( 14 décembre, 2019 )

L’importance des couleurs

Apprendre à regarder la vie autrement, c’est appréhender les couleurs, les aimer, vibrer avec elles. Regarder les couleurs, c’est s’imprégner des vibrations qui en émanent. Il est donc primordial de s’entourer de belles couleurs, de personnes ressentant des émotions similaires aux nôtres.

Rien n’est plus beau que cette magie que l’on peut ressentir lorsque l’on se trouve à proximité d’une oeuvre d’art. Absorber la couleur de l’artiste, l’avaler comme si c’était une potion magique. Vivre en couleur ! Danser en couleur ! Clé du bonheur ? Qui sait ?

 

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( 13 décembre, 2019 )

6 ans du blog !!!

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( 13 décembre, 2019 )

L’ego surdimensionné sur les réseaux sociaux.

 

Comme vous l’avez compris, depuis quelque temps, je suis de plus en plus allergique aux réseaux sociaux où « l’ego » dégouline comme de la guimauve trop sucrée.

Malheureusement, tous les petits auteurs ont besoin d’eux sinon leurs écrits vont disparaître dans l’eau du caniveau. Dernièrement, je me suis aperçue que certaines personnes sur des groupes manipulaient l’opinion avec un véritable art, usant d’arguments surfaits voire tout préparés pour que les projecteurs s’abattent sur eux. J’ai constaté des personnes ( là, c’était des lecteurs) pourtant avec un avis bien argumenté, changer d’avis face aux attaques aussi rythmées qu’une mitrailleuse.

C’est une manipulation habile puisqu’en général elle s’accroche au départ à la ligne de conduite d’un chroniqueur ou d’un youtubeur « en titre », vénéré, presque adulé, donc incapable d’erreurs.

Ces réactions me donnent la nausée. Trop de personnes ont besoin de se sentir valorisées, complimentées, mises en avant. Ce besoin, lié souvent à un manque de confiance en soi, va dessiner un ego démesuré. Cela conduit à un agacement qui me fait penser à cet irrespect dans le métro où tout le monde hurle dans son portable afin de faire partager sa conversation à tout le wagon, comme si une discussion énoncé haut et fort prenait un sens.

J’aime discuter avec mes contacts sur mon profil privé dans l’échange et le respect, mais je n’éprouve aucun plaisir à voir des likes s’allonger. Partager pour faire découvrir des idées, des œuvres faites ( que ce soit littéraire ou artistique) sans rien attendre est positif, par contre rester addict aussi bien aux likes qu’aux commentaires, c’est dangereux, car signe que l’ego prend la première place.

Avant de franchir la ligne rouge de l’ego surdimensionné, ne pas hésiter à prendre du recul, à faire une pause, à se demander pourquoi on a tellement besoin de voir toutes ces personnes de notre côté. Et surtout, ne pas suivre aveuglément une personne tellement sûre d’elle que ce phénomène s’apparente presque à un gourou !

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( 12 décembre, 2019 )

Abandonner n’est pas un crime.

 

Il nous arrive à tous de nous trouver confronter à un échec simplement parce que la perfection n’est pas de ce monde et surtout parce que l’erreur est humaine.

Souvent, lorsque nous nous trouvons face à un mur, deux questions se posent : est-ce que nous devons renoncer ou persister au risque de se démolir ?

Persévérer lorsque l’on sait qu’il n’y a aucune chance est un véritable suicide.

Seulement, ne pas s’acharner ne veut pas dire abandonner, cela signifie juste, revoir tous les tenants et les aboutissants, poser le pour et le contre, et peut-être tout bonnement prendre du recul, afin simplement d’agir autrement.

Abandonner un jour ne veut pas dire abandonner toujours, juste mieux faire demain.

 

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( 12 décembre, 2019 )

Mon dernier opus va enfin voir le jour

Une porte qui s’ouvre … Ambre vient d’être envoyé à Edilivre.
Pourquoi ce choix ? Car c’est un vrai choix !
Tout d’abord parce que je m’étais engagée envers EE à ne publier ce dernier opus qu’en autoédition et Edilivre est une plateforme alternative assimilée à de l’autoédition et non une édition à droits d’édition.
De plus, j’ai débuté avec Edilivre et Rouge à l’époque a fait un buzz, il me semblait normal de terminer avec eux plutôt qu’avec Amazon.
Je sais que les fans de KDP vont me lyncher, mais j’ai testé cette formule avec Juste une seconde, et si la version numérique est au top, la version brochée n’est pas parfaite ( des commandes annulées ou non livrées, des difficultés de mise en page, refus de plusieurs librairies etc).
Mon objectif reste le même : que ce polar tant attendu puisse enfin voir le jour en espérant que ce soit au printemps ou avant, qui sait, comme l’aurait voulu ma maman !
En tous les cas, peu importe où naît Ambre, l’important est que son contenu vous emporte et vous touche. Le sujet est brûlant et pour moi d’une importance capitale !

 

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( 11 décembre, 2019 )

Ces personnages que nous créons.

 

Écrire, c’est poser nos émotions sur le papier, faire vivre tel un marionnettiste des destins qui ne sont pas les nôtres.  Façonner les héros de mes romans est une des étapes que je préfère lorsque je débute l’écriture d’un manuscrit. C’est un peu comme si je laissais mes pinceaux dessiner des formes sur une toile, je peins des attitudes, des caractères, mélangeant les genres, inventant des individus qu’il serait presque impossible de croiser dans la réalité et qui pourtant, parlent à tous parce qu’ils peuvent, l’un d’entre eux, ressembler ou attirer le lecteur.

J’ai toujours aimé observer les autres aussi bien dans la rue que dans les transports en commun. Là où certains opteront pour pianoter sur leur téléphone, moi je me contente de regarder, d’attraper au vol un sourire, parfois une larme, et les poser dans un coin de mon carnet, sachant qu’un jour, ils serviront.

Ces personnages que nous créons sont un peu des enfants d’argile auxquels nous tenons, que nous aimons, avec qui nous vibrons.  Et le jour où le mot fin noircit la dernière page, on a bien du mal à ne pas pleurer. Parce que ces personnages, on s’y est tellement attachés que pour débuter un nouveau livre, il va nous falloir définitivement les abandonner.

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( 10 décembre, 2019 )

Les obstacles

Rêver les yeux ouverts, c’est mon leitmotiv ! Aller jusqu’au bout de ses rêves, ne pas renoncer, seulement, si c’était si simple, tout le monde réussirait ! On a beau vouloir, avancer, bien malgré nous, on se prend régulièrement les pieds dans des racines qui nous font basculer. Beaucoup vont aller renoncer, faire demi-tour, ce qui revient à faire dire que seuls obstacles que l’on a sont ceux que l’on se donne.

Seulement, est-ce parce que vous avez une grosse racine qui vous bloque le passage que vous devez abandonner ou baisser les bras ? Faire demi- tour ? Pourquoi pas si c’est pour prendre un autre chemin, peut-être plus long, mais qui nous mènera au final où nous avons envie d’aller. Enjamber la racine ou tenter de la couper ? Faisable !

Dans les deux cas, on va inexorablement perdre du temps, ce qui fait que de nombreuses personnes vont simplement renoncer parce que « c’est trop dur ! »

Là va s’en suivre une phase de colère «  Ma vie est pourrie ! Je n’ai jamais de chance ! » à une phase de dépression « Puisque je n’atteins jamais mes rêves, c’est que je suis nulle ! »

La racine devient soudain une montagne et face à une montagne, c’est bien difficile d’agir. Et là, c’est fichu !

Il est donc important d’arriver à préparer son mode de pensées. « Je sais que ma vie sera jalonnée d’obstacles. Je l’ai compris. Je sais aussi que ces obstacles ne son pas un échec. Je sais surtout que je vais me donner les moyens de réussir même si pour cela je doit prendre mon temps et un autre chemin. ».

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( 9 décembre, 2019 )

Hashimoto et l’écoute du corps

 

Pourquoi faut-il être à l’écoute avec une thyroïde d’Hashimoto ?

Pour une raison simple, il n’est pas question dans ce cas précis d’un simple dysfonctionnement thyroïdien faisant suite à une grossesse ou une ménopause, mais il s’agit d’un problème au niveau des anticorps qui ont décidé de n’en faire qu’à leur tête et au lieu de faire leur travail, ils vont s’attaquer à cette glande pour la détruire.

On se retrouve donc avec deux problèmes : une possibilité d’hypothyroïdie qui va faire bouger sensiblement la TSH et des anticorps tpo qui vont, eux, continuer leur travail de destruction.

Certains vous diront que l’on peut faire régresser des anticorps avec des régimes ou autres. Attention ! Si des résultats furent visibles, ce ne fut que sur des taux d’anticorps relativement bas. Une personne avec des tpo avoisinant les 3000 ou 6000 aura beau faire un régime sans gluten ou prendre des huiles essentielles, elle ne fera pas disparaître cette maladie auto-immune.

Une fois que l’on est diagnostiqué « Hashimoto », c’est à vie ! Et même si la pathologie semble avoir pris des vacances un temps, elle est toujours là, sournoise et peut ressurgir au moment où on s’y attend le moins.

Faut-il pour autant un traitement d’hormones de synthèse ?

Si les anticorps sont bas, la tsh normale et que la personne ne présente aucun symptômes, inutile de passer par un traitement. L’important est cette écoute du corps qui est primordiale.

Il y a sept ans, j’aurais été plus favorable aux traitements systématiques, mais depuis l’eau a coulé sous les ponts et seuls les imbéciles ne changent pas d’avis.

Il est donc important de faire au moins deux fois par an une prise de sang, surtout si une grosse fatigue s’installe, mais si le corps va bien, si le coeur marche correctement, si la personne est en pleine forme, pourquoi lui donner un traitement préventif même si la tsh est « bizarre » ? En particulier si cette prescription fait suite à un accouchement ou à un problème de santé.

Notre corps a la capacité de se remettre sur les rails dans plus de 80% des cas. Si par contre, de vilains symptômes s’ajoutent : problèmes de mémoire, digestifs, cardiaques, asthénie, dépression etc, là il faut se poser la vraie question : avons-nous envie de tirer sur la corde en attendant qu’elle casse ou allons-nous simplement donner un petit coup de pouce à notre thyroïde ?

Un traitement ne peut-être pris à la légère surtout lorsque l’on voit depuis quelques années tous les problèmes liés aux dosages ou aux allergies aux excipients.

Avant c’était différent, nous disait dernièrement une adhérente. Je pense surtout qu’avant 2002, avant l’Europe, on avait réduit l’ajout de tous ces excipients qui bousillent les organismes. À vouloir en fabriquer plus pour une durée plus longue pour faire plus d’argent, on ne peut avoir une qualité parfaite. Sans jouer l’avocat du Diable, on le voit régulièrement avec les objets ou vêtements fabriqués en Chine.

Il faut donc bien choisir le traitement qui convient quitte à hausser le ton face aux médecins qui ne sont pas toujours compatissants. Dommage qu’il n’y ait pas plus de ces soignants Hashimoto, je suis certaine que le regard sur cette maladie changerait !

Ensuite, une fois le traitement supporté, bien veiller durant les premiers mois à son dosage. On sait aujourd’hui que les comprimés sont moins bien assimilés que les gouttes Serb ou le Tcaps et donc pour ces deux derniers médicaments, il faut donc prescrire un dosage plus faible sinon le patient se retrouve avec des palpitations, maux de tête etc … Il va juger que le traitement est mauvais alors qu’il n’est question que d’un surdosage. Il est vrai que cela devrait être anticipé au départ !

Revenons donc à notre point de départ : pourquoi être à l’écoute de son corps avec Hashimoto ?

Tout d’abord parce que ce ne sont pas les toubibs qui vont l’être pour nous. La thyroïde, ce n’est pas leur tasse de thé car bien trop complexe !

Ensuite parce que nous sommes les seuls, surtout avec l’habitude, à comprendre comment réagit notre organisme : frilosité soudaine, prise de poids inexpliquée, digestion perturbée etc. Le danger serait de tout mettre sur le dos de la thyroïde.

Certains malaises comme maux de ventre, de tête, sueurs froides peuvent simplement être une intoxication alimentaire, donc apprendre à prendre du recul, à s’écouter.

Un stress important va faire grimper les anticorps, va déstabiliser l’organisme, va parfois même provoquer des problèmes d’hypertension ou des crises d’angoisse, des insomnies etc

Le lien avec un dysfonctionnement thyroïdien reste probable et surtout il n’est pas « dans la tête ». Ça, c’est la réflexion de ceux qui ne savent pas quoi dire, qui ne trouvent pas la cause exacte, qui ne comprennent pas.

La thyroïde est une glande qui devrait fonctionner parfaitement pour permettre au corps d’être au mieux de sa forme, un peu comme l’essence d’une voiture. Sans un bon fonctionnement, la voiture n’avance pas. Sans une thyroïde en état de marche, le corps va être en piteux état !

Alors, donnons le bon carburant à notre organisme et surtout, écoutons le !

 

N’hésitez pas à offrir ce recueil pour que vos proches, vos médecins continuent en 2020 de soutenir notre combat !

 

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( 9 décembre, 2019 )

La PMA

 

Je suis une fervente partisante de la PMA pour tous, simplement parce que le Moyen-Âge est révolu et qu’il faut vivre avec sin temps. Ce qui choquait hier n’a plus aucune raison de poser problème aujourd’hui. La preuve en est « le mariage pour tous » qui a fait couler beaucoup d’encre est maintenant rentré dans les moeurs. Pourquoi cette forme de procréation est-elle si décriée ? Est-ce à cause de l’impact religieux qui a un véritable poids en énonçant qu’un homme doit impérativement s’accoupler avec une femme ? Mais là encore, comment des personnes intelligentes ne se rendent-elles pas compte que ces dogmes, qui au fond n’étaient rien de plus que des lois, destinées à une certaine époque pour une raison précise inhérente à cette civilisation, ces lois n’ont plus aucune raison d’être de nos jours. Et que l’on n’aille pas me sortir le magnifique refrain qu’un enfant a besoin de ses deux parents biologiques pour se construire ! Un enfant a juste besoin de personnes qui l’aiment et que ce soit au sein d’un couple gay ou d’un couple hétéro, seul cet amour importe ! Et croyez-moi, j’en ai croisé des familles « normales » comme osent le dire certains où l’enfant était en véritable souffrance et à l’inverse, des fillettes issues de PMA ayant deux mamans totalement bien dans sa peau !

Une fois encore, l’humain est en constante évolution et il serait peut-être temps de jeter les anciennes pensées pour faire un reset positif !

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( 8 décembre, 2019 )

La paralysie du choix

 

Qui ne s’est pas déjà trouvé confronté à cette notion de choix ? Que ce soit pour des décisions de vie ou des choix d’achat, on se retrouve toujours devant cette réalité : notre monde regorge de choix, de possibilités et cette avalanche commerciale peut nous pousser à une véritable paralysie de choix.

Trop de choix tuent le choix !

Je le vis régulièrement lorsque je me trouve dans un rayon « beaux arts », avec une envie de tout, touchant les couleurs, les toiles, imaginant, rêvant puis repartant les mains vides vu les prix.

Et quant à la lecture, quelle histoire ! Régulièrement, je me trouve dans cette situation après avoir terminé un livre. Lequel sera le suivant ? Vais-je me laisser tenter par le dernier best-seller dont tout le monde parle sur Facebook ? Vais-je plutôt opter pour ce livre qui prend la poussière ou relire ce vieux bouquin que j’avais tant aimé ?

 

Ainsi nait la paralysie du choix. Trop de routes à prendre, trop d’ouvertures.

Dans la vie, c’est pareil. Souvent, on espère voire on dessine une vie parfaite et un jour, on se heurte à un mur. Pour le traverser, il faut trouver les failles, les petites portes, mais parfois on se retrouve bloqué sans pouvoir avancer. Frustration intense !

Un peu comme si on se retrouvait des heures à choisir un resto et au final lorsque l’on se décide, tous les restaurants sont fermés.

 

Une solution ? Prendre du recul, s’éloigner des choix pour au final finir par toucher du doigt ce qui nous conviendra vraiment.

 

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