( 31 janvier, 2020 )

Les gourous sont de retour …

Soyons réalistes, les gourous n’ont pas disparu ! Ils inondent aujourd’hui les réseaux sociaux de manière extrêmement subtile.  Ils s’attaquent aux « âmes » faibles, en souffrance, à celles qui doutent, qui ont pensé tout perdre, qui se cherchent.

Par hasard, je suis tombée sur plusieurs groupes et pages facebook qui attisent des sentiments qui me rappellent certaines sectes des années 80.

Aujourd’hui, nous voyons un retour au bien-être, à l’écoute de son corps, pouvant aller jusqu’à le désir de pousser son mental, et c’est une très bonne chose qui va certainement amener à la paix. Seulement, beaucoup s’infiltrent dans cette opportunité, créant des followers qui vont suivre comme paroles d’évangile des vidéos Youtube. Nous assistons à l’ère des gourous via Youtube.

Je suis triste pour toutes ces personnes, tellement en manque d’amour ou d’espoir qui vont simplement s’accrocher à des phrases bien dites, souvent simplement issues de livres déjà existants.

Une fois encore je m’insurge contre ces réseaux sociaux qui endoctrinent les plus faibles leur offrant ce qu’ils ont envie d’entendre.

Remarque : tous ces gourous sont souvent sous pseudo et on ne voit jamais leur visage !

 

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( 31 janvier, 2020 )

Comment résister à la gourmandise ?

Gourmande, je suis, gourmande je mourrais très certainement ! Je vais vous confier un secret de polichinelles, j’aime manger, pire, j’adore ça ! C’est grave, docteur ? Lorsque certains s’adonnent au plaisir des boissons alcoolisées, du tabac ou de substances illicites, moi je me contente de croquer dans une bonne religieuse au chocolat ou dans un macaron moelleux. Je suis une affreuse gourmande. Je sais que la gourmandise est un des sept péchés capitaux, mais comment faire lorsque ce gâteau diabolique me chuchote :  « mange-moi ! » ?

La gourmandise est une possibilité de choisir ce qui nous plaît et qui va nous faire du bien, le tout est de ne pas tomber dans la gloutonnerie ! Alors pourquoi résister à la gourmandise ?

Les statistiques montrent que ceux qui ne sont pas gourmands  , sucré ou salé, serait triste à pleurer !

Peut-être qu’effectivement, être gourmand est souvent synonyme de quelques kilos en trop, mais ces kilos de plaisir sont-ils si négatifs ? L’important n’est-il pas d’être heureux ? Alors, faites comme moi, faites-vous plaisir !

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( 30 janvier, 2020 )

La patience peut tout changer !

La patience est importante et nécessaire, malheureusement notre côté humain nous rend très souvent impulsif. Alors, on se heurte à des situations parfois irrationnelles.

La patience est un passage obligé qu’il ne faut pas négliger.

Souvent, nous nous trouvons face à une patience non désirée, ce sera celle de l’attente d’un résultat d’examen ou médical, ce sera l’attente d’une lettre, d’un message, d’un coup de téléphone, d’une nouvelle. Cette patience va nous inciter à mieux supporter cette attente, à être plus tolérant vis à vis des autres, surtout s’ils sont responsables de cette attente.

La patience nous ouvre de multiples portes en particulier celles que l’on n’attendait plus. C’est une vraie qualité qui n’est pas toujours innée, qui s’apprend. Elle nous offre une certaine sérénité, une paix intérieure. Soyons un escargot, avançons sans nous retourner à petits pas, sans se presser.

Il faut donc savoir être patient, il faut donc de ce fait laisser passer les mauvaises années, car il y aura toujours, mais il faut apprivoiser cette patience, car il y aura toujours un jour où on tombera sur une bonne année qui changera tout.

 

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( 29 janvier, 2020 )

Distiller la peur, une arme efficace !

La bêtise humaine dégouline des réseaux sociaux ! Quelle meilleure arme que la peur pour faire plier le genou à terre, pour anéantir l’espoir ? Les réseaux sociaux peuvent être un moyen de communication très positif, mais ils sont également redoutables. Une arme au service du monde politique.

Souvenez-vous des attentats de Charlie, violence horrible et gratuite, mais qui ont permis aux dirigeants de l’époque de calmer « le peuple ». Souvenez-vous de la fameuse grippe H1N1 qui tombait fichtrement bien, alors qu’elle n’avait fait qu’une poignée de morts ! Souvenez-vous du Sida qui a permis au pouvoir de pointer un temps certaines populations gênantes avant de réaliser que ce fléau pouvait toucher tout le monde.  Aujourd’hui, on assiste à l’apparition du coronavirus, bien moins terrifiant qu’Ebola et pourtant, les réseaux médiatiques se gargarisent de vidéos ou de propos qui datent de plusieurs années, souvent remis au goût du jour, faisant monter la peur chez ceux qui ne réfléchissent pas. On l’entendait hier à la télévision, le 15 est submergé de questions stupides : mon voisin est chinois, j’ai reçu un colis deChine etc

Comme la peur rend les gens stupides !

Alors oui, un virus s’enflamme en Chine, oui il a quelques centaines de morts, mais il faut cesser la psychose ! on est loin de la Peste ou Ebola qui sont des maladies sans aucun traitement et mortelles à 90% !

Le coronavirus n’est pas pire qu’une grippe, mais comme les français sont de vrais moutons de Panurge, ils foncent droit dans cette peur qui se répand comme de la poudre de Perlimpinpin !

Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas prendre les précautions de prophylaxie afin d’éviter une éventuelle pandémie même, car un virus est un virus, mais bon sang, la connerie humaine se répand bien plus vite que ce virus.

En attendant, à quoi sert de s’en rendre malade ? Bien sûr, que je suis bête, à cloitrer une population, à la faire se focaliser sur autre choses que ce qui se passe dans le monde.

Activer la peur est un véritable pouvoir et notre devoir est d’éviter de mettre le feu aux poudres !

Vous avez le nez bouché, c’est le cas de plus de 80% des personnes en cette saison et ce n’est pas le coronavirus ! N’oubliez pas que nous sommes 7 milliards, que la Chine a un milliard trois cent mille d’habitants, alors qu’est-ce qu’une centaine de morts lorsque l’on sait que dans le monde, un enfant meurt toutes les secondes dans les pays sous développés et tout le monde s’en moque !

Alors bon sang, soyez un peu moins bêtes que nos dirigeants le pensent ! Cessez d’alimenter la peur !

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( 28 janvier, 2020 )

Fatigue, kilos, alimentation, thyroïde plein feu !

 

On le sait tous, la thyroïde régule l’organisme, mais les mêmes remarques affluent : «  on est toujours fatigués ! », « j’en ai marre de prendre trop de poids » ( ou à l’inverse d’e, perdre trop), « je ne sais plus quoi manger! » On aura beau faire des dizaines d’articles sur ce sujet, la souffrance silencieuse continue à transpirer.

Une thyroïde qui ne fonctionne plus correctement que ce soit lié ou non à une fatigue auto-immune va générer de la fatigue. Le corps se ralentit (en hypo) ou s’accélère (en hyper) et donc va fatiguer, un peu comme si une voiture usée essayait de monter une pente raide. Résultat on s’essouffle, on n’arrive plus à pratiquer ce sport que l’on arrivait à faire six mois plus tôt. Rajoutons le moral qui ne va pas être au top, et on a tout pour faire dire « aux autres » que tout est dans la tête, que tout est hystérie.

Beaucoup de médecins se sentent impuissants face à une maladie qu’ils ne comprennent pas. Et surtout, c’est bien plus facile de donner un antibiotique pour une angine ou une sinusite plutôt que de chercher comment soulager un patient dont tout le corps ne fonctionne plus.

Certains vont même jusqu’à convaincre le malade que le cachet pris chaque matin est la solution miracle.

C’est ainsi que ces malades de la thyroïde ressortent de chez leur toubib avec une ordonnance de Levothyrox, persuadés qu’ils seront sur pieds une semaine plus tard !

Seulement voilà, la fatigue persiste, les kilos (bête noire de cette maladie) persistent.

Parlons-en de ces kilos que les médias ont récemment nommé « un petit inconvénient ».  Alors non, la prise de poids avec une maladie thyroïdienne peut-être un véritable handicap. Chaque personne est différente et ce n’est pas parce que ce problème de poids ne dérange pas votre voisine, que vous, vous n’allez pas en souffrir !

L’âge est également facteur de souffrance. Une jeune femme de trente ans qui va voir sa balance afficher vingt kilos de plus en quelques mois sera complètement désemparée perdant confiance en elle. Une femme plus âgée le vivra souvent mieux étant passée par des fluctuations de poids plus fréquemment dans sa vie. On comprendra donc facilement que chaque personne devrait être traitée individuellement, sans se reposer sur une éventuelle comparaison avec les autres, sans n’avoir comme modèle qu’un tableau de « normes ».

Combien de fois les malades de la thyroïde n’ont-elles entendues que c’était de leur faute car elles n’avaient pas supprimé le gluten ? Si c’était la clé de la guérison universelle, tout le monde adopterait ce régime alimentaire, mais une fois encore s’il fait des miracles à certaines personnes (qui souvent sans le savoir avaient bien avant une intolérance au gluten), ce régime restrictif sera nocif pour d’autres.

Il en va de même pour toutes les pistes. Dernièrement une malade m’a interpellée sur le fait que je pointe trop l’impact du stress. Mea culpa ! C’est vrai que dans mon cas, le stress est la cause déclenchante de toutes mes thyroïdites et que je les ai réduit de plus des trois quart en adoptant une vie sereine. Mais effectivement pour d’autres ce sera l’alimentation, d’autres encore le manque d’exercices etc

Comme je le dis souvent, on n’a pas une maladie de la thyroïde par hasard. Cette glande est primordiale à notre bon équilibre et elle est le centre des émotions. ˋ

Elle nous oblige à changer notre manière de vivre, de manger, de penser aussi parfois.

Elle n’est pas facile à vivre, mais on y arrive, si on le veut, si on tombe sur de bons médecins qui écoutent le corps et non juste un dosage sanguin.

Elle reste une plaie pour beaucoup et il ne faut pas l’oublier ! Souhaitons qu’un jour elle soit reconnue pour éviter aux générations futures de devoir toujours de battre pour expliquer simplement que : non ! Ce n’est pas dans la tête !

 

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( 28 janvier, 2020 )

Demande-toi qui tu as envie d’être ?

acile d’être ce que l’on veut que l’on soit, plus difficile d’être ce que l’on a envie d’être ! Enchaîné dans une société où chacun est formaté dès l’enfance, selon sa religion, selon son éducation, selon la ville où il vit, l’homme est coincé malgré lui.

Rien n’est plus difficile que de faire exploser ses chaînes ! Trop souvent, on met un bouchon sur une bouteille afin de ne pas laisser sortir le petit génie qui est à l’intérieur ! Pourquoi nous restreignons-nous ? Peut-être simplement parce que l’on pense devoir être ce que les autres attendent de nous. Mais pourquoi devrions-nous être ce que l’on n’est pas ? Comment oser être ce que l’on a envie d’être ?

Je pense qu’il ne faut pas hésiter à poser ses désirs sans se censurer, ses objectifs de vie, ses rêves, autant sur papier qu’autrement. Il faut s’interroger sur ce que nous voulons vraiment pour rester « vrai ». Se dessiner en tant que personne avec un avenir, peu importe le temps qui reste à vivre, et faire vivre sa flamme intérieure !

Oser se lancer et ne pas se restreindre parce que « l’autre » nous regarde avec mépris comme si nous allions échouer. On peut tous être ce que l’on désire vraiment si on le veut !

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( 27 janvier, 2020 )

Pourquoi est-ce parfois si difficile d’être différent ?

Faire son coming-out, avouer que l’on n’est pas bien dans sa vie, ne pas rentrer dans une norme, partout les mêmes hésitations, les mêmes angoisses. Certaines vérités sont très difficiles à avouer, à être acceptées. L’éducation et la morale dispensées durant des siècles laissent des traces indélébiles.

Et pourtant, bon sang, on a le droit à cette différence !

Dernièrement, je découvrais à la télévision qu’il existait une profession que j’ignorais, celle d’ « empathe » et je n’ai pu m’empêcher d’applaudir, car comme c’est mal vu d’avoir de l’empathie, d’aimer les autres simplement sans rien attendre en retour, comme si tout acte devait avoir une raison perverse.

Avouer que l’on ne rentre pas dans le moule défini par les contes de fées n’est pas au goût de tout le monde. Prenons l’exemple de la femme au foyer qui rêve de retravailler mais qui n’ose pas le dire simplement parce que la tradition dans sa famille veut que la mère ne soit que derrière les fourneaux. Seulement, les fourneaux, cela a fait son temps ! Même chose pour certains aveux difficiles à formuler : les préférences sexuelles, le choix d’une personne différente de part son âge ou sa religion, tant de choses qui ne rentrent pas dans cette norme qui fait si bon genre. J’ai de plus en plus la sensation que sous ses airs libérés, notre société régresse et que l’on a bien du mal à imaginer des changements sans toucher aux fondations.

Heureusement, il reste les artistes et peut-être sommes-nous les seuls que ce soit avec notre plume ou nos pinceaux qui avons cette liberté de nous en moquer royalement de cette norme avilissant et de pouvoir ainsi rester vrai même si cela dérange !

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( 26 janvier, 2020 )

Nés sans vie de Marion Payet

Nés sans vie de Marion Payet

« Vivre un deuil périnatal »

Poser les mots est la meilleure façon d’arriver à surmonter un deuil. Je ne pouvais qu’être sensible à ce roman autoédité qui j’espère va rencontrer un franc succès.

Je me suis sentie dès les premières pages aspirée, un peu comme si je vivais cette histoire au travers simplement des mots.

Le livre débute par la fin devrais-je dire, celle d’une interruption de grossesse médicalisée, car la future maman découvre que ses deux bébés de sept mois sont atteints d’une maladie génétique, le syndrome de Di George ou syndrome velocardiofacial. Une maladie totalement méconnue du commun des mortels.

Que dire d’un tel livre si ce n’est qu’il prend aux tripes, serre la gorge. Si on a eu des enfants, on ne peut que se projeter, ressentir cette souffrance palpable.

« C’est une sensation indescriptible que de porter ses enfants sans vie à l’intérieur de soi. Pour l’instant, j’ai du mal à réaliser qu’ils sont morts. »

C’est un récit extrêmement bien fait et la seconde partie nommée « Retour en arrière » est vraiment très intéressante, montrant le parcours du combattant mené par la future maman, les gynécologues peu professionnels et sans empathie comme  le docteur Bonnet, le peu d’aide rencontré dans un cas complexe même à notre époque, les erreurs de diagnostics des échographies.

 

« On ne se remet jamais vraiment de la perte de notre bébé, on apprend juste à vivre avec. »

Je suis d’accord  ayant perdu un enfant de 3 ans d’un cancer il y a 30 ans … on n’oublie jamais, mais la vie reste pleine de moments magiques !

https://www.amazon.fr/Nés-sans-vie-Vivre-périnatal/dp/B07VJWW6GG/ref=nodl_

Un très beau livre à découvrir …

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( 26 janvier, 2020 )

La culpabilité

Stop à la culpabilité ! Stop à toutes ces idées imprégnées de morale qui nous pourrissent souvent la vie. Je ne veux pas dire qu’il ne faut pas vivre dénué de culpabilité, car cette dernière est là pour nous rappeler qu’il existe des limites à ne pas dépasser si on veut vivre en bonne harmonie avec son voisin. Les psychopathes ne ressentent aucun sentiment de culpabilité. C’est même à cela que l’on définit un vrai psychopathe. Le commun des mortels va inéluctablement se sentir coupable pour des broutilles parce que cette notion est ancrée dans notre éducation.

Seulement, à trop vouloir bien faire, à trop vouloir faire le bien, il peut nous arriver de grimper une marche de plus, et de nous enfermer dans une culpabilité pire qu’une prison. C’est également le cas pour ceux qui sont accrochés à leur passé. S’en défaire est une avancée, mais c’est aussi empreint d’une lourde culpabilité. On a peur d’être « jugé » si on tourne la page, de rater quelque chose, de renoncer à un destin, alors qu’il n’en est rien. Il est donc très important de dépasser ce sentiment. Pour cela, une fois encore, il faut briser les chaînes mentales négatives surtout si c’est une culpabilité surfaite. S’excuser est souvent un premier pas. Peu importe si vos excuses sont ou non acceptées, ça ce sera la culpabilité de l’autre, plus la vôtre.  Ensuite, réparer votre erreur, si erreur il y a. Dans le cas d’un acte manqué, il faut effacer simplement cet acte de votre mémoire, et se dire que c’est une leçon à ne pas renouveler.

Le meilleur moyen de ne pas culpabiliser est d’apprendre à éviter les conflits. Ne pas se trouver coincé dans des situations compliquées permet de garder son libre arbitre. La culpabilité naît du doute donc il faut éviter de douter

 

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( 25 janvier, 2020 )

La mémoire du corps

Notre corps a une mémoire. Avez-vous déjà remarqué que les coups durs de votre vie sont inscrits en vous ? Victimes d’agressions, de viols, de burn-out, tous problèmes bloqués dans l’inconscient laissent des traces. Le corps va alors réagir à notre place.

Douleurs dorsales, fatigue inexpliquée, c’est un peu comme si la vie se rappelait à nous avec violence. La mémoire du corps est celle de tous nos ressentis passés et oubliés. Certaines études vont même jusqu’à pointer une mémoire fœtale et des traumatismes indélébiles.

Cette mémoire qui est incrustée dans nos os, nos muscles, vont prendre vie au moment où on s’y attend le moins, un peu comme une claque. Cette violence va soudain reprendre surface, éclore de nouveau, et faire renaître des maux.

Quelqu’un qui n’a jamais été capable d’affirmer ses désirs profonds va développer des tensions musculaires profondes.

Il faut donc être particulièrement vigilant aux dates « clés », aux moments cruciaux de notre vie (pour les femmes, par exemple, les dates d’accouchement sont primordiales et peuvent, des années après, faire ressentir une fatigue « les jours d’anniversaire »)

La mémoire du corps se travaille. Il faut prendre conscience que si notre mémoire peut-être défaillante, notre corps, lui, n’oublie pas. Ne pas hésiter à poser ses souvenirs sur le papier, à aller voir un thérapeute ou un ostéopathe, cela n’effacera jamais les traces du passé, mais cela permettra de mieux vivre.

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