( 21 novembre, 2014 )

Concours nouvelle

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Ce soir sera dévoilé le thème du concours Edilivre en 48 heures. L’an dernier, ma nouvelle avait été bien placée. Je ne sais pas encore si je vais ou non participer n’ayant pas beaucoup de temps ce we mais ce type de défi restant amusant, je reste bien tentée. Juste pour le plaisir, une fois encore, de jouer avec les mots, de jongler avec les rêves, de me tester … À suivre donc … Tout se jouera sur le thème qui sera mis en ligne à 19h.

( 20 novembre, 2014 )

Ma liseuse KOBO

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Mon chéri m’a offert une superbe liseuse Kobo H20. Avis aux réfractaires du numérique : c’est un petit bijou.
D’abord une fois que l’on a compris comment elle marche ( pas si facile pour une quiche en informatique ), c’est très simple d’y installer la bibliothèque d’ebooks. Pour commencer, j’en ai mis juste 300. Un bon début !
Lecture parfaite avec des caractères gros. Pas besoin de lunettes ! Éclairage également super …
Habituée à lire sur mon iPad, je larmoyais chaque fin de soirée à cause de la luminosité. Le rétro éclairage change tout !
Ma Kobo se glisse partout même dans mon sac à main, peut être mouillée ( bon, ce n’est pas moi qui irait nager dans la mer avec mais se dire qu’un verre d’eau peut ne pas la bousiller), supporte le soleil ( enfin un été où je pourrais lire sur ma tablette allongée sur mon transat !)
En résumé, une bibliotheque de livres toujours sous la main.
Je recommande à tous ceux qui doutaient du numérique ce superbe cadeau !
Bien sûr, cela ne remplace pas le livre papier mais pouvoir lire partout autant de livres que l’on veut. Quel bonheur !
( 19 novembre, 2014 )

Mon coup de coeur …

Une larme m’a sauvée d’Angèle Lieby.

Coup de cœur pour un merveilleux roman que je viens de finir. Une magnifique leçon de vie, celle d’une femme plongée dans le coma. L’horreur du milieu hospitalier, la non reconnaissance de son statut de malade. Un petit bijou.
Je n’ai pas de mots pour en dire plus sauf quelques lignes extraites de ce livre et surtout bravo à cette femme pour cette force magnifique.

« Il faut toujours se battre, quelle que soit la mésaventure qui nous tombe dessus. Toujours y croire. »
« Il faut profiter de chaque instant de sa vie. Et lui donner un sens. Il ne faut surtout pas la gaspiller à n’en rien faire, car elle est précieuse. »
« Il y a des médecins pour soigner le cœur, des médecins pour soigner les dents, des médecins pour soigner le foie… Mais qui soigne le malade » Sacha Guitry.
Mais comme mes choix de lecture sont hétéroclites, en mode « Bridget Jones, folle de lui  » totalement hilarant  et triste à la fin. Un livre vivant et mon dieu, après le travail, cela fait un bien fou.
( 18 novembre, 2014 )

Les livres

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Qui n’a pas conservé chez lui un vieux livre usé et poussiéreux, symbole du temps qui passe. Dernièrement en rangeant un placard, j’en ai retrouvé un dans de 1830 appartement à ma grand-mère. Lire ces contes aux dessins très éloignés des mangas qu’affectionnent nos jeunes.
Pourtant cet ouvrage porte en lui toute la magie de l’écrit, l’odeur de l’ancien, la représentation d’une culture qui s’est transmise de main en main. Retrouverons-nous cela dans les livres numériques ? J’en doute un peu même si avec le temps, je suis devenue addicte des ebooks, ne pouvant sortir sans ma réserve monumentale de titres comme si le fait d’en décompter plus de deux mille me sécurisait. Étonnant ? Pas tant que cela ! Je crois surtout que ce moyen permet une chose important : le choix. Celui de pouvoir passer d’un polar à un prix Goncourt en un claquement de doigt, celui de rire ou de pleurer, celui de rêver tout simplement. Au fond, peu importe le support, le plus important restant de continuer à diffuser à overdose l’écrit …
( 17 novembre, 2014 )

Nostalgie du mot fin

 » Le temps de lire comme le temps d’aimer dilate le temps de vivre. » Pennac
Mettre le mot fin à un livre est difficile pour un auteur. Une fois, le roman terminé, on doit quitter ses personnages, dire adieu à ses héros, fermer le livre. Une de mes co-lectrices m’a totalement corrigé Bleu, m’indiquant les points à travailler un peu plus. J’ai encore donc quelques petites heures à passer dessus. J’ai surtout pu écrire ce week-end l’épilogue, clôturant définitivement cette trilogie. C’est donc avec beaucoup de nostalgie que j’ai fermé ce manuscrit.
Antoine ? Vous le retrouverez, bien sûr, dans d’autres aventures mais le thème lié à la médecine et à l’industrie pharmaceutique est clos. Mais ne vous inquiétez pas ! Une nouvelle idée a germé hier qui va nécessiter une documentation poussée, moment que j’adore ! Découvrir, apprendre, me cultiver …

Quant à CARLA … Pour mon second roman, j’ai aussi mille idées qui ont germé. Il ne me reste que ce fichu temps qui me manque !  Une certitude, j’écris vraiment pour mon propre plaisir. Je m’éclate à faire jongler les mots. J’existe grâce à eux. Écrire, c’est vraiment le bonheur !
( 15 novembre, 2014 )

La culture

Première réunion passionnante des États Géneraux de la Culture à l’initiative de Felicia-France Doumayrenc.

Rien à ajouter sauf : Que vive la culture !

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( 14 novembre, 2014 )

Résister

« L’intelligence, c’est apprendre à résister. »

Résister à l’impulsivité que l’on a en nous, nous poussant à réagir avec trop de vivacité, trop d’empressement, trop d’émotivité.
Résister au désir de se lancer tête baissée dans un projet qui au final ne tient peut-être pas la route.
Résister au désir de répondre avec violence à des insultes. Qui n’a pas rêvé de flanquer une bonne claque à son ennemie ou au malotru qui nous a pris la tête ?
Résister au sourire charmeur d’un passant nous faisant croire le temps d’une seconde que les roses fleurissent en pleine hiver.
Résister à ces ondes négatives dont certaines personnes s’entourent, et qui égoïstement sont ravies de les déverser sur nous.
Résister à la nostalgie des regrets, des actes manqués, de tout ce que l’on a rêvé en secret et qui ne s’est jamais réalisé .
Résister à la peur de vieillir, de voir le temps s’effriter.
Pas facile de résister.
 Longtemps, j’ai foncé sans réfléchir, répondant avec mes tripes sans penser aux conséquences, acceptant avec bonhomie les différences de chacun, les travers, les dissonances, percevant chaque faiblesse, chaque faille. Aimant sans m’imposer de limite. Sans rien demander en échange.
J’ai grandi.
Les claques de la vie font grandir.
Maintenant, je résiste telle une barque sur un océan déchaîné aux attaques, aux émotions trop fortes qui me traversent, aux rêves qui me hantent. Je ne me précipite plus. Je savoure le temps, chaque minute. Je ne sais pas si je suis plus intelligente mais je suis certainement plus sereine.
 Le temps qui passe n’efface que ce qui doit être effacé mais offre de merveilleuses opportunités que je n’aurais sûrement jamais saisiès si j’avais continué de foncer dans le mur de mes pensées.

 

( 13 novembre, 2014 )

Société haineuse ..

Juger et critiquer pour faire du mal.

La critique est utile et constructive mais elle ne l’est pas lorsqu’elle est faussée ! Un pauvre type allant jusqu’à insinuer que tous les commentaires positifs ne sont que ceux d’amis d’Edilivre ! Mince, je ne savais pas que 500 auteurs de cette maison avaient acheté mon roman. ce qui est à mourir de rire, ce sont ses propos que je ne découvre que ce matin : chacun s’achète son livre … Comment cette personne le sait-elle vu que cela se passe en milieu fermé ???? Un jaloux qui n’a pas eu le sien acheté ? Et personnellement, je n’ai pas du acheter faute de moyens plus de quinze livres d’auteurs …
Quel monde ! Tristesse que de vivre dans une société où la malveillance trône !
Pour ne rebondir que sur la critique littéraire, pourquoi  vouloir détruire un éditeur ou ses auteurs ? Qui es-tu, toi qui juges les autres avec tant de violence ?
Il y a longtemps que le regard des autres m’indiffère mais je déteste que mes amies auteur se retrouvent ciblées par méchanceté.
Quelle dent contre une édition qui a le mérite de nous offrir un tremplin. Sans Rouge , Felicia ne m’aurait pas remarquée. Et grâce à elle, j’ai beaucoup évolué.
Alors pour répondre avec courtoisie, vu que je privilégie le dialogue à la bêtise , à ce monsieur, Rouge fut juste une ébauche ( voir le début de ce blog) écrit juste écrit par plaisir, sans intention d’être vendue ou aimée. Le but n’était même pas d’être publié. Pourquoi alors jalousé un premier roman ?
Il est bourré d’erreurs. Bien sûr ! Ce n’est pas un prix Goncourt ! Cessons ces enfantillages ! Il conserve des fautes ? C’est expliqué sur ce blog dès le départ,
Il fut soumis à un bon correcteur d’orthographe mais Edilivre a fait une erreur de mise en page. Pour enlever les fautes, il aurait fallu que je paie et je le redis, je voulais juste ce livre très égoïstement pour mes enfants et moi.
Curieusement, il se vend malgré ses fautes, est-ce ce qui ennuie ce monsieur ? Et cela malgré sa niaiserie et ses scènes de cul à mourir de rire ( on peut se demander ce que ce monsieur attendait d’un polar ! Peut-être 50 nuances de Grey ?). À savoir que d’autres lecteurs ont trouvé qu’il y en avait trop … de sexe … Alors ???
On ne peut plaire à tout le monde. Les vrais intellos n’ont pas tous aimé Rouge mais m’ont donné leurs critiques constructives en me conseillant. Grâce à eux, j’ai pu écrire CARLA.
Blanc est mieux structuré, mieux ficelé. J’en remercie tous mes lecteurs qui m’ont aidée à progresser.
Rome ne s’est pas fait en un jour ! Et monsieur le critique ( qui curieusement n’a qu’un seul roman le mien d’évaluer !) vous êtes en droit de ne pas aimer mais non de juger mes lecteurs comme des imbéciles, les réduisant à de simples lecteurs Harlequin !
Finalement, vous savez le pire ? Vous m’avez offert quatre ventes hier et encore deux aujourd’hui ! Comme quoi, le mal ne gagne pas toujours …
Critiquer pour évoluer oui ! Juger pour détruire, non !
Et je dirais juste à vous tous qui écrivez : Bravo ! On s’en fiche des critiques et des médisances. L’important est d’abord de se faire plaisir et de faire rêver …
( 12 novembre, 2014 )

Écrire des mots

Écrire des mots juste pour laisser une trace de nos larmes sur une page cornée, juste pour mettre un peu de couleur sur un tableau usé, juste pour inviter l’autre à se fondre tout simplement dans nos pensées. Écrire des mots pour pouvoir s’évader de ce monde violent et triste à pleurer où plus personne n’arrive à conjuguer le verbe aimer. Écrire des mots pour s’offrir une pause dans un univers ordonné, bien rangé, où chaque seconde est comptée. Écrire des mots pour dire tout ce que l’on a mis dans notre poche, tout ce qui nous est resté en travers de notre gorge, tous ces rêves que l’on a espérés un jour se voir se réaliser. Écrire des mots juste pour ne pas sombrer, juste pour ne pas se sentir coupable d’exister, juste parce que la vie fait s’envoler les certitudes et ne laisse sur le sol de nos souvenirs que cette flamme minuscule, presque irréelle, inexistante et pourtant bien vivant, ce petit feu qui brûle en nous, qui nous a un jour permis d’écrire des mots …

Écrire des mots pour ouvrir son âme afin d’être écouté.
Écrire des mots pour te dire à toi qui m’a dédaignée combien je t’ai aimé.
Écrire juste pour exister.
Merci à tous ceux qui m’ont par leur message témoigné cette inspiration du jour.
À ceux qui ont permis que je puisse être capable d’oser offrir cette magie des mots, merci à vous d’avoir un jour par hasard, mais était-ce vraiment un hasard, exister pour moi …
Texte protégé par Copyright
Novembre 2014.
( 11 novembre, 2014 )

L’armistice

L’armistice.

Armistice : convention signée par plusieurs parties mettant fin à des hostilités mais ne mettant pas fin officiellement à la guerre.
Qui n’a pas signé un jour un armistice afin d’éviter une guerre cruelle ? Pensant qu’un acte comme celui-là serait synonyme de paix durable. Qui n’a pas vécu la chute cruelle où l’autre s’est retourné contre nous ?
Pensons aujourd’hui à nos poilus applaudissant ce 11 Novembre 1918 comme une grande victoire, convaincus que ce serait la der des der, découvrant en 1939 que le mal était de retour.
Nombreux sont ceux qui croient à la seconde chance. Cette femme battue acceptant de donner un nouveau départ à son monstre de mari, cet homme ayant tout perdu lors d’un séisme acceptant de se reconstruire tout en espérant que la nature ne frappera pas deux fois au même endroit.
Humains vulnérables, hommes croyant en une main tendue, en sa capacité de communiquer, de dialogue, persuadés qu’un geste positif ne peut être que synonyme de pardonner.
Pourtant la vie nous prend tous à revers fouettant nos idées avec violence.
Qu’est-ce que nos ancêtres ont bien peu penser réalisant en 1939 que la paix n’était pas éternelle, que les méchants ne voulaient pas changer. Tout comme eux, nous faisons de notre mieux aujourd’hui pour être sincère, pour accepter les mains tendues, pour aller jusqu’à pardonner même les plus vives douleurs et lorsque l’autre se met à violer cet armistice, la douleur est terrible que par jeu.
Pourtant, je continue de croire que chaque homme a du bon en lui et qu’un jour, le monde dans son ensemble comprendra que pour stopper ces guerres sans fin, il serait bon que l’ego de certains, soit simplement relégué dans un coin.
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