( 11 février, 2021 )

Apprendre à prendre le temps

Mon principal défaut fut longtemps de refuser « le vide », parce que ce qui n’est pas rempli me faisait peur. Et puis le Covid est passé par là et déjà plusieurs mois que j’apprends ( car le re-conditionnement est un apprentissage) à laisser des moments où je m’autorise à ne rien faire, juste à me poser. Certains appellent cela « méditer ». Je n’en suis pas encore à ce stade. Quoique peut-être … Cela fait dire aux mauvaises langues que je me la coule douce, peu importe, cela ne m’atteint plus.

Je m’autorise « le vide » également en écriture laissant des pages blanches entre deux chapitres, en peinture, en promenade où je m’autorise à ne pas penser.

Pourquoi ce besoin de combler les vides ? Est-ce parce que c’est anxiogène de « ne pas prévoir », d’avoir du temps de libre ? Est-ce simplement parce que c’est une façon de se dire que nous sommes toujours vivants ?

En tous les cas, apprendre à laisser des vides me fait toujours me sentir vivante ! Seulement, apprendre à ne plus prévoir, à prendre son temps, je vous le garantis, cela s’apprend ! Mais qu’est-ce que c’est bien !

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( 10 février, 2021 )

Acteur ou spectateur ?

Pas toujours pas simple d’être acteur de sa vie à cent pour cent. Trop souvent on se laisse submerger par les autres, les tâches, se retrouvant spectateur de sa propre vie.

Dans ce cas, on subit, parfois même on prend l’habitude de se plaindre pour un oui ou un non, voire comme diraient certains, on se pose en victime. Mais personne ne doit s’enliser dans une telle position qui est nocive. Prendre le contrôle de sa vie, c’est écrire soi-même son histoire et ne pas laisser d’autres l’écrire à notre place. C’est rester droit dans ses baskets, être en accord avec ce que l’on est.

Chacun peut rencontrer au cours de sa vie des personnes qui vont tenter de les faire dévier de leurs valeurs, être acteur, c’est ne pas plier pour faire plaisir !

Être acteur, c’est prendre vraiment conscience de nos émotions, de ce que l’on est, de ce que l’on veut.  Pour moi, être acteur de sa vie, c’est aller au bout de ses rêves, ne pas les lâcher même si on a l’impression que le monde s’écroule, c’est surtout continuer à cultiver cette petite flamme unique qui se nomme l’espoir !

 

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( 9 février, 2021 )

Un combat n’est jamais perdu d’avance !

Trop souvent on baisse les bras, trop vite, parce que l’homme a la fâcheuse tendance à se décourager trop facilement. Il suffit d’un mot blessant, d’un regard pour que toute notre combativité s’écroule. Alors on regarde autrement ces montagnes qui se sont dressées devant nous, si hautes, que nous ne savons pas si nous allons pouvoir les escalader. On fait demi-tour. On se sent si mal que l’on n’a plus aucune envie, surtout pas celle d’avancer. On laisse sur le lit notre costume de super héros, parce que l’on ne sent plus invulnérable. Une faille s’est ouverte, petite mais bien réelle.

Et puis, un jour, un mot va nous redonner confiance. Un mot va nous donner envie de nous remettre en selle. Un mot va nous inciter à remettre notre costume pour monter sur le ring. Et le combat va reprendre !

Alors peut-être que nous ne pouvons pas gagner, peut-être, mais ça, on ne le sait pas, ce que l’on sait juste, c’est qu’un combat n’est jamais perdu d’avance !

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( 8 février, 2021 )

Ah cette thyroïde !

Il n’y a pas à dire, cette thyroïde peut par moment s’avérer une vraie calamité, tout comme certains peuvent simplement l’oublier. Chacun est différent et ne va pas réagir de la même façon selon les périodes, les saisons, les traitements. C’est souvent lorsque l’on pense que l’on en est sorti, qu’elle reprend du poil de la bête et revient à la charge. On aura beau faire, beau dire, les chanceux qui vivent les pieds en éventail un dysfonctionnement thyroïdien sont rares, et que ce soit le traitement de substitution ou les compléments alimentaires magiques, pour de nombreux malades, surtout les premiers mois de la maladie, c’est un vrai cauchemar.

 

Pourquoi cette maladie n’est-elle toujours pas reconnue ? Pourquoi n’est-elle pas comprise par de nombreux médecins ou endocrinologues ?

Déjà simplement parce que les raisons d’un dysfonctionnement sont multiples : absence de thyroïde à la naissance, ablation de la thyroïde suite à des nodules cancéreux ou non, maladies auto-immunes Basedow ou Hashimoto, dérèglement suite à un accouchement, la ménopause, et tant d’autres profils. Au final, le médecin ne va se limiter qu’à regarder les résultats sanguins, « les normes », voire dans les signes physiques. Seulement, cette maladie est retors. On assiste à des hyperthyroïdies avec des prises de poids et à l’inverse des hypothyroïdies avec des pertes de poids.  De quoi y perdre son Latin ! On comprend mieux pourquoi les médecins, ne voulant pas se prendre la tête, se basent juste sur la TSH. Entre tel chiffre et tel chiffre, tout va bien, et pourtant si on interroge le malade, rien ne va !

 

Aujourd’hui, on va parler des petits désagréments non dangereux, mais pénibles.

 

Les démangeaisons (corps, tête, yeux )

En hypothyroïdie, on assiste à un assèchement de la peau ou des yeux voire à des prurits. La peau devient sèche, presque squameuse. On verra apparaître aux talons un durcissement de la corne et parfois des crevasses. À l’inverse les ongles vont casser facilement, les cheveux seront fragilisés, pourront tomber ou simplement s’emmêler.

Le cuir chevelu va gratter, faisant penser pour les mères de famille à la présence de poux, alors qu’il n’est question que d’une thyroïde déficiente, liée à une sécrétion insuffisante de sébum.

On pourra voir apparaître pour certains ( surtout avec Hashimoto) des grains de beauté ou des acrochordons, ces petites excroissances de chair appelés communément « pendulènes » très peu esthétiques, mais sans danger.

Pour ces derniers, nos grands-parents utilisaient , le vinaigre de cidre très efficace pour les faire disparaître les acrochordons.

 

Que faire ?

Mettre une bonne crème hydratante pour éviter que la peau se fissure, surtout avec le masque.

Utiliser des shampoings doux, éviter les produits agressifs.

En cas de problèmes persistants, voir un spécialiste.

Pour les yeux, l’hypothyroïdie va assécher « les larmes », et les yeux vont piquer, gratter. L’idéal est de mettre un lubrifiant oculaire ( de type Vismed multi)et souvent tout rentre dans l’ordre.

 

Autre problème récurrent pour beaucoup : la digestion.

Le ralentissement du transit œsophagien et celui de la vidange gastriques sont extrêmement fréquents et la moitié des malades disent en avoir souffert à un moment.

On va alors assisté à des troubles peu agréables : digestion bruyante, sensation de ventre gonflé, aérophagie avec impression de boule dans la gorge, envie de « péter » ou de roter.

Ces désagréments ne sont pas dangereux, mais très handicapants en société. Une adhérente nous disait que son époux atteint d’hypothyroïdie ne pouvant retenir ses pets bruyants et odorants à tel point qu’elle ne supportait plus de rester en sa présence.

Que faire ?

Lutter naturellement contre la constipation en mangeant des aliments qui ne fermentent pas. Penser aux pruneaux à faire bouillir dix minutes dans de l’eau ou l’été aux figues fraiches cuites également.

Si vous avez un problème avéré d’intestin irritable, limitez le gluten et le lactose.

Je ne donnerai aujourd’hui que ces deux « désagréments », mais chaque malade sait que la liste est longue, et pourtant, personne ne fait rien, personne ne veut écouter !

Alors restons solidaires !

 

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( 8 février, 2021 )

Et si on en mangeait un petit carré ?

Les temps sont durs ! Les informations foncièrement négatives. Comme de nombreuses choses ces dernières années, je zappe ! Et puis pour que la pilule passe mieux, je prends un petit carré … de chocolat ! Vous en voulez ?

Bon, c’est vrai que le chocolat, cela fait prendre du poids. Mais franchement, perso, je m’en moque. Je ferai juste trente minutes de marche en plus.

Parce que le chocolat, c’est bon, mais pas que …

Le chocolat contient du magnésium, et pour une vraie allergique comme moi, c’est ma seule source possible. ( Mag2,  ou autres aliments, c’est gonflements garantis)

Ensuite, le chocolat est autant anti-stress que bon pour le moral. Un carré, et ça repart ! Certains médecins préconisent même le chocolat aux dépressifs, à cause de sa richesse en flavonoïdes, dont sa consommation augmente la circulation sanguine et l’afflux sanguin irriguant le cerveau stoppant les états dépressifs. On comprend mieux le stéréotype dans les séries télé de la pauvre fille larguée qui ingurgite toute une boîte de chocolats.

Curieusement, accrochez-vous, le chocolat est riche en polyphénols,  en vitamines A, E et C, et présente des vertus anti-oxydantes et donc, anti âge. En clair, un consommateur régulier de chocolat aura moins de rides. Mieux qu’une chirurgie esthétique, non ?

Le chocolat contrairement aux idées reçues est totalement digeste. Le tout est de ne pas avaler un camion entier !

Le chocolat est bon pour le coeur, et je ne parle pas que des coeurs brisés. Il contient, je l’ai déjà dit plus haut, des polyphénols qui permettent de réduire de 45% en moyenne les risque d’infarctus du myocarde et d’accidents vasculaires cérébraux, et du cancer. Si ce n’est pas un argument pour en manger chaque jour ! Une recherche américaine a même été jusqu’à fournir des statistiques indiquant que la plupart des crises cardiaques arrivaient aux personnes n’aimant pas le chocolat !

Le chocolat est également riche en calcium, incroyable !  Et je parle bien sûr du chocolat pur ( et non au lait)

Et surtout une fois encore, contrairement à ce qui se dit dans les chaumières, le chocolat fait baisser le cholestérol. « Les flavonoïdes comme la catéchine et l’épicatéchine stimulent la fabrication d’acide nitrique par notre organisme. Résultat : nos vaisseaux sanguins se dilatent, abaissant efficacement la tension artérielle. »

Le chocolat est riche en fer, donc pour les personnes anémiées, c’est top. À l’inverse, attention si votre taux de fer est trop haut.

 

Donc vous l’avez compris.  Plus question de se priver ! Bien sûr, avec modération !

Un petit chocolat, mes amis ?

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( 7 février, 2021 )

La guerre entre lecture et littérature

Je suis régulièrement amusée par cette opposition entre ceux qui se disent intellectuels et ne prônent que la littérature, la vraie, la classique, celle que l’on apprend à l’école ( parce que si on l’apprend à l’école, c’est que c’est bien non ?) et les autres, les lecteurs ordinaires, ceux qui aiment les autoédités, ou même les têtes de gondoles comme Musso, Grimaldi etc. Les premiers , vous les verrez partout, critiquant, détruisant la seconde catégorie, souvent parce qu’eux-mêmes sont auteurs non reconnus, jalousie mal placée, certainement même si inconsciemment.

Littéraire de formation, cette opposition me fait rire. Comme si on pouvait comparer un livre de Zola à Lévy, deux mondes différents, deux univers, deux siècles surtout.

Et même si personne n’ose le dire, nombreux sont ceux qui n’aiment pas les classiques, même à l’école, et font semblant pour avoir une bonne note.

Si on prend le dernier Grimaldi, par exemple, c’est bien écrit, gentillet, mais voilà, c’est aussi un besoin de notre société. Les lecteurs n’ont pas envie de romans prise de tête ! Un livre est fait pour s’évader, pour éviter le poids de la vie, et il faut bien le dire, la pandémie est lourde. Doit-on pour autant juger cette lecture comme non littéraire simplement parce qu’elle ne fait pas de longues phrases à rallonge à la « Zola » ?

Doit-on fuir les autoédités parce que ces derniers dérangent le monde Littéraire ?

Doit-on dédaigner les best-sellers simplement parce que des éditeurs ont misé sur eux les mettant sur le devant de la scène ? Doit-on continuer à laisser penser que seuls les livres comme Zola sont les meilleurs parce qu’enseigner au lycée ? Ce serait oublier que des textes de Grand Corps Malade ou Jean-Jacques Goldman sont présentés au bac !

Il serait temps que la hache de guerre soit définitivement rangée. La seule chose importante ce sont les mots, rien que les mots. Alors lisons, des classiques, des autoédités, des livres qui se vendent, peu importe, l’important est de lire.

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( 6 février, 2021 )

Gygès L’homme invisible Dialogues de la vie ordinaire de CLR

Gygès L’homme invisible Dialogues de la vie ordinaire de CLR

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

Voilà un livre bien original, sous forme de pièce de théâtre, sans en être rigoureusement une. Réticente au début, n’étant pas une lectrice du genre théâtral, je me suis vite prise au jeu et j’ai dévoré ce livre de 58 pages à la vitesse de la lumière. Il faut dire que le livre est présenté sous forme de dialogues, non « style théâtre » et c’est une excellente idée !

Quelle merveilleuse surprise cette lecture avec des sujets tellement bien traitée comme celui des pervers narcissiques, sans parler du mythe de Gynès, extrêmement bien analysé ! Et une conclusion délicieuse !Un livre à découvrir absolument !

Quelques phrases à méditer.

« L’homme injuste ne se voit pas tel qu’il est, à savoir un homme injuste. »

« Un phénomène psychologique étrange se produit souvent dans ce genre de situation : la victime se sent mal à l’aise, alors que le coupable, lui, n’a aucun remords. »

« L’injustice établit des différences entre les groupes et les personnes. La justice c’est l’équité ! »

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( 6 février, 2021 )

Pourquoi le positif attire le positif ?

Un sourire attire un sourire même masqué, un regard haineux attire le mal-être.  Alors sourions !

J’ai été élevée dans la pensée positive, ayant une maman qui fut longtemps très positive, mettant toujours un mot ensoleillé dans notre vie. La pensée positif aide à voir le bon côté de la vie. Penser positivement, c’est gommer le négatif qui peut s’inviter. Vivre positivement, c’est faire preuve de bienveillance, de douceur, d’écoute, et cela va inéluctablement attirer la même chose.

À l’inverse, si nous sommes agacés, énervés, la personne en face va être sur la défensive et de ce fait négative. D’où l’importance de vivre positivement.

Si on pense positivement, on va tomber dans la loi d’attraction, appeler des pensées positives, dessiner une vie différente. Il est donc impératif de penser ce que l’on veut et non ce que l’on ne veut pas. Il est important également de ne parler que positivement, en bannissant des mots comme : « Je ne peux pas ! » « Je n’en suis pas capable ! »

Et surtout se dire que nous ne sommes pas responsables de ce qui nous arrive ! Nous vivons juste des expériences même si ce sont des échecs, et nous devons en tirer du positif, juste du positif !

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( 6 février, 2021 )

Culpabilité face aux Ehpad

La vie ne nous offre pas toujours le choix. Parfois, nous devons placer nos proches, faute de temps, faute d’argent, faute aussi à une société qui ne permet pas de garder ceux que l’on aime. La culpabilité arrive vite surtout lorsque l’on se heurte à certains dysfonctionnements des Ehpad. Parce qu’il ne faut pas se voiler la face, hormis dans les instituts de luxe, le paradis n’est pas dans ces endroits. Comme je le dis dans le recueil écrit pour ma maman, la première fois que je l’ai emmenée, la première fois que j’ai franchi cette porte, je n’ai eu qu’une envie, faire demi-tour, ne pas la laisser dans ce mouroir, car sous ses airs fleuris, ses musiques rythmées qui passaient, il suffisait d’un simple regard, pour savoir.

Les dysfonctionnements s’avèrent de toutes sortes selon les lieux, manque de personnels, donc soins souvent bâclés surtout plus l’handicap est grand. Repas pas toujours serein. En cinq ans, j’ai assisté à des moments plein de calme et d’autres où les résidents étaient traités avec négligence.

Et cette culpabilité, elle existe bien malgré nous, mais elle existe. Il est important de se décharger de cette culpabilité, sinon on se noie. Les maisons de retraite ont tendance à culpabiliser les aidants, avec parfois des minuscules reproches tels que « Vous avez oublié le shampoing ! », « Votre mère, elle vous a réclamée hier. » et la liste est longue. Ce sont ces petites remarques insipides qui vont pourtant déstabiliser, faire mal, alors qu’au fond, nous sommes extrêmement fragilisés.

À tous les aidants, je leur dis, ne vous sentez pas coupables ! Vous faites au mieux ! C’est déjà énorme alors bravo à vous !

 

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( 5 février, 2021 )

En thérapie, la série

Dernièrement, j’ai regardé la série sur Arte, « En thérapie », caricaturale, mais extrêmement intéressante, surtout lorsque l’on regarde les réactions du psy. Intéressant de constater que médecins ou thérapeutes ne sont au final que de simples humains. Que malgré leur désir de toute puissance dont ils sont convaincus, ils ne restent que des personnes avec un lourd bagage personnel, souvent un couple qui ne fonctionne plus car usé, souvent un travail dont ils sont saturés, souvent aussi des désirs inavoués. Une série sans chichi, sans décors à outrance, avec des acteurs qui jouent vraiment bien.  Au passage, des sujets forts sont abordés, sujets qui poussent à réfléchir sur soi. Le transfert amoureux, le mal-être de notre société, le paraître, les relations humaines en particulier la lassitude dans le couple, la communication etc

Autre avantage de cette série, la durée des « séances thérapeutiques » est courte, donc chaque épisode ne dure que 20 minutes.

À voir, l’écho de notre société. Et puis la prestation du psychiatre est tellement bien faite, le renvoyant à son rôle d’humain. Excellent !

Le thème central :

« Paris, automne 2015. Philippe Dayan reçoit chaque semaine dans son cabinet à deux pas de la place de la République, une chirurgienne en plein désarroi amoureux, un couple en crise, une ado aux tendances suicidaires et un agent de la BRI traumatisé par son intervention au Bataclan. A l’écoute de ces vies bouleversées, le séisme émotionnel qui se déclenche en lui est sans précédent. Pour tenter d’y échapper, il renoue avec son ancienne analyste, Esther, avec qui il avait coupé les ponts depuis près de 12 ans. »

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