( 6 décembre, 2018 )

La galanterie

La galanterie aurait-elle, elle aussi, disparu ? Cet été, j’ai observé les gens sur la plage ou dans les lieux publiques, caricatures d’une société, puits d’inspiration pour formater mes personnages de romans. Un trait commun à une majorité de mâles de dix-huit à soixante ans, l’absence de galanterie ! Arrêt sur images, ces hommes du XXI siècle sont tous très occupés par leur smartphone ou leurs muscles, n’hésitant pas à laisser « bobonne » porter le parasol, le sac, un gosse sur les hanches en prime. Flash sur cet autre laissant sa chérie s’occuper de la marmaille, après avoir bien spécifié «  Je dors sous mon parasol, ne pas déranger, parce que moi, je travaille toute l’année ! » C’est vrai que l’on serait bête de penser que la pauvre femme entre ses quatre loupiots, le ménage, la cuisine, les courses, aurait besoin, elle aussi, de souffler. Des exemples inondent les galeries marchandes, les plages, la vie en fait.

La galanterie n’existe plus ! Les jeunes se draguent, couchent, puis se larguent. Génération kleenex. Tout le monde est interchangeable. Personne n’a de l’importance, alors pourquoi faire des efforts ?

 

J’aurais eu beaucoup de mal à être ado dans ce siècle aimant trop le romantisme, ce qui est beau, appréciant les vrais gentlemen, ces ovnis qui prennent le temps d’aimer et de se faire aimer, qui savent que rien n’est jamais acquis, que tout se mérite.

Une personne me disait dernièrement : « Je tutoie toutes les femmes insignifiantes, et je vouvoie celles qui comptent. » Peut-être est-ce un peu trop extrême, mais quelle galanterie que le vouvoiement dans une époque où tout le monde tutoie tout le monde, où tout le monde est pote avec la terre entière à la seconde rencontre, où tout le monde embrasse tout le monde. J’ai toujours détesté cela, n’accordant mes bises qu’une fois la zone de confiance passée, tutoyant que si le feeling était réel.

Alors, sans pousser à l’extrême et aux vouvoiements pendant l’orgasme ( qui me feraient éclater de rire), un peu plus de galanterie ferait du bien à notre société …

Qu’en pensez-vous mesdames ?

 

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( 5 décembre, 2018 )

La dépendance affective

Trop dépendant, pas assez, que c’est compliqué d’aimer. Aimer implique souvent au début d’une relation de se sentir dépendant de l’autre, ce besoin de l’autre, cette nécessité d’entendre sa voix, de sentir son corps battre rien qu’en voyant son sourire. Plus on est jeune, et plus cette dépendance est importante. On découvre l’amour, on découvre le sentiment d’aimer, on aime beaucoup plus l’amour, le sentiment que la personne, et on ne veut pas que cette magie disparaisse. Seulement, même si tout amoureux est plus ou moins dépendant de l’être aimé, chaque couple doit poser des limites. Aimer ne veut pas dire disparaître au profit de l’autre ou perdre son libre-arbitre, sa manière de penser pour une autre personne. Cela ne veut pas dire non plus renoncer à ne pas être d’accord, à ne pas être capable de dire stop.

Trop de personnes, en amour comme en amitié, ne vivent que pour l’autre, attendant des jours entiers un appel, un message, comme si c’était une question de vie ou de mort. Certains vont jusqu’à se perdre dans cette attente, renonçant de vivre. Aimer est tout l’inverse ! Vivre pour soi, s’autoriser à être heureux, et partager avec l’autre ou les autres.

 

La dépendance affective peut s’avérer terriblement dangereuse, aliénante et nocive. Le dépendant a besoin d’être rassuré continuellement sur l’amour qu’on lui porte. La personne demandera à son partenaire de lui dire qu’il l’aime, de lui prouver son amour, ou son amitié, n’hésitant pas à se servir de chantage ou de menaces tellement l’idée d’être abandonné est insurmontable. Certaines personnes iront même jusqu’à manipuler avec l’aide de tierces personnes pour se rassurer sur leur pouvoir. C’est là que se nichent trop souvent les pervers narcissiques, ces êtres qui ne savent pas aimer, qui ne peuvent pas aimer, qui se contentent de jouer ou de tirer les ficelles de la pauvre marionnette que nous sommes.

 

Aimer quelqu’un, c’est vouloir son bonheur avant toute chose, mais en respectant ses propres idées, ses envies, et surtout laisser cette personne libre, dans la limite où cette liberté n’apporte pas de souffrance, sans aliéner notre propre liberté pour l’autre. Aimer finalement,  c’est tellement grand, tellement fort, que cet amour se suffit lui-même …

 

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( 5 décembre, 2018 )

Hashimoto et moi

 

Il y a plus de quatre ans, j’ai commencé le combat pour la reconnaissance des maladies thyroïdiennes. J’étais très en colère contre cette maladie qui avait osé s’introduire dans ma vie de manière sournoise, suite à un choc que je n’avais pas été capable d’éviter. Je n’acceptais pas les ravages que cette maladie laissait sur mon corps, sur mon esprit, je ne supportais même plus de « vivre pleinement » comme si j’avais autorisé mon corps à obéir aux agressions violentes que j’avais reçues.

Depuis je me suis battue pour mener une vie normale. J’ai demandé de l’aide, car seule, je n’y arrivais, m’empêchant même de respirer. J’ai rencontré des personnes exceptionnelles qui m’ont simplement dit les mots que j’attendais. J’ai survécu à la douleur, à la fatigue, sans cesser mes activités professionnelles, sans cesser de m’occu de ma famille. Je ne dis pas que ce fut facile, juste que je l’ai fait. Hashimoto m’a oyvert d’autres portes, celke de l’édition où mes romans policiers en particulier marchent bien, et depuis peu je titille le punceau. Hashimoto m’a oyvert des portes, permisd’en fermer définitivement d’autres.

J’ai épousé Hashimoto il y a maintenant cinq ans. Ce fut un mariage forcé. Je n’étais pas consentante. Je me suis faite malmenée. Tout mon organisme a morflé.

Dois-je redire que rien n’était visible, que seuls des petits détails pouvaient pointer du doigt cette maladie invisible, mais que le commun des mortels, souvent trop égoïste, n’a rien vu ? L’hypothyroïdie d’Hashimoto m’a plongée dans un ralentissement terrible. J’étais quelqu’un d’hyper actif. J’étais devenue un légume sur pattes. Je somnolais et baillais à longueur de journée, fatiguée pour monter quelques étages, avec une impossibilité à me concentrer même si le plus petit détail. Enseignante, j’ai vécu un enfer, obligée de toujours avoir des notes comme si j’étais une débutante. Et je ne parlerai ni des problèmes digestifs ni des cheveux, de la peau, ni des cycles menstruels qui finissaient en hémorragie ni le coeur qui en a pris un sacré coup.

Non, je ne vous parlerai pas de tout cela parce que si vous êtes malades, vous connaissez, si vous êtes un ami, vous allez apprendre à connaître tous ces symptômes, si vous vous en moquez, pourquoi devrais-je me fatiguer à en parler puisque depuis quatre ans je brandis le drapeau ?

Aujourd’hui, je vous dirais juste que dans l’ensemble, je vais bien. J’ai des hauts et des bas, car cette maladie ne laisse jamais de répit, sauf pour les plus chanceux. Alors quand je suis dans une phase ascendante, sans symptômes, sans fatigue, je croque la vie, je sors, je me lance des défis. Quant à l’inverse, je sens que mon corps ou ma mémoire ( car quelle plaie cette maladie pour la mémoire) me tire par la main, je m’écoute, j’écoute ce que mon corps dit. Parfois ce coeur qui va battre trop vite, cette tension qui va de nouveau grimper, ces kilos qui vont s’afficher sans raison, alors, et seulement dans ce cas, aujourd’hui je vais vérifier ma prise de sang ( TSH, T4 et T3)

Avant, j’en faisais une systématiquement toutes les six semaines, peut-être pour me rassurer, ou pas. Maintenant, étant plutôt stabilisée, je gère mes symptômes avec les médecines parallèles, bien moins nocives. Que l’on ne se trompe pas, je ne cesserai certainement jamais ma prescription de L_Thyroxine en gouttes, mais mon allergie au stérate de magnésium m’a poussée à me tourner vers des médecines qui n’utilisent pas ces poisons d’excipients, et que ce soit pour la tension, le coeur, le sommeil, le stress, et la liste est longue à certains moments, l’homéopathie, la gemmothérapie, les huiles essentielles font de vrais miracles, et j’ai bien l’intention de me rapprocher l’an prochain de la médecine chinoise.

Je suis de plus en plus convaincue que tous ces médicaments que j’ai avalés à une époque ( antibiotiques donnés automatiquement, ampoules pour ceci, sirop pour cela) ont encrassé mon organisme le rendant moins résistant.

Peut-être que je me trompe ? On en reparlera dans un an si vous le voulez bien !

En attendant, le plus important reste de ne pas porter cette maladie comme une fatalité. Elle est et a le pouvoir que nous lui donnons. Invisible, pernicieuse, destructrice parfois, mais avec des moments d’accalmie qu’il faut savourer pleinement.

Plein de courage à tous les papillons !

 

Merci de continuer à lire mon recueil qui semble aider même à un niveau tout petit.

 

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( 5 décembre, 2018 )

Le découragement

Trop souvent nous proférons des phrases vite dites, sans avoir conscience qu’elles peuvent avoir un impact négatif sur les autres. J’essaie d’y faire attention, et pourtant je sais que cela peut m’arriver. Le découragement est quelque chose que je lis souvent dans les yeux de mes élèves lorsqu’au bout de quelques essais, ils n’arrivent pas à résoudre un exercice. Rien n’est pire que ce sentiment d’échec. Plus ils vont essayer, moins ils vont comprendre, car « leur cerveau » s’est déjà conditionné à ne pas réussir. Dans ce cas, j’arrête net la séquence, et je passe à une autre, pour revenir plus tard, autrement.

Les adultes fonctionnent à l’identique. Face à une difficulté, ils vont tourner en rond, ruminer tous les échecs possibles pour au final se décourager et renoncer.

Il est important de changer sa façon d’appréhender les événements. Ce n’est pas simple, je vous l’accorde. Je suis la première à « péter un câble » lorsque je n’arrive pas à faire un fichier ou une manipulation digne d’un débutant en informatique ! J’ai même cassé un clavier ainsi à une époque où continuellement piratée, je tentais de retrouver des traces de fichiers. Il fallait « soit disant » taper sur plusieurs touches à la fois, et ce fut la Bérézina ! J’ai fini en larmes, sans clavier et sans fichier !

Et puis, j’ai appris que se décourager n’était qu’un mode de pensées que l’on pouvait inverser, reconditionner. Cela ne s’est pas fait en un jour, mais j’ai réappris à voir autrement, à demander de l’aide ( chose que j’avais stoppée à cette époque ayant subi des trahisons d’amitié), j’ai réappris à faire confiance. Maintenant, si je sens le découragement se pointer, je l’arrête net ! Je me dis que c’est juste quelque chose qui n’est pas fait pour moi tout simplement, que je ne m’y suis pas pris de la bonne façon, que ce n’était pas vraiment utile.

Pour exemple, je n’ai jamais réussi à mettre mon roman Kindle autoédité en version papier. Au lieu de me décourager, je me suis simplement dit que cela permettrait à une maison d’édition, un jour, de le remarquer. Ce serait dommage qu’il reste dans une liseuse exclusivement, non ?

Vaincre le découragement, c’est s’autoriser à changer le chemin pris au départ, c’est ne pas avoir peur de ne pas savoir, c’est surtout s’offrir d’autres portes de sortie, car une sortie unique n’existe pas.

 

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( 4 décembre, 2018 )

Les encriers de porcelaine

Il faut bien l’avouer, nous avons tous, un peu comme des chaussons au pied, des lectures confortables, des genres dont on ne sort que rarement, simplement parce que nos heures de lecture sont comptées et qu’ainsi, nous choisissons ce que nous affectionnons le plus en priorité.

Pour moi, ce sont les polars et les thrillers comme tout le monde le sait. J’ai débuté à l’âge de dix ans avec la sériedes « Alice », des « Fontomette », « Le club des cinq » et bien d’autres. Déjà à cette époque, je dévorais les livres, préférant rester parfois sur mon lit plutôt que de sortir.

Près d’un demi-siècle plus tard, je n’ai pas changé. Même l’intrusion dans nos vies d’Internet ou des réseaux sociaux n’ont pas effacé cette passion. Dans ma vie, j’ai lu de tout, mais en particulier des polars.

Alors, récemment, je me suis lancée le défi de lire un ouvrage de chaque genre littéraire ! Pas facile alors que ma PAL est rempli de dizaines de thrillers non lus.

J’ai commencé par un petit roman « les encriers de porcelaine » de  Jean Paul Malaval, genre roman historique, l’histoire d’une jeune institutrice dans les années 1935, et j’ai aimé cette immersion dans une autre époque. Cela m’a rappelé les livres de Claude Michelet lu il y a de nombreuses années. Un livre à lire traitant de façon agréable la campagne, la politique de l’époque.

 

Un bon début pour être sortie de ma zone de confort. Second choix, un livre coquin publié dans la collection indécence d’Evidence édition « Sexy Market », là encore, un genre que je ne lis jamais, je teste donc …

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( 4 décembre, 2018 )

Rester zen, un art de vivre.

 

J’ai vécu une partie de ma vie sans être zen. Issue d’une famille où mes parents étaient toujours stressés ou anxieux, j’ai appris à vivre en ayant cette crainte de la maladie, de ne pas réussir, de ne pas pouvoir finir la fin du mois financièrement. Et puis un jour, il y a toujours un jour où le déclic se fait, j’ai dit stop !

Nous vivons dans un monde stressant où tout est fait pour rajouter continuellement une dose d’anxiété en plus, peut-être certainement encore plus dans nos grandes villes. Le bruit, les gens qui parlent fort dans la rue, les gosses qui s’insultent, tous ces éléments mettent notre corps en mode défense comme s’il se préparait à une éventuelle attaque. Devons-nous continuer à subir ainsi les autres ? Je connais déjà l’avis de mes amis qui vivent à la campagne, il suffit de venir s’installer « au vert ».

Seulement, je reste une citadine, et même si j’adore la vie en pleine nature durant un week-end ou une semaine de vacances, j’ai conscience que je m’ennuierais bien vite !

Aller chercher le pain à vélo, c’est super sympa en vacances, mais en plein hiver, loin d’une âme qui vive, cela devient bien moins rigolo. Et puis, autant la forêt est magnifique pour se promener, autant lorsque survient un orage, ça se transforme un peu en film d’horreur !

Alors, pour ma part, et cela n’engage que moi, je préfère faire de la zenitude un art de vie. Je ne dis pas que je réussis à tous les coups. Preuve en est, face à la violence aussi bien des adultes que des enfants, je n’y arrive pas, et j’absorbe cette énergie négative. Par contre face aux gens qui changent ( je découvre des facettes surprenantes de certains ces dernières semaines, des personnes à qui j’aurais une fois encore donné ma main et qui se révèlent … preuve qu’un vrai mal être existe dans notre société)

J’essaie de relativiser, d’ouvrir une petite porte offrant une communication possible, ou pas. Je ne me formalise pas si elle est refusée. La seule chose que j’essaie, c’est de tout tenter pour maintenir une harmonie, même si la violence dans ce monde reste un sérieux handicap. Zen ? Pas tous les jours, mais le plus souvent possible, et c’est le plus important, non ?

 

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( 3 décembre, 2018 )

Ce temps qui passe …

On a beau dire, on a beau faire, le temps passe inexorablement sans s’arrêter, sans même se stopper. Trop souvent, on ne s’en aperçoit pas, préférant simplement ne pas y penser. Chaque matin depuis un an, en allant travailler, je croise un très jeune papa avec son enfant dans un porte-bébé, et vendredi matin, j’ai soudain réalisé en croisant un sourire radieux de ce gamin, qui à me voir tous les jours, m’a peut-être reconnue, que le temps avait sacrément passé, que le tout petit qu’il était, s’était métamorphosé en un superbe enfant avec des chaussures aux pieds. Un an ? Dix-huit mois ? Je serai bien incapable de dire à quelle vitesse le sablier du temps s’est écoulé, juste que c’est une certitude, le temps a vraiment vite passé !

À une échelle plus humaine, le compte à rebours vers la nouvelle année a commencé, et si cette année 2018 fut riche en changement en profondeur, je suis déjà impatiente de découvrir les fruits qui pousseront en 2019. Parce que l’on a beau dire, puisque l’horloge du temps ne cesse de tourner, il me semble indispensable de vraiment en profiter !

 

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( 2 décembre, 2018 )

La violence, Macron et les gilets jaunes.

Rares sont les articles où je me positionne politiquement, mais j’ai beaucoup de mal ces jours-ci face à cette avalanche de violence dans la capitale. Destruction, pillages, violence. Seulement voilà, les raccourcis sont faciles, rapides. Non, les gilets jaunes ne sont pas responsables. Les forces de l’ordre non plus. Les gens, sortez un peu de votre zone de confort, des  agitateurs sont là, bien manipulés, pour mettre le bazar, pour casser une revendication qui elle, est juste.

Je suis contre la violence sous toutes ses formes, mais d’un autre côté, ce que ce gouvernement fait vivre aux français, toutes ces réformes, c’est aussi une forme de violence. Le dialogue et surtout le respect des anciens !

Il est temps que cela cesse, que Macron écoute la détresse des français ! Toutes ces personnes qui au départ manifestaient pacifiquement le font pour de bonnes raisons. Ces retraités qui voient leur pouvoir d’achat baisser, entendant certains politiques dire qu’un vieux peut économiser sur un repas, cette personne au Smic qui ne pourra pas fêter Noël cette année, tous ces départs en retraite qui ne seront pas remplacés, et la liste est longue.

Je sais, les détracteurs vont dire qu’il faut bien trouver un moyen de payer le trou de la sécurité sociale et les retraites, seulement pourquoi ne pas toucher au CAC 40, leur prendre un pourcentage permettrait à la France de souffler, pourquoi avoir enlever l’impôt sur la grande fortune, qui rapportait cinq millards d’euros ? Bon sang ! Certaines personnes, et j’en ai connues, bouffent du caviar, des crustacés, sirotent du champagne alors que d’autres en France crèvent de faim !

La France est championne d’Europe des taxes des impôts ! Les gens sont pris à la gorge.

Cela n’excuse pas la violence que je condamne, mais il faut écouter le peuple, sinon on l’a déjà vu dans l’histoire, le peuple se fâche …

( 2 décembre, 2018 )

Le bruit qui tue…

 

Dernièrement des élèves relataient le décès d’une jeune fille de leur entourage suite à un accident. Elle traversait une route les écouteurs sur ses oreilles. Pourquoi ces jeunes portent-ils des écouteurs non stop ? Personnellement, naïvement, je pensais que c’était parce que tous ces ados adoraient la musique comme moi à leur âge, et bien non, j’ai découvert avec stupeur que le port de ces écouteurs était simplement pour se couper du monde, pour éviter le bruit !

Cela m’a fait réfléchir ! Toute cette génération ne vit que dans le bruit surtout dans nos villes. Bruit des voitures, bruit des passants, bruit à l’école ou au collège, bruit de la télévision, des ordinateurs, bruits permanents ! Les gosses n’arrivent plus à parler autrement que bruyamment simplement parce qu’eux sont assaillis par une limite sonore hors norme. Le bruit tue. Il tue bien au-delà d’une simple vie. Il tue les relations, les amours. Il tue la vie. Réapprenons à écouter les silences, à s’ennuyer du bruit.

 

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( 1 décembre, 2018 )

Apprendre à se moquer de ce que pensent les autres.

Grâce à des mois d’aide thérapeutique très constructive et positive, les phases qui piquent ne me font plus de mal, et pourtant autant dans ma profession que via les réseaux sociaux, on en croise de faux amis, juste là pour nous faire tomber. Je n’ai pas encore atteint le stade où je suis totalement insensible, je pense même qu’étant trop emphatique, cela n’arrivera jamais, mais je passe dessus sans m’arrêter. J’ai compris une chose extrêmement importante, nous seuls savons ce qui est bon pour nous, nous seuls pouvons être fiers de nous et surtout nous ne devons rien attendre de personne.

Je voulais partager cette joie avec vous, car c’est une véritable libération !

Ne pas hésitez à se débarrasser des personnes nocives qui vous jalousent ou vous manipulent.

Les vraies amis resteront toujours, ils vous proposeront de prendre un café pendant les vacances ou de manger un morceau, simplement parce qu’ils vous apprécient, vous, et pas ce qu’ils voudraient que vous soyez ! Ceux que vous aimez et qui vous aiment seront toujours là, même dans l’ombre.

Ne l’oubliez jamais !

 

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