( 2 décembre, 2017 )

Le Qi Gong

 

Quand l’organisme n’en peut plus, il ne reste qu’une seule alternative, tout mettre en place pour le remettre sur pied. Plusieurs années que je travaille sur la manière d’évacuer ces énergies négatives que j’ai avalées, étant dans l’incapacité de faire face à une situation irrationnelle. Maintenant, je suis enfin prête à passer au stade suivant, rééquilibrer mon corps. J’ai donc découvert, sur les conseils de mon médecin, le Qi Gong. Je ne connaissais pas, et je me suis donc rendue sur la pointe des pieds, telle une petite souris curieuse à ce premier cours.

 

Qu’est-ce que le Qi Gong ?

C’est une gymnastique douce énergétique qui favorise l’énergie vitale, en clair, cela vient de la médecine chinoise, et cela consiste à entraîner le Qi pour le réveiller, le renforcer.

Personnellement, j’ai été tentée, car je dois me libérera de mon stress si je veux tenir encore plusieurs années au milieu de ces élèves bien difficiles. Apprendre à vraiment respirer correctement, à évacuer la colère, libérer les tensions. Harmoniser le Yin et Le Yang. Cette activité aurait pour mérite de se sentir mieux au fur et à mesure des cours.

Pourquoi pas ? J’en suis sortie apaisée, fatiguée, courbaturée, mais j’espère avoir remis en route des énergies coincées.

( 30 novembre, 2017 )

La peur de l’échec est-il une raison pour ne pas le faire ?

 

Notre société fonctionne sur la peur, celle d’échouer. Dès la plus petite enfance, on incite l’enfant à vivre avec cette peur.  « Attention, tu vas tomber ! » « Apprends bien tes leçons sinon tu ne réussiras pas dans la vie. » Chaque pas devient synonyme d’échec potentiel, alors plus personne ne tente rien, de peur de se tromper.

La peur de l’échec est un stress négatif qui peut détruire une vie, changer une vie.

Les enfants sont paralysés par cette peur, les adultes tétanisés, peut-être serait-il temps de changer le mode de penser de notre société ? Apprendre à accepter l’erreur comme une option non préjudiciable, à apprivoiser la peur de se tromper en l’anticipant et en s’en servant.

L’échec touche l’orgueil, et trop d’individus ont été formatés à ne pas « être ridiculisés ». Le ridicule ne peut avoir un pouvoir que si tient compte du jugement des autres. Se moquer de ce que pensent les autres, comment ils nous perçoivent, est facile hormis lorsqu’il s’agit d’une personne à qui on tient. Rien n’est pire que le jugement acide d’un ami, d’un conjoint ou d’un proche.

Est-ce une raison pour ne pas tout tenter pour réussir ? Faut-il s’arrêter à ces critiques possibles ? Après tout la vie implique nécessairement une possibilité d’échec. Comme tout le monde, je n’ai pas toujours bien vécu certains échecs, me sentant à la fois honteuse, triste. J’ai trébuché, je suis tombée, j’ai saigné, et puis, j’ai décidé de me relever, que tout n’était qu’apprentissage, et qu’au final, l’échec ne devait être considéré que comme une leçon de vie là pour nous faire progresser.

En écriture, c’est pareil. On peut écrire des pages qui n’ont aucun sens, que l’on va devoir déchirer ensuite, et puis il y en aura une qui va avoir un sens, qui va « parler », alors oui, on a peur, peur que ce futur roman ne soit jamais lu, qu’il reste dans l’ombre, et alors ? Est-ce que l’important n’est pas de l’avoir écrit ? D’avoir oser tenter ? D’être surtout aller jusqu’au bout. Alors oui, même si on a super peur de l’échec, il faut tout de même tenter quitte à se planter. L’important est d’avoir essayé !

 

Alors oui, cela va faire quatre ans que j’ai essayé …

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( 30 novembre, 2017 )

Peut-on retomber amoureux de la même personne ?

N’en déplaise aux fleurs bleues, je ne crois malheureusement pas que l’on puisse retomber amoureux. Déjà dans la lecture du mot « retomber », cela signifie que l’on n’a plus été, et si on ne l’a plus été, c’est qu’il y a une bonne raison. Occulter cette raison serait une ineptie, et un retour direct en enfer.

Raviver le feu ? S’il n’est pas complètement éteint, peut-être que c’est encore possible, peut-être que juste l’ennui a ébranlé la flamme, peut-être simplement que le verbe aimer n’a pas été complètement effacé.

Un couple peut se reconstruire, tout recommencer, autrement, différemment, avec une autre forme d’amour, mais ce ne sera jamais la même chose. Peut-on de nouveau désirer une personne que l’on n’aime plus, qui nous a fait du mal ?

Retomber amoureux comme au premier jour, je n’y crois pas, vouloir tout faire pour reconstruire, oui. Chacun a droit à l’erreur, chacun peut bénéficier d’une seconde chance. C’est le thème de « Juste une seconde », une de mes dernières parutions.

Pour cela, il faut accepter de repartir sur de nouvelles bases, de renoncer à des certitudes, comme le couple « conte de fées », accepter que l’autre puisse évoluer sans nous, et c’est ce qui me semble primordial. Un couple fusionnel est un couple qui va s’enliser sur la durée, qui va s’éteindre, car automatiquement un des deux va en mourir à petits feux. Retomber amoureux, non, aimer, oui, si la petite flamme ne s’est pas totalement éteinte.

Aimer l’autre, c’est le laisser vivre ce qu’il a à vivre même si c’est par moment sans nous. Il faut laisser entrer du soleil dans un couple, de la lumière, accepter qu’aimer n’est pas toujours pareil qu’être amoureux, car au final « être amoureux » est un sentiment d’amour naissant alliant désir, découverte,

et qu’au final, l’important est de savourer cette vie avec quelqu’un à nos côtés, de partager des passions communes, de rire surtout de nous, de soi. Je crois surtout que le plus important est de ne jamais se perdre dans un couple, de ne jamais mentir à l’autre même sur ses propres désirs, et surtout de ne jamais se mentir à soi-même.

( 29 novembre, 2017 )

Mettre du positif dans les réseaux sociaux.

Derrière l’anonymat d’un ordinateur ou d’un profil, les langues se déchaînent. Je suis toujours étonnée de constater que cela autorise pour certains une dérive, celle de s’inventer une vie, de dire n’importe quoi sur n’importe qui. Je participe très peu à ces discussions préférant rester dans l’ombre, mais j’avoue que parfois cela me démange d’exploser.

Les réseaux sociaux sont un merveilleux outil, on le voit lorsqu’un enfant disparaît ou qu’une personne a besoin d’aide. L’élan de solidarité fait chaud au coeur, mais par ailleurs, pour démolir une personne, une cause, il suffit d’une personne qui ameute les foules, et ils signent une descente aux enfers. Les médias en parlent de cette dérive, les insultes lancées sous couvert d’un profil dont nul ne peut vérifier l’identité. Notre société banalise les insultes. Où dans la vraie vie, l’autre prendrait des gants, Internet offre l’opportunité néfaste de cracher son venin, envers la terre entière.

Et puis il y a les autres, la grosse masse, ceux qui traînent sur les réseaux parce qu’ils s’ennuient. Ceux-là sont les pires ! Ils sont là pour combler un vide, pour se trouver une raison de vivre, parfois même en prenant notre place. Pendant plusieurs mois, une personne inconnue m’a fait une publicité d’enfer sur tous les réseaux existants. Je l’ai découvert quand on m’a informé que mes livres étaient sur Instagram, réseau que je ne fréquente pas. Je ne saurais jamais qui fut cette bonne âme qui m’a fait décoller en masse, et peu importe ses motivations. L’impact fut positif. Je regrette juste de ne pouvoir la remercier. Pour d’autres, le résultat pourrait être négatif. Dans le doute, peut-être devrait-on mieux sécuriser ces réseaux ? Obliger de fournir une pièce d’identité liée à un téléphone ? Je pense qu’il y a encore beaucoup à penser dans le domaine de la sécurité. Que l’on ne me parle pas de la sécurité des réseaux et des FAI. Dernièrement un jeune sur FB sur un groupe expliquait qu’en deux clics il était capable de pénétrer n’importe quel wifi de l’extérieur de la maison. Ça refroidit un peu ! Quand je pense aux prix que l’on paie en antivirus, protections en tous genres. Si on y pense, on ne fait plus rien. Personnellement, depuis trois ans, je protège tous mes manuscrits ou mes textes. Je ne le faisais pas au début, croyant innocemment que cela ne présentait aucun intérêt. Je ne suis pas certaine que cela me garantisse une sécurité, mais au moins j’ai l’impression d’avoir tout mis en œuvre pour vivre sereinement.

Car il ne faut pas oublier que les réseaux sociaux restent un outil indispensable à notre époque pour promouvoir un livre pour nous, petits auteurs, pour aider une association, pour créer une dynamique dans un projet. Alors oui, il y a du négatif dans chaque chose, c’est inéluctable, mais il y a aussi ce petit grain de lumière qu’il ne faut pas oublier.

Et vous qu’en pensez-vous ?

( 29 novembre, 2017 )

Pourquoi les changements se font-ils toujours principalement dans la violence ?

J’aime l’Histoire, depuis toujours, et aussi loin que l’on recule, toutes les grandes transformations sociales se sont produites dans la violence. Je ne peux accepter cette idée, que seul le conflit apporte une solution. La violence n’amène un résultat que ponctuel. Bien sûr, toutes les révolutions furent sanglantes, pour ne choisir que la nôtre où la guillotine a tant servi. Seulement quelques mois plus tard arriva le règne de la Terreur, puis retour à l’empire napoléonien. En clair, que de sang coulé, que de morts inutiles. Je suis et resterai une utopique, mais pour moi, tout devrait se faire dans le calme, dans des échanges d’énergie positives. Le désaccord est une bonne chose, il aide à se remettre en cause, à avancer, mais sombrer dans la haine, les guerres, me semble dénué  intérêt. Les conflits sociaux comme les manifestations ont un impact positif, car ils peuvent alerter, informer, faire bouger les mentalités. La violence est-elle pour autant une solution pour résoudre un problème ?

Je pense, j’en suis persuadée que cette violence que l’on donne aux autres, est une violence envers nous-mêmes. La violence n’est pas humaine, elle est ce côté sombre que nous avons tous en nous, cette soupape que parfois nous n’allons pas réussir à contenir, souvent poussés par les autres. Les « tu n’en es pas capable », « quoi, tu es trop faible, tu la laisses faire », « si tu m’aimes, détruis-là »,  «tu n’es vraiment  Rien » et j’en passe. Vous êtes nombreux à m’en parler sur mon blog de ces poussées de violence qui vous habitent, qui vous incitent à changer ce que vous étiez, à dire ces mots que vous ne pensez pas. La peur apporte la violence. La jalousie apporte la violence. Les mots sont les pires armes, car ils vont vous ronger ensuite de l’intérieur. Peu importe s’ils furent vraiment pensés, le fait d’avoir été dits suffit. J’ai subi le choc des mots, j’aurais mille fois préféré des coups. Les bleus auraient disparu plus vite.

La violence ne peut apporter un apaisement que ponctuel, ensuite va naître le remord, la culpabilité, voire la frustration.

Je rêve d’un monde où chacun pourrait librement donner son avis sans blesser les autres, où les sentiments seraient à l’honneur, où les solutions ne seraient pas liées au pouvoir… Nous en sommes bien loin, mais qui sait ?

( 28 novembre, 2017 )

L’informatique pour les nuls

 

Un peu d’humour et de dérision ne feront pas de mal. Se moquer de soi est parfois salutaire, et aujourd’hui, il y a de quoi. Triste constatation, je fus, je suis et je resterai une quiche en informatique ! Comme quoi on peut-être douée avec les enfants, écrire plutôt bien, et ramer comme une malade devant un micro ! Quand je pense à mon médecin qui m’a dit, aucun stress pour le coeur. Ce n’est pas un scoop, je suis une nullité absolue en informatique, même pas fichue de faire une adresse mail, et je ne parle même pas de mettre mon livre autoédité sur la plate-forme papier. Toujours pas réussi depuis un mois ! Mais j’ai atteint le plafond. Mon chéri m’a offert le nouveau Iphone X, tout beau, tout bien compliqué. J’ai passé des heures à comprendre comment cela marchait. On ne rit surtout pas, mais rien que pour comprendre comment l’ouvrir … ou mieux à la recherche d’empreintes alors que c’est la reconnaissance faciale ! Ah, comme quoi, je reste philosophe, certaines choses ne sont vraiment pas pour moi ! Le clé en main ne serait-il pas une solution ?

En tous les cas, au final, j’ai perdu la moitié de mes contacts, plusieurs articles, allez m’expliquer pourquoi ils ne se sont pas chargés, quant aux photos, heureusement que je les avais mises sur mon pc sinon, plus rien. C’est définitivement une réalité, je ne suis pas une informaticienne, et je crois que je ne le serai jamais. Est-ce grave docteur ?

 

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( 28 novembre, 2017 )

Le harcèlement moral.

 

#dénonce ton … La campagne contre le harcèlement bat son plein, et c’est bien. Trop souvent, on n’entend que des critiques méprisantes envers les femmes victimes de harcèlement. «  Elles l’ont bien cherché ! » « Que voulez-vous, elle est folle, regardez-moi, je suis quelqu’un de respectable », «  Elle n’avait qu’à ne pas s’habiller ainsi ! » , «  Est-ce que c’est ma faute si elle est si faible ? » Je ne parlerai même pas du harcèlement conduisant au viol, juste du harcèlement moral que nombreuses femmes rencontrent dans le monde du travail, dans les relations amicales voire conjugales.

Ce sont ces regards qui ne nous lâchent pas, cette présence omniprésente qui n’a aucune raison d’être, ces interpellations pouvant être violentes, agressives. Le harcèlement moral est un fléau de notre société, l’arme absolue.

Faire face est presque impossible pour la victime qui se sent déjà coupable de ne pas avoir la force de dire non ou de réagir, qui avait confiance, qui ne sait plus où est la vérité. L’autre alors agit indirectement, sournoisement, oscillant parfois avec une subtilité perverse, usant de gentillesse puis des mots, ces mots qui détruisent, souvent dits par derrière histoire de ne pas se salir les mains.

On en sort détruite, complètement, parce que l’autre a voulu nous faire croire que nous étions la cause de tout, que nous étions une erreur sur cette terre. En général, cet autre, nous le connaissions, nous l’apprécions, donc il ne pouvait qu’avoir raison.

Ces personnes sont des manipulatrices qui agissent avec brio sans jamais se faire prendre, pire souvent en retournant la situation et en se faisant passer pour la victime.

Elles refuseront toute critique, toute remise en question, toute confrontation directe. Ses messages passeront par des tiers, prêchant le faux pour le vrai, interprétant, sortant de leurs chapeaux toutes sortes de rebondissements. La victime, elle, souvent naïve, oscillera entre l’envie de croire et la peur, la honte surtout.

Le harcèlement atteint toujours son objectif, que ce soit au travail ou dans la sphère privée. La victime va se détruire de l’intérieur, car elle est totalement impuissante à se défendre. Le corps n’est pas fait pour vivre un stress constant, et son seul moyen de défense est de dire stop. Il parle à notre place.

S’en sortir ? C’est très long. Je l’ai vécue, j’y ai perdu ma thyroïde, la confiance que j’avais en moi, le plaisir de travailler, jusqu’à des dégâts sur mon coeur qui lâche petit à petit.

On peut s’en sortir, la preuve, je m’accroche et j’y travaille depuis presque trois ans, mais même si j’arrive à maintenir ma barque, je ne peux éviter qu’elle prenne régulièrement l’eau. Les mots, les situations, le chaud-froid  restent inscrits à jamais m’incitant à me replier sur moi-même. Dire que j’étais si sociable avant ! Et puis il reste cette colère que j’ai envers moi-même, pas envers « eux », juste envers moi pour avoir été une cible si facile. Je suis responsable de ma faiblesse, de mes mauvais jugements, de mes mauvais choix.

J’espère pouvoir un jour ne plus regarder derrière moi, cesser de frôler les murs.

 

Le harcèlement moral doit cesser, il ne doit pas être pris à la légère. C’est une terrible souffrance qui laisse des traces à vie. Prendre le pouvoir sur une femme parce qu’elle est une femme ne devrait pas exister. Il faut casser les préjugés tenaces. Une femme ne sourit pas à un homme parce qu’elle veut coucher avec, elle n’est pas amie avec un homme parce qu’elle a envie de lui, elle n’a pas à subir la jalousie parce qu’elle réussit où d’autres échouent. Une femme est libre de ses choix, d’avoir un grain de folie, celui d’offrir de l’affection sans rien vouloir en retour, et surtout elle a aussi le droit de dire non. Stop au harcèlement, à la manipulation perverse, car la santé est un bien précieux, et honte à ceux de l’ombre qui détruisent pour combler un vide dans leur vie et ainsi mieux vivre. Qu’ils trouvent une autre occupation plus saine !

( 27 novembre, 2017 )

Les séries TV de mes premiers jours de repos forcé.

Ce n’est plus un scoop, j’ai toujours adoré le cinéma, et avec l’explosion des séries, je m’éclate. L’ouverture d’abonnement à Netflix par exemple m’a fait privilégier le « at home ». C’est vrai que devant ces séries, je me ressource en pratiquant une activité que j’affectionne, le canevas. Je sais, cela fait un peu « petite vieille » avant l’âge, mais chacun ses petits plaisirs !

Ayant été contrainte à me retrouver au repos forcé, j’ai épuré de nombreuses séries ces jours-ci, diverses et variées. Si vous manquez d’idées cet hiver au coin du feu, je vous donne un rapide résumé de celles qui m’ont fait passé un bon moment.

 

Nina, saison 3

C’est une série française dont l’histoire narre celle d’une femme infirmière qui souhaite devenir médecin. Tout est dit, on nage dans les pathologies médicales, dans le monde des hôpitaux avec ses beaux cotés, ses faiblesses, le tout ponctué d’histoire de vie qui s’emmêlent. Les acteurs sont sympathiques, cela se regarde bien. La fin de la série 3 annonce une suite, et on se demande « qui ? »

 

 

Engrenages saison 6

J’ai suivi cette série sur les conseils d’une amie qui connaît bien mes goûts, et j’ai adoré ! Je n’avais pas vu les séries précédentes, ce qui n’a pas été un obstacle.

C’est une série française rondement menée. La série s’appuie sur Gilou, Tintin et Laure, leurs émotions, leurs amours et leurs vécus au sein de cette profession bien difficile. L’analyse des banlieues est d’une rare justesse. Pour une fois, on ne se trouve pas dans un rodéo américain, mais au coeur d’enquêtes où la politique joue un rôle, où les riches arrivent à s’en sortir, où les femmes harcelées ou agressées doivent fermer leur bouche, où il suffit d’un rien pour que la banlieue n’explose ! Un vrai coup de coeur si on aime bien sûr les vrais polars. J’ai juste envie de dire, où est mon Antoine dans cette série ?

 

Dr Foster

Cette fois, c’est une série british fort bien menée, très courte en deux saisons.

On y retrouve Les ingrédients de tout cliché vaudevilliste, la femme trompée qui veut se venger, le mari menteur qui fricote avec une jeune de vingt ans, et la maîtresse. Une bonne série très bien jouée. On s’attache à Gemma, à sa souffrance, compatissant pour cette humiliation qu’elle a due ressentir, jusqu’au final applaudir ses actes.

 

Outlander saison 3

La saison est en cours sur Netflix, mais j’aime toujours autant James et Claire, cette série haut en couleur, aux paysages magnifiques.

 

La forêt

Une petite série policière française rondement menée, avec une intrigue bien ficelée. J’ai adoré ! Jusqu’au bout, on essaie de deviner, on pense savoir, on ne sait pas jusqu’à la chute finale.

( 27 novembre, 2017 )

Les maladies thyroïdiennes doivent être comprises.

 

Le milieu médical continue de dénigrer les malades atteints d’une maladie thyroïdienne simplement parce que cette maladie ne se voit pas. Nous n’avons physiquement aucun signe montrant notre maladie, nous sommes »normales », nous semblons en bonne santé, et pourtant à l’intérieur, nous sommes en vrac.

De nombreux malades ont vu leur maladie apparaître suite à un choc, une violence physique ou moral, ne pas reconnaître cette maladie revient leur faire violence une seconde fois.

Battons nous pour être entendues, pour ne pas être considérées comme « folles » simplement parce que nous portons en nous une maladie invisible.

Les maladies comme Hashimoto sont incurables. Selon les personnes, cette maladie pourra être vécue sans trop de dégâts, pour d’autres ce sera un combat à vie.

L’important est de faire connaître cette maladie afin d’éviter plus de souffrance.

 

Les derniers avis sur Hashimoto, mon amour.

« A lire absolument, cela « rassure » sur nos maux !

Posté le 29 oct. 2017

Je viens de « boire » ce livre en deux jours … j’ignorais que certains symptômes que je vis depuis longtemps pouvaient être attribués à Hashimoto ! Voir le nombre de troubles que peut engendrer cette maladie me « rassure » sur ce que je vis au quotidien ! Ce livre devrait être fournit par le corps médical dès la pose d’un diagnostic d’ Hashimoto . Cela permettrait de montrer au patient que ce qu’il vit est lié à sa maladie et non à son imaginaire ! Les médecins et les généralistes devraient lire ce livre avant de nous juger, mais surtout pour mieux comprendre notre souffrance au quotidien ! »

« A lire sans modération

Posté le 25 août 2017

J’ai lu ce livre pendant une nuit d’insomnie, les témoignages sont poigants pour certains. Il devrait être mis entre toutes les mains, même dans celles de ceux qui ne sont pas touchés par la maladie pour qu’ils comprennent notre ressenti »

 

 

https://livre.fnac.com/a9389468/Sylvie-Grignon-Hashimoto-mon-amour

 

Pour les enfants, H et la plume de l’espoir.

 

 

https://www.edilivre.com/h-et-la-plume-de-l-espoir-sylvie-grignon.html/

( 27 novembre, 2017 )

Ces âmes-soeurs, nos moitiés, nos doubles.

 

« Les rencontres les plus importantes ont été préparées par les âmes avant même que les corps ne se voient. » Paulo Coelho

J’aime beaucoup cette phrase même si je ne crois pas en une religion, mais en la force de nos énergies, qui sont partout, en nous, ailleurs, même « après ». Je suis persuadée que les rencontres ne se font pas par hasard,  je l’ai déjà dit. Les âmes-soeurs ne seront pas nécessairement des partenaires de vie, parfois simplement des amis, des mentors. Certaines personnes sont persuadées que les deux âmes se reconnaissent immédiatement, ce n’est pas toujours le cas. Il faut avoir l’esprit ouvert, le coeur aussi, sinon ce type de rencontres peut s’avérer très perturbant pour une personne non préparée. Cette énergie magnétique va attirer ces deux personnes sans pouvoir en expliquer la raison, sans pouvoir mettre un nom sur cette émotion qui s’impose comme une évidence, mais que l’on ne sait pas toujours comment gérer.

Ce sentiment est unique, il donne envie de s’envoler, d’atteindre les nuages. Il sera un déclencheur de vie, la colombe qui nous invitera à la paix universelle, là pour une raison que nous ignorions auparavant, qui va nous inviter à plonger dans l’écriture, dans la musique, dans une autre passion, dans un nouveau chemin de vie. Il nous offre le temps d’un instant la certitude que nous sommes bien vivants.

Le plus beau dans ces relations, c’est que nous n’attendons rien de l’autre, nous contentant juste d’offrir, de proposer, de donner. C’est comme si l’énergie passait, s’enfonçant en nous pour y laisser une bouffée de pur bonheur que nous devions disperser tels des confettis. Comment sait-on que cet autre est vraiment une âme-soeur ou un fantasme ? On ne le sait jamais vraiment si ce ne sont ces signes qui ne trompent pas. Nous rencontrons tous à un moment cette merveilleuse amie avec qui nous sommes en pleine confiance, que nous comprenons à demi-mot, un homme ou cette femme que nous n’arrivons pas à oublier et qui a laissé une trace indélébile, ces autres qui se sont invités sans autorisation, que nous avons aimés puis qui sont partis, simplement parce que les âmes-soeurs ne sont que de passage dans cette vie.

L’important n’est donc pas de savoir combien de temps durera cette rencontre, mais l’impact qu’elle laissera dans notre présent.

Certaines douleurs, certains combats semblent d’un seul coup dérisoire, puisque ces autres existent quelque part. Nous nous raccrochons alors à ce filet d’énergie qui nous pousse à penser qu’un jour, peut-être, on se retrouvera, ailleurs, après.

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