( 15 juin, 2021 )

La passion des carnets

Ceux qui me connaissent le savent, je suis une amoureuse des carnets en tous genres, petits, gros, grands … peu importe. C’est comme une addiction qui dure depuis un demi-siècle. J’ai eu mon premier carnet à treize ans, et immédiatement j’ai noirci les pages jour après jour. Et si la vie m’a fait parfois stoppé bêtement, le résultat est là. Des dizaines de carnets s’empilent dans un carnet. Certaines personnes craquent sur des carnets juste pour leur look et conservent des tonnes de carnets vierges de mots. Ce n’est pas mon cas. Je choisis toujours un carnet en imaginant ce qu’il va contenir : mon journal intime, des synopsis de futurs romans, des récits, des poèmes … chacun aura une couverture différente, chacun aura donc des mots différents.

Je crois même que le plus grand plaisir est de commencer un carnet, un peu comme les enfants le premier jour d’école. On prend un beau stylo, on s’applique, on prend plaisir à écrire !

J’en profite pour remercier certaines amies qui se reconnaitront qui m’envoient de jolis carnets.  Histoire que je ne lâche pas ma passion !

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( 30 juin, 2014 )

Écrire un roman … Comment trouver un sujet ?

Question récurrente, revenant cycliquement. Discutant beaucoup sur les groupes d’auteurs FB, je peux affirmer sans trop me tromper ( réagissez si mon analyse est mauvaise) que 75% des premiers romans prennent leurs inspirations dans le passé des écrivains : anecdotes vécues, drames, histoires d’amour douloureuses, conduisant à des nouvelles, des romans de vie voir des recueils de poésie. Seulement 25% vont écrire une histoire totalement fictive ( il s’agit en général de SFF ou horreur, histoires Bit-Lit etc )
Pour vous répondre, ce que j’ai déjà fait à l’ouverture de ce blog, j’écris du fictif lié bien sûr à des histoires vécues ( par des personnes rencontrées tout au long de la vie ou sur les réseaux sociaux), je mets tous ces personnages avec leurs qualités, leurs défauts dans un shakeur, je mélange, et mes personnes prennent vie … Les sentiments m’avez-vous demandé ? On ne peut bien écrire que ce que l’on a vraiment senti ! J’ai envie, c’est vrai, de faire passer dans mes livres les sentiments qui m’animent, mon ressenti face à l’amour, face à l’amitié, face à l’absence ou à l’oubli, face aux erreurs que l’on ne peut effacer. Mais cela reste les sentiments de mes héros. Et plus j’écris, plus mes romans prennent leur propre indépendance. Dans BLEU, fait amusant, les nouveaux personnages sont nés d’un de mes rêves ! Tout bêtement …
Quant aux sujets d’un roman … C’est pareil … Fermez les yeux, rêvez, ouvrez-les puis écrivez ! Vous verrez ! Le résultat est surprenant !

( 29 juin, 2014 )

Le droit à l’oubli

La loi est passée … La création de ce droit à l’oubli numérique répond à un souci croissant des internautes de contrôler leur réputation sur internet et de protéger leurs informations personnelles. Excellente initiative ! Enfin, une protection de cet univers virtuel. Nos vies pouvaient par le biais du numérique se retrouver de plus en plus sur le devant de la scène sans notre accord. Certains adorent ! Moi, je déteste ! Pour exemple, j’ai été avertie dernièrement que sur une page Facebook  » Tu sais que tu vis … », mon nom apparaissait plusieurs fois de façons élogieuses, fort heureusement ! Mais j’étais très gênée de cette intrusion dans mon petit univers personnel.
Au-delà d’Internet, cette simple petite phrase m’interpelle. Le droit à oublier … Paradoxe ! Moi qui ai bossé toute l’année sur le devoir de mémoire … Mais à la lecture de vos retours très nombreux de mon dernier post, je me suis interrogée … L’amour impossible est une chose mais au fond, si vous êtes si nombreux à avoir suivi cet article hier, soixante seize ! Je sais ! Un con, dieu qu’il en existe sur cette terre, sur FB hier m’a dit qu’un  » vrai blog » tournait autour de deux cents ! Et bien tans pis ! Rougepolar n’est peut être pas un vrai blog mais vous y êtes fidèle et c’est le plus important ! Bref, tout ça pour dire si vous avez été si nombreux, c’est que cet amour qui n’existe plus pour vous, cet amour qui vous est interdit, vous ne pouvez pas l’oublier. La question étant pourquoi ? Est-ce parce que cet amour était si grand, si fort ou bien est-ce une sorte de devoir au fond de vous qui vous empêche d’oublier ?
La vie est tout sauf un long fleuve tranquille sur lequel il est difficile de garder le cap …
Certaines personnes sont comme une pièce de monnaie : deux faces et aucune valeur.
Certains donnent, d’autres ne donneront jamais … Une chose est sûre, si on souffre de trop donner à sens unique, peut-être est-il temps de cesser de traverser les mers pour quelqu’un qui ne sauterait même pas une vulgaire flaque d’eau pour vous …
C’est peut-être juste cela le droit à l’oubli …

( 28 juin, 2014 )

Un livre à gagner …

Le concours que vous attendiez tous …

Concours Facebook : un livre à gagner … ROUGE aux éditions Edilivre ..

Pour gagner un livre, il faut 1) répondre à 2 questions et envoyer la réponse en MP

a) ROUGE est sorti à quelle date ?
b) Quel est le titre du troisième tome ?

2) partager la page FB Rouge-Polar
3) partager le lien du blog

http://rougepolar.unblog.fr/

4) regarder ce lien :

http://www.cirac.org/club/Rouge-SG.htm

Un tirage au sort aura lieu le dimanche 6 juillet …

 

Et et gardez le contact ! À sa sortie, un concours sera aussi fait pour BLANC

( 28 juin, 2014 )

L’amour impossible …

Mon post d’hier a suscité de nombreux retours et je vous remercie de me suivre …encore et toujours … Vos compliments me vont droit au cœur …

Pour répondre à Nathy, j’ai écrit sur l’amour impossible … Un des chapitres de Carla lui est consacré …

Je vous en fais cadeau d’un extrait .

texte protégé par Copyright n° 00053990

 

Lui …

 

(….)

 » Était-ce vraiment aimer, qu’aimer autant ? Au point de ne plus pouvoir regarder un coucher de soleil sans penser à lui, un tableau sans imaginer avoir tenu, pour lui, le pinceau.

Un jour pourtant je me suis réveillée. Un mot, un geste, insignifiant a activé le déclic marquant l’instant. Soudain, la raison revient en force, repoussant les espoirs fous. Ce fut un jour ordinaire où tout allait bien, trop bien, un jour où rien n’aurait dû arriver. Une certitude pourtant s’est imposée. On se retrouve là, à espérer un mot, un geste qui ne vient pas, un changement qui n’est plus possible. La vérité se met à clignoter et s’écrit en lettres de sang.

Il est marié ! Bien sûr qu’il ne l’aime pas ! Sinon il ne serait pas aussi avec toi. Tu le sais, il le sait mais il ne le dira pas ! Tu es prise comme une souris dans un piège. Tu dois en sortir ! Tu ne vas pas rester ainsi des mois encore à espérer. S’il t’aimait autant que tu l’aimes, il t’aurait déjà offert une pluie d’étoiles …

Alors, tu prends ta décision. La plus difficile de ta vie. Tu provoques la rupture. Tu craques juste l’allumette, l’étincelle qui va tout briser. Il le faut ! Tu le sais ! Pour toi mais aussi pour lui ! C’est mieux ainsi …

D’abord tu assistes à des petites braises. C’est douloureux, ça serre le cœur mais tu souffles dessus. Le feu doit prendre ! Il le faut ! Tu as fait ton choix. Ne recule pas. Soudain, les flammèches s’intensifient. La nuit devient couleur tel un poignard en plein cœur. Tu comprends soudain que tu as eu tort, que tu dois faire marche-arrière ! Tu ne peux détruire un tel amour. Il te fait vivre ! Il est si beau ! Tu as si mal. Tu es brisée. Tu cours prendre un seau d’eau pour éteindre l’incendie qui est en train de détruire ta vie. Mais impossible ! C’est trop tard. Tout est brûlé … Il ne reste plus que des cendres..

Tu es libre mais ton cœur est vide. Tu l’as perdu à jamais. Il ne te le pardonnera pas. Il ne peut pas comprendre que tu as voulu juste le sauver, que cet amour était trop beau, trop grand, si fort que vous vous seriez noyés.  »

(….)

Vous avez aimé ? Alors croisons les doigts qu’un éditeur s’intéresse à ce manuscrit ! Il fut écrit en hommage à toutes les Carlas, en hommage à toutes celles qui ont un jour aimé vraiment, en hommage à toutes celles qui ont espéré jusqu’au bout un petit mot leur ouvrant les portes de l’infini …

À Caro, Fanou, Mel …mes amies fidèles …

… Et à vous Nathie , nous vous comprenons ….

( 27 juin, 2014 )

Le virtuel …

J’ai reçu ce jour un ravissant mail de Magalie, une jeune bretonne me disant :
 » Sans mes jambes depuis un accident de la route, je ne vis plus que dans le virtuel. Grâce à ce blog, je me remets à espérer qu’un jour, je pourrais remarcher car rien ne l’interdit médicalement . Vous avez une telle motivation dans vos mots que je me sens des ailes.  »
C’est moi qui me sens des ailes en lisant cela surtout en cette fin d’année scolaire difficile. Savoir que le maigre temps que je passe à écrire n’est pas inutile, cela me transcende ! Surtout que depuis quinze jours, je n’ai plus une seconde pour aller sur mon PC. Je dois me faire violence pour maintenir ce blog chaque jour. Et là, je me dis … Ce n’est pas inutile !

J’ai toujours œuvré en silence autant en qualité d’enseignante que dans ma petite vie. Parfois, bien malgré moi, je me suis retrouvée sur les feux de la rampe, positivement ou négativement selon l’hypocrisie des gens.
Longtemps, j’ai été réfractaire au virtuel. C’est vrai que je me suis faite bien avoir par cet outil. Mais depuis la sortie de Rouge, mon opinion a changé ( il n’y a que les imbéciles ou les cons qui ne changent pas d’avis !). Quel bonheur de dialoguer quotidiennement avec tous ces auteurs peu connus mais qui écrivent des merveilles. C’est génial ! Et lorsque le virtuel rencontre le réel à un salon, à une dédicace, c’est magique …
( clin d’œil à Marlène et aux autres ! )
J’espère encore découvrir plein de personnes lors de mes prochains salons, que je  » rencontre » chaque jour sur les réseaux sociaux, ou tous ceux que le temps m’empêche de voir, mes amis de longue date … Un travail, c’est prenant, une passion plus encore …

Alors oui, Magalie, il faut y croire ! Je crois que vous remarcherez un jour, parce que la vie est faite d’espoir …
Rouge en est la preuve … Blanc sortira cet été … puis, Carla l’an prochain… Et je ne parle même pas de BLEU qui est en train de bouillonner dans ma cervelle …
Les pages blanches se rempliront durant les vacances …
ROUGE est né durant l’été 2010 …. BLEU fermera la trilogie fin 2014 … Un joli pari de vie …
Encore merci à tous ceux qui ont rendu cette magie possible …

Le virtuel peut donc être un merveilleux lien de vie, de création et d’amitié … Il peut aussi s’avérer être un outil pervers pour des êtres déboussolés ou dépressifs vivant à travers la vie d’autrui … Mais n’en gardons que le meilleur, une chaîne de solidarité unique qu’il nous faut entretenir !
Alors amis de Facebook, de Tweeter, de Linkedln …. Unissons-nous afin que vivent les rêves de tous …

 

( 26 juin, 2014 )

Restez soi ….

Personne n’a une vie parfaite ! Il faut cesser de croire que nos acteurs à la télé avec leur sourire sur mesure sont parfaitement heureux ! C’est une pure utopie ! Ils ont l’argent, les jolies villas, les belles voitures mais leur regard est le même que le votre … Ils ont juste la chance de ne pas avoir à compter en fin de mois. Mais seuls, devant leur glace, ils auront la même peur face à la vieillesse qui les détruit. Elle sera peut-être même encore pire ! Ils auront la même boule à l’estomac que vous en moi devant les trahisons qui jalonneront leur vie, et ils en auront certainement bien plus ! Alors non, n’enviez pas ces images en papier glacé ! Soyez fier d’être vous, avec vos qualités, votre sensibilité, vos kilos en trop …

Pour moi, vous valez de l’or ! Croyez en vous ! Il n’est pas utile de détruire les autres pour exister !

( 25 juin, 2014 )

La déception …

Rien n’est plus blessant que d’être blessé par la seule personne que tu n’aurais jamais pensé te faire du mal …
Rien n’est pire que de faire confiance et de se sentir trahi… Ça fait mal, ça déstabilise, et cela fait perdre tous ses repères …
Mais le pire sont pour moi ceux en qui on n’a aucune confiance mais qui pour se faire valoir, vont se revêtir d’un costume d’hypocrisie allant jusqu’à se créer un personnage fictif qu’ils ne sont pas, prêts même à démolir ceux qu’ils croisent pour récolter des honneurs non mérités, des regards admiratifs volés … Tiens, j’ai croisé une personne de ce genre hier et …. Non ! Je me suis dit que je préfère mille fois vivre dans l’ombre et restez « moi » ….
Car au final, la déception ne vient peut être pas tant des autres que de l’image que l’on a eu des autres, en clair de l’erreur que l’on a bêtement fait en jugeant positivement quelqu’un qui ne méritait pas notre confiance..
( 24 juin, 2014 )

Edition, pièges ou réalité ?

Avant toute chose, merci à Franck Gordon pour son référencèrent sur le site :
Je vous conseille d’y jeter un coup d’œil … Des livres passionnants y sont répertoriés !

http://www.cirac.org/Club-de-lecture.htm

Et même un lien sur Rouge …

http://www.cirac.org/club/Rouge-SG.htm

Le monde de l’édition …

Recevant de nombreuses questions sur l’édition en général, je vais essayer de répondre à quelques unes et vous donner un témoignage fort intéressant d’une future auteure auto publiée dont nous suivrons le parcours si elle nous y autorise …

Vaut-il mieux envoyer le manuscrit par la poste ou l’amener directement chez l’éditeur ?
On est au XXI siècle ! Perso, je me vois mal aller toquer aux portes des éditeurs : » bonjour, c’est moi … » Je trouve ça un peu pathétique ! Poste ou envoi par mail …

Faut-il adresser son manuscrit à quelqu’un en particulier ?
Ben, faudrait connaître le quelqu’un et si on le connaît pourquoi lui envoyer et ne pas lui donner ? En plus, c’est bien plus compliqué que ça …

A quels éditeurs dois-je envoyer mon manuscrit ?
Honnêtement si vous avez la vie devant vous et que vous pensez que votre manuscrit est génial, prenez la liste et visez  » les gros »…
Seulement vous n’aurez qu’une réponse entre six et douze mois … C’est long pour un premier livre ! Moi, ça m’a saoulée ! Je n’ai pas eu cette patience résultat j’ai accepté le premier éditeur qui a répondu. Ce fut Edilivre, j’ai reçu ensuite d’autres acceptations qui auraient été bien meilleures mais voilà, j’avais déjà signé ! Mon impatience est mon principal défaut ! Je vais essayer d’être plus stratège avec Carla … On verra …

Les DA ?
Et bien ils sont réglementés et doivent être payés à une date précise. Concernant Edilivre, ils me furent payés avec trois mois de retard mais j’ai reçu un chèque sympa ! Je suis très fière de ces DA qui représentent en fait bien plus que de l’argent ! Une réussite !

Autoedition, qu’en penser ?

Je n’ai pas d’avis étant éditer chez un éditeur alternatif se rapprochant beaucoup de le  l’autoédition , très fatigant côté promotion, mais j’ai récupéré un témoignage qui peut s’avérer très utile à beaucoup  …
«J’ai eu l’idée d’écrire un livre depuis un bon moment déjà, cette idée m’est venu il y a environ 8 ans, mais l’idée et le thème du livre en lui-même s’est décidé il y a seulement 4 ans. J’ai travaillé sur mon premier manuscrit durant 3 ans, avec tout ce que cela comportait : de la relecture un nombre incalculable de fois, de la réécriture ect…

Lorsque mon livre fût terminé, je me suis lancé à la recherche d’une maison d’édition susceptible de prendre ce dernier. Et j’ai découvert bien vite que ce n’était pas évident… Ou plutôt quasiment impossible ! J’ai envoyé mon manuscrit à beaucoup de maisons d’édition sans savoir à quoi m’attendre. Comme tout auteur, j’ai eu des refus mais aussi des réponses positives.

Après avoir cherché sur internet, j’ai découvert une maison d’édition qui semblait bien et a accepté mon manuscrit. Lorsque j’ai découvert qu’il fallait payer, j’ai été énormément déçu car je n’avais pas l’argent de nécessaire pour payer une couverture personnalisée, une correction à un prix si élevé etc. J’ai alors découvert ce qu’était la différence entre une maison d’édition à d’éditeur et une maison à compte d’auteur. Et j’avais frappé à la porte de la dernière catégorie.
Je souhaitais à compte d’éditeur… A alors commencé mon périple pour trouver ce genre de maison d’édition. Et une maison avec une ligne éditoriale me concernant.

Un éditeur m’a appelé en se disant très intéressé par mon livre mais m’a aussi dit que tout ne serait pas gratuit alors qu’ils étaient censés être à compte d’éditeur. Une autre m’avait été conseillé et j’étais à deux doigts de signer le contrat, mais avant, j’ai préféré demander conseil autour de moi. L’éditeur ayant accepté mon manuscrit n’a pas apprécié et a alors refusé d’éditer mon livre. J’étais pourtant dans mon droit ; celui de demander conseil afin de ne pas signer les yeux fermés. Cela m’a montré qu’il ne devait pas être si honnête que cela.

En tout, mon livre a été envoyé sept ou huit fois.et j’ai reçu l’avis positif de trois comités de lecture. J’ai été déçu à chaque fois, et pour des raisons différentes !
Résultat : après des mois d’espoirs, de désespoirs… mon livre est toujours en attente d’être édité. Je n’ai jamais lâché l’affaire et n’ai jamais abandonné ! J’ai finalement décidé de l’auto-éditer car je me suis rendu compte qu’il existe peu de maisons d’édition correctes et ne profitant pas de vos écrits. Je ne l’ai pas encore auto-édité. Cependant, je suis bien entourée et me bat encore et toujours pour avoir mon livre terminé entre les mains. Je pense qu’il y a plus d’avantages à faire ainsi et surtout aucun compte à ne rendre à personne. C’est un livre qui me tient à cœur et que je rêvais de partager avec les gens, plus qu’un autre livre à mon avis. Je ferai sans doute appel à des maisons d’édition pour d’autres livres mais certainement pas pour celui-ci !

On ne peut pas espérer trouver la bonne maison sur internet, car cette expérience m’a appris à me méfier encore davantage qu’à mes débuts. Je pense qu’il faut s’accrocher et surtout toujours se renseigner, demander conseil et être bien entouré pour supporter autant de bonheurs, et de déceptions en seulement quelques semaines ! Le monde de l’édition est très difficile et il faut s’accrocher ! » Marie

Merci Marie ! À vous !

Vos témoignages et réactions sont les bienvenus …

( 23 juin, 2014 )

En route …

« Carla ou les mésaventures d’une jeune femme moderne » est bouclée et envoyée à un éditeur. Réponse dans 16 semaines. Je doute avoir une chance mais ce fut un tel défi que pourquoi ne pas y croire ?
Par contre le titre ne me plait pas …
 » Carla ou les péripéties d’une femme moderne » serait mieux, non ?
Aujourd’hui, j’avais, entre deux livrets à faire, envie d’écrire un début de roman … Je l’ai fait … Amusant, non ? Ceci étant aucune envie de poursuivre car entre temps, j’ai ouvert mon fichier BLEU et je me suis replongée dans sa lecture et mille idées folles me sont venues à l’esprit. Je ne vais pas attendre les vacances ! En route cette semaine pour le chapitre 7 …
Sinon, je vous offre mes lignes du jour …
 » Au sein d’une petite école de campagne, des drames se sont joués.
Une classe vide, figée dans le temps. La poussière s’y entassant, les vieux livres jonchés sur le sol envoient comme un appel au secours.
Pourquoi n’y a-t-il plus aucun enfant écrivant sur les cahiers ?
Pourquoi les cris ne retentissent plus ?
Que s’était-il donc passé dans cet établissement abandonné ?
Quelle tragédie s’était nouée ?
Des craies sont encore là, sur le côté du tableau, sales, mélangées. Pauvre tableau noir oublié ! Tant de mots sur lui furent tracés, tant de problèmes étudiés.
École, lieu où se rencontraient parents et enseignants, des hommes, juste des êtres humains avec des vies, des secrets …
L’école est fermée pour une durée indéterminée … Une pancarte est posée à l’entrée.
Un drame l’a ébranlé.
On peut sans difficultés imaginer sur le sol
Des vestiges de sang séché …
Mais qu’est-il donc arrivé ? « 
Peut-être que mon prochain polar après BLEU se passera dans une école ? Qui sait ?
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