( 15 janvier, 2019 )

L’infidèle

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Par hasard je suis tombée sur cette série, un remake de docteur Foster que j’avais beaucoup aimé, toujours l’infidélité qui prend le devant de la scène. L’histoire est banale, tellement ordinaire que l’on se demande comment on a pu en faire une série, mais bon, cela se regarde. Une femme trompée. Un homme qui succombe aux charmes d’une toute jeune femme. Une vengeance. Le parfait trio vaudevilliste.

On se croirait dans la vie, vous ne croyez pas ? Ne me demandez pas pourquoi tant d’hommes trompent ainsi leurs femmes et souvent avec des plus jeunes tout en continuant à aimer l’officielle, je ne saurais vous dire. À mon avis, un psy vous parlera de besoin de reconnaissance, de désir d’éternelle jeunesse.

Seulement voilà, ces messieurs oublient trop souvent qu’une femme bafouée, surtout si la dulcinée est plus jeune, ne pardonnera jamais, parce qu’être trompée, déjà, est un acte difficile à avaler, mais par une femme plus fraiche, la pilule ne passe pas. J’ai connu des femmes amères, gonflées de frustration et de haine, qui parfois dix voire vingt ans plus tard vont sortir le glaive, prêtes à tout pour faire payer le prix fort à l’ex-mari infidèle.

Les pires sont ces femmes qui ont tellement douté d’elles-mêmes, de l’amour de leur conjoint ( peut-être parce que ce dernier était incapable de vraiment aimer) qu’elles vont sans cesse inventer à leur tendre et cher des liaisons ou des désirs qui n’existent pas vraiment, et vu que s’en prendre à l’homme qu’elles aiment serait destructeur pour le couple, elles vont s’attaquer à la supposée maîtresse, n’hésitant pas à détruire la vie de cette dernière pour se sentir exister.

Pathétique ! Je me suis toujours demandée si ces personnes, un jour, finissaient par ouvrir les yeux soit sur le gentil mari soit simplement sur leur propre attitude. Ne pas vouloir voir ou entendre ne peut que conduire à des troubles psychologiques ou physiologiques, car le corps n’est pas stupide, il sait, lui.

Pour en revenir à nos moutons, une série du « déjà vu », trop connu. L’infidélité n’est-elle pas reine à tous les coins de rue. Et puis, en regardant cette série, on s’interroge, qui est le plus à blâmer ? La maîtresse qui accepte au nom de l’amour un homme marié et surtout l’ombre ? La femme qui souffre et est prête à tout pour moins souffrir et conserver son statut social, tout ce qu’elle a construit ? Ou l’homme qui lui ne va raisonner qu’avec son pénis au détriment de deux coeurs brisés ?

Le débat est ouvert !

 

 

( 15 janvier, 2019 )

La bienveillance

La bienveillance s’apprend et ne sont pas toujours bienveillants ceux qui le disent. Ces actes ne sont pas dans le paraître, mais dans l’être, dans cette essence qui est en chacun. Se dire bienveillant et faire du mal par derrière, ce n’est pas joli-joli. Se dire bienveillant, et chercher à détruire la carrière d’autrui, ce n’est pas joli-joli. Se dire bienveillant, et ne pas vouloir communiquer pour régler un conflit, ce n’est pas joli-joli.

Être bienveillant, c’est accepter tout simplement que l’autre soit différent, pense autrement, vive autrement. C’est sourire à son grain de folie, à cette petite flamme qui danse dans ses yeux. C’est apprécier ses compliments sans se braquer, ses refus sans prendre les armes, c’est simplement permettre aux âmes de se trouver pour un temps en amour comme en amitié.

N’avez-vous pas constaté cette triste réalité que de nombreuses personnes hurlent à la malveillance simplement parce qu’on leur a mis le nez dans leur fumier, mais leur vie, leurs propos sont loin de résonner de bienveillance !

Personnellement, je prononce rarement le mot malveillance, simplement parce que pointer du doigt ce type de comportement reviendrait à le classifier, à le juger. Je préfère penser que certaines personnes font ou ont fait dans leur vie de regrettables erreurs qui n’ayant pas été assumées ont tourné en drame. Mais au fond, n’est-ce pas le propre de l’homme qui n’est au fond qu’un homme ?

La vraie bienveillance sera donc de ne pas juger sans avoir au préalablement discuté avec les personnes concernées, ce sera de ne pas faire du mal intentionnellement, car cela n’est de la bienveillance. Après, comme la bienveillance s’apprend, et il n’y a pas d’âge pour apprendre la vraie bienveillance, il suffit parfois de trois fois rien pour devenir une personne bienveillance, et vous l’aurez compris en me lisant, ne jamais regarder le côté sombre d’un événement ou d’une situation, il y a toujours une face cachée pleine de lumière. Puisez dedans, sa source est intarissable !

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( 15 janvier, 2019 )

Comment bien vendre son livre en 2019 ?

Écrire est facile, tout le monde écrit, vendre son livre est beaucoup plus compliqué. Il y a tant de romans qui sortent, comment faire pour qu’un bouquin se distingue du lot ?

Je crois d’abord qu’il y a un sacré coup de chance. Le livre qui sort au bon moment, qui aura un bon public. La conjoncture économique qui est à la détente, bref des dizaines de facteurs non maîtrisés à l’avance.

Alors pas facile quand on est un petit auteur de miser sur sa plume parce qu’il faut bien l’avouer, les premiers écrits sont presque toujours soutenus par la famille ou les proches, résultat, tout le monde adore déjà le livre, bien avant de l’avoir lu, tout le monde y croit. L’euphorie permet l’envolée des ventes. Seulement voilà, un an voire deux ans après, les relations sont passées à autre chose, et l’auteur peut se retrouver avec un grand moment de solitude.

 

Comment alors conserver la fougue des premiers jours ?

Peut-être prendre du recul, tout simplement, pour mieux rebondir, laisser du temps au temps, poser ses objectifs, ses priorités, les raisons pour lesquelles on écrit. Ne pas se formaliser si un troisième ou quatrième roman ne voit pas la gloire attendue. Toujours se dire qu’aucun livre ne peut-être vraiment mauvais, donc se raccrocher à cette vérité. On ne peut plaire à tout le monde !

Ensuite, faire de son livre un ouvrage attractif, une belle couverture qui accroche le regard, peser bien ses mots pour la quatrième, puis faire connaître son livre par tous les moyens.

 

Un livre qui se vend est un livre vu. Il est donc impératif de trouver le bon système de promotion. Il ne faut pas croire qu’en 2019, un éditeur fera tout le travail de promotion, faute de temps, faute de moyen. Chaque édition publie tellement de livres qu’il ne peut miser sur tous les livres, alors si un petit auteur veut être lu, il devra retrousser ses manches et donner un coup de main.

Comment ?

Tout simplement tout d’abord en alimentant régulièrement une page auteur afin de garder un lien avec un éventuel lectorat ce qui implique de poster du nouveau avec régularité.

Trouver des idées chocs, des mots qui sont de vrais coups de poing.

Organiser des jeux, des concours, tout ce qui va permettre un livre de sortir du lot des tonnes d’autres propositions.

Visez les bons chroniqueurs, ceux qui sont lus, qui ont un vrai public, mais surtout ceux qui lisent le genre littéraire que l’on a publié. Rien n’est pire que proposer ( erreur de débutante que j’ai fait une fois) un polar à une chroniqueuse de romance. Le flop parfait ! À part dire que j’avais une belle plume, cette personne n’avait rien compris à mon polar ni les codes littéraires ni l’idée de base. C’est un peu comme si moi, je me mettais à chroniquer de la Fantasy ou du MM, des genres dont je ne connais pas les bases d’écriture.

Ensuite, ne pas se focaliser sur les retours, les avis ! Un livre ne peut plaire à tout le monde ! Une personne ne peut pas non plus plaire.

Et puis surtout, ne pas forcer un lecteur à acheter votre livre. Rien n’est pire !

Personnellement si on me force la main, cela me fait l’effet inverse, donc pub, oui, mais comme tout, avec modération !

En tous cas, bonne chance à tous !

 

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( 14 janvier, 2019 )

Le doute en amour

Suite à une récente discussion …

En amour, le doute abime tout, détruit tout. L’amour est la plus jolie chose qui existe, mais lorsque le doute s’infiltre dans un couple, c’est le poison qui s’infiltre, qui se répand, qui se propage.

Cela débute souvent stupidement. Un cheveux retrouvé sur la veste du chéri, un sms oublié, un retard ou simplement un changement d’attitude. Les romans regorgent d’histoires de ce genre, tout comme la réalité. Souvent, la femme refuse d’entendre ou de voir. Mais ce doute, lui, est bien là.

Après, beaucoup de personnes se posent la question, ce fameux doute est-il nécessairement fondé ? L’expérience de mes nombreuses amies me prouvent que souvent, oui. Une femme sent l’infidélité au fond de ses tripes. Ce doute alors devient obsessionnel. Plus rien n’est naturel. Elle va se mettre à fouiner, à regarder les réseaux sociaux en quête de vérité, jusqu’à parfois virer paranoïaque. Ce doute va complètement bousillé sa vie, bien avant de découvrir la vérité.

 

Seulement voilà, il faut rester réaliste. La vie n’est pas un conte de fées, et l’amour n’est pas éternel. Aimer, c’est voir l’autre comme une personne à part entière avec ses qualités et ses défauts, et c’est les accepter. Certaines personnes ont besoin de séduire pour se sentir exister. Ce n’est pas pour cela que l’autre va devenir infidèle ou remettre en cause son couple « pour du sexe ».

Comme je l’ai entendu dans un film dernièrement : « Ce n’est pas parce que la cantine est très bonne qu’il ne faut pas se faire un petit resto de temps en temps. Le tout est de ne pas en abuser ! »

Si le doute s’installe, la graine ou l’envie peut germer. « Tu doutes de moi. Tu ne me fais pas confiance. » et sans confiance, il ne peut y avoir d’amour, c’est aussi simple que cela. Soyons bien francs, ce n’est pas l’attirance pour une autre personne qui pose souci, car nous pouvons tous à un moment de notre vie nous trouver confrontés à cette attirance pour un tiers, simplement parce que nous sommes des êtres humains. Seulement, lorsque la ligne rouge est franchie, lorsque l’infidélité est découverte, cet amour va être détruit et avec la confiance et l’amour.

Pourquoi cet amour rend-il si vulnérable ?

Simplement parce que l’on en est dépendant, et cette sensation va pousser l’amoureuse, l’épouse ou la maîtresse à douter et à se poser mille questions. Comment être sûr qu’il m’aime vraiment ? Suis-je juste une façade ou un passe-temps ? Reste-t-il pour les enfants ou pour ne pas déstabiliser sa vie bien rangée ? M’aime-t-il un peu ?

Douter de l’autre, c’est douter de soi. Et douter de soi, c’est foncer droit dans le mur.

L’important n’est-il pas de ne jamais douter de soi, ainsi aucune chance de douter des autres.

 

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( 14 janvier, 2019 )

Connexion chronophage.

Il fut un temps que les moins de vingt ans, que dis-je, les moins de quarante ans ne peuvent pas connaître, celui « sans Internet », époque des dinosaures selon de nombreux enfants. Une vie sans réseaux sociaux, sans discussion instantanée. Une vie où le sms n’existait pas, une vie où on vivait beaucoup plus libre. Aujourd’hui, ce monde est ultra connecté, chaque personne peut-être localisée, chaque déplacement vérifié, chaque appel identifié. L’adolescent ne peut avoir un retard de quinze minutes sans recevoir un appel affolé de ses parents, on ne peut prendre un verre avec une amie  sans recevoir dix sms du conjoint.

Et je ne parle même pas de la connexion continue de certains sur les réseaux sociaux avec activation de notifications pour ne « rien perdre ». J’ai l’impression que les gens ont oublié l’essentiel, se gargarisant de nouvelles insipides, de contacts virtuels.

Je me sens régulièrement dépassée, refusant de rentrer dans ce moule. Déjà, je ne suis pas une experte en informatique, et son côté mal sécurisé m’oblige au recul, ensuite, quel temps perdu à flâner des heures sur des groupes ou des sites telle une groupie à la recherche de l’information qui souvent n’arrive pas.

Je crois qu’il faut vraiment prendre du recul si on ne veut pas perdre sa propre identité, ne pas tomber dans le côté curieux voire commère, ne pas s’enliser dans les posts politiques ( car ces derniers, outre une grande agressivité, n’ont jamais de fin), et surtout se fixer unevraie limite. Apprendre aux enfants que la vie n’est pas le virtuel !

Personnellement, je ne m’accorde qu’une vingt minutes le matin et le même temps le soir, pour garder contact avec mes lecteurs ou mes amis. Je pourrais y passer beaucoup plus de temps, mais ce sera au détriment de ma vie privée, de mon temps passé à écrire, à peindre, et surtout à lire. Même le téléphone, je l’ai banni ne répondant plus que rarement et que si c’est une urgence. Je ne veux pas devenir esclave d’outils qui ne sont que des outils.

Donc chronophage Internet, certainement, mais cela reste un bel outil très bénéfique à condition qu’il ne prenne pas la place de la vraie vie, à condition que le réel ne se mélange pas avec le virtuel, à condition de ne pas vivre pour euxet d’être capable de vivre sans eux .

 

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( 13 janvier, 2019 )

L’importance que l’on donne …

 

Trop souvent, nous donnons de l’importance à des choses qui n’en ont pas ou si peu.

Pour les personnes, c’est la même chose. Trop souvent la vraie valeur de l’autre est bien éloignée de celle que nous lui accordons.

La vie m’a appris que nous sommes les seuls à définir l’importance des choses et des événements, leur impact sur notre vie, et surtout les seuls à laisser ces événements prendre le contrôle de nos vies. Pour les personnes que nous rencontrons, que nous côtoyons, c’est la même chose. Il me semble impératif de ne donner de l’importance qu’aux personnes qui apportent un plus dans notre vie, d’éviter de nous encombrer de parasites.

Sur quoi devons-nous nous baser ? Sur la  sincérité, tout d’abord, une des plus grandes valeurs en amour comme en amitié. Savoir retirer à temps le fameux masque qui empêche trop d’individus de vivre pleinement. Sur la confiance ensuite. Ce lien qui permet d’être justement soi-même parce que l’on sait que l’autre ne trahira jamais ni nos confidences ni nos secrets.

Comment faire pour ne pas souffrir des événements ?

Déjà bien choisir nos partenaires de vie, nos relations, les mains que nous serrons. Laisser ensuite les émotions se poser, se dessiner, exploser, sans pour autant imposer une dépendance. Ne pas s’enfermer dans une boucle sans fin.

Pour ne pas souffrir des événements, il faut garder son capital positif, admettre l’erreur, sourire à ses bêtises, aux chutes, aux dérapages et toujours se dire une fois encore que nous donnons que l’importance aux événements que nous voulons, NOUS, leur donner.

 

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( 12 janvier, 2019 )

Citation du soir

 

Oscar Wilde : « C’est lorsqu’il parle en son nom que l’homme est le moins lui-même, donnez-lui un masque et il vous dira la vérité. »

 

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( 12 janvier, 2019 )

La fatigue et les maladies thyroïdiennes.

Elle revient en tête, toujours devant, cette fatigue inexpliquée qui prend par surprise au moment où on s’y attend le moins. Que l’on se retrouve en hyperthyroïdie, en hypothyroïdie, avec Basedow ou Hashimoto, c’est toujours la même rengaine.

Fatigant d’être toujours fatigué ! ( et ce n’est pas juste un pléonasme, mais une réalité)

Cette fatigue pourtant va être différente pour chaque personne, et va évoluer positivement ou négativement selon les circonstances de la vie.

Pourquoi le corps médical se trouve-t-il si souvent complètement démuni ?

Simplement parce que justement, on ne va pas mettre les personnes dans un tiroir bien rangé.

Comment enrayer cette fatigue ?

Déjà, ne pas négliger les autres possibilités qui pourraient engendrer une fatigue : déficit en fer, manque de vitamine D ou de minéraux.

Ensuite, être très attentif au traitement thyroïdien. Il ne faut pas s’amuser à jouer les apprentis sorciers avec son médicament. Il est important de rappeler qu’il faut six semaines pour que le traitement agisse, donc inutile, sauf grosse crise de thyroïdite de passer faire une prise de sang tous les deux jours !

Rester vigilant face aux autres signes en particulier la mémoire. Cette dernière peut jouer des tours en cas de fatigue, mais va s’accompagner lors des troubles thyroïdiens de problèmes de concentration, d’oublis, du syndrome du « mot qui bute », une sorte de brouillard où on a l’impression de se perdre. Cette difficulté de concentration est un véritable handicap, totalement invisible, mais totalement handicapante.

Allez expliquer à votre médecin que vous perdez la mémoire à vingt-cinq  ans ? Il va juste vous donner un bon fortifiant en vous disant que vous faites votre chochotte ! Seulement, vous n’allez pas bien, vous souffrez, mais vous avez envie d’aller bien ! Non, vous ne faites pas du cinéma ! Non vous n’êtes pas chochotte !

Ensuite, la fatigue étant un cercle vicieux, les troubles de l’humeur vont apparaître, tristesse, déprime voire dépression.

Là encore si vous tombez sur un toubib trop peu emphatique, vous ressortirez juste avec une ordonnance longue de trois kilomètres avec des antidépresseurs, des anxiolytiques, des calmants en tous genres. Mais vous avez envie de hurler que non, vous n’êtes pas dépressif, vous voulez vous en sortir, mais vous n’allez pas bien. Vous ne vous sentez pas comme avant, et c’est vraiment terrible, car vous voulez vraiment retrouver votre forme, vous en avez ras le bol de ne plus être vous-même.

Alors que faire ?

Avec philosophie, quitte à faire grincer des dents, j’ai juste envie de dire, trouver le bon praticien que ce soit un médecin traitant ou un médecin homéopathe, un endocrinologue à l’écoute ( ils sont malheureusement rares), un bon thérapeute (car pourvoir dire les mots qui pèsent est parfois salutaire !). Alors oui, trouver la personne qui convient quitte à changer de toubibs. Ne pas s’arrêter à une personne qui va vous démolir, qui va vous dire que ce n’est rien, que c’est dans la tête, que vous faites un burn-out.

Non, une maladie thyroïdienne n’est pas une dépression. Ce sont juste ces hormones qui ne font pas leur boulot qui vont agir sur l’humeur tout simplement pouvant conduire à se transformer en légumes ou en hyperthyroïdie, parfois en personne agressive voire hystérique.

Pour tous ces symptômes, un bon suivi, un vrai suivi, un bon traitement et surtout garder une pensée positive, parce que malgré tous ces effets secondaires, et bien la vie ne s’arrête pas pour cela !

 

Courage à tous les papillons !

Nous vous retrouverons au salon de Paris le Dimanche 17 Mars de 10h à 13h

Vous y rencontrerez toute l’équipe de l’envol du papillon !

Bien sûr su vous n’avez pas le recueil « Maladies Thyroïdiennes, dévoreuses de vie », n’hésitez pas à le commander pour l’avoir à ce salon ‘ même si vous passez un autre jour !)

 

L’équipe de l’envol du papillon en profite pour remercier tous ses adhérents. Nous rappelons que nous sommes une association à but non lucratif, que nous ne fonctionnons ni avec des dons ni avec des sponsors, et que tout repose sur le bénévolat et l’entraide dans un esprit positif.

Nous œuvrons pour la reconnaissance officielle des maladies thyroïdiennes, dans l’ombre. Nous ne rentrons pas en conflit contre les labo, d’autres associations s’en chargent. Nous avons par contre été la première à alerter lors de la diffusion de l’approvisionnement en gouttes de L_Thyroxine, et les contacts avec l’agence du médicament a porté ses fruits. Nous avons également échangé des courriers avec le bureau de madame Macron qui travaille sur le dossier.

Peut-être sommes-nous trop utopiques ? Mais nous, on y croit !

Afin que ce combat continue …

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( 12 janvier, 2019 )

Parler trop de soi dans un blog.

Dernièrement une relation me disait que les auteurs des blogs ou des sites parlaient trop d’eux et pas assez des autres. Je me suis donc interrogée sur la question.

Un site ou un blog est en général construit pour promouvoir des écrits, une passion ou une activité professionnelle, donc bien difficile de ne pas s’y impliquer émotionnellement. Comment parler de quelque chose que l’on aime sans pour autant puiser dans la source de notre propre ressenti ? Cela me parait bien compliqué.

Après, certains sites sont exclusivement crées pour faire valoir des livres, des tableaux, des photographies, à l’inverse des blogs où l’auteur va puiser dans sa vie pour trouver des sujets. Certains blogs seront presque exclusivement des « journaux-intimes » où la personne racontera ses états d’âme au fil du temps, d’autres seront agencés comme des recueils de poésie, d’autres encore comme des articles avec des sujets de vie. J’essaie de faire le maximum pour que mon blog soit dans la dernière catégorie et sur presque trois mille articles, vous ne trouverez seulement qu’une dizaine qui parle de ma vie ( en général ce sont les hommages que je fais aux disparus). Rarement je parle de moi, préférant réfléchir sur une généralité que sur un sujet personnel. J’en profite pour rebondir sur mes livres totalement fictifs même si parfois la fiction rejoint le réel. Dans mon dernier manuscrit Ambre, terminé depuis plusieurs mois, je parle d’un fait fictif, et récemment j’ai entendu, avec surprise, que cette pure fiction menaçait d’être réelle dans une décennie.

En conclusion, pour revenir à ma réflexion du jour, je pense que chacun fait comme il veut sur un blog. Certains adorent raconter leur vie, d’autres préfèrent les photos, d’autres ce sera juste des analyses prises dans la vie sociale. La diversité est importante, tout comme l’orientation différente des lecteurs. Chacun lit ce qui va l’attirer, aimera ou pas, peu importe, ne jamais s’arrêter, et surtout comprendre qu’un article qui n’a pas plu, ne veut tien dire.

 

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( 11 janvier, 2019 )

Avalanche hôtel de Niko Tackian

Une bonne découverte

Encore un bon polar comme je les aime malgré une couverture m’a laissée un peu perplexe. J’ai toujours un peu de mal en lisant un ouvrage où les nom de l’auteur est plus gros que le titre. Cela me donne l’impression que l’on veut vendre un auteur et non des mots. Malgré cela, l’image derrière est sublime.

L’histoire est celle de  Joshua Auberson, agent de sécurité, enquête sur la disparition d’une jeune cliente, avec un sentiment d’étrangeté. Cela commence donc en 1980  à l’Avalanche Hôtel. Brusquement, on se retrouve en 2018 où Joshua se réveille. Il est flic. Cet hôtel n’est plus qu’une ruine.

Rêve ? Coma ? Réalité ? En tous les cas, Joshua va aller au bout de son enquête.

L’atmosphère est très bien rendue. L’interaction avec sa collègue Sybille est aussi bien écrite, et on s’attache vraiment aux personnages et à cette énigme, que s’est-il donc passé en 1980 ? Qu’est devenue Catherine Alexander et que lui est-il arrivé ?

J’ai bien aimé ce livre qui se lit facilement, qui n’est pas trop long, et surtout dont les ficelles sont bien agencées. À lire .

 

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