( 4 décembre, 2017 )

L’espoir n’est-il qu’une illusion ?

 

La pensée commune n’a cesse de dire que l’espoir fait vivre. Seulement, à trop espérer, n’est-ce pas une façon de s’illusionner, de plonger dans la forêt de l’oubli de ce qui est ? Espérer, c’est croire en une réalité incertaine, une certitude qui n’en est pas une. Espérer, c’est cette branche qui nous retient à la vie, qui va permettre au roseau de ne pas complètement casser. Espérer, c’est se dire que tout va bien se passer lorsque tout va mal, c’est accepter que tout puisse être différent, un jour. L’espoir permet surtout de gravir des montagnes quand on est au fond du trou. Alors, même si tout au bout, cet espoir n’est qu’une illusion, l’important est tout le chemin parcouru pour parvenir à ce but, même si au final, à l’arrivée, un autre objectif se dessine, même si tout fut vain. La vie nous offre toujours la possibilité de nous réaliser pleinement, même si on ne peut tout avoir. Des choix vont se dessiner, se transformer, ou simplement être abandonnés. Ce n’est pas pour autant que l’on a eu tord d’espérer. Il est important de croire en l’impossible.

Trop souvent, les gens sont convaincus qu’ils ne méritent pas d’être là où ils sont, pensant n’être « rien ». Chacun mérite d’être ce qu’il est, chacun a le droit d’entretenir la petite flamme de l’illusion, le souffle de l’espoir, car l’important reste, après tout, la vie dans son intégralité, et souvent, on s’aperçoit qu’on n’a qu’une vie lorsque l’on en commence une deuxième. Pour cela, fermons doucement certaines portes pour en ouvrir de nouvelles, oublions la rancune, la colère, pour ne vivre que ce qui présente, et attrapons cette petite bulle de l’espoir avant qu’elle ne s’envole vers d’autres que nous.

( 3 décembre, 2017 )

La génération Goldman

 

Je ne suis pas fan des biographies en tous genres, surtout celles des artistes, que je trouve toujours ennuyeuse, mais voilà que dernièrement je suis tombée sur un livre « Jean-Jacques Goldman : vivre sa vie ». Je suis de la génération Goldman, et j’ai rencontrée JJG en vrai comme disent les enfants. Je me suis reconnue dans les mots de ce livre, le parcours de plusieurs dizaines d’années où j’ai suivi chaque nouvel album. Je me souviens aussi du temps où j’allais avec mon amoureux de l’époque ( mon ex mari) acheter des tennis à Sport 2000 à Montrouge pour tenter d’apercevoir Goldman.

Le hasard, quoique comme vous savez, je n’y crois pas, m’a fait croisé « en vrai » la route de JJG. Mon fils Christophe âgé de 3 ans, en unité stérile, ne cessait d’écouter en boucle «  La vie par procuration. » Après sa mort, j’ai écrit à JJ et déposé ma lettre dans sa boîte aux lettres. Il m’a répondu une superbe lettre manuscrite que j’ai toujours, pleine de mots qui font du bien, des mots qui m’ont aidée à me reconstruire. Pas simple de perdre un enfant.

Lorsque j’ai fait mon premier stage à l’IUFM, JJG venait de sortir sa chanson « Rouge » ( étonnant comme inconsciemment j’ai appelé mon premier roman Rouge)

J’ai donc fait bosser durant un mois les élèves sur ce thème et tout envoyé à JJG.

En retour, il a offert à la classe où j’avais fait mon stage des CD et des tea shirts.

Notre premier partenariat est né ainsi, et s’est renouvelé plusieurs fois jusqu’à cette rencontre au Zénith, l’apothéose, où il m’avait invitée avec ma classe pour assister à une répétition « des restos du coeur ». Telle une groupie, j’ai eu la première bise de JJG ( je dis première car je l’ai revu lors d’un concours organisé par ma ville des années plus tard, un nouveau plaisir de croiser sa route)

Il y a des personnes dans une vie qui marquent bien au-delà des simples mots, qui apportent sans le savoir cette pincée d’espoir qui nous aide à avancer. Artistes, inconnus, amis, peu importe au final, l’important est cette petite flamme qu’ils ont laissée en partant.

En tous les cas, Jean-Jacques restera toujours pour moi « un des plus grands » simplement parce que ses mots m’ont apporté bien plus que ceux d’une simple chanson.

« Je voulais simplement te dire

Que ton visage et ton sourire

Resteront prés de moi sur mon chemin

Te dire que c’était pour de vrai

Tout ce qu’on s’est dit, tout ce qu’on a fait

Que c’était pas pour de faux, que c’était bien.

Faut surtout jamais regretter

Même si ça fait mal, c’est gagné

Tous ces moments, tous ces mêmes matins

(…)

Ça restera comme une lumière

Qui me tiendra chaud dans mes hivers

Un petit feu de toi qui s’éteint pas. »

 

Un jour, j’ai envoyé les paroles Confidentiel  à une personne que j’aimais, qui n’en avait rien à faire ! Peu importe, il restera toujours cette chanson.

 

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( 3 décembre, 2017 )

La damnation éternelle ou quand …

Noël arrive et que je n’arrive pas à résister à un Ferrero rocher à la noix de coco. Non sérieux, je déteste cette période pour ces tentations terribles, mais rien que d’imaginer cette friandise rouler sur ma langue, j’en bave déjà. N’étant pas raciste, je craque aussi pour les Ferrero classiques aux noisettes. Une seconde de pur bonheur va mettre en branle un an de discipline où le chocolat, sans être totalement proscris ne se retrouve guère sur la scène. Mon article ne s’adresse ni à ceux qui n’aiment pas le chocolat ni aux anorexiques de service, juste aux autres, tous les autres qui se retrouvent inexorablement attirés par ce chocolat défendu, aussi tentant que le pomme au jardin d’Eden. Céder à la tentation ? Comme beaucoup, Noël n’est qu’une seule fois dans l’année, et céder durant quelques jours n’est pas si grave. Résister fera certes de nous « une sainte », mais avons-nous vraiment envie de porter cette auréole ? Autant en amour, céder à la tentation peut parfois apporter beaucoup plus de problèmes que de plaisir, même si D Gray disait que seul céder à la tentation nous libère de son emprise. Autant, hormis la balance qui va hurler, ce chocolat reste un bon moyen de se faire du bien, à condition de ne pas en abuser. Mais qui parle d’abuser ? L’idée ne nous aurait pas traversé l’esprit, n’est-ce pas ? :)

 

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Imaginevprise sur Google

( 3 décembre, 2017 )

Ce livre que je n’écrirais jamais.

Nous avons tous un livre que nous aurions voulu écrire, celui de notre vie, celui qui pourrait retracer les mots qui pleurent, celui qui pourrait dessiner les phrases qui rient.

Ce livre, on ne l’écrira jamais, parce que sortir les  mots qui sont cachés ferait trop mal, ouvrirait des cicatrices qui n’ont pas refermées, qui saignent parfois même encore.

Certaines personnes écrivent pour un besoin de reconnaissance, pour se prouver quelque chose, d’autres n’écrivent que pour le plaisir de voir les mots danser la carmagnole. J’aime flirter avec la feuille blanche, la couvrir d’encre noire, de phrases qui hurlent, simplement parce que mes mots sont trop souvent bloqués au fond de ma gorge. Bavasser, j’apprécie de le faire avec mes proches, mais me déshabiller et ouvrir mon coeur m’est beaucoup plus difficile. Je m’y autorise de plus en plus sur ce blog, car vous êtes de plus en plus nombreux à me lire, et briser ces chaînes est pour moi une manière de poser des mots qui parlent, des silences qui résonnent, des phrases qui veulent dire quelque chose. Le livre de ma vie, lui, n’intéresserait personne. Je suis quelqu’un d’ordinaire, qui a juste croisé dans sa vie des personnes pas toujours ordinaires. Je n’écrirais jamais le livre de ma vie, parce que j’ai tant d’autres livres à écrire, tant de personnes à faire vivre, tant de rêves à réaliser, que je n’ai aucune envie de raviver un passé qui ne ferait qu’enflammer un présent où je vis en parfaite sérénité. Mais sache, toi qui me lis, que dans ce livre sacré, tu as eu, tu as, ta petite place pour l’éternité.

 

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( 3 décembre, 2017 )

Pourquoi est-il si difficile de dire « non » ?

Savoir dire « non », c’est se respecter, cela semble simple, juste un mot de trois lettres que les gosses de deux ans lancent avec ferveur à n’importe quel moment. Et pourtant, adultes, dire non est bien plus compliqué. Dire non, c’est se mettre en danger, c’est s’opposer à l’autre ce qui demande parfois un effort surhumain, c’est surtout prendre une position irrévocable. Seulement, cela va aussi ouvrir une brèche, celle où nous allons être jugés, où notre choix pourra être critiqué.

Dire non est difficile, compliqué, et pourtant, une nécessité.

J’ai toujours eu beaucoup de mal à dire non à mes amis, ne voulant pas faire de peine, n’ayant surtout pas envie de m’affronter. Apprendre à ne plus être la bonne poire de service qui dit « oui » à tout, cela s’apprend. C’est un parcours du combattant, car c’est tellement plus facile de dire ce que l’on attend de nous. Le « non » implique de s’en vouloir de ne pas avoir été ce que l’on attendait. À dire toujours « oui », on en arrive à oublier nos propres désirs. Le « non » est pourtant indispensable, car notre monde regorge de manipulateurs, prêts à tout pour prendre le pouvoir, pour se prouver qu’ils existent.

Il est important de faire que des choix que l’on désire vraiment, même si cela concerne quelqu’un que l’on aime. Si l’autre nous apprécie à notre juste valeur, il comprendra notre refus, et cela n’impliquera pas d’être rejeté, il comprendra nos raisons. Je pense entre autre à ceux qui s’accrochent à un contrat qu’ils ne veulent pas rendre, à une histoire inventée qu’ils ne veulent pas changer, à une impossibilité non comprise.

On ne peut apprendre à dire « non » que lorsque l’on est sûr de soi, certain que nous n’allons pas faire deux pas en arrière à la première bourrasque, et surtout ne pas pour autant le faire avec violence.

Oser dire « non », c’est ne pas avoir peur de qui nous sommes, avoir confiance en nous, et surtout se respecter. C’est un pas parfois difficile à faire, mais on peut y arriver, j’ai réussi à dire « non » à de nombreuses personnes nocives qui me phagocytaient. J’ai eu du mal, car ces mangeurs d’énergie savent comment faire pour jouer sur notre empathie. Je ne dis pas que j’ai totalement réussi, mais j’ai fait un pas de géant depuis quelques temps, et j’en suis fière. Alors, n’hésitez plus. Dire « non » libère.

( 2 décembre, 2017 )

Ce monde de statistiques !

Je suis heureuse de vous annoncer à quelques jours des 4 ans de ce blog, qu’il totalise 337059 visites !

Pour l’occasion, je vais faire gagner un livre dédicacé et des marques-pages.

Pour concourir, mettez en commentaires pourquoi vous continuez à suivre mon blog ou sur ma page Rouge-Pokar.

Merci à tous ! Elle n’est pas belle la vie ?

 

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( 2 décembre, 2017 )

L’avenir passe-t-il par l’industrie pharmaceutique ?

 

Quitte à faire hurler les laboratoires pharmaceutiques, je pense que l’avenir ne passe pas par eux. Trop de médicaments inutiles sont en vente, trop d’excipients qui ne sont forcément utiles. Le traitement va soigner en détruisant autre chose. Je ne dis pas qu’il faut retirer tous les traitements allopathiques, juste qu’une grande partie pourrait-être supprimée car inutiles. Avez-vous déjà vu l’ordonnance d’une personne âgée ?

Ma pauvre maman juste avant de rentrer dans une maison médicalisée avait plus de vingt médicaments à prendre, passant du somnifère, à l’anxiolytique, au médoc pour la circulation du sang, pour la tension, et j’en passe. Deux ans plus tard, elle n’en a plus aucun ! Va-t-elle pour autant « moins bien » ? Même pas ! Que de drogues elle a avalé, et surtout que de laboratoires elle a enrichis !

Je vais rebondir sur mon cas. Jusqu’en 2002, comme tout un chacun, j’ai pris de nombreux médicaments pour des sinusites, des angines, etc. Depuis que le stéarate de magnésium est mis dans tous les médicaments, même si ce n’est pas du magnésium vraiment top pour nous, étant allergique au magnésium, j’ai cessé de me soigner en allopathies. Pas d’autres choix !

Heureusement en France, pour  soigner les déséquilibres de thyroïde, nous avons les gouttes de L_Thyroxine, sans excipients, auxquelles j’ai droit, ouf, étant « un cas particulier » reouf, mais pour le reste, impossible de prendre le moindre bêtabloquants malgré des soucis cardiaques, ni un médicament pour la douleur, et j’en passe. Je me suis donc tournée vers les médecines douces, homéopathie, auriculothérapie, ostéopathie, et la liste en « thie » est longue. Honnêtement, je ne vais pas plus mal sans ces médicaments qui polluaient mon organisme. C’est sûr que la sécurité sociale se frotte les mains, vu que la moitié n’est pas remboursée, et que je les paie de ma poche. Une médecine interdite donc aux petits revenus.

Et pourtant, je suis convaincue que même s’il est indispensable de prendre un antibiotique en cas de grosse infection ou un médicament spécifique en cas de maladies graves, la plupart des petits bobos pourraient passer par l’aromathérapie, ou l’homéopathie. Notre société est stressante, ce stress détruit l’organisme, mais les médicaments ne font que détraquer encore plus. Regardez le nombre de personnes sous anti-dépresseur qui ne peuvent plus s’en passer, qui voient leur humeur, leur libido à zéro alors qu’avec des exercices de sophrologie, des HE, etc on peut rééquilibrer un corps en souffrance. Mais voilà, on veut tout, vite ! Et effectivement, les médecines alternatives ne sont efficaces que sur la durée.

Alors les gens pour être « opérationnels » rapidement vont avaler des cochonneries qui finiront peut-être vingt ans plus tard par les tuer. En tous les cas, si les labo pouvaient m’entendre, retirer ce fichu magnésium ! J’aimerais bien prendre un médicament standard pour le mal de crâne comme tout le monde !

Je ne pense pas que je vivrais assez longtemps pour un tournant dans les mentalités, mais j’espère que mes enfants trouveront un moyen de se soigner de manière plus naturelle. On n’a qu’une vie, et la préserver reste une priorité.

( 1 décembre, 2017 )

Le consentement sexuel, est-ce si simple.

 

Je viens d’écouter une émission, et je suis un peu choquée par la future loi autorisant le consentement sexuel à treize ans. Ai-je mal compris ? L’émission était-elle dirigée ? Qui peut imaginer ce qu’implique une relation sexuelle à cet âge ? À treize ans, on est encore une enfant, et un enfant n’est jamais consentant pour un rapport sexuel. C’est l’âge où on découvre son corps, où on découvre l’amour, mais pas le sexe. Je suis peut-être d’un autre siècle, mais je n’arrive même pas à comprendre l’intérêt d’une telle loi, alors que tant de pédophiles sont là, les babines salivantes prêts à passer à l’acte.

Après, qu’est-ce que le consentement sexuel ? Parce qu’une femme ouvre ses cuisses, c’est qu’elle est d’accord. Cela me rappelle une histoire que m’avait relaté une lectrice.

Pendant plus de vingt ans, elle avait subi, sans rien dire ( cela veut-il dire pour autant consentir ?) les coups de reins et les fellations imposés par son mari, chaque jour sans relâche, fatiguée, enceinte, en période de règles, quand lui voulait, à n’importe quelle heure de la nuit ou du jour. Est-ce de l’amour que de ne pas avoir eu le courage de dire non ou de la peur ? Certains hommes possèdent ce pouvoir, celui de tenir l’autre pour diverses raisons. Pour moi, cet homme était un vrai malade, sans aucun respect pour sa femme, et ces rapports sexuels s’apparentent à un viol. On peut imaginer de telles personnes ayant à leur disposition une jeune belle-fille de treize ans ? Ou simplement « en manque » ?

Et le consentement dans les cités, tout le monde sait que des collégiennes acceptent des pratiques sexuelles pour ne pas se faire tabasser, l’obligation de « faire une pipe » dans une cave, et cela dès l’âge de quatorze ou quinze ans. Alors faut-il donner ce consentement à treize ans ? Cela voudra-t-il dire pour autant que cette gamine sera « une femme » ? Qu’elle aura conscience de ce qu’elle faisait ? Aussi bien de ses actes que de ses sentiments ? N’est-ce pas ouvrir une grande porte à l’inconnu ? Mais peut-être les commentaires des journalistes étaient dirigés et m’ont induit en erreur.

( 1 décembre, 2017 )

L’association L’envol du papillon

 

Qui sommes-nous ? Question récurrente. D’abord, c’est vrai que des pages ou des profils sur les réseaux sociaux se sont manifestées sous notre nom, dans quel but, je l’ignore encore. Je tiens donc à le souligner, nous n’avons qu’une page Facebook, nous n’appartenons à aucun groupe, nous n’avons aucun profil Linkedlin ou Instagram.

Nous sommes un petit collectif enregistré officiellement, là pour aider les malades atteints d’une MAI.

L’historique : j’ai fait partie de l’association Hashimoto présidée par Esther Marand durant deux ans. La présidente ayant rendu son tablier pour soucis personnels, j’ai accepté avec joie le rôle de vice-présidente dans cette nouvelle association créée en Août.

Son but : nous ne sommes pas là pour concurrencer les grosses associations qui font un travail fantastique, mais pour aider dans l’ombre du mieux que nous pouvons avec notre bonne volonté.

Nous ne prenons pas position « pour » ou « contre » le nouveau Levothyrox, car nous avons autant de membres à qui ce traitement convient, que de membres victimes de ce médicament. Notre combat reste donc linéaire, celui de la reconnaissance de ces maladies.

Pourquoi reconnaître une maladie ? Son existence ? Parce que c’est important, parce que plus de 3 millions de patients sont touchés par les maladies thyroïdiennes, et on peut en compter tout autant pour les MAI , et les maladies invisibles. Parce que cela touche aussi les enfants, et que c’est toute une génération qui souffre. Pour certains enfants, une prise en charge devrait-être possible, une information aux enseignants.

Pour les adultes, une meilleure écoute devrait être automatique.

Tant de malades qui ne trouvent pas de généralistes ou de spécialistes capables de comprendre cette maladie, c’est une ineptie au XXIe siècle.

Peu importe le pourquoi, le comment, il est temps d’avancer ! Ensemble !

De nombreux médecins commencent à rallier notre cause grâce aux malades qui ont offert, distribué le recueil « Hashimoto, mon amour ».

 

https://livre.fnac.com/a9389468/Sylvie-Grignon-Hashimoto-mon-amour

 

Continuez de le diffuser. Ces témoignages sont importants, ils ouvrent les yeux.

Pareillement, il est important de faire connaître « H et la plume de l’espoir », un nouveau regard sur la maladie. Le numérique n’est qu’à 1,99€. Lisez le à vos enfants, discutez avec vos élèves. Il faut que des petits H se sachent épaulés.

 

 

https://www.edilivre.com/h-et-la-plume-de-l-espoir-sylvie-grignon.html/

 

La plupart des MAI ne sont pas reconnue par de nombreux médecins, de nombreuses caisses de CPAM et des MDPH via leurs médecins-conseils, qui ne sont pas prises au sérieux. Il faut comprendre comme c’est difficile pour un malade de ne pas être compris.

 

L’association est là pour vous écouter. Vous avez des idées, des envies ? N ‘hésitez plus ! Que le combat vive.

https://m.facebook.com/associationmalades/

 

( 1 décembre, 2017 )

L’espoir, cette petite flamme

 

L’espoir, c’est cette petite voix qui te dit à l’oreille que rien n’est perdu, que rien n’est fini, que tout recommence. L’espoir, c’est lorsqu’on veut y croire, quand on ne veut pas couler, que l’on ne sait pas trop à quoi s’accrocher, c’est ce besoin de ne pas se noyer, cette volonté de dessiner encore le bonheur.

L’espoir, c’est quand j’ai envie de te dire, allez viens, il est temps que tu bouges, il est temps que tu t’aperçoives que j’existe, c’est l’heure, je suis prête.

L’espoir, c’est ce bruit que fait notre coeur quand il bat, ce rythme régulier, qui détruit le silence. L’espoir, c’est de se dire que tout n’est pas complètement pourri, la preuve, je suis toujours là, vivante, à poser sur la feuille des mots que jamais tu ne liras.

L’espoir, c’est se dire que même si on a trop cru aux promesses, il reste quelque part ce souffle qui me fait dire que j’ai eu raison d’y croire, que je n’ai pas fait une erreur en m’accrochant à mes rêves, en continuant à sauter de nuages en nuages.

L’espoir, c’est de mettre du sens sur un non-sens, simplement parce que sinon on ne pourrait jamais se relever. Seule cette petite bulle va nous permettre de tracer notre vie, et de continuez, quoiqu’il advienne, de sourire au lendemain. Alors les amis, ne lâchez jamais cet espoir, c’est votre plus beau cadeau.

 

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