( 16 janvier, 2020 )

Écrire

Lorsque l’on écrit depuis que que l’on n’est pas plus haute que trois pommes, on ne peut pas s’en passer. On écrit sur des carnets, sur des bouts de papier, sur son téléphone, on écrit partout dès qu’une idée se dessine, on la décortique sur le papier, on la transforme, on laisse dégouliner l’encre jusqu’à faire des taches. Peu importe au final ce que veulent dire les mots, l’important est qu’ils aient pu être posés sur le papier comme s’ils avaient fait corps avec.

Dernièrement, je lisais cette phrase : « Écrire, c’est redevenir le sujet de sa propre histoire. » Cela vaut surtout pour des autobiographies ou des journaux intimes, où on pose les mots pour se reconnecter à notre « moi ». Pour un roman, c’est plus compliqué. Un auteur expérimenté n’écrit pas pour relayer son histoire mais plus souvent pour faire passer un message ou simplement pour se faire plaisir.

Écrire, c’est agir, c’est continuer de vivre tout simplement au travers de personnages, de scénarios inventés, juste pour prolonger une réalité.

Se pose alors spontanément la question :  « Pourquoi écrire ? » Est-ce qu’un auteur s’interroge lorsqu’il écrit ?

En tant qu’auteur, je ne me suis jamais posé la question. Je n’ai jamais réfléchi au « pourquoi » parce que je n’ai jamais eu envie de connaître le « pourquoi », ne voulant conserver que le « parce que ».

Écrire a toujours été une évidence, un besoin de dessiner du rêve, tout comme lorsque je pose de la peinture sur une toile. J’écris pour donner des bouts de vie à mon imagination. En fait, j’écris pour partager mes mots, pour mettre des paillettes dans les yeux de chacun, pour allumer les étoiles le temps d’un instant.

 

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( 15 janvier, 2020 )

Les jours avec et les jours sans …

Tout le monde les connaît, ces jours, avec ces jours sans. Rares sont ceux qui y échappent avec une maladie auto-immune en particulier Hashimoto.

C’est toujours lorsque l’on croit que l’on pense être sorti d’affaire que cette maladie revient à la charge sans nous laisser de répit. Cela commence en général par une fatigue que l’on attendait pas. La veille, nous étions en pleine forme, prêt à escalader une montagne. Et puis, au lever, le lendemain matin, la fatigue est là, de retour.

On se dit souvent qu’il y a une raison, que c’est la saison, ce qui est peut-être vrai, mais une chose est sûre, on peut échapper à cette réalité. Le plus surprenant, c’est que la plupart du temps, le dosage de la TSH s’avère normal ou a très peu de fluctuations. Ce n’est donc ni une question de dosage, ni une question de médicaments, c’est simplement la maladie qui est là et bien là

Les personnes non atteintes de cette maladie ne peuvent comprendre, tellement ce retour de fatigue est soudain et imprévisible. Ce sera cette collègue qui aujourd’hui n’assure pas correctement son travail, ce sera la mère de famille épuisée n’arrivant même pas à accomplir ses tâches quotidiennes, ce sera ce commerçant énervé pour un rien. Seulement, rien ne différencie ces personnes ce que vous, vous êtes. Alors l’incompréhension va naître. La mésentente va s’installer. Les critiques vont fuser. Le malade va se sentir encore plus dévaloriser et mis à l’écart.

Il est bon pourtant de rappeler que les jours sans ne sont pas des jours « fait exprès », qu’une maladie thyroïdienne n’est pas une maladie choisie, que ce n’est pas une maladie psychologique uniquement dans la tête. Il est bon de dire que ces malades souffrent en permanence de cette variation qui n’est pas maîtrisée, qui n’est pas comprise ni par l’entourage ni par le milieu médical, qui se retrouve être simplement subie dans la douleur.

Alors oui, il y a des jours sans, personne n’y peut rien, aucun traitement n’est totalement efficace contre ces jours sans. Il y a des jours où rien ne va, où la mémoire est moins bonne, où les problèmes cardiaques sont plus important, où l’énervement est difficilement maîtrisable comme pour Basedow. C’est un fait.

Nous avons régulièrement des retours de personnes qui se sont vus licencier, abandonnés par leur conjoint, maltraités par leurs amis, simplement parce qu’ils avaient une maladie de la thyroïde. Il faut que les choses changent. Il faut que toutes personnes comprennent ce que vivent les autres. De plus en plus d’articles et de livres apparaissent sur le burnout qui autrefois était montré du doigt. Il faut de même que cette maladie auto-immune qui se nomme Hashimoto ou que cette autre Basedow soient prises en compte par notre société comme un énorme handicap ponctuel. J’insiste sur le mot ponctuel, car il faut tout de même savoir qu’une fois stabilisé, le malade aura tout de même beaucoup de jour « avec » et il faut s’en réjouir.

Il ne faut pourtant pas oublier ces jours « sans » et il faut que chacun les respecte !

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( 15 janvier, 2020 )

Que devient l’école d’aujourd’hui ?

Je ne suis plus vraiment concernée par cette profession qui reste pour moi un des plus beaux métiers du monde, et pourtant, son essence est là et je m’interroge sur cette colère palpable des enseignants, de mes anciens collègues, colère qui ne peut qu’être défavorable aux enfants, mais qui est légitime.

Enseignants privilégiés vont me dire certains. Combien de fois ai-je entendu cette phrase formulée dans ma carrière par des personnes qui n’avaient jamais mis les pieds dans une classe en dehors des réunions. Combien de fois j’ai eu envie de taper du poing en disant que les zones sensibles de banlieue ne peuvent être comparées à certains coins paisibles de province.

C’est comme pour la réforme des retraites où on met tout le monde dans le même panier sans se soucier des différences.

Pour l’école, le gouvernement a fait des réformes nouvelles en ciblant les ZEP et les REP, oubliant souvent les autres écoles d’une même ville qui auraient besoin de cette même équité. Il ne faut pas se leurrer, le dédoublement en CP et en CE1 c’est top, mais cela devrait être généralisé à tous les élèves comme dans les pays nordiques.

La grogne des enseignants est doublement légitime et il devrait y avoir une véritable prise de conscience.

Sans un bon système éducatif, la jeunesse va droit dans le mur.

Enseignants en colère, il faut tous se réveiller, en particulier les parents ! L’école n’est pas une simple garderie.

Peut-être faudrait-il cesser de passer de réforme en réforme, de programmes en programmes, tous plus inutiles les uns que les autres, favoriser l’envie chez de jeunes enseignants qui aujourd’hui sont totalement démotivés par la violence, des parents agressifs et procéduriers, une lassitude.

Pourtant, on a besoin d’enseignants tenant la route et ce métier nécessite un vrai changement de mentalité.

Enseigner, c’est offrir une égalité de savoir, c’est donner une chance même aux plus démunis, c’est donner un sens au mot « apprendre ».

L’école d’aujourd’hui est asphyxiée. Elle ne respire plus parce qu’on ne l’autorise plus à s’oxygéner. On la gangrène de l’intérieur.

Et pourtant, l’école reste le passage indispensable permettant aux générations futures d’être des têtes pensantes et non des moutons de Panurge.

Mais peut-être est-ce ce qui arrange nos politiciens ?

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( 14 janvier, 2020 )

Le bocal du bonheur

Rien n’est plus beau que ces bocaux remplis de souvenirs, pleins de petits mots qui font du bien à l’âme. J’avais mis l’an dernier en place cette idée dans ma classe afin d’afficher une pensée positive dans chaque jour au tableau. Les élèves déposaient des messages, des citations que l’on écrivait quotidiennement. J’avais également eu cette idée en 2017 lorsque ma maman était en maison médicalisée, un bocal de bonheur, des mots qui lui faisaient du bien. Un bocal juste à nous deux.

C’est une idée qui depuis a été reprise par des organisations de vente en ligne « le bocal de la saint Valentin », «  le bocal de la fête des mères » …

Ce bocal du bonheur ne coûte pas bien cher, nécessite un peu de temps mais peut apporter beaucoup ! Chacun peut le faire pour lui, pour se ressourcer, un mot, une phrase…

Tracer sans honte les mots du bonheur, ceux qui sont au fond de notre coeur, ceux que nous n’osons pas dire, que nous aurions voulu vivre font du bien au corps et à l’âme. Ces mots qui font du bien. Ces mots qui rendent heureux. Ces mots dont on a toujours rêvé.

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( 13 janvier, 2020 )

Ne pas faire confiance aux mots

Souvent, on fait s’attache aux mots plutôt qu’aux actes ce qui est une grosse erreur ( on le voit avec nos hommes politiques) car nombreux sont ceux qui manient la langue comme une arme. Les mots ont un pouvoir violent, fort, et certains enrobés de guimauve nous prennent dans leurs griffes. On y croit, on veut y croire, alors on baisse notre garde.  Quelle naïveté ! Quelle chute !

Qui ne s’est pas déjà emballé face à un projet fabuleux, un rêve, alors que le mot était juste lancé par habitude ou par cruauté, en tous les cas, en aucune façon pour tenir des promesses.

On a tous en tête ces femmes amoureuse d’un homme marié qui ne veulent pas cesser d’entendre ces mots vides de sens,  ces promesses jamais tenus, et pourtant, elles veulent des actes, seuls les actes montrent la vraie sincérité. Et vous, auteurs en recherche d’édition ou de reconnaissance littéraire, arrêtez de croire dans des promesses qui ne sont pas actées. « Paroles, paroles, paroles … » comme chantait si bien Dalida. Tellement facile de glisser des mots pour s’attirer la sympathie sans jamais aller jusqu’au bout.

Seulement un jour, à trop utiliser les mots sans agir, le vernis se fissure, simplement parce que les mots ne restent que des mots, juste des mots et souvent les mots s’usent. Alors évitons simplement de les user complètement.

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( 12 janvier, 2020 )

Les goûts et les couleurs

 

Comme il est difficile à notre époque de ne pas se fondre dans la masse bien pensante que sont les réseaux sociaux et d’oser dire «  je n’aime pas » ou « j’aime ». Inéluctablement, on se retrouve avec des commentaires parfois dépassant l’entendement et pourtant, on a le droit de ne pas aimer, on a le droit de dire non, on a le droit d’avoir son avis.

Je n’arrive pas à comprendre pourquoi de nos jours, il faut sans cesse se justifier !

Je ne bois pas d’alcool, je n’aime pas cela et vlan, je me retrouve avec cinquante commentaires m’expliquant les bienfaits du vin.

Je ne prends presque aucun médicament et hop me voilà cataloguée de folle ou d’inconsciente ( sans que personne ne cherche la raison !)

Je n’aime pas cet auteur pourtant ayant reçu un prix. Ouille ! C’est mauvais, ça ! Je vois une vraie baisse de mon auditoire !

Et bien pourtant, il faudra vous y faire. Je refuse de rentrer dans un moule, de dire ce qu’il faut dire, de penser ce qu’il faut penser. Je ne suis pas dans le politiquement correct. Je ne changerai pas mes articles parce que cela arrangerait certains, ni mes commentaires sur un livre. Je donne mon avis et il n’engage que moi.

Brûlez-moi sur un bûcher si vous le voulez ou sinon passez juste votre route.

La liberté d’expression existe encore en France et le droit de ne pas être un mouton sans cervelle aussi ! Alors les goûts et les couleurs, cela fait partie de notre diversité ! Savourons-là plutôt que de toujours tout critiquer !

 

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( 11 janvier, 2020 )

L’importance de l’arbre dans l’art

Beaucoup de peintres débutants et d’autres plus aguerris aiment peindre des arbres. Ce n’est nullement un hasard. L’arbre a une signification hautement symbolique de vie, d’enracinement durable, de survie.  Dessiner un arbre, c’est un peu s’autoriser à « être ». Apprendre à dessiner un arbre, c’est aussi changer sa manière de voir., redécouvrir la nature autrement, un peu comme de nombreux photographes qui vont capter l’essence même d’une racine noueuse ou d’un arbuste seul au milieu d’un champ.

Dernièrement, une personne me disait qu’il fallait être original lorsque l’on travaillait une toile. Je me demande bien pourquoi ! L’important n’est-il pas le plaisir et l’émotion que l’on va offrir aux yeux des autres et surtout que l’on va se donner à soi ?

J’adore dessiner des arbres, des forêts, j’adore essayer (car je ne suis encore que novice) donner vie à un paysage. Parfois c’est raté ! Tant pis ! Parfois, je sens que j’ai su poser la lumière au bon endroit.

Des peintres comme Mondrian ont fait des magnifiques toiles d’arbres un peu décalés et même si aujourd’hui, on a tendance à attribuer l’arbre aux débutants, tout comme le symbolisme de l’arbre prime chez moi en écriture, il continuera , je pense, encore longtemps, en peinture.

L’arbre est important, dans l’art, mais aussi dans la vie, source d’énergie alors ressourçons-nous aux arbres …

 

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( 10 janvier, 2020 )

Le découragement

 

Cela nous arrive à tous d’être un jour découragés. Cela arrive sans crier garde, sans faire de vagues, souvent au moment où on s’y attend le moins.

C’est ce projet dans lequel on se lance, tête baissée, où on va tout donner, et qui quoique l’on fasse n’arrive pas à aboutir, cette recette de cuisine qui va nous prendre des heures pour un résultat horrible, ce manuscrit que l’on ne cesse de refaire, corriger et qui n’a pas l’impact dont on rêve.

Le découragement, c’est cette espérance qui s’évapore doucement. Le découragement arrive même aux meilleurs, c’est ce moment où soudain on n’ose plus avancer, on se sent coincé, on est figé.

Tout artiste vit triplement négativement ce sentiment, parce que peindre une toile ou écrire une histoire nécessite de croire en soi, et lorsque nous échouons, nous nous confrontons à nos limites. Nous avons l’impression de n’être plus rien, de ne plus exister.

Il faut apprivoiser ce découragement, s’en servir comme d’une béquille, comme d’un tremplin pour rebondir. Se dire que l’échec fait partie de la vie, que nous avons raté quelque chose, mais que ce n’est pas un point de non retour.

Le découragement peut nous plonger dans une grande tristesse que nous devons impérativement bloquer ! Il est important de savoir lâcher prise totalement afin d’affronter positivement toute situation d’échec.

La vie est un changement perpétuel qui implique inéluctablement des moments de découragements, mais ce ne sont juste que de simples moments ! Pensons aux milliers d’autres lumineux.

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( 9 janvier, 2020 )

Hashimoto 2020

Nouvelle année malheureusement Hashimoto est toujours là ! On ne peut se mentir, l’hiver en plus est une période compliquée pour de nombreux malades. Que l’on soit traités ou non, c’est une maladie auto-immune qui est à vie. Ceux qui clament le contraire ne le font que pour se rassurer.

Encore une fois, il ne faut pas oublier que mettre toutes les maladies thyroïdiennes dans le même panier est une ineptie.

Continuons amis papillons à nous tenir les coudes car certains d’entre nous souffrent !

Pensons à eux …

 

https://www.evidence-boutique.com/samsara/maladies-thyroidiennes-devoreuses-de-vie

 

« « Il existe une différence entre une simple maladie de la thyroïde et une maladie auto-immune comme Hashimoto.

Dans le premier cas, c’est simplement les hormones qui débloquent, dans le second cas, c’est le système immunitaire qui va empêcher le corps de faire son travail et, dans ce dernier cas, c’est irréversible. Et comme rien n’est simple, plus la destruction thyroïdienne est rapide, plus les attaques seront violentes et répétées. En clair, une personne qui découvre sa maladie auto-immune avec un taux d’anticorps qui débute pourra fort bien vivre quelques années sans traitement de substitution, tandis qu’un malade qui va voir sa glande détruite rapidement après une agression, un deuil, etc. devra souvent passer par un traitement, ce qui n’est pas, contrairement à l’idée reçue, une généralité. Tous ces malades se retrouveront avec ou sans traitement, malheureusement aux prises avec des thyroïdites régulières, en clair des rechutes, ce qui fait dire à de nombreuses personnes que le médicament est inefficace. Seulement, le médicament n’est pas là pour soigner les anticorps, mais pour tenter de garder le bateau sur la mer. Un peu comme une voiture qui roule et dont les pneus se dégonflent résultat, eh bien, la voiture sera moins stable ! Pour le corps, ce sera pareil.

Ce n’est pas l’hypothyroïdie qui provoque la maladie d’Hashimoto, mais l’inverse, les attaques auto-immunes vont bloquer le fonctionnement de la thyroïde et induire une hypothyroïdie.

Dans ce cas, le traitement est souvent malheureusement incontournable et à vie.

Le malade n’échappera pourtant pas, malgré ce traitement, à un dérèglement régulier de sa TSH, car les anticorps continueront leur travail et attaqueront par crise.

Contrairement aux simples hypothyroïdies qui se résoudront en quelques mois. »

Extrait de Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie

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( 9 janvier, 2020 )

La difficulté dans les zones sensibles

Gros titres, scandales, résultats montrés du doigt, ces gosses des zones sensibles portent malgré eux une étiquette. Dehors, dans la cité, ils doivent tenir un rôle, celui qu’on leur a attribué depuis leur enfance. Comment une société qui parque sa jeunesse dans des murs de bétons, la stigmatisant, lui faisant croire qu’elle ne vaut rien, peut-elle s’en sortir ?

Je suis hallucinée lorsque je vois certains collèges de banlieue fabriquer des classes de futurs délinquants, avec pour excuse « la protection des autres ».

Il faut que cessent ces pratiques honteuses. C’est la diversité qui fait l’unité.

Pourquoi un gamin qui déjà n’est pas né au bon moment, parfois dans une famille où ce n’est pas tout rose, puisse encore croire en un avenir lorsqu’il se retrouve dans « une classe foutoir » ! Bien sûr, allez-vous me dire, ainsi on protège peut-être la scolarité de soixante gamins en ayant une vingtaine de perdus. C’est la philosophie des dommages collatéraux !

Seulement, on oublie que parmi ces « kaïras », il y a des enfants à sauver, des gamins qui ont parfois un don pour la musique ou pour le théâtre, des jeunes qui adorent la mécanique ou la cuisine. Notre société est focalisée sur les professions dites nobles : polytechniciens, médecins, pharmaciens, notaires, en oubliant que pour faire un monde, il faut de tout, aussi bien des boulangers que des éboueurs, des policiers que des plombiers. Il faut aussi bien des matheux que des intellectuels ou des artistes !

Notre monde ne peut vivre qu’en intégrant toutes ces données …

Ah si nos politiciens pouvaient regarder les très beaux films qui leur permettraient peut-être ( même si j’ai un doute) d’enlever leurs œillères .

« Écrire pour exister »

« Le cercle des poètes disparus »

« Entre les murs »

« La vague »

« Être et avoir »

Et beaucoup de films américains ou de chansons superbes comme « Gangsta’s paradise ».

 

Regardez, écoutez, et changez votre manière de voir cette jeunesse qui hurle et peut-être le monde changera.

 

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