( 31 octobre, 2018 )

Sortie de BLANC

 

Pourquoi ai-je choisi de placer l’intrigue de ce roman dans le sud de la France à Cassis ? En hommage à mon grand-père né à Martigues, appelée la petite Venise provinciale. Mon grand-père en parlait tout le temps, comme d’un petit paradis sur terre. Il avait là-bas sa vie bien éloignée de celle qu’elle partageait avec ma grand-mère.

Cassis, Martigues, ce sont ces endroit magique où se dessine la grande bleue à l’horizon. Seulement, même dans ces petits coins de paradis, la mort atroce peut frapper. Des enfants innocents, un passé que beaucoup voudraient oublié. Heureusement, l’inspecteur Bourgnon est déjà sur les lieux et lui seul pourra trouver qui se cache derrière ces crimes odieux !

 

N’hésitez plus ! BLANC est le polar idéal pour vos douces soirées d’hiver …

Lancement sur Amazon aujourd’hui … et les sites partenaires

 

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( 31 octobre, 2018 )

Faut-il abandonner ses rêves ?

Trop de personnes renoncent à la moindre difficulté, comme si un rêve était facile à atteindre. N’est-ce pas justement cette difficulté qui en fait un rêve ? Le fait qu’il s’approche de l’impossible ? Est-ce une raison pour ne pas essayer ? Je pense que tout rêve qui peut se réaliser, se dessinera avec certitude dans notre ligne de vie. Ensuite naîtra simplement la question du choix. Est-on prêt à tout pour réaliser son rêve ou va-t-on simplement l’abandonner par peur d’échouer ?

Naïvement, peut-être, je pense que rien ne devrait nous faire abandonner nos rêves sauf si la faucheuse vient contrarier nos plans. Un rêve ne doit pas se conjuguer avec une notion de temps. Trop d’impatience va tuer les rêves, trop de lassitude aussi. Un rêve verra son accomplissement au bon moment, lorsque toutes les conjonctures seront réunies. Parfois un rêve va se trouver décalé dans sa réalisation , ce qui ne voudra pas dire qu’il devra être abandonné. Bien sûr, il ne faut pas viser la lune non plus, elle est bien trop haute, ou vouloir ce que l’on sait que l’on ne pourra pas avoir. Une relation rêve depuis des années de finir sa vie dans un palace sous les cocotiers, seulement il a passé sa vie à vivre du chômage. J’ai beaucoup de doutes sur la réalisation de son rêve, mais après tout ! Cette autre passionnément amoureuse d’un homme marié dont l’unique rêve est de l’épouser, lui, et pas un autre. Là encore, pourquoi pas, mais vouloir détruire un couple est-ce un rêve positif ?

J’ai envie de dire, ne jamais abandonner des rêves positifs, prendre les choses en main pour les réaliser. Accepter de se tromper. Un rêve peut nous sembler bien tentant au départ, puis en commençant à le réaliser, on peut s’apercevoir qu’il ne nous convient pas. C’est une possibilité. Ne pas hésiter à faire marche-arrière. Et surtout, concrétiser son rêve parce qu’il vient du fond du coeur et surtout pas parce que notre ego nous dit de le faire !

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( 30 octobre, 2018 )

Si tu me tends la main …

 

Aider, c’est aller vers l’autre, c’est laisser une porte entre ouverte, c’est être là tout simplement. Parfois, malheureusement, sous le coup de la déception, de la colère, lorsque l’orgueil ou l’ego est touché, on ferme cette porte avec violence, en faisant du bruit. Ce seront ces mots qui font du mal, ces lettres où on n’en pense pas une ligne. Seulement, si une main est tendue, la douleur s’effacera petit à petit.

Parfois, c’est encore plus compliqué. On voudrait tendre la main, mais on se retrouve comme un imbécile avec un vide. Pourtant, il faut persévérer. Tendre la main à une personne, c’est lui offrir la possibilité  de continuer d’exister, même si on ne doit rien attendre en retour.

Nous avons tous vécu un jour cette main qui nous a lâchés, cette main qui comptait pour nous, cette main sur qui on comptait. Peut-être est-il temps de poser des mots sur cette souffrance.

À toi, à eux, à ceux qui un jour ont lâché nos mains …

Toi, qui pour une raison compliquée, as renoncé. Toi dont je peux encore du bout de ma plume dessiner tes silences, comme j’aimerais que l’oubli m’emporte, que la nuit vienne effacer ces moments que nous avons partagés, avant que tu ne quittes mon chemin de vie. Tu étais tellement important, peut-être ne l’as-tu pas compris ou peut-être ne voulais-tu pas le savoir. Tu es si loin aujourd’hui, loin de ce présent, loin de cette vie. Peut-être attends-tu dans l’ombre, sans rien dire, sagement, un sourire cynique sur les lèvres, ou peut-être pas. En tous cas, cette pensée est un peu comme baume qui penserait tes blessures. Alors, si un jour, tu t’enfonces, sache que je suis là, même si je t’ai lâché moi aussi la main, alors n’hésite pas, tends-moi ta main et je te rattraperai, je t’emporterais dans mes rêves, je te parlerais des princesses qui sont tombées amoureuses d’un crapaud, des princes qui n’existent pas vraiment. Je te peindrais des tableaux plein de couleurs chaudes pour que tu n’aies pas froid.

Si tu me tends la main, toi, l’ami perdu, toi le lecteur en dérive, toi qui est là, qui que tu sois, sache que derrière ton écran, je suis, pour de vrai, là et bien là, si tu me tends la main.

 

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( 30 octobre, 2018 )

Les confidences

 

Bien douces sont les confidences dites sur la pointe des pieds, sous le sceau du secret, ces doux silences entre les mots, cette impression de bonheur partagé. On a tous connu un moment dans une vie, parfois court, impulsif où ce besoin de se confier s’écrivait comme une évidence. Seulement certaines confidences ne sont pas toujours anodines, peuvent retentir dans l’esprit de l’autre comme un appel au secours, comme une démarche d’aide ou comme un désir inavoué. Là peuvent naître les pires complications.

Une confidence doit rester ce qu’elle est à la base base, une parole de confiance juste offerte pour alléger son âme. Certaines personnes ont un besoin presque pathologique d’étaler leur vie, leurs échecs, attendant des mots sucrés pour se sentir moins mal. Je me trompe peut-être, mais je ne pense pas que ce soit le rôle des confidences, qui pour moi restent des cadeaux uniques que l’on fait à une personne unique . Une confidence colportée sur les réseaux sociaux ou chuchotée à moult contacts n’est pas une véritable confidence. Se confier, c’est attribuer à l’autre une qualité essentielle de non-jugement. Elle va écouter, mais jamais juger. Elle devra également être apte à ne pas divulguer ces mots qui sortis de leur contexte peuvent faire parfois souffrir. Elle ne sera jamais une arme destinée à faire tomber une personne. J’en ai connu des individus se servant ensuite des confidences pour mieux abattre « l’ennemi ». Honte à eux ! Une confidence est sacrée. Même si on est en guerre contre une personne, même si la haine a remplacé l’amour ou l’amitié, la confidence doit conserver son intégrité. En résumé, une confidence ne doit jamais servir à faire du mal, juste à soulager un coeur parfois lourd.

N’oublions jamais que certaines confidences peuvent parfois être bien lourdes à porter. N’imposons pas nos douleurs aux autres, et surtout soyons certain que ces mots dits au creux de l’oreille, ces confidences partagées parfois lors de moments à deux, ne risquent pas de détruire à jamais une harmonie. Confidences = Confiance …

 

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( 29 octobre, 2018 )

Savoir se taire ou pas …

 

« J’ai préféré me taire car j’ai constaté que les mots faisaient beaucoup de mal et le silence beaucoup de bien »

Bien jolie citation n’est-ce pas ? Savoir se taire est important, mais attention à la dérive consistant à se faire soi-même du mal en évitant de dire les mots qui devraient sortir. Parfois, en oubliant de parler, d’autres parleront à notre place, et déformeront notre pensée. Se taire, oui, parfois, mais écouter les mots souffler au travers des silences, c’est bien mieux ! Et puis, il y a des mots qui sont doux aux oreilles, les mots d’amour ou d’amitié, les mots qui font du bien, et que pourtant trop souvent nous taisons …

 

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( 29 octobre, 2018 )

#Pasdevagues

Depuis quelques jours, les langues se délient, on ose enfin parler ! Eh oui ! Pas de vagues ! C’est le slogan de l’éducation nationale. Un bon enseignant se doit de faire profil bas, parce qu’il a les épaules larges, parce que c’est un vrai professionnel !

Il faut que se déchire la toile de l’illusion ! Les enfants d’aujourd’hui ne sont pas des anges. Est-ce la faute aux médias qui ne cessent de montrer de la violence, à l’éducation donnée par les familles, aux objets connectés ? Est-ce important la cause ? Seuls les faits me semblent primordiaux. Un enfant de huit ans n’hésite plus à insulter un enseignant en le regardant droit dans les yeux. Le petit chou ne veut pas travailler, et l’insulte fuse. La petite chérie a perdu son manteau et la mère indignée vient donner une baffe à l’enseignante, une rematque lors d’une leçon non apprise, et un doigt d’honneur est la répinse ! Certes, les classes surchargées n’arrangent rien, mais ai-je envie d’ajouter, « à mon époque » nous étions trente-cinq dans la classe où j’enseigne aujourd’hui, et nul n’aurait eu l’idée de répindre ou de lever les yeux au ciel. On a mis les enfants rois sur un piédestal et on le paie très cher aujourd’hui !

Et je ne parle même pas de ces adultes se pensant au dessus du dialogue qui vont directement demander le renvoi d’un enseignant au rectorat simplement parce qu’il sont eu avec un problème personnel sans rapport avec l’école. #Pasdevagues. À tous ceux qui vont chipoter le moundre détail, allant jusqu’à casser sur le devant de l’école « de l’enseignant ». Et toujours le #Pasdevagues, réponse de l’institution. Bien sûr, on vous fait savoir que ces enfants ont de gros problèmes ( non ? On était tellement stupides qu’on ne l’avait pas compris), que ce père hystérique n’est pas bien dans sa peau ( là encore, on nous prend pour des buses !) , que cette mère qui ne cesse d’agresser cet enseignant n’est qu’une personne ayant mal vécu sa propre scolarité ( ouais, et alors ? Enseignant égale punching-ball ! ). L’institution regarde avec mépris ceux qui se plaignent, ceux qui osent dire que cela va mal, ceux qui s’opposent. #Pasdevagues

Pendant plus de vingt -cinq ans de carrière, j’ai côtoyé des élèves et des parents fabuleux, mais je me suis aussi trouvée confrontée au « #Pasdevagues ». parce que que nous sommes soumis au devoir de réserve, ce qui veut dire que l’on se doit fermer sa bouche, courber le dos, continuer de sourire face à l’hypocrisie de certains et au final, de prendre les coups sans moufter ! Et ça marche ! Je l’ai vécue. J’ai fermé ma bouche comme on me l’avait demandé. J‘ai subi la violence gratuite de parents qui avaient un sérieux problèmes, d’histoires mensongères comme celle de la télé ( j’en parle souvent, car elle reste bien councée cette téké qui n’existait pas), j’ai développé une maladie auto-immune irréversible et de sérieux soucis de santé à tout garder. Des années après, mon corps continue sa lente destruction vers une fin inéluctable qui n’arriverait certainement pas si vite si j’avais osé faire des vagues ! Si j’avais eu le courage de braver l’institution, de dire non au #Pasdevagues

On a tous -, un jour, connu, nous les enseignants,  une situation compliquée face à un élève. On a tous un jour connu une situation compliquée face à un parent. On a tous souffert en silence en serrant les dents parce que nos collègues étaient tout aussi impuissants que nous, parce que la direction voulait ménager la chèvre et le chou en évitant de trop s’éclabousser ( ben oui, c’est toujours inconfortable les conflits ! Et puis un parent, surtout s’il est friqué, pas touche !) alors on nous chuchote doucement, #Pasdevagues, rentre chez toi, calme-toi, seulement l’injustice reste. Non, un enfant n’a pas le droit d’insulter ou d’agresser. Non, un parent n’a pas le droit non plus de détruire un enseignant pour son propre plaisir. C’est une fois rentrée chez nous que les vannes s’ouvrent, on pleure, on se sent même coupable de ne pas avoir réussi à garder le petit chéri dans le droit chemin, coupable aussi d’avoir laissé ces parents médire sur notre compte. Coupable d’être simplement un être humain. Parce qu’au fond, vous le découvrez peut-être, mais un enseignant n’est pas une machine. C’est un être humain, et les agressions permanentes autant venant des élèves que des familles usent vite. Alors #Pas de vagues ? Il serait temps que les vérités explosent !

En tous les cas, c’est pour cela que j’ai demandé ma retraite anticipée pour la rentrée prochaine , parce que ce #Pasdevagues m’a démolie, et que j’ai envie de vivre sans violence ! Dommage, car quel merveilleux métier je fais et comme je l’aime encore !

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Merci à Anna chronique, talentueuse dessinatrice pour m’avoir autorisée à partager ce dessin au combien révélateur de #Pasdevagues

( 28 octobre, 2018 )

Pourquoi je n’arrive pas à être dans la norme ?

J’adore les différents défis littéraires, nombreux sur les groupes lecture comme the black November de notre Séverine nationale ou d’autres propositions ailleurs, des évènements qui donnent plein d’idées de livres à dévorer, qui donnent grave envie, seulement voilà, je ne sais pas comment font toutes les lectrices de ces groupes ( car ce sont majoritairement des femmes) pour arriver à atteindre plus de vingt livres lus dont certains pavés en juste un mois.

Cela me déprime ! Est-ce que je vieillis ? Ensuite, j’ai décidé de faire une analyse plus poussée. Je bosse en moyenne dix heures par jour ( si je compte mes préparations et mes copies à corriger), je passe plus d’une heure par jour à écrire ( car les mots restent mon oxygène), je me promène une bonne heure sur les réseaux sociaux, à cela je rajoute la cuisine, le ménage, le sport, les obligations quotidiennes, bref au moins deux heures, et je dors impérativement huit heures par nuit ( maladie auto-immune oblige) … soit 22 heures ! Il m’en reste juste deux pour lire ( si je zappe les moments avec chéri). En clair, soit je bâcle la lecture d’un roman ( et je déteste cela) soit je me retrouve « hors norme » pour ce type de défis !

Alors vais-je pouvoir participer au Black November 2018 ?

Quand je vois que pour Octobre, je n’ai lu que six livres, et je trouve déjà cela beaucoup, je me dis que je fais figure de débutante, moi qui pourtant lis depuis mes dix ans !

Faudra-t-il que j’attende l’an prochain d’être en cessation d’activité pour participer à de tels défis ? Mon interrogation demeure, comment lire autant ?

( 28 octobre, 2018 )

Dysfonctionnements thyroïdiens et problèmes gynécologiques.

 

Sujet tabou ! Les malades n’osent pas en parler. Les médecins évitent le sujet.

Plus facile effectivement de tout renvoyer au gynécologue, souvent débordé, il en reste si peu sur notre territoire !

Alors oui, un dysfonctionnement thyroïdien peut ( ce qui ne veut pas dire doit) influer sur les hormones sexuelles et poser de gros soucis.

Chez les femmes jeunes, en période d’activité génitale,les perturbations thyroïdiennes peuvent être à l’origine de troubles de l’ovulation, et participer à une infertilité. De nombreux témoignages montrent des difficultés à maintenir une grossesse en cas de déséquilibre thyroïdien. Combien de personnes ont eu cet examen ? Personnellement, j’ai eu cinq enfants et jamais un seul examen thyroïdien !

On note aussi pour certaines femmes une augmentation des mastoses liées à la thyroïde. La mastose fibro-kystique est une maladie bénigne du sein caractérisée par la survenue de douleurs mammaires cycliques et de poussées kystiques. Elle est ennuyeuse, mais n’est pas associée à une augmentation du risque de cancer du sein. Elle est juste ennuyeuse, parfois douloureuse, mais elle fait peur, et savoir que c’est fréquent lors d’une thyroïde défaillante est réconfortant.

Les cycles menstruels peuvent se modifier. Augmentation des règles voire hémorragies, douleurs, aggravation syndrome pré-menstruels, règles qui peuvent durer dix jours. Presque 50% des personnes atteintes de dysfonctionnement thyroïdien ont un souci de cycle. Là encore source d’angoisse, peur, on n’ose pas en parler, le spectre du cancer est là, et bien non, c’est juste cette fichue glande !

Dysfonctionnement thyroïdien et ménopause. Là encore, on voit de tout. Il est bon de savoir que des cas de dysfonctionnement thyroïdien ont déclenché des ménopauses précoces ( autour de 35 ans) et à l’inverse, ont augmenté dès ménopauses tardives, certains malades atteints d’une maladie auto-immune thyroïdienne ne sont pas encore ménopausées à 60 ans ! Cela arrive de plus en plus avec des « retours de règles » rien à voir avec un cancer, donc pas de panique !

Beaucoup de malades parlent aussi de sécheresse vaginale due à des soucis thyroïdiens, mais une fois encore, c’est tabou, donc on évite de faire un lien … Des traitements locaux sont possibles …

Quant à la libido, alors là, c’est le pire des sujets tabous ! Même au médecin, les patients n’osent pas en parler ! Beaucoup de femmes ne disent rien et subissent les coups de reins de leur conjoint, tandis que les hommes, eux, préfèrent se taire et déprimer  ! Pourtant, cet extrait d’article résume bien la situation dramatique d’un dysfonctionnement thyroïdien.

On note une grosse diminution de la libido, qu’il s’agisse d’une hypo ou d’une hyperthyroïdie. Toutefois, l’impact sur la sexualité d’une anomalie de la thyroïde a été peu exploré chez les hommes qui n’osent pas en parler en France. Or selon une étude italienne, les troubles sexuels sont très fréquents en cas d’hyperthyroïdie ou d’hypothyroïdie :

  • une baisse de la libido chez 18% des patients hyperthyroïdiens et 64% des hypothyroïdiens ;
  • des troubles de l’érection, respectivement chez 3% et 64% des patients ;
  • une éjaculation précoce, chez 50% et 7% des patients ;
  • un retard à l’éjaculation, chez 15% et 64% des patient. »

Quant aux femmes :

C’est le trouble le plus fréquent (de 4 à 8 % de la population). Or, quand la thyroïde ne sécrète pas assez d’hormones, tout l’organisme est ralenti, ce qui retentit plus de six fois sur dix sur la sexualité. Lors d’une  libido au point mort, on va souvent accuser à tort la ménopause. Mais ce ralentissement peut aussi survenir plus tôt, en réaction transitoire après un accouchement, ou encore quand il découle d’une maladie auto-immune (maladie de Hashimoto). Il peut également résulter d’une insuffisance en iode (si l’on habite loin de la mer et que l’on mange peu salé), la thyroïde ayant absolument besoin de ce composé pour fabriquer ses hormones.

 

Alors ? Anodin un dysfonctionnement thyroïdien ? Pas vraiment ! Il peut bien pourrir des vies, créer des angoisses lorsque les règles se rallongent, lorsqu’une ménopause tarde à venir. Consulter est primordial et si votre médecin oublie de faire le lien avec votre papillon, quitte à paraître un peu enquiquinant, n’hésitez pas à le redire ! Un lien est toujours possible ! Et puis il faut briser les tabous et oser en parler !

Parce qu’il n’y a aucune honte d’être une femme ! Ni d’être un homme :)

 

Continuez à offrir le recueil ou les mugs … pensez à vos cadeaux de Noël :)

 

https://www.evidence-boutique.com/samsara/maladies-thyroidiennes-devoreuses-de-vie

 

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( 28 octobre, 2018 )

Parce que l’on n’oublie jamais ceux que l’on a vraiment aimés.

 

Il y a deux sortes de personnes dans une vie, celles que l’on efface dès que nos routes se sont séparées jusqu’à ne même plus se souvenir de leur nom, et les autres. Parfois, cette persistance peut sembler incompréhensible. Le temps passe, les journées s’égrainent, le sablier du temps se vide, et pourtant cette personne que l’on voudrait oublier reste coller à notre mémoire, comme si un sort nous liait à son souvenir. Et pourtant, on sait bien au fond de nous qu’il faut laisser le ballon s’envoler s’il se détache de notre poignet, mais ce n’est pas si facile, parce que nous ne jouons pas tous sur le même échiquier. L’amour est une chose terrible où il y a des perdants et des gagnants. Il ne faut jamais attendre que l’on vous rende l’amour que vous donnez, simplement parce qu’aimer se suffit à lui-même. Si vous en attendez quelque chose, c’est que vous n’avez rien compris. Seul le bonheur de ceux que vous aimez doit vous importer. Alors c’est vrai que souvent, vous ne pourrez pas oublier ceux que vous avez vraiment aimés, c’est vrai que ces visages vont vous hanter, c’est vrai que vous pouvez même avoir mal en pensant à eux, mais une chose est sûre, cela n’arrive que parce que vous avez aimé vraiment, et cette vérité doit vous permettre, non d’oublier totalement, mais juste de tourner doucement une page, afin de continuer d’avancer, de continuer à être celui ou celle qui a tant aimé. Conservons juste ce petit noeud en y pensant exclusivement positivement et sans souffranc.

Et comme disent les jeunes …. #Parce que je t’aime toujours#Parce que certaines personnes ne peuvent s’oublier. #Parce que c’est la vie !#Parce que vous êtes tous ma vie# Aimer tout simplement

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( 27 octobre, 2018 )

L’effet de masse

 

« Ce n’est pas parce-que vous êtes nombreux à avoir tort que vous avez raison. »

- Bernard Werber

De plus en plus nombreux sont ces effets de groupe qui affirment, jugent, dénoncent, montrent du doigt, pensant avoir raison non sans pourtant avoir tord. Une opinion étant simplement subjective, on peut imaginer les dérives. En tous cas, j’adore cette citation de Weber, tellement juste …

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