Ce petit lien
Après un salon du livre haut en couleur et en rencontres, je me sens pleine d’énergie pour reprendre la plume. Objectif premier : terminer mon roman sur Hashimoto, mon cri pour changer les mentalités et aider les malades à ne pas s’enfoncer dans le sable profond. En parallèle, je m’amuse comme à l’accoutumée à plonger Antoine dans une nouvelle enquête qui j’espère sera une fois encore bien tordue. Quand le stylo se met à gribouiller, quand la vie semble reprendre des allures de rêve, plus rien n’a d’importance. On se contente d’attendre juste ces moments d’osmose que l’on vit avec les lecteurs comme un rendez-vous d’amour que l’on se donne un peu en cachette.
Pour répondre à une personne me disant que ce blog est ponctué de passages cucul, je n’ai pu m’empêcher de sourire. Si vous aviez lu dès le debut vous sauriez que c’est un lien entre les lecteurs et moi et non un essai philosophique. Je ne suis pas écrivain mais enseignante et débordée de travail, je suis atteinte d’une maladie qui me laisse sans force par moment et pourtant pas un jour sans une ligne pour ceux qui me suivent chaque jour. Par respect ! Même si je suis à bout de fatigue. En feriez-vous autant ? Vu que vous n’avez lu que quelques posts, j’en doute donc ! Une fois encore, que la critique est facile dans cette société !
‘Bonne journée et continuez mes nombreux lecteurs à me suivre sur mes posts cuculs.
Merveilleuse journée et super salon du livre. Pouvoir dédicacer ses livres pour la première fois au salon du livre Porte de Versailles, c’est vraiment quelque chose de fabuleux, d’unique. D’abord, entrer par la porte » des auteurs », moi qui toute ma vie ne suis entrée que par les entrées commune, ensuite se retrouver sur un stand, celui d’Edilivre, très bien situé cette année, avec un accueil de rêve. Faire connaissance avec d’autres auteurs d’Edilivre forts sympathiques, échanger durant trois heures tout en livrant au passage une petite dédicace.
Tout le monde ne peut pas avoir une fin heureuse, mais c’est le voyage qui compte, pas la destination.
Le sens de la vie, c’est d’avoir une vie pleine de sens.
La différence entre l’ordinaire et l’extraordinaire, c’est simplement un petit extra.
Le bonheur est une direction, pas une destination.
Merci d’exister. Soyez heureux, libre, ayez foi, restez toujours jeune.
Vous connaissez mon nom, mais pas mon histoire.
Vous avez entendu parler de mes actions, mais pas de ce que j’ai traversé.
L’amour c’est comme le verre, c’est superbe, mais ça se brise très facilement.
L’amour est rare, la vie est étrange, rien ne dure et tout le monde change.
Chaque journée est unique, aussi il faut en profiter au maximum. Car peut-être que demain, vous serez atteint d’une maladie incurable.
La vie n’est décevante que si vous la traitez ainsi.
Si quelqu’un vous aime, alors cette personne ne vous laissera jamais tomber, quelle que soit la situation.
La vie est pleine de hauts et de bas, et sans les bas, les hauts ne veulent rien dire.
L’amour, ce n’est pas trouver quelqu’un avec qui on pourrait vivre sa vie future, mais plutôt trouver quelqu’un dont l’on ne pourrait pas se passer dans le futur.
La vie est un jeu, et l’amour en est la seule récompense.
Sujet difficile et pourtant, qui seraItalie capable de pondre un traité sur le Savoir Communiquer remporterait le Prix Goncourt. Notre société se cache derrière des écrans virtuels, refusant presque de croiser le regard d’une autre personne par crainte d’être foudroyé. Résultat, face à une réelle nécessité de communiquer, on se heurte à diverses difficultés. La peur est en tête : peur du jugement de l’autre, peur de ne pas être compris, peur de dire ce que l’on pense, peur de se dévoiler et de montrer ses failles. Ensuite, il y a cette indifférence latente : on se fiche de ce que l’autre pense donc à quoi bon entamer un dialogue avec ? Plus facile, effectivement de rentrer dans sa petite coquille, de s’enfoncer dans le sable tel un crabe plutôt que de se faire violence pour aller vers l’autre. Le cas s’est posé récemment entre deux enfants qui se sont fâchés pour des broutilles mais dont les mots ont dépassé leurs pensées. Le dialogue est rompu depuis le début de l’année. Les enfants sont en souffrance mais avouent ne pas pouvoir faire ce fameux pas parce que « c’est trop dur », « on a trop peur », « etsi l’autre nous rejetait encore ? ». Tout est dit ! Il est difficile de communiquer mais ne rompons jamais une communication. Mieux vaut parfois une bonne dispute, des mots qui échappent trop vivement suivies d’une réconciliation. Laisser le fossé se creuser amèneront les protagonistes à adopter l’attitude de ces enfants, le retrait, la rancœur voire même des sentiments de haine et de vengeance. Notre monde n’a nul besoin de pensées négatives. Ne lui donnons pas matière à souffrance. On ne peut aimer tout le monde, on ne peut s’entendre avec tout le monde. Parfois, la vie nous fait comprendre que nous ne sommes plus intéressants pour une personne. C’est son choix et nous devons le respecter. On n’a pas à se sentir vexer. On a juste le droit de ressentir pour un temps une certaine tristesse mais l’important restant de se le dire en face, d’avoir ce courage afin de ne pas laisser une porte entrebâillée que certains guetteront avec un espoir au fond du coeur. Communiquer reste la clé qui nous différencie des animaux, même si c’est difficile, parfois insurmontable, n’y renonçons pas car nous renoncerions ainsi à notre liberté.