( 31 juillet, 2023 )

Thyroïde et Basedow

Nous sommes tous différents. Nous avons tous besoin d’être écoutés. Mais nous ne pouvons pas tous être soignés de la même manière avec les mêmes molécules.
Il n’empêche que des questions récurrentes se posent.

Qu’est-ce qu’une thyroïdectomie ?
La thyroïdectomie consiste à retirer de manière chirurgicale la thyroïde. L’ablation peut être totale, subtotale ou partielle en fonction de la pathologie originelle. De même, l’opération peut être pratiquée avec ou sans curage. La thyroïdectomie est généralement réalisée sous anesthésie générale, mais certaines techniques d’hypnose permettent également une opération non médicamenteuse.

Qu’est-ce qu’une thyroïdectomie ?
La thyroïdectomie consiste à retirer de manière chirurgicale la thyroïde. L’ablation peut être totale, subtotale ou partielle en fonction de la pathologie originelle. De même, l’opération peut être pratiquée avec ou sans curage. La thyroïdectomie est généralement réalisée sous anesthésie générale, mais certaines techniques d’hypnose permettent également une opération non médicamenteuse. aboutissent au larynx pendant l’opération. Une difficulté est la proximité des parathyroïdes. Situées derrière la thyroïde, ces quatre petites glandes régulent le taux de calcium dans le sang. On mesure en général le calcium et la vitamine D fréquemment donnée après l’intervention. En général, s’il y a un déficit en calcium, il est transitoire et le traitement peut être arrêté. Dans les cas très rares où le déficit est permanent, le traitement est donné à vie et la calcémie surveillée régulièrement.

Quelles sont les complications d’une thyroïdectomie ? La thyroïdectomie fait partie des opérations qui ont le moins de complications. Après le traumatisme de l’opération, dans de rares cas, il arrive que les glandes parathyroïdes s’arrêtent temporairement de fonctionner. Cet état est transitoire et peut être corrigé avec la prise de calcium. En général, le traitement n’excède pas 21 jours. Lors de l’opération, le nerf récurrent peut être victime de lésions. Cela peut occasionner des paralysies de la corde vocale correspondante. Ce traumatisme est transitoire. De manière rarissime, il arrive qu’un hématome compressif se forme dans les heures qui suivent l’intervention. Cette complication est la seule qui induit une urgence vitale et nécessite une nouvelle opération. Comme pour toute opération, une infection de la plaie peut se produire. Elle est exceptionnelle et sans gravité. Quelles sont les suites postopératoires d’une thyroïdectomie ? Si l’opération se passe bien, le drain est retiré dans les 24 à 48 heures et l’alimentation peut être reprise dès le lendemain de l’intervention. La sortie survient généralement dans les 3 jours. La cicatrice est laissée à l’air libre, mais ne doit pas être mouillée pendant minimum 10 jours. Des hormones thyroïdiennes sont généralement prescrites. Le traitement doit être suivi à vie.

Durant Basedow : La survenue de troubles mentaux, en particulier de l’humeur, au cours des affections thyroïdiennes est connue depuis plus d’un siècle. La survenue de troubles mentaux au cours de pathologies endocriniennes est un fait établi depuis plus d’un siècle. Réciproquement, des traumatismes psychologiques peuvent avoir un rôle dans le déclenchement de certaines endocrinopathies, comme dans la maladie de Basedow. Ces dernières années ont vu le développement des examens neuroendocrinologiques chez des patients atteints de troubles psychiatriques indemnes de toute affection endocrinienne, afin d’évaluer l’activité du système limbo-hypothalamo-hypophysaire. Si de nombreuses anomalies neuroendocriniennes ont été décrites au cours des troubles psychiatriques, les méthodologies qui sous-tendent de telles explorations sont loin d’être standardisées. Ainsi, les résultats qui en découlent, parfois contradictoires, se doivent d’être évalués de manière critique. Les tests neuroendocriniens demeurent de précieux outils d’investigation mis à la disposition du clinicien et du chercheur, mais leur pertinence dépend du contexte dans lequel ils sont utilisés. En résumé, ce texte montre que Basedow peut être à l’origine de troubles du comportement parfois violents. Un exemple médical est rapporté pour illustrer ces faits : La famille a noté progressivement l’apparition d’une irritabilité et d’une insomnie marquée. La patiente a commencé à présenter des états d’agitation répétés, à verbaliser des propos incohérents, un vécu persécutoire. Cette évolution s’est faite d’un seul tenant sans retour à l’état pré morbide, et devant l’aggravation progressive de sa symptomatologie, la patiente a été ramenée en consultation psychiatrique par sa famille. L’examen psychiatrique a trouvé une patiente instable sur le plan psychomoteur, avec une angoisse très marquée. L’exploration de la pensée a révélé la présence d’un syndrome délirant mal systématisé, à thème de persécution, à mécanisme intuitif et rapporté avec conviction et forte charge affective, ainsi que la présence d’éléments dissociatifs avec des réponses à côté et des verbigérations. Cette patiente était simplement atteinte de Basedow.

Bien diagnostiquer Basedow est important si on veut éviter une crise thyréotoxique. La crise thyréotoxique, ou intoxication par les hormones thyroïdiennes, se produit lorsque la thyroïde s’emballe et relâche rapidement une grande quantité de T3/T4. Cette crise est une urgence médicale grave, car elle peut déclencher une fièvre élevée, une insuffisance cardiaque ou un coma. Elle reste relativement rare. Autrefois, la crise thyréotoxique était toujours mortelle. Aujourd’hui, les soins d’urgence permettent de la traiter dans la grande majorité des cas. Les traitements L’objectif des traitements est de retrouver un fonctionnement normal de la thyroïde afin, d’une part, de soulager la personne atteinte de la maladie de Basedow et, d’autre part d’éviter la survenue de crises aiguës thyréotoxiques, caractérisées par une accélération du rythme cardiaque pouvant causer une insuffisance cardiaque grave.

On distingue deux types de traitements : l’un dit conservateur, qui « garde » la thyroïde et d’autres, plus radicaux qui la détruisent. Le traitement conservateur est médicamenteux. Le malade doit prendre un antithyroïdien de synthèse pendant une durée de 12 à 18 mois en moyenne. Après les premières semaines de traitement, la THS reste très faible, et le restera souvent plusieurs mois, mais la T4 ou la T3 peuvent être de nouveau normales. Après 18 mois de traitement, le médecin décide d’une diminution progressive de la posologie des antithyroïdiens de synthèse jusqu’à l’arrêt final. Une surveillance annuelle se poursuit pendant deux à trois ans. En cas de récidive, soit le traitement conservateur est repris, soit il est envisagé de recourir à un traitement radical. Il existe deux traitements radicaux : – L’ablation chirurgicale de la thyroïde. – La prise d’iode radioactif. Les deux traitements sont le plus souvent suivis d’une hypothyroïdie nécessitant un traitement hormonal substitutif à vie par des hormones thyroïdiennes. Le traitement de l’hyperthyroïdie par les antithyroïdiens de synthèse Les antithyroïdiens de synthèse réduisent la production d’hormones par la thyroïde. Ils permettent d’obtenir des valeurs normales en 3 à 8 semaines. Un traitement d’entretien doit ensuite être poursuivi pendant plusieurs mois. Les effets secondaires des antithyroïdiens de synthèse : – Allergies cutanées, – Retentissement hépatique avec augmentation des enzymes hépatiques, -         Chute du taux des globules blancs, surtout réaction immuno-allergique brutale avec chute massive des globules blancs survenant le plus souvent en début de traitement. Des analyses de sang régulières sont nécessaires durant le traitement : – Pour surveiller l’évolution du taux des hormones thyroïdiennes et de la TSH, – Pour contrôler la numération sanguine (essentiellement nombre de globules blancs) et la fonction hépatique en raison des possibles effets secondaires. Des médicaments parfois utiles pour soigner les conséquences de l’hyperthyroïdie : Les antithyroïdiens de synthèse réduisent la production d’hormones par la thyroïde. Ils permettent d’obtenir des valeurs normales en 3 à 8 semaines. Un traitement d’entretien doit ensuite être poursuivi pendant plusieurs mois. Les effets secondaires des antithyroïdiens de synthèse : – Allergies cutanées, – Retentissement hépatique avec augmentation des enzymes hépatiques, -         Chute du taux des globules blancs, surtout réaction immuno-allergique brutale avec chute massive des globules blancs survenant le plus souvent en début de traitement. Des analyses de sang régulières sont nécessaires durant le traitement : – Pour surveiller l’évolution du taux des hormones thyroïdiennes et de la TSH, – Pour contrôler la numération sanguine (essentiellement nombre de globules blancs) et la fonction hépatique en raison des possibles effets secondaires. Des médicaments parfois utiles pour soigner les conséquences de l’hyperthyroïdie
- Des bêta-bloquants pour réduire les troubles du rythme cardiaque (tachycardie).
- Des corticoïdes pour les troubles oculaires de la maladie de Basedow.

50% des Basedow guérissent au bout de dix-huit mois. D’autres vont avoir recours à la prise d’iode. L’ablation sera le dernier choix. Il est parfois plus difficile sur le long terme de vivre sans thyroïde.

Texte protégé par Copyright 2022

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( 8 janvier, 2023 )

Ces lectures dites « faciles »

Comme elles sont dénigrées ces lectures dites faciles beaucoup commentées ces jours-ci depuis le décès de l’écrivaine Francoise Bourdin. Pas de la littérature disent certains. Mais comment certaines personnes peuvent-elles juger qu’un livre est de la bonne lecture plutôt qu’un autre ? L’époque des Zola, des Hugo, des auteurs que l’on s’est farcis en classe est révolue ! On peut aimer les classiques sans pour autant cracher sur d’autres écrits.
Personnellement je n’ai jamais lu de romans de Françoise Bourdin, à ma grande honte et je pense faire un tour à la médiathèque prochainement pour y remédier. Il faut que cessent les aprioris sur les lectures faciles. Même les romans Harlequin ont leurs bons côtés, simples à lire dans le RER ou quand on a un coup de blues. Le tout est de lire et je ne cesserai jamais de le dire mieux vaut lire des lectures simples telles que des romans de gare, des BD, des Mangas que de ne pas lire du tout !

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( 30 juillet, 2022 )

Pourquoi j’ai craqué pour l’aquaBike ?

Faire du sport passé la cinquantaine semble toujours incongru pour la jeunesse qui pense que cette tranche d’âge ne pratique que le yoga. Moi, je n’aime pas trop le yoga ou plutôt c’est le yoga qui ne m’aime pas. J’ai essayé et je reste lamentablement « coincée » après une séance. Comme vous le savez je marche beaucoup, mais j’avais besoin de cours collectif. La gymnastique de mémère n’étant pas pour moi, une copine m’a orientée vers des cours Aqua, Bike et Aquagym, et là ce fut la révélation ! Pas de douleurs lors de la pratique ( vive l’eau !) et un bien-être en sortant ( j’ai dormi comme un bébé !)

Pour les indécis, les bienfaits sont nombreux. D’abord ce sport fait travailler le cardio au niveau de l’endurance. C’est également excellent pour la circulation du sang avec un effet similaire à des drainages lymphatiques. L’aquabike est également très bon pour les articulations, car contrairement à la gym, l’eau ne crée ni douleur ni lésion. Et puis pour les adeptes du poids, c’est un sport qui permet de perdre des kilos. Sur ce dernier point, on se donne rendez-vous dans six mois ! Associé à l’aquagym, on assiste à un sport complet sans brutalité.

Je n’ai pas d’actions dans les salles d’AquaBike, mais j’ai eu un tel coup de coeur que je voulais vous faire partager mon expérience. En clair, foncez !

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( 28 juillet, 2022 )

Cet attachement nocif au passé

Certaines personnes ont la fâcheuse tendance à ne vivre que dans le passé, ruminant une haine souvent injustifiée ou à l’inverse fantasmant sur des ex qui pourtant ne subissaient pas leurs éloges lorsqu’ils étaient ensemble. Je les appelle les «  jamais contents ! » Ils sont épuisants pour les autres. Ils réalisent complètement le dicton :  « L’herbe est plus verte ailleurs ! » Ils ont dans leur lit une femme ou un homme qu’ils disent aimer et pourtant ils vont s’empresser dès que cette dernière a le dos tourné d’aller téléphoner à leurs anciens coups de cœur ou simplement remplir leur téléphone de photos de leur ancienne compagne qu’ils disaient détester. ( je mets au masculin car cela semble plus courant chez les hommes même si certaines femmes y sont sujettes) Autant pour un roman cela fait des personnages haut en couleur, autant dans la réalité je m’interroge sur de telles attitudes. Quel besoin de s’attarder ainsi sur le passé ? Peut-être est-ce un moyen de rester celui ou celle que nous étions plus jeunes ?  Une chose est sûre, chaque expérience que nous avons pu vivre, que nous avons subi même en serrant les dents a fait de nous ce que nous sommes. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il faut s’arrêter sur le passé, car comme vous le savez, pour moi seul l’Instant est important. Ne nous encombrons pas la route ! Elle est bien assez cahoteuse !

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( 27 juillet, 2022 )

Basedow et compagnie

L’été, c’est le bon moment pour se mobiliser, pour se regrouper, pour continuer le combat pour la reconnaissance de TOUTES les pathologies thyroïdiennes. L’association l’envol du papillon se bat depuis des années et continue en proposant cette fois les témoignages de deux personnes atteintes de Basedow et de cancer de la thyroïde. Nous rappelons que pour Hashimoto, le livre « Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie » est toujours en vente.

Plus de personnes connaîtront les handicaps, car ce sont des handicaps, le mot n’est pas trop fort, liés à cette maladie, plus nous aurons du pouvoir pour convaincre !

Alors, comme disait le grand Coluche : on compte sur vous !

 

https://www.amazon.fr/dp/B0B566LY4Z/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=XVKPTETYG2PC&keywords=LA+VIE+CHANGE+Basedow%2C+cancer+thyroïdien&qid=1656326258&sprefix=la+vie+change+basedow%2C+cancer+thyroïdien%2Caps%2C138&sr=8-1

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( 27 juillet, 2022 )

Écrire toujours et encore …

Écrire est souvent thérapeutique, même si c’est loin d’être facile de poser ses émotions sur le papier. Tout le monde peut le faire, mais tout le monde n’en a pas le courage. Il y a même ceux qui ne comprennent pas ou qui ne veulent pas comprendre. Les bons médecins vont inviter leurs patients à se libérer de leurs angoisses en écrivant, peu importe si l’écriture est incertaine. D’autres toubibs suffisants, eux, vont critiquer cette démarche la jugeant « folle ». Je crois au pouvoir de l’écrit, j’y ai toujours cru. Je pense qu’écrire, c’est vraiment sortir de soi, c’est poser ses souffrances pour ensuite se libérer de l’oubli, de sa propre douleur. Écrire permet la résilience, permet d’avancer pour un jour pouvoir écrire pour les autres, des histoires qui ne seront que des histoires …  J’ai surfé par toutes ces routes avec ce besoin de dire ce que nul ne voulait crier, ces causes perdues qui devaient remonter à la surface, ces injustices oubliées.  Des mots sortis des marécages ont jailli. Des livres sont nés, imaginaires, parfois avec des intrigues bien tortueuses, peu importe, les mots ont un tel pouvoir, celui de permettre une renaissance à chaque fois, une façon en sortant de son corps de se reconnecter à son « moi ». Qu’elles s’appellent Nadia, Camille, Carla, Adelyse ou Victoire, ce sont toutes des femmes d’aujourd’hui, des survivantes, mes héroïnes.

Actuellement je danse chaque jour sur le fil des émotions avec ma Victoire dont le second opus se dessine au travers d’une intrigue encore haletante et j’aime vraiment ces moments de pure création.  Écrire fut thérapeutique, maintenant écrire est juste une passion, un moment où je me retrouve avec « elles et eux », mes personnages, mon univers imaginaire créé pour vous, mes fidèles lecteurs.

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( 26 juillet, 2022 )

Danser sur le fil de la vie

Il n’existe aucune méthode pour apprendre à vivre, même s’il y a de nombreux livres sur le sujet. Pourtant dès notre naissance, nous avançons sur le livre de la vie, en équilibre, trébuchant parfois, mais toujours en nous relevant. Notre vie est souvent un parcours du combattant, mais nous sommes tous des Warriors, des survivants. Nous rêvons tous d’une vie merveilleuse, sans obstacles, sans embûches, mais ce n’est qu’un simple rêve, car la réalité, ce sont ces marches que nous allons gravir jour après jour, parfois en serrant les dents, parfois la peur au ventre. Danser sur le fil de la vie, c’est vibrer au son des musiques que notre coeur crie, c’est chanter à pleine voix, même si on chante faux. Jusqu’à notre dernier souffle, nous devons danser sur ce fil même si l’avenir est sombre, même si la peur nous cloue au sol. Danser, toujours danser, et surtout ne jamais s’arrêter.

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( 25 juillet, 2022 )

Les souvenirs

Chaque année, après avoir pris un an, c’est un peu la claque des souvenirs qui remontent …

images d’hier se rappellent à ma mémoire. Des bougies soufflées lorsque nous en avions moins sur le gâteau que sur les doigts d’une main, celles soufflées en présence de nos disparus, celles que des larmes noyaient … tant de bougies déjà, bien plus qu’il ne nous reste d’années à vivre. Les souvenirs peuvent être aussi bien un soulagement qu’une douleur. Les souvenirs restent gravés dans notre mémoire comme des images, comme si notre cerveau les avait stockées. Même si cela fait mal, il ne faut pas endiguer le flot de souvenirs qui s’invitent lorsque nous tournons les pages de notre vie, et surtout plutôt que déprimer sur le temps qui passe, il faut s’attacher au temps qui nous reste afin de nous permettre de créer de nouveaux souvenirs. N’empêche que le retour des vacances s’avère toujours un peu difficile, alors je vais plonger dans ces souvenirs puis faire un saut hors de l’eau vers le soleil et la vie !

( 24 juillet, 2022 )

La sérénité

La sérénité se trouve dans la paix et est primordiale. Il faut la cultiver. Nous vivons tous avec notre « petit enfant intérieur » comme disent les psychologues, et cette paix doit être  en chacun de nous. Définir ses priorités, ses choix, ceux qui nous feront du bien, qui nous permettront d’avancer le sourire aux lèvres. Cela signifie également prendre de la distance avec les personnes agressives, aigries ou négatives.  Personnellement, même avec des ami-e-s que j’apprécie, si je ressens une tension de négativisme, je m’éloigne pour un temps. Longtemps, je fus une éponge émotionnelle, absorbant, jusqu’à ne plus y arriver.  Lorsque l’on a touché ses limites, on sait. Cette sérénité nécessite parfois que l’on se batte pour elle, parce qu’elle est souvent incomprise par les autres, particulièrement par « les vampires émotionnels » et passe surtout par une seule route, celle de vivre correctement son présent, sans regarder derrière soi. Parfois, nous passons par des épreuves difficiles, complexes, qui nous laissent des  blessures ouvertes, sans regarder en arrière ce qui n’apporte jamais rien de bon.

Ressentir dans son conscient serait peut-être une des clés de cette sérénité.

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( 23 juillet, 2022 )

Littérature jeunesse

Lorsque je passe dans une librairie ou des grandes enseignes comme la Fnac ou Cultura, je fais toujours un détour par le rayon jeunesse. Déformation professionnelle disent certains. Peut-être, mais pas que … Feuilleter un album pour enfants est un vrai plaisir, tout comme lire des romans-jeunesse. Ma passion s’est renforcée lorsqu’il y a quelques années, j’ai reçu la grande écrivaine Odile Weurlesse dans ma classe. Cette femme bienveillante, pleine de bonté, avait fasciné les élèves, et c’est ce jour-là où je me suis dit : « Un jour, j’écrirai « pour de vrai » … ». Quelques temps plus tard, certains se sont attribués mon envol vers l’édition, alors que c’est à cette adorable dame que je dois d’avoir osé.

Vous avez des enfants entre 7 et 11 ans et vous n’avez jamais lu un de ses livres. Foncez, pour n’en choisir qu’un : « la momie bavarde ».

Trop de parents achètent des mangas ou des BD. Je ne critique nullement. Ce sont des lecteurs, mais donner envie à un enfant de découvrir de belles phrases, ce n’est pas mal non plus !

En ce qui me concerne, je me suis promis cette année-là d’écrire un jour pour de jeunes ados. Je m’y engage ! Il me faut juste laisser ma paresse de côté !

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