( 31 décembre, 2014 )

Les attirances.

 

Une amie me disait hier que les rencontres étaient dues à l’alchimie des êtres.
Cela m’a fait penser aux attirances. Qui n’a pas dans sa vie rencontré l’inverse ?
Un rendez-vous avec un médecin pourtant réputé et avec qui le courant ne passait pas du tout, le soin de beauté ou de massage avec qui l’heure devient une torture. La collègue pourtant sympathique que l’on ne supporte pas, et j’en passe. Quel phénomène se retrouve l’origine de ces répulsions ?
À l’inverse, on peut vivre plusieurs fois dans notre vie la symbiose magique entre deux personnes, l’impression de connaitre l’autre avant même de lui parler.
L’attirance reste un formidable mystère. Beaucoup d’individus font un amalgame entre l’attraction amicale et l’attirance. L’attirance physique est majoritairement le fait de l’inconscient. Il est en effet difficile d’expliquer pourquoi cette personne et pas une autre nous attire, tandis que, l’attraction se fera par rapport à des critères sans aucun rapport avec le physique : la voix, l’attitude, la façon de bouger, les similitudes de vie.
Et comme je l’ai lu dernièrement dans un magazine, rien n’est vraiment un hasard. Nous sommes attirés par des personnes qui nous renvoient une image de nous-mêmes positive, qui nous aiment, nous trouvent séduisant. Nous sommes, par définition, narcissiques et nous ne aventurons pas vers des sables mouvants. Nous ne nous hasardons que vers ceux que nous savons disponibles pour nous, que nous pensons, par leurs gestes, leurs attitudes, disponibles pour nous.
Certains appellent ce phénomène :  les âmes sœurs, le fait de reconnaître ces personnes comme étant faites pour nous, autant en amitié qu’en amour.
Pour l’autre, qui a juste envoyé un signal inconscient, une telle attirance peut sembler hors norme ou pathologique. Elle pourra le bloquer ou le pousser à commettre des actes ne correspondant pas à ce qu’il est, simplement pour s’éviter cette attirance, ou pour simplement savoir si elle est susceptible d’être partagée.
C’est alors que se dessine la notion de choix.
On peut freiner des quatre pieds pourtant on ne choisit pas de tomber en amour ou en amitié. On en ressent juste les effets incitant notre magnétisme à se développer et à enrober tout  ce qui est autour, aussi bien notre positivité que notre bien-être,  cet équilibre que l’on se fabrique. On va donc attirer dans notre sillon des personnes pouvant correspondre à ces critères. Si nous sommes dans une phase d’ouverture, nous allons nous retrouver immédiatement entourés d’un cercle d’amis parlant notre langage. Cette force, qui va se joindre à nous, renforcera notre potentiel et boostera notre pouvoir d’attirance.
Si par contre, on choisit l’isolement, notre faculté de nous faire de nouvelles relations s’estompera. L’attirance disparaîtra. Nous nous retrouvons seuls, par pur choix. Nous stopperons de nous-mêmes ces attirances juste par nos propres vibrations qui dirons non.
Nous sommes donc responsables des liens que nous créons car nous les avons consciemment ou inconsciemment aurorisé à se créer. Choisissons donc bien nos amis !
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Cultivons nos attirances car elles peuvent dégager sur de merveilleuses histoires.
Bon réveillon à tous et bonne fin d’année 2014.

 

( 30 décembre, 2014 )

À l’approche du nouvel an

 

Certaines lectrices m’écrivent que cette période les déprime, que cette approche des nouvel an les renvoie à leurs peines, à leurs regrets, à tout ce qu’elles n’ont pas réalisé.
Aujourd’hui, je vais faire un petit cours d’histoire.
Cette nouvelle année fut-elle toujours célébrée ?
Il faut savoir que le jour de l’an n’a pas toujours été fêté le 1er janvier. Les historiens situent ses premières célébrations à Babylone, deux mille ans avant notre ère. À la fin du mois de mars, les festivités et rites de purification durent une dizaine de jours. Sous la haute Antiquité, le soleil étant la divinité première et souveraine, les cérémonies se rattachant à la nouvelle année ont lieu en son honneur.

En France, la date officielle du commencement de l’année varie au cours des siècles. Sous les Mérovingiens, le Premier de l’an est célébré le 1er mars ; sous les Carolingiens, à Noël ; et sous les Capétiens, le 25 mars. Au XIe siècle, il est, sous l’influence de l’Église, transféré au Samedi saint. C’est au XVe siècle, le 9 août 1564, que Charles IX, par l’édit de Roussillon Isère, fixe le 1er janvier comme premier jour du premier mois de l’année. L’article 39 annonce : « Voulons et ordonnons qu’en tous actes, registres, instruments, contracts, ordonnance, dicts tant patentes que missives, et toute escripture privée, l’année commence dorénavant et soit comptée du premier jour de ce moys de janvier.  »

Napoléon abroge le calendrier républicain et instaure le rétablissement du calendrier grégorien à partir du 1er janvier 1806. Le 1er janvier deviendra un jour férié légal par un arrêté du Conseil d’État le 23 mars 1810. Le réveillon, repas traditionnel de la nuit du nouvel an, est appelé aussi réveillon de la Saint-Sylvestre, du nom du pape Sylvestre 314-335, fêté le 31 décembre.
Pendant les douze coups de minuit, cet instant fatidique où tout paraît possible, il convient de faire attention aux premières fois : on doit être de bonne humeur pour l’être toute l’année et surtout ne pas proférer de mauvaises paroles.
Alors si vous voulez passer une excellente année 2015, souriez à la vie et commencez dès aujourd’hui à préparer vos objectifs …
( 29 décembre, 2014 )

Les routes

Quelque part dans mon passé, plusieurs routes se sont présentées. J’ai pris la plus difficile et la moins fréquentée. C’est ce qui fait toute la différence.

J’aurais pu comme beaucoup choisir la dépression, la négativité. C’est si facile de se laisser glisser, de se dire que notre vie est fichue, que l’on n’a vraiment jamais eu de chance. Au lieu de cela, je me suis battue pour continuer à vivre. Un toubib m’a dit un jour : vous êtes une Survivante.
J’ai juste choisi de me glisser dans un mode de pensées pacifiques.
Éviter les conflits, ne pas répondre aux attaques ( cela ne m’a pas été toujours très positif ces dernières années. Il semble que parfois, ce sont les agressifs qui gagnent !)
M’entourer de personnes saines ( là aussi j’ai échoué ! J’attire inexorablement les gens dépressifs ou à problèmes )
Malgré cela, je m’accroche pour ne pas perdre ce que je suis. Je continue à œuvrer en souhaitant que le meilleur reste à venir, à écrire, vivre, positivement même si parfois ça fait mal, car certaines blessures laissent des cicatrices. Et au final, je suis toujours sur mes pieds. Cela vous surprend ? Vous n’êtes pas les seuls. Chaque matin, je m’en étonne, je me dis que si j’ai tant souffert, c’est que j’ai vraiment vécue, vraiment aimé, vraiment existé.
J’ai choisi ma voie, mon mode de croyances et de pensées et seule la mort m’empêchera de finir ce voyage sur le chemin que je me suis choisie, celui-là parmi tant d’autres, tout en sachant que vu sa difficulté, je rencontrerai certainement encore des obstacles, je tomberai encore et mon seul souhait est d’avoir toujours la force morale de me relever. Tant que l’on peut choisir sa route, c’est que l’on mérite de vivre tout simplement.
Publié dans Décembre 2014 par
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( 28 décembre, 2014 )

Le changement

Changer n’est pas devenir quelqu’un d’autre, c’est devenir qui on est et l’accepter.

Pas simple pour le commun des mortels de quitter son vieux manteau pour en enfiler un nouveau qui irait comme un gant. L’humain a la fâcheuse tendance à refuser d’accepter qui il est, préférant se voiler la face, se cacher derrière des pseudos mensonges. Comment ai-je pu entendre au cours de conversations, des personnes s’inventant une vie ou un passé, se forgeant une personnalité inconnue ? Pourquoi ne pas accepter qui on est en premier ! Nul n’est parfait.
Lors des différents chemins que j’ai pris dans ma vie, j’ai côtoyé des dizaines de personnalités différentes. L’amie, sûre d’elle, forte, éblouissante mais cachant au fond une immense détresse, le pote comblé, avec une vie idéale, une maison superbe, des amis à la pelle et surtout une grande solitude intérieure. La gentille copine un peu godiche victime de sévices sexuelles ayant laissé des traces indélébiles, le play boy refusant d’avouer son homosexualité, le dépressif refusant de voir sa vie en face, l’ami refusant de laisser pointer une once d’émotion.
Chacune de cette personne refusant d’accepter les sentiments trop lords, les émotions trop fortes, la réalité profonde de ce qui est vraiment.
Je leur souhaite à tous de trouver pour l’année qui arrive, la force d’être ce qu’ils sont !
J’ai toujours su qui ces personnes étaient derrière leur vernis et cela ne m’a nullement empêchée de les apprécier. Qu’ils osent enfin être eux, est mon plus grand souhait.
( 27 décembre, 2014 )

Ne cesse jamais d’espérer, dans la vie, tout est possible ..

 

Ne jamais lâcher cette pensée ! Après la magie de Noël, on retombe sur ses pieds. La nostalgie peut prendre son manteau de pluie. Surtout ne pas l’endosser ! Il faut pourtant se motiver, retrouver de nouveaux objectifs. Ne pas s’arrêter. Ne pas hésiter à faire un bon ménage dans sa vie, dans ses convictions, parfois même faire table rase. L’approche de la nouvelle année est idéale pour tout recommencer, autrement, différemment.
Toi,  qui as du vague à l’âme, songe à tes rêves, à tes désirs et fonce ! La vie est faite pour que tu te réalises ! Ne fuis pas celui qui vient vers toi. Il n’est pas sur ta route par hasard. Prends conscience des coïncidences de vie. Elles te seront utiles.
Ensuite prends le temps, fais une pause et savoure.
Durant ces vacances, je me suis plongée avec délice dans la lecture du livre  » Le trône de Fer ». C’est une saga un peu compliquée au début, avec ses nombreux personnages, mais je ne m’en lasse pas.
Je me délecte de chaque instant, soulagée que mes deux manuscrits soient fin prêts. Je vais, enfin, pouvoir avec sérénité me replonger dans l’écriture d’un nouveau roman qui me tient à coeur. La plume me démange déjà !
Rien n’est impossible si l’on s’en donne les moyens, si la santé nous en offre la possibilité ! Alors ne cessons jamais, vraiment jamais d’espérer.
( 26 décembre, 2014 )

L’après Noël

 

Lorsque l’on jette un regard sur l’Histoire, nombreuses furent les trêves du 24 Décembre, celle de 1914 avec le fabuleux match de foot dans le no man’s Land. Pourquoi de nos jours, les hommes n’arrivent-ils pas à faire la paix ? Pourquoi les paix ne peuvent-elles s’avérer durables ?
Je ne comprends pas l’esprit humain. C’est si bon de se savoir en paix, de pouvoir vivre en toute quiétude, de se savoir aimé. Pourquoi certaines personnes persistent-elles à saupoudrer l’existence de venin ? Quelle utilité ?  Je sais que malgré mon âge, je reste une grande idéaliste qui croit vraiment que le monde peut être ce qu’il devrait être avec juste un petit effort. Les disputes ne devraient pas s’éterniser, tout le monde a droit à l’erreur, tout le monde peut un jour avoir fait le mauvais choix. Qui est en droit de juger ou de jeter la pierre à l’autre ? Pourquoi certains individus refusent-ils les mains amicales ? Pourquoi d’autres préfèrent-ils détruire ce qui est beau ?
Un jour, une relation m’a expliqué que les psychopathes étaient totalement dénués d’empathie. Ceci expliquant cela. Mais au final, c’est inquiétant puisque nous vivons dans un monde où ce sentiment est en train de disparaître. Manquons-nous tous d’empathie ? Notre société ne serait-elle  devenue qu’un vaste univers de psychopathes ?
J’ose espérer qu’il restera toujours des personnes comme moi trop emphatique, convaincue que tout n’est pas perdu, que chaque homme, avec un petit effort, peut tendre vers le meilleur, que le monde est Beau au dedans même si l’écorce est parfois un peu dure à avaler …
Je le souhaite afin que la trêve soit réelle tout au long de l’année qui arrive.
( 25 décembre, 2014 )

Joyeux Noël 2014

À tous mes amis virtuels Facebook, de Linkedln, de Tweeter, à tous ceux que j’aime d’hier et d’aujourd’hui, à tous mes lecteurs, croyants ou athée, je vous souhaite la magie de Noël …
Longtemps, j’ai détesté le jour de Noël ne gardant en mémoire que  le dernier sourire de mon fils, son dernier Noël. Rien n’est plus difficile de vivre un moment magique quand on sait que ce sera le dernier. Après, on n’arrive plus à croire que la magie de Noël puisse refonctionner.
 Et pourtant, si …
Un jour, on se retrouve à regarder de nouveau les paquets cadeaux avec envie, on sourit en regardant un sapin illuminé le séjour, on rit en écoutant  les bouffonneries des enfants. On ne pleure plus.
Un jour, Noël est de nouveau dans notre vie,  brillant de mille feux, réunissant ceux que nous aimons dans une même chanson, celle de l’amour et de la paix …
Noël est bien plus au final qu’une simple fête célébrée par les croyants, dont je ne fais pas partie. C’est une fête où la Paix devrait teinter dans le monde entier, où les larmes devraient sécher, où le monde devrait se poser. Une pause nécessaire, indispensable, dans notre société perturbée, un parfum d’amour et d’amitié où toutes les rancœurs seraient effacées.
Faisons vivre la magie de Noël afin qu’elle brille dans vos cœurs.
À tous, je vous souhaite un merveilleux 25 Décembre, à mes fidèles lecteurs, à mes amis de toujours tout aussi fidèles. J’ai même au fond de moi une douce pensée pour mes ennemis. Il est un temps pour tout et j’ai besoin de croire en une paix durable. Je ne vous demande pas à vous de vouloir faire la paix, certaines personnes en sont incapables, je vous donne juste la paix, ma paix.  Après vous en ferez ce que vous voulez.
Peut-être est-il temps que le Monde apprenne à pardonner avec sincérité.
Soyez heureux mes amis. Et partagez votre bonheur. Le monde en a besoin.
En cette merveilleuse journée, je vous livrerai juste ce texte extrait du Petit Prince …
Merci à tous d’exister ..
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( 24 décembre, 2014 )

Le 24 Décembre et son réveillon.

 

Un peu d’histoire …
Festoyer le soir du 24 décembre a moins de deux cents ans. Le réveillon commence le 24 décembre au soir par un repas et une fête pour célébrer Noël. Il n’en a pas toujours été ainsi. A la Renaissance, le mot réveillon, désignait un repas que l’on prenait tard dans la nuit en compagnie, sans aucun critère religieux.

Il faut attendre la seconde moitié du XVIIIe siècle pour que le mot soit associé à la nuit de Noël.

Le réveillon devient le repas festif pris au retour de la messe de minuit, le 25 décembre. C’est un repas gras dans le sens religieux du terme, c’est-à-dire avec viande, tandis qu’avant minuit, le 24 décembre, donc, était pour le chrétien un jour à poisson.  Le repas de Noël se fit ensuite plus sophistiqué et le cochon plus rare. À la fin du XIXe siècle 1894, le gastronome Chatillon-Plessis présentait un réveillon qualifié de « moderne » comme un menu composé d’un « excellent potage au champagne » ou d’une « purée de grenouilles liée » ; d’une dorade farcie et d’écrevisses à la bordelaise accompagnées d’une « rasade de sauternes » ; de « boudins de volaille truffés » , de « filets de sanglier braisés » , de pâté de foie gras, de homard à la française, arrosés de beaune ; d’une dinde truffée « ruisselante dans son jus » et d’un  « cochon de lait farci de saucisses » servis avec un château-lafite ; d’une  « belle salade italienne » , suivie d’un sorbet au kirsch ; sans oublier les entremets de légumes faits de topinambours à la crème, de cèpes à la provençale et d’asperges sauce hollandaise. Puis viennent les entremets sucrés et glacés ; les fruits, les compotes, les pâtisseries et les confiseries ayant été placés dès le début du repas à chaque bout de table.

C’est ainsi qu’au XXe siècle s’imposa peu à peu l’usage d’un réveillon unique, pris plutôt, pour ceux qui y allaient encore, au retour de la messe de minuit, et où bientôt huîtres, dinde et foie gras finirent par remplacer les saucisses et boudins des veillées paysannes.

Aujourd’hui, le réveillon n’a plus un caractère religieux et reste surtout une fête en famille où la nourriture reste reine. En attendant bien sûr le passage du père Noël …

Alors, bon réveillon à tous ! 

( 23 décembre, 2014 )

Anniversaire du blog

Un an ! Un an déjà ! Un an que j’ai ouvert ce blog pour promouvoir la sortie de ROUGE.
Un an que je reçois des messages et des commentaires au quotidien, un an que vous me lisez, un an que j’écris chaque jour ( parfois non sans difficulté car le temps souvent me manque)
Un an que vous et moi, nous échangeons, nous communiquons, nous faisons une grande chaîne d’amitié.
Afin que continuent de vivre mes rêves mais aussi vos rêves,
En ce jour d’anniversaire, je vais juste vous dire simplement : soyez, durant cette année, quelqu’un à travers qui le soleil brille.
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( 22 décembre, 2014 )

Le plaisir d’atteindre son but.

 

J’ai terminé hier la réécriture et les corrections de Bleu. Contente ! Maintenant, les dés sont jetés. Nous verrons bien où cela nous mène. Théoriquement, je mets les dernières touches à CARLA lundi avec mon éditrice. Deux romans qui seront bouclés avant que l’année ne se termine. Cela fait chaud au coeur. Un grand moment d’émotion lorsque l’on réalise que l’on a été capable, malgré les aléas de la vie, de réaliser ses objectifs. Maintenant, il ne reste plus qu’à s’en fixer de nouveau pour 2015.
Écrire pour vivre, écrire pour survivre, écrire pour exister, écrire simplement pour le plaisir ! Et continuez à me suivre les amis.
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