce qui est « bien », et non plus ce que l’on a envie.

Le bonheur d’être parents est aussi un vrai danger pour le couple qui s’habille en version famille. Fini les dîners en amoureux, les grasses matinées, les éclats de rire.

L’amour fusionnel devient amour parental.

Et puis un jour le petit dernier a grandi. Pour les familles qui n’ont qu’un seul enfant voire deux, ce passage peut s’avérer très compliqué. Lorsque l’on a été à la tête d’une famille nombreuse, c’est un immense soulagement. On reste maman, avec ce merveilleux don d’amour que l’on a toujours envie d’offrir, mais on se sent libre.

Le dernier est parti, il est heureux, et on n’est plus responsables, on n’a plus ce poids que l’on portait sur les épaules.

Et soudain, tout se redessine, nous sommes à la fois parents, grands-parents, mais surtout nous sommes toujours vivants !

Lecteurs frisant la soixantaine, vous respirez cette odeur de liberté ? Des envies de vivre sans se prendre la tête, des désirs de découverte ? Certains amis m’ont même raconté, qu’une fois cette étape amorcée, ils se sont lancés dans des sports à risque ou des délires dignes d’adolescents.

Alors, jeunes parents, savourez votre bonheur, et lorsque votre petit ange se transforme en démon, pensez juste au jour où votre enfant aura vingt ans  … cela passe si vite !

 

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( 10 août, 2018 )

L’infidélité

Avec l’été, les tentations sont nombreuses, et ces messieurs frétillent en reluquant les décolletés plongeant ou les shorts ultra courts des demoiselles. Et sur les plages françaises, je ne vous raconte même pas ce qui se passe derrière leurs verres fumés ! Faut-il pour autant leur jeter la pierre ? Beaucoup de femmes trompées se posent en victime, pointant du doigt la méchante, celle qui a osé enlevé sa petite culotte pour séduire l’époux volage. Le mari, lui, aura toutes les excuses, parce que le pauvre chou, il travaille trop et n’a pu résister à sa jolie secrétaire, surtout lorsque sa compagne , elle, se plaint de maux de tête tous les soirs. Après tout, un homme a des besoins, non ?

Vous l’avez compris, ma plume est ironique ! Comme si on allait applaudir ces hommes qui ne savent pas garder Popaul dans leur pantalon ! Je déteste cette hypocrisie typiquement masculine. Alors non, je ne cautionne pas de telles infidélités, ces coups d’un soir, ces galipettes pour combler une vie sexuelle insipide, mais je n’irai jamais pour autant fustiger la maîtresse. Elle a simplement pris ce qui lui était proposé sur un plateau.

Il faut cesser de mettre l’épouse officielle sur un piédestal. Trop souvent, cette dernière, inconsciemment, se désintéresse de son homme afin de se consacrer à sa progéniture, à sa carrière, et elle fera tout pour ne rien voir ou ne rien entendre. Et comme ces pauvres mâles, eux, qui ont ce besoin d’être écoutés, soutenus, et surtout qui ont envie de vibrer encore sexuellement, et bien si une oreille compatissante et en plus séduisante passe dans le coin, les loups sont pris dans le filet.

Il n’y aurait pas mort d’homme si Cupidon tirait par fois sa flèche en plus du Nirvana .

 

Rendons à César ce qui lui appartient, personne n’appartient à personne. Le mariage n’empêche nullement de tomber amoureux d’une autre personne. Il impose, par sa morale, une pseudo culpabilité, mais il ne bloque pas les sentiments. Pire même, il peut engendrer des amours qui vont survivre à tout et perdurer des années avec un véritable manque.

Vivre vingt ans avec la même personne entraîne, dans la majorité des cas, une probable insatisfaction, car chacun évolue à son rythme, autrement. Ce qui n’est pas synonyme de non-amour, juste de changement. Alors beaucoup se tournent vers le rêve, le fantasme. Adultères ? N’abusant pas. Nous sommes au XXI siècle. 83% des femmes fantasment sur le popotin d’un acteur ou sur les fossettes d’un chanteur, tandis que riez, 92% des hommes fantasmes juste sur leur voisine, leur collègue ou leur meilleure amie. No comment !

 

L’infidélité est une blessure pour celui, mais pas un crime. Il ne faut pas oublier que la monogamie est culturelle et non naturelle. Nous sommes tous, hommes et femmes, amenés à désirer d’autres personnes ( des restes de cette nécessité de peupler la terre), et si nous sommes trompés, c’est notre orgueil qui est touché avant tout. Car aimer l’autre, c’est le laisser être heureux. Vivre son propre épanouissement, c’est ne pas de mal aux autres, quoiqu’il arrive, donc infidèles, une seule devise alors « pour vivre heureux, vivez cachés ».

 

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