( 17 juillet, 2019 )

Écrire, ouvrons notre imagination !

Partout je lis : « À quoi cela sert-il d’écrire puisque le monde éditorial est bloqué ? »

Écrire, ça sert simplement à être heureux. Écrire, c’est poser des mots pour faire danser les nuages. Écrire, c’est offrir l’opportunité à l’imaginaire de s’envoler.

Peu importe si l’écrit ensuite est lu, une personne qui aime vraiment écrire s’en moque complètement. Elle écrit juste pour sentir sa plume s’enflammer.

J’ai toujours écrit, toute ma vie, et pourtant mon premier livre n’est sorti qu’il y a six ans ! L’idée d’être lue ne m’avait jamais traversé l’esprit. J’avais juste ce besoin de remplir des pages ( car jusqu’à il y a six ans, je n’écrivais que sur des carnets, c’est encore le cas, mais pas exclusivement). Quand je lis des auteurs qui râlent et sont prêts à renoncer à écrire parce qu’ils ne vendent pas beaucoup, parce que cela ne sert à rien, une petite voix me dit que ce ne sont pas des plumes « dans l’âme ». Quand on aime écrire, on ne peut pas s’en passer. Peut-être n’écrit-on pas nécessairement des manuscrits, ce sera alors des articles, des poèmes, un journal, mais cette nécessité de placer les mots que l’on a dans la tête s’inscrit comme une évidence.

Comme je l’ai dit encore à mes élèves cette année, osez écrire ! Inventez des histoires farfelues, burlesques, tordues, cherchez des informations pour les étayer. Vous verrez ! Ces moments se révèleront magiques et ensuite, vous ne pourrez plus vous en passer !

 

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( 16 juillet, 2019 )

Hommage à ceux qui rêvent …

J’ai toujours été une grande rêveuse, c’est certainement ce qui m’a incité à écrire des histoires dès le plus jeune âge. Je trouvais cela merveilleux de pouvoir poser sur le papier ses rêves. En classe, j’avais souvent l’esprit qui partait vagabonder parfois très loin. J’étais donc étourdie, un peu tête en l’air. Cela amusait mes camarades. En vieillissant, j’ai travaillé sur ce que je pensais être un défaut, jusqu’à devenir une personne très organisée, structurée, mais au fond de moi, je restais cette enfant qui aimait surtout rêver les yeux ouverts.

J’aime toujours regarder les nuages, ces formes qui dessinent dans le ciel, ce soleil qui met une touche de lumière. Ne serait-ce pas un éléphant que l’on voit, là ? Ou bien une licorne ? Et ce géant qui s’avance à droite ? Lesquels des deux va-t-il affronter ?

Trop souvent, on empêche aux enfants de rêver, leur offrant une overdose d’activités ou de jeux variés. Ces petits mignons, il faut les occuper ! On peut se demander si ce n’est pas une façon d’avoir la paix. Alors à tous ces parents, j’ai juste envie de leur dire : offrez-leur un crayon et un papier et laissez-les simplement dessiner, ou bien autorisez-les à fermer les yeux et à s’envoler vers ce pays imaginaire celui de Wenny et Peter Pan.

L’homme est fait pour rêver et croyez-moi, il n’y a que les imbéciles qui ne comprendront pas que le rêve est la clé de la sérénité.

 

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( 15 juillet, 2019 )

Le recul devant l’obstacle.

 

De nombreuses personnes ont le réflexe de reculer face à un obstacle, de faire ce pas en arrière qui va parfois les pousser tout simplement à ne plus avancer. Il est bien plus facile de lâcher ses efforts que de se faire violence pour escalader les montagnes. Et pourtant, il ne faut jamais reculer devant la difficulté, parfois juste par nécessité faire un petit détour et prendre un autre chemin. Même si la route sera plus longue, l’important est d’avoir tenté. On ne peut savoir à l’avance si ce sera ou non une réussite, mais on ne pourra le découvrir que si on a essayé.

Reculer est intimement lié à une peur qui trop souvent paralyse, bloque, peut même égratigner le jugement. Beaucoup de personnes s’empêchent de vivre par crainte de mal faire, par manque de courage.

Seulement aucun rêve ne peut se réaliser sans un minimum d’effort et il est très important de se forcer à faire ce petit pas qui peut changer toute une vie ! Oser avancer quoiqu’il arrive et surtout sans jamais se retourner !

 

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( 14 juillet, 2019 )

Édition et droits de préférence.

 

Vous avez été nombreux à réagir par rapport aux clauses différentes selon les contrats d’édition et en particulier le droit de préférence voire d’exclusivité que demande impérativement certaines ME.

Il faut savoir que la clause d’exclusivité ne concerne que l’oeuvre par le Code de la propriété intellectuelle, tandis que la clause de préférence concerne les manuscrits à venir du même genre et doit-être stipulé dans le contrat.

La clause de préférence est légale selon l’article L.132-4 qui fixe les règles du droit de préférence, celui-ci porte sur cinq œuvres d’un genre déterminé, le premier ouvrage publié faisant partie du décompte, ou sur cinq ans à compter de la signature du premier contrat.

Il faut donc savoir que dans ce cas, lors de la présentation d’un autre manuscrit du même genre, sans réponse positive dans les douze mois suivants l’envoi du second manuscrit, l’auteur peut prospecter ailleurs et l’éditeur ne pourra rien dire.

« Article L. 131-1 du Code de la propriété intellectuelle

La cession globale des œuvres futures est nulle.

Article L. 132-4 du Code de la propriété intellectuelle

Est licite la stipulation par laquelle l’auteur s’engage à accorder un droit de préférence à un éditeur pour l’édition de ses œuvres futures de genres nettement déterminés.

Ce droit est limité pour chaque genre à cinq ouvrages nouveaux à compter du jour de la signature du contrat d’édition conclu pour la première œuvre ou à la production de l’auteur réalisée dans un délai de cinq années à compter du même jour.

L’éditeur doit exercer le droit qui lui est reconnu en faisant connaître par écrit sa décision à l’auteur, dans le délai de trois mois à dater du jour de la remise par celui-ci de chaque manuscrit définitif.

Lorsque l’éditeur bénéficiant du droit de préférence aura refusé successivement deux ouvrages nouveaux présentés par l’auteur dans le genre déterminé au contrat, l’auteur pourra reprendre immédiatement et de plein droit sa liberté quant aux œuvres futures qu’il produira dans ce genre. Il devra toutefois, au cas où il aurait reçu ses œuvres futures des avances du premier éditeur, effectuer préalablement le remboursement de celles-ci. »

 

Si l’éditeur refuse le second manuscrit par exemple, la clause peut-est annulée. Si l’auteur refuse de signer le contrat du second manuscrit, il ne pourra proposer son roman dans d’autres ME et devra se tourner vers l’autoédition pure. Par contre une préférence « tous genres confondus » est illégale et sera préjudiciable à l’éditeur.

On se doute sinon de l’abus de certaines ME qui pourrait conserver des manuscrits en attente durant des années. Une édition intelligente, si le roman est bon, continuera l’aventure avec l’auteur, et vis versa. L’idéal reste la bienveillance et une bonne entente entre éditeur et auteur reste la clé de la réussite d’un livre !

 

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( 14 juillet, 2019 )

S’aimer soi-même pour aimer l’autre ?

Avec certitude, je dirais que l’on ne peut pas aimer les autres si on ne s’aime pas soi-même. Malheureusement dans notre société, les gens sont de plus en plus égoïstes, centrés sur eux, simplement parce que dans leurs inconscients, ils ne s’aiment pas. Ces individus ont tellement été blessés, en général dans leur enfance, qu’ils ont construit une armure solide comme un roc. Pourtant , au fond d’elles, ces personnes sont en demande d’amour, prêtes à tout pour tomber amoureuses même de la première personne qu’elles rencontrent susceptible de combler ce vide. Seulement, aimer l’autre, ce n’est pas juste désirer l’autre, ce n’est pas vouloir le ou la garder en cage pour exister, ce n’est pas vouloir être aimé.

Aimer passe par s’aimer, c’est à dire être ce que l’on est vraiment, sans floriture, sans masque, sans mensonge. S’aimer, c’est accepter notre propre imperfection, nos rides, nos cheveux blancs, nos kilos en trop, nos grains de folie, nos coups de gueule, c’est être pleinement conscient que l’on ne détient pas la vérité et que nous sommes des êtres imparfaits, capables d’erreurs. Si nous nous aimons, nous pouvons accepter nos faiblesses et ainsi pardonner aux autres leurs erreurs.

Trop d’hommes se pensent au-dessus des lois, au-dessus de la réalité, prenant leurs propres intuitions ou ressentis pour ce qui est, simplement parce que réaliser qu’ils ont fait une erreur de jugement leur est impossible et reviendrait à briser cette image « parfaite » de ce qu’ils sont, qu’ils ont mis des années à forger. Ces personnes ne s’aimant pas, ne peuvent aimer les autres et s’enlisent dans une spirale sans fin où elles attendent que les autres les aiment comme elles veulent, et si cela ne fonctionne pas sur le schéma qu’elles ont dessiné, décidé, la relation amicale ou amoureuse va vite tourner au cauchemar. Ainsi naissent les relations toxiques que nous avons tous rencontrées un jour.

Cela ne veut pas dire que s’aimer soi-même empêche de tomber dans ces pièges, mais cela permet d’amortir la chute. À savoir : Je m’aime donc j’aime les autres sans limite sans les contraindre, je n’attends rien d’eux, car je me suffis à moi-même.

Ainsi le bonheur que l’on partage autant avec ses amis que ses amoureux est véritable. Ce n’est pas la résultante d’un vide ni d’un besoin encore moins d’un désir, c’est juste l’évidence d’un bien-être qui va pouvoir se vivre dans un équilibre total.

 

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( 13 juillet, 2019 )

La fermeture des petits hôpitaux.

On y va fort en ce moment dans les fermetures de service voire de locaux, comme ces maternités de province ou ces services pédiatriques qui ont mis la clé sous la porte.

Comment une société peut-elle en arriver à imposer à des futures mamans d’accoucher dans une maternité à presque cent kilomètres ? N’est-on pas en train de perdre le bon sens et l’empathie au nom du bénéfice financier ? Une maman enceinte de huit mois qui n’a pu arriver à temps et a accouché d’un bébé mort, où est l’humanité ?

Les hôpitaux ferment car ils ne sont pas rentables. Les médecins désertent les campagnes et préfèrent s’agglutiner dans les grandes villes. Même dans nos villes limitrophes, les départs en retraite ne sont pas remplacés et le nombre de patients sans médecin ne cesse d’augmenter. Égaux dans le système de santé ? Pas tant que cela ! Combien de malades actuellement n’arrivent pas à obtenir un rendez-vous avant deux jours ? Je ne parle même pas des urgentistes qui eux sont de plus en plus sollicités à tel point que l’attente peut dépasser quatre heures. Ayant beaucoup utilisé ce service il y trente ans, il ne se passait pas une heure entre l’appel et l’arrivée du médecin.

Au lieu de payer des cures hors de prix à certains, de prescrire des ordonnances dont la moitié des médicaments sont inutiles, ne serait-il possible de lutter contre certains abus afin que chaque individu puisse avoir des soins de santé sécurisés ? Ne devrait-on pas imposer, comme pour d’autres corps de métiers, l’obligation pour les médecins fraîchement diplômés d’exercer dans des postes où il y a un manque ? Et surtout, au lieu de sa battre contre le déficit de la sécurité sociale, ne serait-il pas nécessaire de cesser d’engraisser les pharmaciens ? Pourquoi ne pas jeter un coup d’oeil sur d’autres pays européens où sera vendu plutôt qu’une boîte de vingt comprimés, un nombre correspondant exactement à la prescription du médecin ?

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( 12 juillet, 2019 )

Ces enseignants, nos héros.

 

Une fois la clé tournée, les souvenirs me reviennent en masse avant d’aller se ranger définitivement dans différents tiroirs. Je repense à toutes ces années, à tous ces enfants que ma route a croisés, à tous ces projets que j’ai menés à terme. Ces petites frimousses hilares dont j’ai oublié le nom, ces sorties dont le souvenir s’est estompé, ces intervenants qui m’ont serré les mains. Des prénoms clignotent, ceux des diablotins qui m’ont souvent poussé à bout, qui ont perturbé notre année, mais qui au fond n’ont été que des enfants. Une vie de prof bien remplie.

Alors quand je lis ces derniers jours des commentaires acides sur les enseignants, sur leur comportement, pestant sur ce métier tellement privilégié, j’ai envie de riposter une dernière fois afin de leur dire que la vie de prof n’est pas un long fleuve tranquille. Passer six heures avec trente gamins, cela veut six heures derrière une caisse au supermarché ( et croyez-moi, j’ai testé les deux).

Être enseignant, c’est supporter des décibels au-delà de ce que le commun des mortels peut imaginer, c’est perdre sa voix les semaines de rentrée à force de trop parler, c’est avoir les yeux partout pour garder les élèves en sécurité, c’est ce stress qui prend à la gorge quand la fatigue s’invite. Être enseignant, c’est anticiper, tout le temps. C’est aussi affronter la débilité de certains adultes, pires que les enfants, prêts à nous pointer un pistolet sur la tempe simplement pour satisfaire leurs convictions. Être enseignant, c’est accepter la hiérarchie, le mot d’ordre « #pas de vague » même si cela nous bousille la vie, c’est courber le dos sans un mot parce que parler nous est interdit.

Alors non, la vie de prof n’est pas celle d’une personne effondrée sur son canapé, car ce sont des heures debout sans parfois avoir le temps d’aller faire pipi à la récréation. Et quand je lis que les enseignants sont des nantis car ils peuvent « jouer » à Internet toute la journée, j’ai envie d’éclater de rire. Non, je n’ai pas eu Internet durant vingt-sept ans dans mes classes, jamais, même la 3G sur les téléphones ne passaient pas. Et ceux qui disent cela n’ont jamais mis un pied dans une salle de classe où l’attention est constante.

La vie d’enseignant est celle d’un héros, car quoiqu’en disent les langues de vipère, enseigner, c’est planter des graines qui un jour finiront en magnifiques fleurs !

Enseigner restera toujours dans mon coeur le plus beau métier du monde, et je me montrerai toujours aux côtés de ceux qui doivent affronter les critiques et le négativisme.

 

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( 11 juillet, 2019 )

Les armes en vente livre.

Certes, j’écris des polars et j’adore les thrillers mais je suis totalement non violente et je déteste les armes à feu. Je suis contre la vente d’armes, même avec une autorisation de port d’armes, à des particuliers. Autant pour les policiers, les gendarmes, cela passe, mais quand on voit le nombre de civils dans notre bonne vieille France avec un flingue en poche, j’ai des envie de vomir. L’exemple des States ne suffit-elle pas? Auto défense disent certains. Ben voyons ! Comme si avoir un pétard chez soi était la solution ! On s’imagine sans problème le mec parano qui dans un instant de pétage de plomb va tirer sur tout ce qui bouge ou le trouillard qui se promenant la nuit va pointer son arme face à la moindre feuille qui tremble.

Quitte à choquer certaines personnes, ceux qui aiment les armes sont pour moi des psychopathes en puissance. Aucun individu ne me fera croire que l’achat d’une arme est un geste innocent. Une arme, c’est fait pour tuer, rarement pour dissuader, et il faut vraiment avoir quelque chose qui ne tourne pas rond pour souhaiter délibérément la mort de quelqu’un.

Comment un enfant vivant dans une famille où le paternel se rend sans cesse au stand de tir, pour le plaisir, pourra-t-il faire la différence entre les différents types de violence ? Comment surtout peut-on être sûr que la personne sympathique et souriante ne se trouvera pas un soir avec une pulsion incontrôlable qui la poussera à tirer sans raison ?

Je le redis : NON à la vente des armes que ce soit libre ou sur les coins sombres du web. Une société ne peut s’épanouir que dans une communication bienveillante et non derrière des masques prêts à pointer un flingue sur notre tempe.

 

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( 10 juillet, 2019 )

Lire, c’est …

J’ai tendance à beaucoup trop souvent parler de l’écriture qui est une de mes passions, mais lire en est aussi une. Peut-être même ai-je écrit parce que justement j’aimais lire avant de savoir vraiment écrire ? Lire, c’est plonger dans des paysages vertigineux où personne ne va dans la réalité, c’est ressentir des émotions que parfois on a oubliées, c’est s’envoler vers un futur qui n’existera peut-être jamais. Lorsque je lis, je m’entoure d’une bulle presque indestructible qui me préserve du monde extérieur. La lecture, c’est la nourriture de l’esprit. Malheureusement, la jeunesse ne lit plus, elle préfère s’adonner aux manettes de leurs jeux vidéo. C’est un effroyable gâchis ! Lire, c’est voyager au-delà du réel, bien plus fort que de combattre un méchant dans un jeu. J’aime lire ! Non, c’est faux, j’adore lire. Je ne peux passer une seule journée sans ouvrir un livre même si depuis quatre ans, je lis surtout des numériques donc je devrais dire allumer mon livre. Le résultat est le même. J’ai besoin de me plonger dans des phrases relatant un vécu imaginaire. J’aime lire presque tous les genres avec une réticence tout de même pour la Fantasy.

Lire, c’est ouvrir chaque soir une porte nouvelle rien que pour nous.

 

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( 9 juillet, 2019 )

De la dynamite !

Les P’tits Poèmes-Slams Rigolos et Ironiques, Dérangeants ou Étranges – tome 2

De Mary Neil’s

 

Je remercie Mary Neil’s pour m’avoir permis de découvrir ce second tome, différent du premier, mais tout aussi agréable à lire.6F3C7C0D-ADB1-424A-9B43-E343A433BDAD

J’adore l’humour à fleurs de peau de cette auteure qui sait nous dépeindre avec verve des situations que nous avons peut-être tous vécues nos proches ou nous-mêmes, tellement criantes de vérité que même dite avec humour elles retracent bien certaines douleurs de la vie.

Une vie pleine de tendresse comme ce clin d’oeil à nos anciens dans «

Age du voisinage » ou un coup de gueule préventif comme dans «

Cap Hot », de nombreux textes sur l’homosexualité, un qui m’a interpellé sur un sujet tabou « Handi… enVie… » très poignant, sans ou lier l’hilarant « Syndrome « C » …Grrr ! » qu’effectivement nous avons tous connu !

Un recueil à savourer sans modération !

 

 

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