( 11 mars, 2023 )

Expositions artistiques

J’exposerai ce we et durant dix jours
Ce we à Villemoisson
Ce we jusqu’au 18 à Bretigny
Trop contente !

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( 10 mars, 2023 )

L’autoédition

Il y a fort longtemps que je n’étais pas revenue sur ce thème, celui de l’autoédition. Que c’est usant cette vendetta où les auteurs publiés dans les maisons d’édition ont « le melon » et «  se la jouent » comme disent les jeunes. J’ai même dernièrement lu une remarque perfide d’un auteur sur un groupe qui expliquait que seuls les auteurs édités en maison d’édition pouvaient revendiquer le statut d’auteurs !
On voit comme cela vole bas. Je rappellerai juste que certains auteurs autoédités arrivent à vivre de leurs ventes de livres, ce qui n’est pas le cas de nombreux auteurs de petites éditions.
Le monde est suffisamment difficile de nos jours pour voir des « guéguères » internes fleurir à tous les coins de rue. La jalousie, souvent sous forme de dénis, pousse la personne la plus gentille à écrire tout et n’importe quoi sur les réseaux sociaux.
Pourquoi publier en ME semble-t-il le « Graal » ? Simplement parce que nous avons tous en mémoire la renommée d’écrivains comme Bussi, Musso, Grangé, et quelque part, ceux qui ont un besoin de reconnaissance, de lumière, bavent devant et en rêvent. À les écouter, ce serait juste une question de difficulté de mise en page, mais il n’en est rien. On le sait tous. Il est très facile de nos jours, même pour des nuls en informatique, de publier gratuitement un livre !
Publier dans une maison d’édition donne le sentiment d’avoir été reconnu. Ne le niez pas, je l’ai vécue. J’ai signé dans plus de trois maisons d’édition, et j’en étais très fière. Jusqu’au jour où j’ai compris que mes mots n’étaient là que pour être partagés, et qu’ils peuvent l’être sans avoir recours à la lumière.
Dernièrement, pour mon polar « Immortelle Tourmaline », j’ai reçu quatre contrats de maisons d’édition sérieuses, dont une connue par tous. J’ai refusé ces contrats pour raisons personnelles. Je voulais vour si au bout de dix ans, c’était encore « possible ». J’ai choisi un autre chemin. Je n’en suis pas moins une auteure, mais une auteure qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut plus, qui connaît ses limites. Depuis que je suis atteinte de la maladie d’Hashimoto, je ne suis plus aussi libre de de me projeter. M’engager dans une édition connue m’obligerait à me déplacer en France pour des salons, et je sais que je ne le peux pas. Je vis l’instant présent. Je ne sais pas ce que sera demain.
Alors que mes collègues autoédités se rassurent, publier en autoédition, en particulier sur KDP, peut-être un choix, ce qui ne fait pas de nous de « faux auteurs » ! Je vais même vous dire que chaque mois, je lis
50% d’auteurs autoédités, et je trouve de plus en plus de vraies pépites. Des livres bien meilleurs que certains lus dans de petites éditions où trop souvent l’imagination est bridée pour rentrer dans une norme vendable.
Un auteur autoédité n’a aucune limite, aucune norme à respecter, il peut faire vibrer le lecteur à chaque mot. Il peut offrir du rêve, du vrai !
Tout ça pour dire que les auteurs autoédités sont de plus en plus nombreux, par pur choix. Et cela fait d’eux de vrais auteurs même si cela semble beaucoup déranger !

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( 9 mars, 2023 )

Ceux qui tuent l’inspiration

Contrairement à ce que l’on pense, écrire, même si c’est un don pour certains, reste difficile. Il faut avoir cette petite flamme, l’inspiration. Seulement, même lorsque l’étincelle a fait son œuvre, on va se heurter aux c …, ceux qui ne comprennent rien, ceux qui ne veulent pas comprendre, ceux qui souhaitent coller à tout prix à leur propre analyse. Il serait temps de rappeler qu’un auteur qu’il soit poète ou écrivain, un artiste, qu’il soit peintre ou sculpteur, a le droit d’écrire ce qu’il veut. Faut-il rappeler ce texte :
« Ce texte, ces mots, ce roman ne sont que fiction issue de l’imagination de l’auteur. »
Tout est dit ! Les mots de ce blog, c’est pareil et cela depuis le premier jour. Hormis mes textes en rapport avec ma maladie, mon fils, mon père ou ma mère, tout le reste prend racine dans l’actualité ou les faits divers. Alors, une fois encore, quand des c… extirpent une phrase sortie de son contexte pour coller à leur propre vision de la vie ou de leurs mensonges. Stop,à ces tueurs d’imagination qui consciemment ou non par leurs propos erronés brident le grain de folie qui est en chacun d’entre nous.
Laissons les mots n’être juste que ce qu’ils sont, des mots !

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( 8 mars, 2023 )

Sortie de NÉRÉIDES de Christophe Royer

Tout d’abord je remercie Taurnada éditions et l’auteur pour leur SP. Ce roman est très bien rythmé, et l’histoire prenante. Les personnages principaux, la commandante Nathalie Lesage et son ancien amoureux Samir sont extrêmement attachants de part leurs personnalités, que leurs vécus. L’histoire reste simple, un enlèvement, celui de la soeur de Samir, d’autres personnes séquestrées, un homme au profil dangereux nommé Étienne, et un milieu très particulier, horrible, qui fait froid dans le dos.
Le suspense va crescendo, malgré quelques petites invraisemblances selon moi par moment. Mais c’est également le propre d’un roman !
Un thriller qui fait froid dans le dos, car on ne peut s’empêcher de se demander : Et si ?
Un conseil : foncez l’acheter !

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( 8 mars, 2023 )

Ah ces traîtres !

On en a en tous connu un ou une, un de ces traîtres qui nous a planté un coup de poignard dans le dos. Preuve en est, une chaîne télé en a même fait une émission, que je n’ai pas vue. Les traitres sont redoutés car la blessure infligée par leur coup fait mal, très mal. Adulte, on devrait être blindé contre cette blessure seulement elle est souvent liée, non à la traîtrise du moment, mais à l’enfance et à la peur de l’abandon ou de la séparation avec les parents. La trahison est courante, simplement parce que de nombreuses personnes ne savent pas garder un secret, sauvegarder une intimité ou veulent simplement les feux sur eux.
Être trahi, c’est déstabilisant, cela touche l’ego, « on s’est fait avoir ». C’est destructeur, car cela remet en question, invite à faire moins confiance, en clair, cela impose un changement malgré soi. Vivre en société, c’est vivre avec des traîtres, partout, tout le temps. Le tout est de ne pas les laisser par leurs actes détruire nos vies, et ce n’est pas si simple, il faut juste s’éloigner et fuir n’est pas une tare, mais une protection.

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( 7 mars, 2023 )

Les gens solaires

Depuis fort longtemps, j’essaie de m’entourer de personnes solaires, peut-être parce que ma grand-mère paternelle était une de ses personnes. Ayant passé beaucoup de temps en sa compagnie, je conserve encore dans mon coeur aujourd’hui son sourire, son attitude rayonnante, toujours à l’écoute des autres. Comme elle me manque ! Elle avait ce don extraordinaire d’écoute, d’apaisement, sans jamais juger. Être solaire, c’est dégager une attitude positive même en pleine tempête, c’est avoir une énergie positive qui est tellement forte qu’elle se partage, qu’elle se multiplie. Il est important de côtoyer des personnes solaires, car leur tempérament est contagieux. Savez-vous que les personnes solaires sont souriantes, de bonne humeur, que leur déprime ne dure jamais plus d’une journée, qu’ils ont une meilleure qualité de vie et surtout qu’ils se contentent du présent et sont beaucoup plus heureux ! Être solaire, c’est être authentique, vrai. Il m’arrive trop souvent de croiser sur les réseaux sociaux des personnes qui occultent le soleil, et pourtant, à les entendre elles sont parfaites, positives, mais si on a le malheur de leur faire une remarque, elles deviennent agressives, voire méchantes. C’est ce que je nomme les « fausses solaires », celles qui ont besoin de lumière. Comment les reconnaître ? Contrairement à ma mémé qui rayonnait dans l’ombre, elles ne cessent de se mettre en avant avec des photos, des vidéos, racontant à tous leurs malheurs, comme si le monde ne tournait qu’autour d’elles. Le danger de ces « faux solaires », c’est qu’ils font vraiment illusions, que beaucoup tombent dans leurs filets et absorbent au final cette énergie tout sauf solaire.
Ma grand-mère était une lumière pour son entourage, pour son quartier. Pourtant la pauvre, elle ne cherchait pas à l’être. Elle se contentait de vivre dans le silence sans jamais parler d’elle et de ses souffrances. Une belle leçon de vie !

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( 6 mars, 2023 )

Maladies thyroïdiennes : quand le corps parle …

Difficile de savoir avec exactitude la cause d’un dysfonctionnement thyroïdien. Diverses théories existent : problèmes intestinaux, facteurs héréditaires, l’alimentation, les insecticides etc. Au fond, est-ce si important de savoir le pourquoi ? Les études très nombreuses montrant par contre qu’un souci de thyroïde était un signal d’alerte du corps, « qui nous parle ». Beaucoup de médecins préfèrent ignorer ces études, et c’est bien dommage. Un choc émotionnel, une agression physique ou psychologique, un deuil, un bouleversement hormonal de type accouchement, ménopause, un divorce, tous ces événements sont susceptibles de provoquer un dérèglement de la thyroïde. Cette petite glande est extrêmement sensible aux émotions, jusqu’à faire dire qu’elle gère les émotions. D’où la dérive de certains soignants à vouloir la traiter comme une pathologie psychosomatique, voire psychiatrique pour certains. Il n’y a alors qu’un saut de puce pour conclure que « tout est dans la tête ! »
Il faut avouer que certains symptômes n’arrangent rien. Les sautes d’humeur fréquentes, la paranoïa, les crises d’énervement ou à l’inverse les larmes, l’apathie. Comme cette maladie touche à 80% les femmes, plutôt que de faire un diagnostic rapide, la malade va se retrouver sous anxiolytiques ou antidépresseurs, des traitements qui au final vont cacher la maladie ! Et surtout « endormir » un peu plus le cerveau. Une galère pour un malade de la thyroïde qui va souvent se heurter à un problème récurrent de concentration, butant sur ses mots, voire dans les cas extrêmes avoir de vrais problèmes de mémoire. Il faut savoir que ces symptômes arrivent dans plus de 78% des cas, ce qui est énorme, et que la moitié des personnes n’osent pas en parler, surtout si elles ont dépassé les cinquante ans, par peur du spectre Alzeihmer. C’est regrettable ! Une malade m’a confié récemment avoir consulté en premier un neurologue, avant même de penser à un souci de thyroïde. Ce dernier lui a fait passer une série de tests de mémoire, un scanner, mais aucune recherche thyroïdienne. Elle a ainsi perdu six mois, voyant de multiples autres inconvénients s’inviter. De plus, venant de perdre son conjoint, les antidépresseurs ont occulté la maladie.
Revenons à notre corps parle, car cela me semble important surtout dans le cas des maladies auto-immunes. En évitant tout stress ou toute réplique du fameux stress, il est possible de limiter les crises de thyroïdites. Le stress diminue également la dopamine qui est un neuromédiateur indispensable à l’énergie, la motivation, la mémorisation, majore également le taux de cortisol entrainant un impact négatif sur la glande thyroïde.
« Récemment, des chercheurs tchèques ont mené une étude qui suggère l’implication des glandes thyroïdiennes dans le développement de l’anxiété. Au total, 29 hommes et 27 femmes âgées d’une trentaine d’années ont été recrutés pour cette étude. Tous étaient atteints de troubles anxieux généralisés. Les chercheurs ont évalué leur fonction thyroïdienne, l’une des composantes essentielles du système endocrinien, à travers plusieurs examens :
* Une échographie des glandes thyroïdiennes ;
* Un dosage sanguin des hormones thyroïdiennes ;
* La recherche d’anticorps dirigés contre la thyroïde.
Les résultats des analyses ont révélé que tous les patients anxieux présentaient des signes d’inflammation au niveau des glandes thyroïdiennes. Les niveaux d’hormones thyroïdiennes étaient légèrement élevés, mais restaient dans la fourchette des valeurs normales. Enfin, les sujets anxieux présentaient des anticorps dirigés contre la thyroïde. De tels résultats semblent indiquer que la fonction thyroïdienne serait impliquée dans le développement de l’anxiété. »

Encore une fois, je dirais en conclusion, écoutons notre corps, mais demandons également aux médecins, aux spécialistes, de nous écouter, au lieu de nous juger. Une personne n’est pas juste un cas clinique. C’est un individu avec un passé, un présent à prendre en compte.

Ensemble, les papillons !

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( 5 mars, 2023 )

Il y a 38 ans …

Qui se souvient de l’année 1985 ? Une année on ne peut plus ordinaire, un an avant la catastrophe de Tchernobyl. J’ai dû regarder sur Wikipedia pour trouver un évènement marquant, et il faut le reconnaître, il n’y en a pas, hormis peut-être que le dollar franchit la barre des 10 francs à la bourse de Paris, de la
Création de la comédie musicale pour enfants « Emilie Jolie » au Cirque d’Hiver, écrite et composée par Philippe Chatel, rien de vraiment palpitant, pas de guerre, pas de pandémie, une période calme.
Pour moi, pourtant cette date reste gravée pour l’éternité, la naissance de mon second fils, Christophe, mon ange aujourd’hui. Autant ma mémoire a effacé beaucoup de choses, les souvenirs récents écrasent les anciens, autant je ne pourrais jamais oublier cette journée, son regard noir qui a scruté le mien, déjà très vif, déjà porteur d’un avenir trop court.
Mon bébé, tu aurais 38 ans aujourd’hui. Comment serais-tu si …. Aurais-tu des enfants qui joueraient avec leurs cousins ? Que serait ma vie si tu n’avais pas été malade ?
De par le firmament, je souffle sur les trente-huit étoiles qui scintillent et je te souhaite, du bout des lèvres, sinon on va encore dire que je suis folle de penser encore à toi, joyeux anniversaire mon petit ange. Un peu comme si tu étais encore en vie, juste quelques secondes, juste pour me serrer dans tes bras.

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( 4 mars, 2023 )

L’opinion des autres

Ah ce besoin d’avoir l’avis des autres, et en retour de bâton de ne pas supporter l’opinion des autres. Il serait peut-être temps de ne compter que sur vous, non ? Aucune personne ne peut savoir ce qui se passe réellement dans la tête de l’autre hormis si on est un peu médium. Trop souvent, les gens jugent selon leurs propres critères, leurs attentes, mais en aucun cas, ils ne prennent le temps de se mettre à la place de celui qui est en face d’eux. Sont occultées les émotions, les angoisses. Toutes ces critiques découragent parce que les critiques, cela coupe les jambes. Ne laissez personne, j’ai bien dit personne, se mettre en travers de votre route et de vos rêves. Vous êtes tous les artisans de votre vie. Vous seuls savez ce qui est bon pour vous. Vous faites des erreurs, de mauvais choix, c’est normal. Cela fait partie de l’expérience de la vie. Faire fie de l’expérience des autres, c’est le premier pas pour commencer simplement à vivre …

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( 3 mars, 2023 )

L’addiction malsaine au smarthphone

On parle beaucoup des jeunes à qui on aurait collé une puce smarthphone, mais il faut être réaliste, il n’y a pas que les jeunes ! J’ai de plus en plus de mal avec des adultes qui ne peuvent se passer de leurs téléphones, ayant activé leurs notifications, de tout et de rien, qui vont émettre ce petit bip devenu ingérable lors d’une réunion ou d’un cours. Personnellement, je n’en peux plus ! Et je ne parle même pas de ces conférenciers ou enseignants qui plutôt que s’occuper de leur public vont passer leur temps à zieuter leur téléphone ! Je l’ai vécu dernièrement lors d’un stage et c’est insupportable !
Pour moi, la politesse envers les personnes qui paient une animation ou un cours est de laisser leur téléphone en mode silencieux, et mieux de le poser sans y toucher ! Je pense que ces personnes n’ont même pas conscience que c’est devenu pour eux une véritable addiction. Pour eux, c’est devenu tout à fait normal. Il n’en est rien. L’addiction à ces notifications a montré que c’était un besoin d’être aimé, même si la plupart de ces messages ne sont pas individuellement adressés.
Autant les smarthphone et leurs possibilités de groupes comme Whatssap peuvent avoir une utilité, pour un rendez-vous collectif par exemple, autant en devenir esclave, ce n’est pas une vie.
Alors, si vous voulez vivre heureux, et surtout sans déconcentrer ceux qui vous entourent, rangez vos téléphones en société, c’est le minimum, mettez-le en silencieux, et surtout revenez à la réalité, l’autre !

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