( 30 avril, 2014 )

Rien de spécial sauf …

Wouah ! J’adore quand un post comme celui d’hier reçoit tant de commentaires et de mails ! Comme quoi certains thèmes ne laissent pas indifférents !

Aujourd’hui, je vais être plus basique et vous parlez de ma dernière acquisition :

Le logiciel Antidote 8 … J’en rêvais depuis longtemps, passant des heures et des heures à corriger et restructurer mes écrits, puis passant par deux amis correcteurs … Bref des heures et des heures qui devraient maintenant être évitées ! J’espère !

Une chose est sûre, vu mon niveau ras les pâquerettes en logiciel, je n’ai fait que le regarder une fois installé ! Il a l’air super mais le temps que je le comprenne son fonctionnement et bien je vous donnerai mon avis que dans quelques semaines … :)

 

Sinon je terminerais par mon interview chez mon Éditeur ( interview très sympa dont je suis très contente !) et pour ceux qui ne l’ont pas acheté et bien foncez acheter ROUGE !!!!

Achetez sur le site EDLIVRE les Ebooks et surtout pas FNAC car aucun retour !

Achetez les livres brochés FNAC, EDILIVRE, LECLERC … et beaucoup d’autres

http://www.edilivre.com/communaute/2014/04/29/rencontre-avec-sylvie-grignon-auteur-de-rouge/

( 29 avril, 2014 )

L’indifférence …

Écrire plus ? C’est ce qui m’est demandé par un lecteur anglo-saxon. Cher ami, J’aimerais passer mes journées à écrire, à chroniqueur, à pousser mes réflexions mais voilà, je travaille ! Et j’ai peu de temps libre … Donc je suis obligée de me limiter … Cela vous oblige à revenir …
Aujourd’hui, je vais écrire sur l’indifférence …
Pourquoi ce thème ? Simplement parce qu’il est ressorti dans ma classe et nous avons eu un débat très sympa sur le sujet.
L’indifférence …
 Les enfants y sont réceptifs, les adultes moins, vivant pour la plupart dans une bulle hermétique dans laquelle ils se sont isolés pour soit disant décompresser mais j’ai tendance à penser pour juste se protéger …
Indifférence des hommes face à une femme se faisant violer dans le métro dans le Nord,
Indifférence face à la tristesse d’un voisin,
Indifférence face aux larmes d’une amie,
Indifférence face à la peine d’un ancien amour …
Les gens vivent dans l’indifférence la plus complète ! Ils en perdent une chose qui me semble primordiale : l’empathie …
Ils préfèrent vivre malheureux que de se tourner vers les autres.
L’indifférence est le plus grand Pouvoir ! Qui n’a pas en tête une anecdote racontée par un tiers d’un homme, en général un de nos pervers narcissiques dont nous parlons souvent sur ce blog, qui après avoir détruit sa proie, va sortir son atout majeur : l’Indifférence …
La pauvre victime, pourtant libérée de son bourreau, va ressentir cette indifférence comme un abandon, un déni de ce qu’elle est … L’autre par ce pouvoir absolu va lui enlever son identité …
On existe que par rapport aux autres … L’indifférence nous fait ressentir un violent rejet.
Nous n’existons plus, nous n’avons plus d’importance, nous ne sommes plus rien …
Je laisserai conclure Jean-Jacques Goldman avec sa superbe chanson :
 J´accepterai la douleur
D´accord aussi pour la peur
Je connais les conséquences
Et tant pis pour les pleurs
J´accepte quoiqu´il m´en coûte
Tout le pire du meilleur
Je prends les larmes et les doutes
Et risque tous les malheurs
Tout mais pas l´indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur …
Oui mes amis, pensez y … Tout mais pas l’indifférence …..
( 28 avril, 2014 )

Le lâcher prise

J’écoutais une chanson de je ne sais plus quelle interprète qui parlait  » du jour d’avant « …
On a tous en tête un vécu qui s’y raccroche … Le jour J où tout a changé, où pour une question de santé, de vécu ou de vie, on s’est brusquement trouvé basculé avec brutalité dans le jour d’après, celui où nos convictions ne seront plus jamais les mêmes, celui où nos amours auront disparu, celui où notre corps aura changé pour ne plus jamais être celui qu’il était …
Ce jour d’avant, combien de fois avons-nous en secret avec des si, rêvé de le réécrire, de le réinventer …
Et si je n’avais pas acheté une moto ce jour là, je ne serai pas dans un fauteuil aujourd’hui, Et si je n’avais pas changé de trottoir, je n’aurai pas croisé sa route. Et si je n’avais pas voulu plus d’argent, je n’aurais pas été victime d’épuisement et fini à terre terrassé par une crise cardiaque. Et si je n’avais pas décroché ce fichu téléphone, je n’aurai pas su …
Cessez les  » Et si …. » … Il serait tellement plus simple de ne pas s’agripper aux jours d´avant afin de pouvoir construire simplement le présent , tellement plus facile de pardonner et surtout de SE pardonner, d’accepter de faire confiance et de SE faire confiance, d’aller au-delà des apparences, d’aimer l’autre comme il est, de prendre en compte sa douleur et sa peine .,.
Pour avancer, chers lecteurs, lâcher vos idées bien ancrées, laissez vos peurs et au lieu de réécrire en boucle le jour d’avant … Imaginez plutôt le jour d’après ….
( 27 avril, 2014 )

Le regard des autres ..

Suite à une discussion sur FB avec une jeune auteure désirant relater son vécue familiale difficile, mais pétrifiée au point de ne pouvoir sortir les mots sur le papier par crainte du regard des autres, j’ai envie de crier STOP ! Honte à ceux qui brisent les rêves, qui détruisent ce qui est beau en chaque individu ! Honte à ceux qui critiquent négativement !
Nul ne doit avoir honte de ce qu’il est ! Chacun se doit d’être fier de ses écrits !
Honte au négativisme ! Le monde est dur et pour s’en sortir nous nous devons d’offrir aux autres la meilleure image qui soit …
Il y a longtemps, j’ai choisi de faire abstraction du regard des autres. Non sans difficultés !  Ayant survécu à la mort de mon fils, j’ai rencontré beaucoup de malveillances, de critiques déguisées comme si survivre à un tel drame était un crime, comme si avoir d’autres enfants, d’autres amours étaient mal … J’ai du faire face à de nombreuses remarques soit disant amicales mais culpabilisantes, à l’affût de la moindre faille, en quête d’un signe avant coureur de dépression ou de chute, n’hésitant pas à me pousser dans le fossé pour enfin lire la souffrance sur mon visage …
Alors jeune fille, si tu veux crier au monde ce que tu as vécu, fais le sans hésiter, pour toi, juste pour toi ! N’importe comment quoi que tu fasses, quoi que tu dises, tu seras jugée pour ce que tu n’as pas fait !
Alors au moins que tu sois jugée pour ce que tu as fait !
Pour répondre à Maryse qui m’a envoyé un message me demandant quel étaiy mon ressenti par rapport à Rouge. Je dirai juste : Merveilleux, Unique, un plaisir inexplicable … Simplement parce que j’ai découvert le bonheur D’écrire ! Et celui d’être lue … Ce n’était pas mon but de départ, mais c’est une sensation fantastique de savoir que mon livre passe de mains en mains ( plus de quatre cents lecteurs !!!! ) et j’ai toujours une remontée des émotions, des sensations de chacun, des questionnements, des remarques … La découverte d’un monde où j’ai ma place, où je me sens BIEN ….
Que peut vouloir de plus un auteur ? La notoriété ? Pas mon style ! Je m’en fiche ! Dans ma vie, j’ai toujours essayé de mon mieux. Parfois je me suis plantée, comme tout le monde, parfois j’ai été mal jugée, comme tout le monde aussi, parfois j’ai mal jugé, mal choisi ou mal interprêté mais peu importe ! j’ai toujours essayé de progresser.
Aujourd’hui, c’est vrai que si je pouvais passer mes journées à écrire, à faire mes recherches,  à rencontrer d’autres auteurs, à faire des salons, j’en serai pleinement heureuse mais voilà, la marmite doit bouillir … Alors je continuerai à me consacrer à mon job d’instit, tant que la fatigue ne m’aura pas terrassée ! Ce qui arrivera vu les classes surchargées et les élèves de plus en plus difficiles que je vais côtoyer … Mais ma bouteille d’oxygène, je l’ai aujourd’hui … Écrire … Toujours … Encore … Pour vous mes amis lecteurs !
Bilan du mois d’Avril qui vient de s’afficher : une moyenne de cent personnes suivent ce blog dont 50 abonnés ! Alors un immense MERCI ! C’est grisant de savoir que chaque jour, vous attendez mon post !!! Et ça m’oblige à me surpasser en réflexion !
Les vacances sont finies et leur miracle  : six premiers chapitres de BLEU sont écrits et bien sûr sauvegardés de plusieurs façons ! On ne m’y reprendra pas deux fois !
Pause de dix semaines avant que je ne me replonge dans la magie de ce nouveau roman. Cela va me sembler long mais la qualité est à ce prix … Je ne peux écrire lorsque je travaille …
Sinon pour infos :
BLANC est dans les mains du comité de lecture de mon éditeur donc j’attends …
La vie n’est qu’attente mais plus l’attente est longue et plus le bonheur est grand …
( 26 avril, 2014 )

À quoi sert d’espérer quand on ne croit plus en rien ?

 

Les meilleures choses arrivent lorsque l’on s’y attend le moins. Il faut cesser de fixer sans cesse cette porte qui reste fermée. Si elle l’est, c’est pour une bonne raison ! Peut-être est-il nécessaire de l’oublier tout simplement. Par contre, il ne faut pas hésiter à jeter un coup d’œil autour de soi car vous verrez peut-être une porte entrebâillée ! C’est vers celle-là qu’il faut aller ! Il n’y a plus beaucoup d’efforts à faire … Juste à la pousser et alors, vous verrez votre vie changer.
Je l’ai déjà dit sur ce blog. Il y a des rencontres cachées derrière ces portes, prêtes à prendre vie, prête à vous entraîner dans leur sourire. Ne les ratez pas ! Certaines n’auront aucune saveur et ne marqueront pas votre destin et d’autres s’inscriront au fer rouge.
À vous de vous servir de ces rencontres pour croire en de meilleurs jours. Ne restez pas enfermé dans vos certitudes. Poussez ces portes qui vous permettront de nouveau d’espérer … Une fois l’étincelle d’espoir allumée, vous pourrez de nouveau croire en vous car c’est la première vérité ! Pour croire en la vie, vous devez croire en vous, croire en ce que vous êtes, croire en ce que vous pouvez apporter et quelque soit votre parcours, vous aurez toujours un souvenir, un geste à apporter …
 » Quand l’esprit dit abandon, l’espoir chuchote : essaie encore ! »

( 25 avril, 2014 )

La vie est-elle une bouffonnerie

Avouons-le, la vie est une grande toile d’araignée où nous, pauvres humains, nous nous débattons sans cesse pour ne pas nous faire dévorer. La vie, c’est reculer pour mieux avancer, partir pour mieux revenir …
Quelqu’un m’a dit un jour : Nous ne sommes que des pions sur le grand échiquier de la vie. Si on est fort, plus fort que Dieu, ce sera nous qui ferons bouger ces pions, et les verrons tomber …
Pour faire un clin d’œil à ce fan de jeux, j’ai choisi pour un des thèmes de BLEU les échecs auquels je l’avoue, je ne pige rien ! Mais dans un livre, c’est très sympa à utiliser ! Par contre vous êtes-vous posé la question : jeu d’échec ? Pourquoi la mot échec ?

 

Peu importe en fait, ce qui doit être retenu, c’est que chaque pas est un échec potentiel et que nous devons donc tout faire pour ne pas le rater.
Alors, que vous soyez ministres ou simples ouvriers, hétéro ou homo, blancs ou noirs, vous restez des hommes. Prenez garde aux marches que vous aurez à grimper, ne jouez pas des pions que vous ne saurez maîtriser et surtout ne faites pas de mal pour vous amuser.
En clair, assumez vos actes, vos choix !
Ne jouez pas un rôle et ne poussez pas quelqu’un à un jouer un … Restez vous-même …

 

Je pense toujours à ce que certains jeux peuvent faire, jeu débuté juste afin de faire rire l’assemblée ou pour se croire plus fort que les autres, jeu où vous vous retrouvez englué, sans en avoir donné votre accord,  dans une immense toile d’araignée, où vous vous apercevez que tout ce en quoi vous croyez s’avère faux, que tout a été programmé ne le fut que par bêtise, par jeu, jeu où vous avez laissé un peu de votre âme pour avoir cru en quelque chose qui n’était qu’irréalité. Alors vous qui me lisez, retenez ceci : on ne doit pas jouer avec les sentiments des autres quelqu’ils soient, ni avec la vie. On ne doit à aucun moment se croire au-dessus des lois, au-dessus des règles simplement parce que prenant la vie des autres n’est pas un jeu … Nul n’a le droit de tirer les ficelles, même si c’est pour de bonnes intentions.

Un jeu peut faire mal. Un jeu peut détruite. Un jeu peut anéantir.
Vivez, chers lecteurs, vivez vos vies mais ne jouez pas avec celle des autres …
La vie n’est pas une bouffonnerie …

( 24 avril, 2014 )

Encore ce fichu temps qui bloque nos vies ….

Si je pouvais faire accélérer les aiguilles du temps, cher Philippe, je le ferai pour vous permettre de lire la suite de ROUGE. Dès que le roman sera accepté par mon éditeur, je vous offrirais BLANC en PDF si cela ne vous fatigue pas trop de lire sur un écran …
Quant au monstre dont vous parlez … Nul n’est un monstre ! Il existe juste des personnes en souffrance. Les gens parfois blessent sans savoir pourquoi ils le font. Ce peut être des préjugés raciaux, des affrontements d’idées, des prises de pouvoir … Ce peut être simplement un malaise face à une situation absurde, qui est tellement absurde qu’elle nous dépasse … Alors l’homme par définition, va mettre son armure et attaquer ! Peut être mal, peut être bêtement pour se protéger mais il va foncer tout simplement parce qu’il peut ainsi se donner l’impression de ne pas perdre la face ! Ce n’est pas l’homme qui est coupable mais la société, la vie qui nous incite à ne pas être  » nous », à ne pas avoir le courage d’aller directement s’expliquer par peur d’être blessé. C’est bête ! Mais c’est ce qui fait de nous des êtres humains … Chacun attend que l’autre fasse un geste pour effacer l’ardoise mais chacun a peur de remuer ce qui doit rester enterré … Donc non, cher Philippe … Aucun monstre … Juste des cœurs qui ne savent pas parler ou qui ont tellement souffert qu’ils se sont blindés…
On ne peut que leur souhaiter un jour de retrouver leur liberté de parler … Ainsi ils pourront s’envoler de leur prison doré …
Ma liberté à moi est d’avoir été capable de pardonner ….

( 23 avril, 2014 )

Apprivoiser l’absence …

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Chaque rupture, chaque perte provoque chez l’être humain un sentiment violent d’abandon, telle une blessure qui saigne et refuse de se fermer. Une seule solution pour y survivre, apprivoiser cette absence. Cela ne se fera pas sans séquelle car toute douleur met du temps à ne plus faire mal, mais avec le temps, la plaie se refermera même si au fond de soi, jamais on n’oubliera …
Il en va de même des amis qui nous quittent, des amours qui partent, de la vie qui nous trahit … Le seul moyen de donner un sens à ce qui n’en a pas, c’est de se servir de cette absence pour devenir plus fort, pour devenir meilleur.
Parfois vous rencontrerez des personnes, mal dans leur vie, mal dans leur peau qui voudront se servir de cette faille qui un jour vous a affaibli. Cette personne tentera de vous planter un couteau bien aiguisé voulant montrer au monde que nul ne peut survivre « à ça « , qu’il vous en reste des séquelles impossibles à surmonter … N’écoutez pas ces personnes …l’absence peut être, doit être apprivoisé parce que c’est ainsi que vous pourrez revivre, écrire, inventer, créer. Vos souvenirs ne disparaîtront jamais. Mais vous serez prêt pour en vivre de nouveaux encore plus forts, encore plus beaux avec juste cette petite flamme qui jamais au fond de votre cœur ne s’éteindra …
À toi , 26 ans aujourd’hui … À jamais ….

( 22 avril, 2014 )

Le livre

Où trouver l’envie d´écrire me demandent certains ? Dans chaque douleur que la vie nous inflige … Il suffit d’écouter les confidences des uns et des autres … Untelle, battue à mort par son père, untel sortant de prison, la copine trahie par tous ses amants et j’en passe .. Cet amalgame de vies est la clé d’un bon roman, une histoire façonnée qui va toucher en plein cœur, qui va faire réfléchir …

Tout comme devrait être la vie … Souvent on se contente de vivoter sans penser aux larmes de son voisin ou de sa meilleure amie simplement parce que le poids de nos souvenirs est déjà si lourd que l’on n’a guère envie de porter celui de l’humanité … Mais sur des personnages de livres, qui seront peut-être très semblables au vécu de nos proches, au notre, nous allons sortir notre mouchoir et pleurer … Un livre est bien plus que des pages écrites. Un livre est une histoire où chacun peut aussi à la fin graver quelques lignes de sa propre vie.

Alors chers amis lecteurs, lisez !

( 21 avril, 2014 )

Les autres …

Merci à Maryse pour son joli commentaire … Je ne pense pas être magique, juste à l’écoute de mes lecteurs. Apprendre juste à écouter les autres, apprendre à regarder sans pour autant interpréter ou juger.
Nous vivons dans un monde difficile où les gens se retranchent de plus en plus derrière un masque ou derrière un écran. Là, ils vont jouer « un rôle » bien cachés derrière leur pseudo, décidés à faire vivre un personnage qu’ils ne sont pas. On voit cela de plus en plus sur Facebook avec la création de faux profils ou de multi profils. Ce que ces personnes n’osent faire ou dire dans la vie, ils vont le revendiquer, le crier, histoire que l’on ne puisse les reconnaître dans la réalité.
Mais ce ne sont pas eux, les pires. Ce sont ceux qui ont perdu tout sens du réel, ceux qui vont d’un coup de baguette magique transformer le présent tel qu’ils l’ont décidé. Ils sont nombreux : commères des cités, rapporteurs de ragots, pervers narcissique et j’en passe ..
Ce sont des hommes ou femmes comme vous et moi qui vont trouver une raison d’exister en faisant de votre vie un enfer, en tissant tout autour une toile d’araignée si puissante que vous vous y trouvez engluer sans pouvoir vous en échapper. Comme tout animal en danger, vous allez vous débattre, vous allez crier, hurler, demander de l’aide, mais plus vous le ferez et plus vous vous enfoncerez car l’autre sera là pour vous donner le coup de grâce, celui que vous ne pouviez avoir prévu, celui auquel vous ne vous attendiez pas …
Alors oui, chers lecteurs, si je suis à l’écoute de vos mots, de vos maux , c’est simplement pour vous aider à ne pas tomber dans le piège de ces monstres dénués d’empathie, dans les griffes de ces personnes se disant vos amis qui seront prêts, tel Judas, à vous livrer pieds et poings liés juste sur une fausse rumeur, à ces amoureux du virtuel ou des jeux de rôle qui vous prendront comme acteur d’un très mauvais scénario ..
On se laisse très facilement avoir .. Il suffit pour cela d’avoir un cœur, de croire en l’autre.
Alors vous vous trouverez être la cible parfaite ! Et la flèche empoisonnée, bien lancée, vous transpercera. Cette flèche vous paralysera de peur, vous empêchant ensuite de vous justifier ou de communiquer.
Soyez là pour les autres, montrez votre empathie afin que ce soit vous, l’armure qui empêchera votre ami d’être blessé …

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