( 11 novembre, 2017 )

S’entourer d’énergies positives.

 

Des mois que je m’efforce de ne côtoyer que des personnes positives, de penser que positif, de ne parler que positif. J’essaie de faire mon lieu de travail un endroit où on se sent bien, même si ce n’est pas toujours facile, car que les classes sont difficiles. Égoïstement depuis juillet 2014, je fuis tous ceux « que je ne sens plus ». Dernièrement un proche me disait que je m’isolais trop. Certainement, je redeviens ermite, contente juste avec mes livres, mes stylos, mes intimes.

Pourtant la vie nous rattrape sans cesse avec ces pics négatifs, les

claques auxquelles on ne s’attendait pas, le retour de la violence à l’état brut.

Je crois que c’est dans la condition humaine.

Je visualise positivement, je crée des pensées qui n’ont jamais de haine, pourtant je rencontre encore trop souvent la méchanceté sur ma route. Je ne crois pas au grand barbu, mais par moment je me demande ce que j’ai à apprendre encore sur cette terre ? Je ne suis pas parfaite, je le sais, je ne suis pas un ange, je le sais aussi, j’ai fait des erreurs, j’ai été impulsive, j’ai cru dans les mauvaises personnes, mais je continue de croire dans la vie.

Ma route a croisé des gens machiavéliques, autant dans le monde de l’édition que dans la vie originaire, à tel point que je me dis parfois que je dois être folle d’être toujours debout. Peut-être ai-je simplement cette faculté d’absorber les chocs quitte à me détruire, puis je sors de ma tombe pour renaître à nouveau.

« La pire erreur n’est pas dans l’échec mais dans l’incapacité de dominer l’échec », François Mitterrand

L’échec est inéluctable, nous passons tous par cette donnée. La surmonter demande un effort de volonté, et c’est là où s’entourer de lumière positive est important.

( 10 novembre, 2017 )

Le chemin de la guérison est long.

Vous êtes bien nombreux à me dire que certaines maladies ne guérissent jamais, même si le corps, lui, va mieux. Je me bats pour rester debout. Hashimoto m’a mise KO, m’enlevant mon énergie. Quatre ans après, je suis toujours en vie, mais j’ai perdu des morceaux de mon « moi ». Le plus difficile reste ce rapport avec l’arrivée brutale de cette maladie liée à un choc. Je travaille dessus depuis deux ans, mais sortir cette boule bloquée en moi n’est pas si facile. À certains moments, en général lorsque ma thyroïde va bien, je suis très positive, je me sens heureuse, légère, avec un sentiment de paix, et à d’autres, je m’en veux d’avoir laissée cette maladie prendre le dessus, je m’en veux d’avoir été une idiote manipulée, je m’en veux de n’avoir pas su réagir.

Que l’on se rassure, je m’accroche. Il faut du temps. J’ai fermé de nombreuses portes il y a trois ans, j’ai laissé mes illusions au vestiaire, j’ai surtout appris à pardonner même si le sens unique reste de mise. Prendre du temps, se donner du temps, cicatriser pour avancer, se regarder en face, ne pas fuir qui nous sommes sinon pas de guérison.

La douleur doit être guérie de l’intérieur. Un coeur qui saigne finit toujours par se soigner. Une âme en détresse aussi. Il faut du temps, et pas juste une seconde.

 

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( 10 novembre, 2017 )

Écrire, cette addiction qui nous veut du bien.

 

Écrire, cette addiction, ce besoin de poser les mots. Passion, thérapie, peu importe, véritable plaisir. J’écris, pas que des romans, des idées, des morceaux de vie, du ressenti, beaucoup, trop peut-être, sur des papiers, sur des fichiers, j’écris des lettres que je n’envoie pas mais qui feront un jour un roman, j’en suis certaine, des phrases pour être en paix  avec l’Univers, des mots pour toucher.

« Écrire, c’est facile ! », non pas toujours car on se déshabille, on laisse place à l’interprétation, et c’est ce qui est dur.

« Écrire, c’est facile, il suffit de raconter sa vie, pourquoi tu ne racontes pas la tienne »

Parce que la mienne n’intéresse personne et elle m’appartient . C’est une fausse idée de croire que tous les auteurs font une biographie, à part si vous êtes les politiciens ou les stars. Seuls les livres destinés à « faire du bien » aux autres me semblent importants (comme les hommage à un disparu, les livres sur un fait historique )

Ceci n’empêche pas qu’il est important d’écrire si on en ressent le besoin. Écrire c’est se donner une chance de survivre à un choc, à sortir d’une autre façon que les larmes la douleur. Écrire, c’est mettre un point final. On ne peut écrire que lorsque la guérison s’annonce. Tout comme pour les AA où on demande aux personnes d’écrire parfois, de  réparer leurs erreurs, je crois en l’importance du pouvoir des mots.

Je crois qu’il faut écrire « à ses cauchemars » , à ceux qui nous ont fait du mal, même si on n’envoie jamais les lettres.

J’avoue que sans ce blog , je ne sais pas si je me serai relevée d’Hashimoto. Aujourd’hui encore, lorsque je subis un choc, un doute, j’écris. Je n’aime que les mots, rien d’autres. Je pose ses phrases pour faire passer de l’émotion, pour apporter quelque chose. Je n’écris pas pour l’argent vu qu’un livre ne rapporte même pas de quoi payer un resto à un petit auteur. J’écris pour que seule l’énergie positive reste en moi.

Écrire c’est un peu faire l’amour avec des notes qui dansent sur une partition. Il faut accepter de se laisse emporter, avec douceur, tendresse, sans se prendre la tête, sans céder à la facilité, en gardant juste en nous la beauté des mots.

« Je n’y arriverai pas », si, bien sûr ! Vous qui souffrez, écrivez, videz-vous, hurler votre douleur sur le papier. Vous qui aimez, dites le avec des poèmes, avec des rimes, mais surtout ne restez jamais avec une boule de haine qui vous rendra malade, qui vous plongera vers le fond.

 

Aimez écrire, notre vie, votre vie, le monde sera alors comme un champ de roses au parfum de plénitude.

( 8 novembre, 2017 )

Bien s’entourer pour être heureux.

 

Par hasard, on va dire cela, je suis tombée sur un article qui expliquait que pour être heureux, il ne fallait s’entourer que de personnes qui nous correspondent. Sur le coup cela m’a interpellée, moi qui prône la différence, le droit à ne pas être collé à un clone, et puis à bien y réfléchir, leurs arguments étaient valables. Côtoyer des personnes qui nous ressemblent « intellectuellement » nous sécurise, évite les conflits, les blessures, et de ce fait, nous allons inéluctablement nous sentir mieux, en meilleure forme, donc heureux.

Mais n’est-ce pas tout de même réducteur ? Nous pouvons très bien nous sentir en harmonie avec des personnes qui pensent autrement ou qui vivent d’une autre façon, cela ne va pas pour autant nous plonger dans la déprime, si nous ne sommes pas influençables, si nous sommes capables de rester ce que nous sommes.

Une fois encore, les journalistes tranchent. C’est impossible. Nous serons automatiquement attirés par le côté sombre ou le coté lumineux de l’autre.

Je ne suis donc pas totalement d’accord. La vie n’est pas juste noire ou blanche, elle possède son étalage de couleurs. Si bien s’entourer signifie fuir les personnes nocives, alors oui, c’est une nécessité, car certains nous poussent vers le fond, et même si nous avons un moral d’acier, elles laissent des traces, et pas des jolies.

Être bien entouré, à l’inverse, nous procurera un bien être, nous permettant de nous sentir en phase, serein, même si nous sommes différents, même si nous ne fonctionnons pas à l’identique, comme si la vie n’était qu’une immense prairie où nous pouvons tous courir sans aucune crainte. L’ennui est que souvent notre vision différente du monde implique dissonance, jalousie, haine. Dur de ne pas sombrer alors vers le puits noir lorsque l’on constate que tout nous accable.

Je rêve à cette grande étendue d’herbe, nous allons échanger, partager, aimer, être heureux, ensemble. Existe-t-elle ?

( 7 novembre, 2017 )

Pensées du jour

Si t’étais encore là …

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Roman en cours :)

 

Parfois je te vois dans mes rêves, j’entends le téléphone, c’est toi, un message, c’est vous. Le livre des souvenirs grossit de jours en jours, je me souviens de cet instant, de ce moment unique, de ce qui aurait pu être, de ce qui n’est plus.

Ne crois que je sois triste, les larmes ont séché sur mes joues depuis longtemps, je ne sais même plus si je pourrais en prenant un crayon dessiner ton visage, je ne suis pas bonne en dessin, et puis, tu m’as rayée de ta vie si violemment, que par défense, l’oubli, j’ai appris à le conjuguer à tous les temps, au passé particulièrement. Je n’ai voulu que ton bonheur. Quelle prétention d’avoir cru savoir ce qui était bon pour toi.

Et puis il faut bien le dire, même si j’avais voulu te retenir, mon fuseau se serait cassé à force de te dessiner.

Qu’est-ce que vous diriez si tu n’aviez pas fermé la porte, que penserais-tu de ce que je suis devenue ? Reconnaîtrais-tu t’être trompé ou continuerais-tu lâchement à nier cette réalité qui s’imposait ?

Si tu étais encore là, aurais-tu appris l’assiduité, la constance, la sécurité, aurais-tu renoncé à fuir ce bonheur à ta portée ? Si tu étais là, prendrais-tu ma main pour m’empêcher d’écrire ces absurdités.

Mais tu n’es pas là, tu ne l’as jamais été.

Les pages s’envolent, les photos jaunissent, la mémoire s’étiole, il reste si peu de choses de ce passé englouti.

Si tu n’avais pas été là, je ne serai pas ce que je suis. Même si cela n’a aucun sens pour toi, j’ai pris le parti, de voir dans l’ombre des fractures de ma vie la certitude que dans l’absurde, être passée par toi fut la plus jolie chose, qui a donné un sens à un non sens, et couronné ma vie d’aujourd’hui.

 

Craquez pour Juste une seconde …

 

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( 7 novembre, 2017 )

Cette difficulté d’avancer

 

 

Nostalgie, découragement, déprime, bien des facteurs viennent par instant ralentir nos projets de vie. Ils interviennent suite à une remarque pourtant anodine, à une difficulté, à des routes qui s’éloignent, à une incompréhension. Pourquoi dans ce cas n’arrivons-nous plus à avancer ? Au fond de nous, rien n’a pourtant changé, nous sommes les mêmes, seulement nous nous heurtons à un mur invisible qui nous projette en arrière. Cette situation peut nous faire fondre en larmes , ridicule allez-vous me dire. Moyen de défense, je vous répondrai. Les larmes sont le reflet de l’âme, et si elles coulent, c’est une bien bonne chose. C’est le jour où elles ne coulent plus qu’il faut s’inquiéter. Cela signifie que le coup ne peut plus être évacuer. Il ne faut pas avoir honte de verser des flots de larmes, et surtout il faut cesser de dire aux enfants « Cesse de pleurer », sinon il deviendra un adulte sans empathie.( et notre monde en regorge). Les larmes ne sont pas un signe de faiblesse, au contraire, il faut de la force pour arriver à laisser son émotion exploser en public. Pleurer est déstabilisant pour ceux qui sont en face de soi, d’où l’express « aller pleurer dans son coin ». Bien sûr, il existe « les pleureuses professionnelles », ces personnes qui usent notre empathie pour atteindre leur but. À zapper.

Une fois les larmes séchées, le trop plein évacuer, nous allons pouvoir avec rationalité nous poser les bonnes questions. Nous avons tous à un moment une barrière infranchissable qui va surgir devant nous. Nous pouvons choisir de l’escalader quitte à tomber, se faire mal, et au final échouer, ou bien trouver une solution qui va prendre du temps, qui va peut-être s’éloigner pour une période de ce but, celle de contourner cette barrière, d’en faire le tour même si ses fondations sont profondes. Ce sera cette remise en question, ponctuée de larmes, d’envie de tout envoyer valser, qui sera salvatrice.

Avancer est certainement la chose la plus difficile qui soit, mais rester figé est bien pire car bien plus compliqué ensuite de faire ce fameux pas en avant.

Soyons conscients que personne n’avance sans effort, qu’aucun individu , sauf troubles mentaux, n’est exempt de doutes, et surtout que chaque personne que vous croisez dans la rue, sur le web, dans votre travail possède des failles. Qu’elle ne les montre pas ne prouve nullement sa force, simplement son orgueil à vouloir paraître forte.

Je rêve d’un monde où personne ne porterait de masque et serait ce qu’il est vraiment.

Je rêve de pouvoir avancer sans douter, sans souffrance, mais certaines doivent être franchies même si elles font mal. Alors acceptez-vous par moment mes larmes comme je vais accepter les vôtres ?

 

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( 6 novembre, 2017 )

Le harcèlement scolaire.

Le harcèlement à l’école est de plus en plus fréquent. Avant, on ne le voyait apparaître que sur les bancs du collège, mais il s’invite de plus en plus chez des enfants de plus en plus jeunes. Comme je l’explique souvent à mes élèves, le harcèlement vient de l’ignorance. Un enfant, par définition, n’est pas méchant, mais il va se retrouver entrainé au sein d’un groupe à commettre des actes de violence répétitifs, souvent d’abord verbaux. Ce seront les « Tu es trop nul », « Ta mère *** » , puis viendront les coups voire le chantage dans les cas extrêmes.

Ignorance, allez-vous me dire ? Notre société est une fois encore responsable de ce phénomène, toujours à critiquer, toujours à penser négativement. Les enfants sont conditionnés, bien malgré eux, à juger, à commérer, à critiquer, tous ceux qui ne sont pas dans la norme. Ce sera l’enfant « différent » par sa taille, son poids, sa couleur, sa façon de parler, ses origines. L’autre réagira négativement parce qu’il ne comprend pas. Le rôle éducatif des parents est donc primordial.

Le harcèlement scolaire est une véritable violence faite à un enfant qui ne sait pas y répondre et finira par sombrer dans une anxiété, une peur de l’école, une peur simplement de vivre. Tout enfant peut se trouver, à un moment, dans la peau du harcelé ou du harceleur.

Beaucoup de campagnes sur le harcèlement scolaire sont mises en place, et c’est une très bonne chose. Il n’empêche que comme toute action, le revers existe. Certains enfants ont fort bien compris qu’il était facile de se dire harcelé ou persécuté à l’école pour éviter les punitions parentales (et malheureusement cela marche presque à tous les coups).

 

Pour faire cesser un harcèlement, la violence doit être proscrite. Seuls le dialogue et l’intelligence peuvent y mettre fin.

Il existe bien sûr des dizaines d’ouvrages sur ce sujet, et je vous annonce qu’il y en aura un de plus prochainement, mon petit livre pour enfants « H et la plume de l’espoir », que j’ai écrit pour mes élèves de l’an dernier, afin que par juste quelques lignes, je sais en tant qu’enseignante la quantité ne sert à rien, le message positif que je désire transmettre, passera. La méconnaissance entraine l’exclusion. L’exclusion, la douleur. Nous pouvons tous éviter cela. Ne ratez surtout pas sa sortie !

 

Un concours est organisé pour sa sortie !

De 8 ans à 12 ans

dessine le rêve que fait H en regardant sa plume

à envoyer avant le 30/11 par mail

rougepolar@gmail.com

 

 

 

 

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( 6 novembre, 2017 )

Parce qu’un jour, tu fus

Inspiration des vacances

Pourquoi faut-il toujours des mots pour expliquer l’amour, pour s’en souvenir, pour ne pas oublier. Est-ce la raison pour laquelle tant de chanteurs en parlent ? Tant de poètes l’écrivent ? Y a-t-il vraiment une raison dans cette question « Pourquoi je t’aime, toi. »

Parce que je t’aime je regarde comme à travers des lunettes déformantes, la vie me semble irréelle, belle, souriante. Je m’attarde sur ces fleurs qui bourgeonnent, sur ces parfums oubliés, j’écoute le moindre bruit afin de me l’approprier. J’étais une coquille vide avant de te rencontrer. J’avais l’impression de m’enfoncer dans un labyrinthe sans jamais trouver l’entrée. Prisonnière. Je ne songeais pas à m’enfuir, j’avais construit des remparts de verre. Les faire tomber n’aurait nécessité aucun effort, pourtant l’envie me manquait. Et puis, tel un chevalier sorti d’un conte de fée, tu t’es imposé dans ma vie. Je ne voulais pas de toi. Tout était si compliqué. Tu as insisté. Je suis restée. Tu m’as charmée. Je t’ai aimé.

Parce que je t’aime, j’ai osé gravir des montagnes enneigés, traverser des océans, j’ai même prié un Dieu auquel je ne croyais pas, juste pour te voir sourire.

Parce que je t’aime, je n’ai jamais cessé de douter, même quand l’orage grondait, même quand la jalousie l’emportait. J’ai toujours cru en toi, j’ai toujours su que c’était toi.

Et puis le vent a tourné. Malheureusement, ce n’est pas pour cela que j’ai cessé de t’aimer. Tant de secondes de ratées…

 

Ne ratez pas mon nouveau roman en vente sur Amazon

 

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( 6 novembre, 2017 )

Tu es ce que tu penses

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Cela fait un peu sujet de bac philo, et pourtant, je trouve cette citation tellement juste.

Longtemps, on a évité que les gens pensent trop (en particulier les femmes qui n’étaient bonnes qu’à ouvrir les cuisses). Ensuite, de nombreuses personnes se sont retrouvées simplement cataloguées sur leurs intentions, sur « ce qu’elles disent qu’elles feront », même si elles ne feront jamais rien. Nous avons tous certainement en mémoire, l’ami qui nous aura promis d’être toujours là, de nous aider linéairement quoiqu’il arrive, et qui au final, au premier changement de vent, s’est volatilisé voire pire, s’est métamorphosé en monstre sans coeur.

Nous sommes en tord, car nous y avons cru. Nous avons attendu les promesses qui ne furent jamais tenues, nous avons serré la main qui nous a lâchés, pleuré sur les espoirs stupides que nous avions dessinés. Les mots n’avaient pas été dits avec sincérité, c’est notre seule erreur au final, nous ne pouvions prévoir que les actes ne suivraient pas, ou nous ne voulions pas le voir.

Il y a une question qui m’intéresse. À quoi sert-il de demander à l’autre de l’attendre et pourtant de ne jamais revenir ? Pourquoi tant de lâcheté ? Pourquoi certaines personnes refusent de s’expliquer ? De pardonner ? Pire d’écouter simplement. Pourquoi ne pas avoir eu dès la première bourrasque l’honnêteté d’affirmer ses limites ?

Je reste une idéaliste qui fais ce que je dis, qui assume ses erreurs, et étant loin d’être parfaite, j’en fais beaucoup, et qui surtout essaie de toujours rester fidèle à ce que je pense. Résultat, on peut me reprocher ( et j’accepte ce reproche) d’être intolérante envers ceux qui fonctionnent différemment, ceux qui vont sourire par devant et pousser dans les orties, ceux qui vont séduire juste par jeu, ceux qui commencent un projet et l’abandonnent sans songer à tout l’affect que vous y avez mis. Je déteste les égoïstes qui ne pensent qu’à eux.

Je suis ce que je pense, et comme le veut la fameuse loi de l’attraction, j’essaie d’être de plus en plus attentive à mes émotions afin d’ouvrir ma porte aux énergies qui me ressemblent et avec qui je vais pouvoir fusionner, amicalement, professionnellement, et surtout positivement, sur la durée. La route m’en a fait croiser de nombreuses ces dernières années, et j’espère arriver à les préserver. Quelques portes qui ne doivent pas se refermer. Une seule chose, trouvez votre clé et n’oubliez pas « Tout ce que vous pensez, en bien ou en mal, vous l’attirez dans votre vie »

( 5 novembre, 2017 )

Liberté que deviens-tu ?

Les vaccins doivent-ils être tous obligatoires ?

On ne parle que de cela en ce moment, cette obligation de vacciner les enfants.

Que certains aient un caractère obligatoire comme le BCG, la diphtérie , la polio ou le tétanos, je trouve cela normal, pour les autres, je ne peux que penser à une manière d’engraisser les caisses de l’industrie pharmaceutique. Que l’on propose, pourquoi pas, que l’on impose me choque ! Et la liberté de choix ?

Le comble est que notre bon vieux BCG reste lui optionnel alors que l’on impose celui de la rubéole. Honnêtement, qui n’a pas eu un de ses enfants avec la rubéole ? Qui n’a pas bossé avec des classes de maternelles où l’épidémie faisait rage, mais où tout le monde a survécu.

Je suis scandalisée que cette obligation soit conditionnée à l’inscription d’enfants à l’école. Bon sang, l’instruction est obligatoire ! Ce n’est pas parce que le gosse n’aura pas eu son ROR qu’il devra être privé d’école. Dans quel monde vivons-nous ?

Et je ne parle même pas du vaccin contre l’hépatite qui a provoqué des cas de SEP ou de problèmes au foie. Qui est inconscient ? Les médecins qui vont céder à la pression parce qu’ils ont le cul entre deux chaises ? Les parents qui vont être obligés de céder au chantage du gouvernement ? N’est-ce pas un cadeau merveilleux que l’on fait aux labos? Des millions de vaccins sur un plateau doré, remboursés par la sécu, histoire d’augmenter son déficit.

Je suis surtout choquée en lisant les remarques de certains médecins, forts de leur haute intelligence, qui nou s bassinent à coup de certitude. Tout est psychologique, un vaccin ne peut faire de mal. Le risque d’allergie est nul. Ben voyons ! On se croirait dans un vieux remake celui du Médiator, du sang contaminé, de l’Isoméride, et j’en passe. On apprendra certainement dans cinq ans que le nouveau Levothyrox a été sur le même modèle.

Heureusement que je n’ai plus d’enfants en âge d’être vaccinés, car je serai prise en otage. Heureusement que l’on ne nous impose pas à nous adultes de subir ces vaccinations. Allergique au stérate de magnésium qui se trouve dans certains vaccins,  quelle option me serait proposée ? Un arrêt de travail à vie vu que je suis enseignante ?

Sérieusement, où est la faille ? Tout cela est parti du décès d’une jeune fille de la rougeole, une seule en un an, alors que des dizaines d’enfants meurent chaque année d’allergies, de cancers ou d’autres maladies.

Je ne peux croire que cette obligation soit décidée pour le bienfait de l’humanité, ou alors vous les laboratoires, prouvez le moi, et offrez ces vaccins gratuitement sans greffer la sécurité sociale. Montrez-nous, madame là ministre, que vos intentions sont vraiment puristes ? En attendant, je continuerai à m’interroger sur ces obligations contraires à la notion de liberté et de choix.

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