( 22 décembre, 2018 )

Stratégie de publication.

Les avis convergent entre les auteurs qui pensent que pour acquérir une notoriété, il faut publier de tout régulièrement, et d’autres qui préfèrent opter pour un rythme régulier d’un seul ouvrage par an. Honnêtement, je pense que chaque auteur sait ce qui est bon pour lui et qu’il n’y a pas de véritable stratégie de publication, tout comme chaque auteur sait l’édition qui est bonne pour lui. Je fuis actuellement les réseaux sociaux où trop de groupes composés de personnes insatisfaites prennent un hypothétique pouvoir, démolissant contrats, éditeurs, livres, sans une once de respect ou d’empathie au nom de raisons « justifiées » qui me laissent perplexes. Comme si ces auteurs étaient pourvus d’une auréole de sainteté ! Que de présomption chez certains !

 

Personnellement, je ne me risquerais pas à démolir un livre ni une personne encore moins une édition, je peux juste relater mon expérience lors de la sortie conjointe il y a trois ans d’un de mes polars et d’un roman dans deux éditions différentes. Ce dernier,  né pour lancer une petite édition, a complètement occulté la sortie du polar. Aujourd’hui encore certaines personnes ne savent même pas de quoi parlait ce roman policier alors que la plupart se souviennent de « Carla » tellement son lancement fut importante, sa sortie collector au salon de Paris durant trente minutes de signature. Cela ne veut pas dire qu’il était mieux que le polar, juste que pour moi, sortir les deux à quelques semaines d’écart, fut une erreur.

Dernièrement, j’avais fait un article sur les différentes genres, et il en est ressorti qu’écrire des styles où on n’a pas l’habitude de « nous voir » reste un travail très riche, évitant la page blanche, pouvant tout de même s’avouer déstabilisant pour le lecteur, nécessitant  l’utilisation d’un pseudo si le genre est vraiment à l’opposé ( jeunesse / érotique) mais surtout qu’il faut savoir espacer ses publications simplement parce que les gens lisent peu, et une overdose de parutions d’un même auteur va nuire.

Après un auteur prolifique qui n’écrit que pour le simple plaisir d’écrire, possèdant son petit lectorat, pourra sans souci tenter l’aventure ! L’important reste d’être toujours en accord avec ce que l’on est !

 

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( 22 décembre, 2018 )

Les morts peuvent-ils nous parler ?

De plus en plus de personnes se raccrochent à des liens illusoires voire étranges, jusqu’à parfois avoir des conversations avec les défunts. Autant je suis très ouverte aux énergies, à leurs forces, autant papoter avec un mort, j’ai un peu d’ mal, peut-être simplement parce que si effectivement l’énergie « s’envole », elle a autre chose à faire que de venir prendre le thé avec les vivants ! Peut-être peut-elle protéger celui qui reste, pourquoi pas, je reste ouverte à ce qui n’est pas prouvé, mais j’ai plutôt tendance à penser que les disparus nous laissent simplement leur énergie en cadeau de départ, et non pour que l’on continue à vivre « avec eux ». Cela ne me semble pas sain.

L’absence est tellement douloureuse pour certaines personnes qu’elles en arrivent à se convaincre que tout ce qui leur arrive vient du disparu. J’ai lu dernièrement des témoignages délirants et pathétiquement tristes. Une des personnes ne vivant que pour son amour disparu, à tel point que même si elle a refait sa vie, le second n’est rien. Comment les gens ne peuvent-ils comprendre que les morts ne doivent pas entraver la vie des vivants ?

Une autre disait recevoir des appels non identifiés,  expliquant que c’était « lui », son amour disparu, qui l’appelait d’outre-tombe. Franchement, ces personnes ont besoin d’une bonne thérapie ! Quand je vois le nombre d’appels non-identifiés que j’ai reçus durant deux ans, à tel point que j’ai changé trois fois de numéro, qu’est-ce que mon fils et mon père avaient à me dire ? J’ai dû sérieusement rater quelque chose.

Sérieusement je vais  me faire l’avocat du Diable mais même si c’était possible ce lien avec les morts, il y a une vrais vie à vivre et laissons un peu ces disparus savourer leur paix parce qu’ici, sur notre bonne vieille Terre, c’est un vrai bordel !

 

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( 22 décembre, 2018 )

Toutes ces choses impossibles ou pas

« Suivez vos rêves ils connaissent le chemin … » Bien difficile souvent de pousser ses propres limites jusqu’à celle où tout risque de basculer, ou tout peut changer, ou surtout on peut tout perdre, et pourtant, ce simple mot « impossible » est la clé de toute une vie. Elle n’aura pas la même signification pour tous, car nous ne nous posons pas les mêmes limites.

Personnellement, j’ai toujours été persuadée que rien n’était impossible, que nous seuls, nous nous limitions par crainte de l’erreur. Pourtant derrière cet impossible que nous dessinons, se cache des millions de possibilités qui n’attendent qu’à être vécues.

Tenter de toucher l’impossible est une nécessité pour rester vivant, celle de pouvant arriver au sommet du possible.

 

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( 21 décembre, 2018 )

Les fêtes et les délices du palais.

Ah ces fêtes de Noël synonymes de cadeaux, de petites surprises, mais aussi d’overdose de nourritures. Combat de l’homme entre son envie de déguster foie gras, saumon voire fruits de mer qu’il ne mange, sauf si c’est un nanti, qu’à cette période de l’année et l’angoisse de prendre des kilos ou de mettre le foie à rude épreuve !

Toutes les personnes qui doivent faire attention pour une question de poids, de tension, de diabète ou autres, vous diront que c’est un vrai casse-tête chinois ! Doit-on mettre à l’eau tous les efforts faits pour éviter que l’aiguille de la balance ne hurle ou faut-il s’en moquer le temps des festivités ?

Je me pose chaque année la question depuis que ma thyroïde débloque occasionnant des soucis cardiaques. Je ne bois jamais d’alcool, je ne mange jamais de fruits de mer vu mon allergie à l’iode, mais j’aime savourer une tranche de foie gras sur un toast, seulement je sais que je risque de le payer bien cher les jours suivants. Pourrais-je résister à une bûche de Noël, sachant que souvent les pâtissiers mettent du lactose qui va me faire souffrir ? Toute la question du plaisir va-t-il l’emporter sur les inconvénients se pose, comme dans chaque choix d’une vie, car après tout, et si pour une fois, tout se passait bien, quel dommage d’être passé à côté !

 

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( 21 décembre, 2018 )

Vers le retour des privilèges ?

Voici une question bien innocente d’un de mes élèves : Vers le retour des privilèges ? , ces fichus privilèges que certains ont, que d’autres n’ont pas. N’étant pas assez pointue dans ce domaine, je ne saurai argumenter si effectivement nous nous dirigeons vers le retour des privilèges, car peut-être au fond, n’en sommes-nous jamais sortis, mais une chose est sûre, l’écart entre riches et pauvres se creusent ces dernières années.

Quand je vois certaines personnes, que j’ai connues, s’acheter un appartement à quatre millions d’euros, manger des fruits de mer à presque tout les repas, tandis que d’autres finir la dernière quinzaine du mois avec juste des pâtes Lidl sans même une noisette de beurre, que dire sur cette inégalité ?

Bien sûr, les salaires dits « moyens » ne se sentiront pas concernés, pourquoi le seraient-ils ? Le monde est devenu si égoïste ! Mais je perçois l’inquiétude chez mes élèves, sur cet avenir où les riches écraseront totalement les autres. Nous avions en France un des meilleurs systèmes éducatifs jusqu’à la dernière décennie, le meilleur système de santé que l’on nous envie dans le monde entier, un système de retraite qui rendait justice au labeur de tous les travailleurs riches ou moins riches, et je ne parlerai même pas des aides comme le chômage, ces aides que certains oublient une fois retournés dans la vie active, une fois qu’ils ont bien pressés l’oncle Sam. Dernièrement une pro gouvernementale s’indignait de mes propos demandant simplement que chacun vive correctement. Cette personne m’a fait doucement sourire , sa mémoire lui ayant fait oublier qu’elle avait grappillé à une époque arrêts de maladie à outrance et chômage. Je n’irai pas la plaindre lorsqu’elle aura l’âge de la retraite, dans plus de vingt ans, où elle continuera à aller travailler le dos cassé, sans pouvoir s’arrêter parce que notre système de santé et de retraite aura rendu l’âme.

Alors vers le retour des privilèges ? J’espère bien que non, sinon que ces nantis n’oublient jamais les leçons d’histoire et surtout qu’ils fassent bien attention à leurs têtes ! :)

 

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( 20 décembre, 2018 )

Être optimiste s’apprend .

Contrairement à ce que l’on pense, cultiver l’optimisme n’est pas inée !

Certaines personnes, nées au milieu de personnes foncièrement négatives ou dépressives auront bien du mal à arroser le petit bourgeon et toute leur vie, leur jardin sera vide de ces superbes fleurs.

Pourtant c’est une vérité scientifique, la vie est plus longue si on a un moral d’acier !

Je lisais dernièrement un article qui dénonçait cette mélancolie liée au système scolaire français où on dévalorise beaucoup trop la créativité et les projets.

Ouf pour moi ! J’ai toujours refusé ce moule et invite mes élèves à faire voyager leur imagination.

La vie comme la société ne laissent que peu de place à l’erreur, comme si nous n’étions pas autorisés à une seconde chance. Pas très bon pour le moral !

Je crois ( mais cette analyse n’engage que moi) que tout prend vite trop d’importance ! Les gens tirent immédiatement à vue sans laisser la possibilité aux autres de s’expliquer, les rêves sont détruits dans l’oeuf, les plaintes déposées pour un oui ou pour un non sans passer par la phase communication.

Il serait judicieux avant d’attaquer de se poser les bonnes questions à savoir, que sera ma vie dans un an ? Est-ce que cet événement n’est vraiment pas anodin ? Et savoir rebondir dessus ne va-t-il pas me faire plus de mal que de bien ? Et surtout ce que untel a dit ou pensé change-t-il réellement ce que je suis au fond de moi ? Certes, la méchanceté va me faire un coup au moral, mais je sais que je vaux bien mieux que cela !

Débuter sa journée en se disant que tout va se passer au mieux, fuir les personnes négatives et nocives et surtout se dire que l’on en vaut franchement la peine, et ceux qui pensent le contraire, et bien il faut simplement les fuir, parce que si on sait cultiver son optimisme, on s’aperçoit que la vie est bien jolie faite de mille petits bonheurs quotidiens !

 

En tous les cas, le bog fête ses cinq ans !!!!

 

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( 19 décembre, 2018 )

Une nouvelle année s’écrit dans quelques jours, de nouveaux manuscrits, aussi …

Chaque année qui se termine me fait penser à un manuscrit dont j’ai mis le mot fin, définitivement, mot sur lequel je ne reviendrai certainement pas, mot qui clôture un ouvrage ou un moment de vie. Longtemps, j’ai détesté les  fins d’années annonçant une année nouvelle, l’inconnu. Aujourd’hui, je suis fébrile à l’idée de ce que 2019 pourra m’apporter, tous les cadeaux de la vie qui sont là, à m’attendre, tous ces défis que j’aurais peut-être à réaliser, tous ces visages, peut-être nouveaux, que je vais pouvoir croiser. Et surtout, toutes ces pages, que je n’ai pas encore écrites, auxquelles je pense souvent, qui m’appellent, et que je repousse faute de temps. Merveilleuses pages blanches que je regarde en me délectant, convaincue que l’encre qui coulera ne pourra qu’être parfaite, pleine de tendresse, de paillettes, de nouveautés. Alors, c’est avec bonheur que je vais mettre le mot fin à l’année 2018, une année qui s’est avérée très positive, où j’ai fermé des portes définitivement, où j’ai réalisé une fois encore de jolies choses, des livres qui me tenaient à coeur. Une année où j’ai fait de bien jolies rencontres, où j’ai serré avec affection des mains sincères. Une année sur laquelle je ne me retournerai pas, simplement parce qu’une autre m’attend déjà …

 

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( 19 décembre, 2018 )

La pornographie qui inonde le web

Quitte à paraître ringarde pire coincée, je ne peux cautionner l’overdose de pornographie qui inonde les pages des sites de jeux ou autres. La pornographie est un tue-amour ! Lorsque j’avais dix ans, je rêvais de tomber amoureuse, et avec mes amies d’enfance, Corinne et Patricia, nous jouions à l’amour, à la rencontre du prince charmant. L’an dernier, nous avons débattu avec ma classe sur le sentiment amoureux, et oh horreur, seule une élève sur vingt-huit croyait que l’amour était beau. Les autres avaient tous vu une image de « sexe » sur Internet qui les avaient dégouttés. Je suis restée choquée lorsqu’un gamin m’a affirmé que « toutes les filles amoureuses doivent sucer le garçon, que c’est une preuve d’amour et que toutes les filles adorent cela. » Le gosse avait vu sur un dérouleur de son jeu une fellation qu’il avait pris pour la normalité, comme si toutes les femmes de la Terre passaient leurs journées à faire des pipes et à jouir grâce ainsi ! Au bout de vingt ans de mariage, ça sent plutôt le roussi … Un autre m’a fait beaucoup rire en m’expliquant que « si, si, les femmes pouvaient tenir en équilibre, jambes écartées, sur le sexe de leur amoureux… » J’ai vite changé de sujet car on s’éloignait vraiment de notre leçon sur la reproduction ! Et puis comment répondre à part dans un grand éclat de rire, car même le mec le plus gaulé du monde, le grand écart orgasmique ainsi, je n’y crois pas ! C’est vrai que je ne suis pas trop souple ! Peut-être une de mes lectrices pourrait nous raconter son expérience ? :) :) :)

En tous les cas, la pornographie n’est pas l’amour, juste un stimulant visuel pour certains, un exutoire contre la frustration pour d’autres, mais certainement pas de l’amour ! Contrairement à l’érotisme qui peut ouvrir de bien jolies portes  …

Et ces publicités devraient être beaucoup plus protégées sur le web, car dix ans, c’est l’âge du rêve, et si on l’enlève à notre jeunesse, que sera l’avenir de ces enfants ? Quels seront leur rapport avec le vrai amour ?

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( 18 décembre, 2018 )

Hashimoto, maladie auto-immune thyroïdienne

Hashimoto, maladie auto-immune sournoise, cachée parfois, survenant brutalement, violemment, et détruisant tout sur son passage. Pour rappel, la maladie d’Hashimoto est une maladie auto-immune où les anticorps attaque la thyroïde.

Vous êtes nombreux à nous demander ce qu’est une maladie auto-immune.

« Le rôle du système immunitaire est de défendre l’organisme contre les germes extérieurs susceptibles de l’agresser ou contre ses propres constituants qui, en se modifiant, sont devenus étrangers (lors du vieillissement de la cellule, ou par suite de sa cancérisation). Le dérèglement de ce système provoque l’apparition d’anticorps (auto-anticorps) ou de cellules (lymphocytes cytotoxiques) dirigés contre l’organisme qui les produit, favorisant ainsi le développement d’une maladie auto-immune. Les maladies auto-immunes se caractérisent par la destruction d’un organe (glande thyroïde dans la thyroïdite de Hashimoto) ou la neutralisation d’une fonction (transmission de l’influx nerveux des nerfs aux muscles au cours de la myasthénie). Il existe parfois des facteurs génétiques prédisposant à l’auto-immunité, car la probabilité d’apparition de certaines maladies est plus importante chez les sujets porteurs d’allèles particuliers du système HLA (Human Leucocyte Antigen [antigène leucocytaire humain]). Ainsi, plusieurs membres d’une famille peuvent développer la même maladie auto-immune. Cependant, une maladie auto-immune n’est pas une maladie génétique à proprement parler, comme l’hémophilie ou comme certaines maladies musculaires. Les facteurs génétiques qui prédisposent le sujet à ces affections ne suffisent pas à l’apparition de la maladie. Des facteurs extérieurs (substances médicamenteuses, micro-organismes infectieux, rayons ultraviolets ou hormones, stress, choc) peuvent aussi intervenir dans le développement de l’auto-immunité. »

De nombreuses idées fausses circulent sur les groupes, certains charlatans aimant à offrir de la poudre de perlimpinpin. Une « vraie » Hashimoto est irréversible, sans espoir de retour. Jamais ses anticorps ne vont totalement disparaître, par contre « un mieux » dans la maladie thyroïdienne peut se dessiner.

Vivre avec Hashimoto, c’est vivre un peu vivre avec une personne instable, changeante, qui du jour au lendemain pourra nous planter un couteau dans le dos. On survit, on s’adapte à ses sautes d’humeur, on construit sa vie autrement. Ce n’est pas facile tous les jours, mais on se reconstruit petit à petit.

Les sites, les groupes sont inondés de femmes en souffrance, mais il est bon de ne pas oublier qu’une fois stabilisés, les malades ne s’attardent plus sur les groupes. Moi-même, je fus très active, mais reconstruite, je me contente aujourd’hui d’articles pour continuer à informer. C’est important de ne pas lâcher l’information, c’est important surtout de ne pas cesser de vivre sa propre vie.

 

En tous les cas, continuez à divulguer « la bonne parole » dirais-je avec humour, à donner ce recueil aux personnes qui en ont besoin.

Un livre au pied du sapin peut redonner le sourire au malade pour 2019.

 

https://www.evidence-boutique.com/samsara/maladies-thyroidiennes-devoreuses-de-vie

 

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( 18 décembre, 2018 )

Site ou blog

Comme chaque fin d’année, on assiste à la guerre entre « blog » et « site », guerre qui comme toutes les guerres, me semble vraiment inutile.

D’abord la différence entre les deux ne tient que sur un fil. Un blog possède une mise à jour quotidienne, à l’inverse du site qui sera beaucoup plus vitrine, ce qui n’est pas une généralité. Le blog sera plus personnel, plus « intime », un peu comme un rendez-vous que l’on prend avec ses lecteurs au café du coin, tandis que le site sera plus une vitrine.Un blog sera ouvert aux échanges, aux commentaires tandis qu’un site présentera plutôt de façon figée une entreprise ou une passion.

Pourquoi ai-je choisi un blog ? Pour les raisons indiquées. Lorsque j’ai créé rougepolar, j’avais simplement comme but de faire connaître mon premier roman. Je n’y connaissais rien en marketing littéraire, et je me sentais même un peu perdue dans cet océan de mots. J’ai essayé wordpress mélangeant site et blog, seulement l’interface en anglais m’a bloquée et malgré plusieurs essais, j’ai échoué. Il paraît que maintenant sa conception est beaucoup plus accessible. À voir.

Je cherche aussi depuis quelques semaines comment mettre plus en avant mes chroniques, car ma page « la forêt livresque » n’est pas assez dynamique.

Régulièrement sollicitée par des maisons d’édition pour justement chroniquer des ouvrages, il va me falloir trouver une solution de visibilité, de mise en avant. Je suis en pleine cogitation, à savoir, le mélange de mes chroniques et de mes articles sur ce blog est-il gênant ? Peut-être existe-t-il des règles littéraires sur ces blogs purement littéraires que j’ai zappées ?

Je vois tant de blogs ou de sites littéraires qui s’épuisent vite que malgré tout, je reste fière de mes publications quotidiennes tout en étant ouverte aux suggestions diverses.

N’hésitez donc pas à formuler vos idées !

 

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