( 14 juillet, 2022 )

L’alcool, fléau de l’été

Quand je vois des gosses de 12 ans-15 ans dans certains quartiers ou sur les lieux de vacances picoler déjà des canettes de bières, cela me fend le coeur. Beaucoup de personnes ne se rendent pas compte à quel point cette addiction régulière est un vrai fléau. La France est le pays du vin, comme tout le monde le sait, ce qui malheureusement donne toujours raison à ceux qui boivent un verre ou deux par jour. Être fortement alcoolisé depuis le Covid est même devenu une habitude pour de nombreuses personnes. Quand on s’ennuie, on picole ! C’est une triste réalité ! Pourquoi certains vont-ils sombrer dans l’addiction plus que d’autres ?

L’alcoolisme est une maladie. Longtemps, on traitait les alcooliques comme des dégénérés, des moins que rien, parce que l’on pensait que la personne ne faisait aucun effort alors qu’il n’en était rien. Il y a 1,5 millions de personnes alcoolodépendantes ce qui est énorme. On ne se sort pas facilement de l’addiction. Une personne alcoolique même si elle veut s’arrêter ne peut le faire seule ! J’ai lu dernièrement que c’était pour elle aussi compliqué que pour une personne avec des troubles de la mémoire de se souvenir d’un fait. L’alcoolisme est pervers, chaque personne ne réagit pas de la même façon. C’est la malchance ! Les uns supporteront une grande quantité d’alcool avant de devenir addict tandis que les autres ne pourront s’en passer en ne buvant que deux verres quotidiennement.

Vivre avec une personne alcoolique est extrêmement difficile, car elle peut  devenir irritable, trop exubérante, sans gêne, un peu comme si spontanément plus aucune morale ne le retenait, voire violente.

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Le plus dur, ce sont les enfants vivant dans des foyers où l’alcool coule à flots. Compliqué pour eux de retrouver une image d’eux qui ne soit pas lié à cette addiction, de se reconstruire.

Je le redis, l’alcool est un fléau ! Pour moi, c’est une arme pointée sur la tempe. Ma petite frangine en est morte. L’alcool tue. Personne ne devrait l’oublier, personne !

On apprend à l’école que la cigarette n’est pas bonne pour la santé mais rarement on parle de l’alcool. Est-ce parce que cela rapporte beaucoup d’argent à l’état ?

( 13 juillet, 2022 )

Dessiner chaque jour

Durant l’été, les cours que prennent les amoureux du pinceau, stoppent.  Beaucoup grognent, et pourtant, tout le monde a le droit de prendre des congés. Il n’empêche qu’il est important de continuer le dessin.  Le prof avec lequel je prends des cours dans ma petite ville nous incite à croquer chaque jour durant l’été un objet ou quelque chose de la vie quotidienne sur un carnet, sans oublier un jour, juste pour ne pas perdre la main. Mon carnet fut vite prêt ainsi que mon crayon. Je n’y arrive pas quotidiennement, car la mer reste ma priorité, mais je ne perds ni l’envie ni la main. Le but n’est pas de faire une œuvre artistique juste de crayonner n’importe quoi. Ainsi l’habitude sera une évidence , tout comme l’écriture l’est pour moi. Alors, faites comme moi, tentez l’expérience et bonnes vacances !

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( 12 juillet, 2022 )

Cette peur de l’abandon

Nous ne sommes pas maîtres de nos émotions tout comme de nos peurs. Certaines sont liées à notre enfance, incrustées bien au fond de nous. Très souvent, on ne se rend pas compte de cette blessure, qui va passer totalement inaperçue, dont les parents ne vont même pas se rendre compte. Seulement par moment il va arriver que cette douleur oubliée revienne. La peur de l’abandon est cruelle. C’est cette angoisse qui va serrer la gorge quand on pense que l’on va trinquer, que l’on va ressentir une peur inimaginable en présumant que « l’autre » va nous quitter. Alors on se met à souffrir par anticipation.

Ma génération a énormément souffert de cette peur de l’abandon simplement parce que l’on séparait les enfants de la maman dès la naissance. Il faut le savoir ce qui permet de la surmonter. Cette peur ressurgit au moment où on s’y attend le moins, souvent lors d’une broutille, d’une trahison aussi bien en famille, avec les amis, les enfants. Il est impératif de ne pas se laisser phagocyter par cette peur qui conduit de nombreuses personnes dans des excès addictifs comme l’alcool, les anxiolytiques, la drogue, voire le sexe. Il faut donc beaucoup de courage pour les surmonter, mais c’est possible en travaillant sur soi.

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( 11 juillet, 2022 )

La mer

« La mer qu’on voit danser … »  Ah la mer ! Peintres, écrivains, chanteurs, hommage perpétuel. La mer est si belle que l’on peut sans problème rester des heures à la contempler, un peu comme si elle était la mémoire de notre âme. Savez-vous qu’une étude scientifique et sérieuse a démontré que ceux qui vivent en bord de mer ou qui aiment passer du temps à la mer sont moins dépressifs que la moyenne, plus épanouis, plus heureux au final. C’est pour cette raison que l’on envoyait à la mer au siècle dernier les personnes fragiles. Moi, j’adore la mer depuis que je l’ai découvert à dix-huit ans. Mes parents détestaient la plage, trop futile pour eux. J’ai eu cette années-là une vraie illumination. Le soleil, le sable chaud, la douceur de la mer, pour moi, c’est le vrai bonheur, un plaisir à l’état pur. M’assoir sur la plage avec mon homme et rester à regarder l’infini … J’aime la mer et elle me le rend bien, même si les vacances passent trop vite.

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( 10 juillet, 2022 )

Ces genres livresques que nous aimons

Les bookivores aiment lire, c’est un fait. Ils sont capables de lire tout, mais aiment-ils pour autant tous les genres littéraires ? On a coutume de dire que les lecteurs de Thrillers ou polars tombent rarement dans la marmite d’un genre plus neutre. Aimer les polars, c’est aimer l’intrigue, le mystère. D’autres craqueront sur des romans d’amour qui vont développer un sentiment d’empathie voire de désir, un besoin de se glisser dans la peau des personnages pour quelques heures. Se plonger dans des aventures insolites, des expériences impossibles, sciences fiction, Fantasy en séduiront d’autres. Mais au final, est-ce si important le genre que nous lisons ? Lire, c’est plonger dans un univers dans lequel on va se fondre totalement, un univers qui ne va plus être que celui du livre, dans lequel on va disparaître totalement. Et c’est ça le plus important !

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( 9 juillet, 2022 )

Je bulle, et alors ?

Ben oui, c’est parti pour quelques jours de paresse ! Je bulle et c’est purement divin. Je fais partie des personnes qui ont du mal à ne rien faire. J’ai toujours détesté le vide, autant dans ma vie que dans le temps. J’ai appris à l’apprivoiser, non sans mal. Maintenant, j’aime avoir des moments où je ne fais rien, hormis laisser le soleil caresser mon corps, pouvoir fermer les yeux et atteindre les nuages, me laisser aller à simplement m’entendre respirer. Buller, c’est aussi lire en me vidant la tête, marcher dans les vagues avec l’homme que j’aime. Mon concept de vacances idéales. Un bonheur tout simple au final.

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( 8 juillet, 2022 )

L’importance des vacances

Que l’on soit enfants, salariés voire retraités, il est bon de prendre, si on le peut quelques jours de vacances, une fois l’an. Je sais que déjà les âmes critiques vont me lancer que les retraités sont toujours en vacances. Seulement, je parle dans cet article de vacances, non de vie sans travail, et des vacances, c’est coûteux, et les retraités, sauf une poignée, ne roulent pas sur l’or et ne passent pas leur vie en vacances.

Pourquoi ce break partir en vacances est-il si important ? Simplement parce que partir, c’est se reposer et revenir en pleine forme, pleine d’énergie. C’est s’éloigner quelques jours des taches quotidiennes, du ménage, des réunions prises de tête. Lorsque l’on rentre, on est plus léger, moins stressé. Prendre des vacances, paraît-il, mettrait même notre cerveau en mode pause et plaisir. Prendre des vacances rend heureux.

Les vacances sont bénéfiques, et je compte bien en profiter et vous ?

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( 7 juillet, 2022 )

Reconnaître les vraies victimes

Dernièrement je lisais les réactions sur un post où la personne se disait toujours du côté des victimes dans une procédure, peu importe ce qui en est de la réalité. Réaction rapide, intolérante, quand on sait que 70% des « bourreaux » ( pervers narcissiques, patrons à l’ego démesuré, conjoint violent etc ) se posent en victime, portent plaintes et obtiennent ainsi justice, une justice qui pour moi reste tronquée dans ce cas. Il faut vraiment faire attention aux mots que l’on emploie. Victime n’est pas toujours celui que l’on croit. On le voit aussi bien dans les médias que dans la vie, il est extrêmement facile pour des manipulateurs de se coller sur le front une étiquette de victime, d’attaquer, de détruire, sans jamais être intimidés. Toute ma vie j’ai été du côté des « vraies » victimes, celles qui se terrent, celles qui n’osent pas.

Certaines personnes passent leur temps à se victimiser sur les réseaux sociaux ( ou ailleurs), décrivant leur vie dans les moindres détails, les attaques d’untel, la bave d’untelle, l’agressivité d’une autre. Un besoin de se poser en victime. Ce comportement est pour moi irrespectueux envers les vraies victimes, celles qui se taisent, celles qui souffrent tant qu’elles n’arrivent plus à parler. Je suis indignée du pouvoir malsain qui se dégage de certains. Donnons une vraie reconnaissance aux vraies victimes, celles de l’ombre, celles qui ont osé dire non à leurs bourreaux et se retrouvent avec une plainte en retour, celles que l’on aura renvoyées de leur travail parce que leur pervers de patron a tranché.

Encore une fois, je ne suis pas une ultra féministe, mais il ne faut pas se mentir, notre société favorise l’homme ! Et ce n’est pas prêt de changer quand on voit le recul de la parité dans la composition du gouvernement !

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( 6 juillet, 2022 )

L’influence de la lune et des pierres

Fadaises de vieilles bonne femmes ou réalité, une chose est sûre plus de 80% des français croient à l’influence de la lune. Qu’on le veille ou non, la lune a une influence sur les marées, alors pourquoi pas sur les humains ? La lithothérapie qui donne un pouvoir aux pierres, constitue un moyen de traitement de diverses pathologies avec l’énergie que ces dernières dégagent. Pour que ces pierres « réagissent », il faut les recharger à l’énergie lunaire, bien plus efficace que l’énergie solaire. La pierre devra être irradiée par la lumière de la lune. Les pierres me fascinent. J’aime autant leur couleur que leur propriété. C’est pour cette raison que je prends autant de plaisir à écrire mon nouveau polar qui flirte avec intrigues et magie des pierres. En septembre, restez aux taquets ! Un grand concours pour découvrir la pierre sera lancé !

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( 5 juillet, 2022 )

Et si on commençait par la fin

Que se passerait-il si on commençait par la fin de notre histoire, si on savait par avance la date où nous tirerions notre révérence ? Qu’adviendrait-il de notre « nous », de notre libre arbitre ? Et si on commençait par la fin, aurions-nous les mêmes attitudes, les mêmes réactions ? Cette question m’interpelle énormément. Je n’ai pas de réponse pour une telle question que je vous livre comme un cadeau, un peu pour vous inviter à la réflexion. Et si on commençait par la fin … Ce pourrait être un beau titre de roman, non ? Pourquoi pas ?

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