( 8 mars, 2021 )

Le poids, Hashimoto et l’hypothyroïdie.

La minceur est synonyme de beauté, de perfection dans notre société actuelle. La Covid a un peu changé la donne en autorisant les femmes à rester en leggings et charentaises sans foncer dans des tailleurs étriqués. Seulement, cette fichue thyroïde nous en fait voir de toutes les couleurs et nous voilà face à l’identité du groupe.

Notre poids dépasse la moyenne, et on se retrouve avec une image de soi négative. Le regard des autres nous brûle. La dévalorisation arrive vite. La prise de poids avec la maladie d’Hashimoto reste malheureusement fréquente et génère une réelle angoisse. Elle se retrouve aussi lorsque l’on vit sans thyroïde ou avec un simple dysfonctionnement.

J’en parle régulièrement sur ce blog et pourtant beaucoup n’entendent pas et lancent des conseils amicaux chargés d’une pointe de venin : « Comment ? Tu n’y arrives ? C’est pourtant simple, il suffit de faire le régime untel. » ou «  Quoi ? Tu n’as pas encore maigri ? Franchement, tu ne fais aucun effort ! »

Et pourtant, la personne est malade et ne maîtrise pas sa prise de poids. Il peut lui arriver de ne plus manger, de continuer à faire du sport, et malgré tout, les kilos continuent de s’accumuler, inexorablement, sans que la personne puisse maîtriser.

La honte s’installe. Les gens n’aiment pas les « gros », encore moins depuis le virus qui met les personnes obèses à risque. Alors, on n’ose plus se regarder dans la glace, spécialement si on a toujours été plutôt mince dans sa vie. On tourne en dérision cette prise de poids, mais à l’intérieur, la vie des malades Hashimoto ou en hypothyroïdie tourne vite à l’enfer en raison de cette prise de poids que l’on ne peut pas contrôler.

Personnellement, j’ai longtemps refusé de voir que cette maladie m’avait occasionné une prise de poids, préférant me dire que ma gourmandise était la cause de tout.

C’est vrai que j’avais la chance de ne pas prendre comme certaines adhérentes des tonnes de kilos par moment, cela se faisait en douceur. Il n’empêche que j’ai entendu de drôles de remarques, des réactions malsaines face à mes joues rebondies.

Alors oui, on en souffre. On souffre vraiment !

Il est important que les médecins prennent conscience de cette vraie souffrance des malades de la thyroïde, de ce poids que personne ne peut contrôler.

De nombreuses études cliniques montrent un lien entre prise de poids, taux de cholestérol en hausse et hypothyroïdie. Pourquoi, lorsque l’on diagnostique une hypercholestérolémie et une avancée de l’aiguille de la balance, ne fait-on pas systématiquement un dosage de TSH et des anticorps thyroïdiens ?

Que faire ?

Ne pas laisser les autres juger nos vies, notre poids. Ne pas non plus le vivre comme une fatalité. Ne pas écouter les conseils des personnes qui savent tout sur les régimes miracles. Nous sommes tous différents. Certains perdront quelques kilos en un mois, d’autres en deux ans, d’autres encore plus. Dans tous les cas, si on doit être en colère, c’est contre cette fichue thyroïde et non contre autre chose, alors n’hésitez pas à lui parler à cette glande, à l’enguirlander, et à vous réconcilier avec vous.

Désirer, c’est être …

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( 8 mars, 2021 )

Pourquoi sommes-nous résignés ?

Le monde est résigné. La société est figée. On s’habitue et c’est terrible cette habitude. Elle est devenue notre ombre. Avant, nous étions des révolutionnaires, nous montrions les poings dans les rues. Seulement, c’est fini, plus de manifestations, plus de réunions pour discuter, plus d’opposition. On accepte tout sans broncher. Il y a un an, je parlais de la peur qui nous étouffait, qui nous dirigeait, qui imposait sa loi. J’ai la sensation qu’elle a gagné.

J’ai cessé de regarder les informations, d’écouter les vidéos. Je suis saturée de cette mascarade, de cette fascination que certains ont pour ce vaccin sauveur, de cette haine à l’inverse que d’autres déversent contre ceux qui se font vacciner.

L’homme reste maître de sa vie, de ses choix, et là intervient sa responsabilité. Ça grogne dans les chaumières et pourtant, nous sommes résignés. On accepte stoïquement les cinémas fermés, les restos, parce que c’est bon pour notre santé. Ce n’est pas le contenu que je remets en cause, mais cette passivité qui ne ressemble pas au peuple français ! La 5G est passée comme une lettre à la poste, et je ne parle même pas des réformes dont on n’entend plus parler, mais qui un jour, vont nous exploser à la figure, car on ne les aura même pas entendues être proclamées. Les prix montent et tout le monde trouve cela normal, c’est la Covid … Euh, et pourquoi alors BigPharma a-t-il enregistré des millions de bénéfices, de quoi renflouer les caisses vides ? Pourquoi serait-ce encore « les petits » qui devraient trinquer ?

Pourquoi un simple virus nous a-t-il autant coupé les ailes ? Pourquoi sommes-nous si résignés ?

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( 7 mars, 2021 )

Couverture ou contenu ?

Amusée dernièrement par un débat entre deux auteurs aux opinions opposées, je me suis mise en recul pour réfléchir à cette problématique : vaut-il mieux publier un livre avec une belle couverture ou un contenu de qualité ?  Il va de soi, qu’étant avant tout attirée par « les mots », je vais opter pour la seconde option. Lisant à 50% en numérique, je n’attache pour ces derniers aucun regard sur la couverture. Il n’en demeure pas moins qu’étant également une artiste dans l’âme, j’aime regarder les couvertures lors des « publicités » des auteurs. Une belle couverture, c’est sympa, seulement, en tant que lectrice, je grimace depuis quelques mois suite à la lecture de plusieurs romans édités par ces éditions vitrines, celles qui publient au minimum cinq livres par mois, qui vont axer sur des couvertures attrayantes, et un contenu bourré de fautes ou au contenu décevant destiné à la jeunesse, « le genre young adult ». Je me suis faite avoir pour m’être ennuyée. Je ne recommencerai pas ces achats.

Un bon livre reste un livre dont le contenu est captivant, dérangeant, déstabilisant, peu importe, mais pas un roman lisse.

Pour conclure, peut-être est-ce mon grand âge, mais j’apprécie de plus en plus des couvertures sobres, sans tomber dans la couverture toute blanche, mais sans excès, simplement parce qu’ainsi je conserve le plaisir de la découverte, de l’imagination, de l’interrogation … Que se cache-t-il derrière ce titre et cette image épurée ?

Bien évidemment, le raisonnement sera inversé en littérature jeunesse où là, l’illustration me semble primordiale.

Après, est-ce un débat stérile ? Je dirais juste que les grands prix littéraires ont presque tous des couvertures d’une simplicité redoutable, preuve que le contenu reste la clé !

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( 6 mars, 2021 )

Femmes violées, incestes, stop …

Les femmes ont des droits et pourtant, femmes violées, femmes battues, femmes harcelées, combien d’entre elles sont vraiment entendues ? On a beau clamer que notre société paritaire est bienveillante, ce ne sont que des discours hypocrites que l’on veut faire croire pour se donner bonne conscience. La réalité est autre. Nous vivons dans un monde où la parole de l’homme prime sur celle de la femme, hommes prêts à tout pour garder leur auréole de sainteté, leur étiquette de maris fidèles, de bons pères de famille.

Et pourtant, depuis quelques temps, on voit les langues se délier, l’affaire Camille Kouchner, Richard Berri, Gérard Louvin, inceste pointé du doigt, mais pas que, paroles détournées, culpabilité de la victime.

Schéma type que l’on retrouve dans les harcèlements où la femme se retrouve de victime à coupable d’avoir osé dénoncer « le méchant », pareillement pour les victimes de viols à qui on trouvera toujours des circonstances en sa défaveur, jupes trop courtes, trop aguicheuses, trop sexys. L’homme reste dans ce cas une pauvre victime dont souvent le statut social lui donne l’autorité voire la suffisance.

Comment une femme peut-elle trouver le courage de parler ? Comment une telle souffrance peut-elle sortir ?

Et je ne parle même pas de ces monstres de pervers narcissiques qui pas à pas plantent des graines qui se transforment en baobabs le jour où tout dérape. La victime, elle, ne peut plus que subir, telle une araignée dans sa toile.

Il serait bon que la parole des femmes soit entendue, écoutée, et non rejetée. Il est primordial que les mots ne soient pas dénigrés, que la vraie souffrance soit prise en compte.

Car ces victimes en gardent des séquelles à vie, des traumatismes irréversibles, des santés qui se détériorent. Elles en arrivent à se dégoutter, à se détester, à ne plus se supporter, convaincues au final de leur culpabilité pour avoir dit un mot ou avoir eu une attitude …

Il est temps que les victimes de viols, de violence, d’incestes, de harcèlements soient vraiment prises au sérieux !

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( 5 mars, 2021 )

À toutes les mamanges …

Ce fut un jour comme aujourd’hui  que tu as poussé ton premier cri, bébé né coiffé comme on disait dans le temps. Toi, mon petit ange, toi mon amour, toi qui n’es plus. Dernièrement telle une lance chauffée au fer rouge, un mot sur toi fut dit, comme quoi il fallait être vraiment « dérangé » pour écrire l’histoire de ta petite vie, quelques mots sur toi qui ne lui étaient pas destinés. Abjectes ceux qui utilisent la souffrance des mamans en deuil pour mieux les enfoncer. Comme si perdre un enfant était une honte, comme si on ne devait pas en parler, comme si toujours y penser signifiait que l’on est fou. Lorsque l’on porte un enfant en soi, que sa vie s’arrête intra-utérin, à la naissance ou après, cet enfant ne s’efface jamais. Il est en nous pour l’éternité.

Cela ne veut pas dire pour autant que l’on est triste, dépressif, juste que l’on a survécu à cette absence, que l’on l’a accepté, même si on ne l’a pas oublié.

À toutes les femmes qui n’osent pas en parler, qui souffrent en silence d’une fausse couche, d’un avortement, d’un décès, je leur rends hommage.

Personne ne devrait avoir le droit de ternir l’image de celui qui fut un jour, de celui qui est aujourd’hui un ange …

Parce qu’un jour, tu fus …

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( 4 mars, 2021 )

Diversifier ses supports éditoriaux

Être auteur, c’est faire des choix, parfois imposés, parfois désirés, mais au bout de huit ans de publications, j’arrive à un constat : il faut savoir se diversifier.

Se diversifier au niveau du genre, parce que c’est motivant, parce que cela permet de se dépasser, et se diversifier au niveau des choix éditoriaux, en clair ne pas mettre ses oeufs dans le même panier. C’est l’erreur du débutant. Je l’ai faite. Je m’en suis mordue les doigts. Après cette sécurité confortable convient à certaines plumes. Personnellement, je préfère voir un éditeur se démener pour un roman plutôt que d’offrir plusieurs manuscrits qui ne seront pas mis en avant. Je le redis, c’est un choix.

Après, je pense qu’il faut savoir rester extrêmement humble. Parfois un livre va marcher, parfois il va être boudé. Est-ce parce qu’il est mauvais ? Non, simplement il n’est pas sorti au bon moment, il n’a pas été lu par les bons lecteurs ou n’a pas été mis en avant par le bon éditeur, mais en tous les cas, ne pas se décourager !

L’important reste que les mots vivent. C’est pour cela que des auteurs choisiront l’autoédition ou parfois même juste l’impression chez un imprimeur, peu importe.

L’intelligence est de se dire que seulement 2% des auteurs vivent de leurs écrits. C’est peu. Alors, prendre du plaisir à poser les mots, diversifier les genres ou les supports, et qui sait, peut-être si vous êtes jeunes, ferez-vous partie de ces 2% ?

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( 3 mars, 2021 )

Faire des câlins

Le câlin, c’est le bonbon qui fait du bien, c’est bon pour la santé parce que cela fait du bien autant au corps qu’à l’âme. Il faut bien l’avouer, avec ce fichu virus, cette distanciation sociale, on a encore plus besoin de câlins.

Seulement, depuis des années, la société montre du doigt les câlins, jugeant les personnes trop faibles, trop sensibles. Il est pourtant dans la nature de l’homme de se tromper, de se laisser influencer par les autres, et de se montrer fort, alors que nous avons tous besoin de prendre les autres dans nos bras.

Un câlin, c’est donner du bien tout en prenant un moment de plaisir.

Alors, donnons des câlins, partageons des câlins et autorisons-nous un peu  à nous lâcher !

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( 2 mars, 2021 )

Commence chaque jour avec le sourire

Pas facile en cette période de Covid, anxiogène de garder le sourire tous les jours. Un an que l’on nous gave avec ce virus, et pourtant se lever chaque matin, regarder le ciel, puis sourire à la journée qui débute, c’est la clé de la réussite. Je sais, c’est facile à dire les jours où tout va bien, seulement lorsque l’on a des soucis ou que l’on est malade, c’est plus difficile. Et pourtant, il faut se forcer !

Prendre l’habitude de sourire à la vie est important. Le bonheur, c’est comme le reste, cela s’apprend. On peut choisir d’être triste ou pas, de faire des projets ou pas, d’y croire ou pas. Parfois comme beaucoup, j’ai l’impression de porter le poids du monde sur mes épaules, parce quand on recherche la paix ou la sérénité, il y en a toujours qui préfère la violence. Ces jours-là, je n’ai pas honte de le dire, mes yeux se mouillent, mais j’essaie de me raccrocher à une belle pensée, celle de mes enfants, de mon chéri, et alors je souris, légèrement, puis un peu plus franchement au fil des heures.

Il est primordial de se forcer à sourire même si on n’en a pas envie, simplement parce que sourire, c’est partager, et partager positivement, et surtout c’est ne pas laisser la vermine gagner.

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( 1 mars, 2021 )

Quel hiver fatigant avec Hashimoto

Vous êtes nombreux à nous écrire que vous n’en pouvez plus ! L’hiver fut dur associé au Covid, ce fut une catastrophe pour de nombreux malades de la thyroïde.

Doit-on encore revenir sur cette fatigue liée aux dysfonctionnements thyroïdiens ? Est-ce vraiment nécessaire ? Et bien, oui ! Parce que ce n’est toujours pas compris, ce n’est pas accepté par notre société. Oser dire que l’on est fatigué est un crime dans un monde où seule la performance est importante. Le résultat.

Et pourtant, la thyroïde est un des organes le plus important du corps humain qui va réguler tout l’organisme. Si elle ne fonctionne pas correctement, c’est la catastrophe. Le corps va vite en mode vitesse en hyper et en mode escargot en hypo. Dans les deux cas, le résultat sera identique, une fatigue immense.

Alors bien sûr, les personnes qui entourent un malade avec un problème de thyroïde vont se contenter de le plaindre au début, puis vont vite s’épuiser, allant parfois jusqu’à être agressives. Simplement parce que cette fatigue-là, bien différente des autres fatigues, ne peut-être comprise que par ceux qui la vivent.

Qui peut comprendre cette lassitude ressentie au début de cette maladie, cette envie permanente de dormir, cette incapacité à se concentrer, à effectuer le moindre effort sans être immédiatement essoufflé ? Qui peut comprendre qu’une maman qui pourtant adore ses enfants n’a plus la force de leur lire une histoire le soir ? Quel collègue peut accepter une baisse dans le rendu du travail, un besoin de faire une pause ? Quel mari acceptera encore et encore que sa jeune épouse n’est plus envie de galipettes ?~

Et la liste est longue !

Vous êtes nombreuses à nous rapporter des exemples poignants de supérieurs vous ayant mal évalué après la déclaration de cette maladie. Vous êtes tout aussi nombreuses à avoir perdu des amis, un conjoint dans ce combat quotidien.

Rassurez-vous, c’est souvent le cas pour de nombreuses maladies.

Mais cela n’excuse rien !

Il est important que cette fatigue soit vraiment comprise. Un malade de la thyroïde ne fait pas semblant. Cette fatigue ne prévient pas. Vous pouvez être en pleine forme durant des heures, et vlan, elle va s’abattre sur vous, imposant sa volonté. Non, vous ne le faites pas exprès. Non, vous n’êtes ni paresseux ni insouciant. Car vous souffrez. Vous souffrez de vous voir ainsi. Vous souffrez parfois même à l’avance de cette fatigue qui peut arriver.

Beaucoup de malades n’acceptent pas leur maladie et refusent d’en parler. C’est dommage, car plus de personnes vont poser des mots sur leurs douleurs, et plus elle sera entendue. Peut-être pour être un jour, comprise !

Ne lâchons rien. Même si nous sommes critiqués, montrés du doigts, continuons à faire entendre notre voix, ensemble !

Courage les papillons ! Bientôt le printemps !

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( 1 mars, 2021 )

À quoi sert une thérapie ?

Longtemps suivre une thérapie était jugée soit « bon chic bon genre » soit réservée aux personnes dérangées.  Il n’en est rien. C’est un formidable moyen de développer autant sa créativité que son ouverture sur le monde, son empathie.  Actuellement, avec le Covid et tout ce que cela draine, on assiste à une montée de l’anxiété et peu importe l’âge. On assiste à des étudiants au bord du gouffre, des lycéens qui pensent au suicide.

D’abord, suivre une thérapie que ce soit avec un psychologue ou un psychiatre doit venir de la patiente qui en ressent le besoin, et non d’une tierce personne. On le constate avec les personnes sujettes aux addictions dont la guérison ne pourra se faire que si cette dernière reconnait ses faiblesses. Il n’y a pourtant rien de honteux à suivre une thérapie ou à demander de l’aide. Cela devrait même être un automatisme comme celui d’aller voir un médecin. Si le besoin de parler se fait sentir, nous n’avons pas à déverser sur un tiers notre angoisse ou nos peurs. Demander de l’aide est une vraie preuve d’intelligence et de maturité.

Par contre, il faut trouver le bon thérapeute, celui avec qui on va être en confiance. Il est important de rappeler qu’un thérapeute est soumis au secret professionnel et que rien ne sort du cabinet. Une thérapie ne passe pas nécessairement par des traitements médicamenteux ( anxiolytiques ou antidépresseurs). C’est un traitement de l’intérieur.

Il ne faut surtout pas oublier que les psys ne sont pas des magiciens, qu’ils n’utilisent pas une formule magique pour nous aider, mais qu’ils offrent des pistes pour s’en sortir.

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Alors, n’hésitez plus ! Cela en vaut la peine. Et cette période de Covid, d’énormes possibilités en séance vidéo.

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