( 27 octobre, 2018 )

La naissance d’un best-seller …

 

Un best-seller est-il toujours un bon livre ou est-ce simplement un livre beaucoup vendu ? Et surtout est-ce du pareil au même ? Si on regarde ce qu’en disent les milieux littéraires, un best-seller est un livre qui a obtenu le plus de ventes ou plutôt est catalogué de livre  à grand succès en librairie. Garantie de qualité ou matraquages publicitaires ? Certains vous diront qu’au final, cela n’a aucune importance puisque la seule chose qui compte de nos jours est le chiffre d’affaires.

En général, ce sont de bons romans, faits pour être lus par tout public. Seulement ces livres publiés dans une autre édition aurait-il été des best-sellers ? Les statistiques montrent que non, et c’est bien là le noeud du problème. Tel un tiercé gagnant une grosse édition va mettre tout son fric sur un ou deux chevaux, à coup de publicité, d’affiches, de chroniqueurs littéraires rémunérés ( donc qui ne vont pas aller dire que le livre est juste acceptable). Le livre va être reconnu « extraordinaire » des semaines avant sa sortie officielle car toute une structure éditoriale va mise dessus, allant jusqu’à « pré signer » des contrats cinématographiques. Tout est fait en amont et comme le lecteur n’est juste qu’un homme, facilement manipulable, il va se précipiter pour acheter ce livre même si ce dernier va rester dans un coin. On anticipe leur réussite et l’éditeur fait le futur best-seller. Le lecteur pense avoir été acteur alors qu’il n’est que lecteur. Dans le milieu de l’autoédition, c’est la même chose. Dernièrement un auteur me narrait sa démarche très simple pour cartonner au top 1 d’Amazon. Investir sur l’avenir. Résultat des ventes, des milliers, mais un contrat signé avec une grosse édition. La dite personne avait « les moyens ». Son livre était plutôt bon. Un choix comme un autre. Après deux ou trois cents lecteurs ( pas nécessairement acheteurs) ont finalisé ce coup de pub, et le tour est joué.

Milieu où tous les coups sont permis ? Comme dans la vie ai-je envie de dire ! Après, on s’aperçoit bien vite que certains auteurs publiés chez les grands ne sortent que deux ou trois livres. Tout le monde ne s’appelle pas Musso, Levi ou Weber ! Et après tout,  est-ce si grave de ne pas publier un best-seller ? Ne vaut-il pas mieux rester intègre ?

 

35F52F54-248F-4AF8-8DC3-BC7FC03B3BBD

( 27 octobre, 2018 )

Le manque

Il y a fort longtemps que je n’ai pas écrit sur le manque, ce sentiment qui prend racine au fin fond de nos émotions, bien ancré en nous, à tel point que certaines personnes ne construisent leur vie que sur ce manque. Cette émotion me fait souvent penser à un fil presque invisible qui ne peut pas se couper, peut-être parce que ce fil est indestructible, peut-être parce que l’on n’utilise pas les bons ciseaux.

Le manque peut se dessiner dans une relation amoureuse, amicale, lors du deuil d’un proche, dansant sur l’absence de l’autre, de cet autre qui a tant compté, sur qui on avait fondé tant d’espoir, cet autre que l’on a parfois autant désiré. Deuil de nos illusions, le manque n’est-il pas peut-être simplement ça ?

Ce manque peut faire souffrir très longtemps simplement parce que notre esprit conserve le souvenir des temps heureux, des bons moments. C’est cette histoire qui nous manque, ces moments que l’on voudrait revivre, ces silences que l’on voudrait entendre de nouveau. Et pourtant, nous ne devons jamais oublier que nous ne rencontrons pas les autres par hasard, que certains passent dans nos vies pour une raison que l’on ne découvrira parfois que des années plus tard, que certaines personnes ne sont pas faites pour s’attarder dans nos vies, juste pour nous laissr … un manque. Une séparation amoureuse ou amicale est un signal d’alarme, un peu comme si un tronc d’arbre s’était mis en travers de la route. Même si les personnes se réconcilient, il faut qu’ils aient bien conscience que rien ne sera plus jamais pareil. Une nouvelle histoire va s’écrire, mais elle n’aura rien à voir avec l’ancienne. Elle sera juste en équilibre sur les fondations du passé, devant construire ses propres racines du présent, et pourtant, souvent et un des partenaires ressent le manque d’avant, et le conflit revient, et le drame s’écrit.

Après, dirais-je, le manque, une fois accepté, une fois réinvesti, reste quelque chose de positif qui va permettre à chacun de se surpasser.

Beaucoup d’artistes se servent de ce manque pour écrire, pour peindre, pour créer, afin de conserver intact ce sentiment au travers de visions souvent plus belles que ne furent l’histoire.

On peut même aller jusqu’à se demander si la force de cet amour ou de cette amitié ne serait pas directement liée à ce sentiment de manque qui persiste. Certaines personnes s’oublient si vite, alors que d’autres s’inscrivent pour l’éternité dans notre réalité.

 

0F69BEC8-09FF-46F3-B900-CE2EC1D330C8

( 26 octobre, 2018 )

L’insouciance est-elle indulgente ?

 

Ah l’insouciance, ne dit-on pas qu’elle appartient aux enfants ? C’est une absence de peur que les adultes n’ont plus. L’insouciance, c’est être capable d’aimer les yeux fermés, c’est danser sur le bonheur en y croyant toujours, c’est sourire simplement à la vie.

L’insouciance est cette manière de se promener sur une corde dans le vide, sans avoir peur que cette dernière ne se casse. C’est cette petite flamme qui inspire chacune de nos décisions, de nos actes, qui nous offre une lueur que nous ne devrions jamais éteindre. Nous passons toute notre vie d’adultes à nous soucier de notre avenir, de nos enfants, de ce qui se dit, de ce qui ne se dit pas, de ce que pensent les autres, pire de ce qu’ils ne pensent pas. L’insouciance, c’est juste se dire qu’au fond, on s’en fout ! Que ces autres sont bien stupides de perdre ainsi leur temps, et que la vie est si courte qu’il vaut mieux courir au bord d’une falaise que de rester à attendre ce qui ne viendra jamais.

L’insouciance, c’est le jour où une catastrophe nous tombe sur le nez, et on en rit, le jour où la mort nous chatouille, et on hausse simplement les épaules. L’insouciance, c’est ce jour où tout change, où on s’autorise à y avoir droit et c’est à ce moment-là,  que l’on s’autorise vraiment à rêver.

 

1F90C487-5051-4C07-A840-F0D8C64BBC9D

( 26 octobre, 2018 )

Une histoire se termine toujours …

 

La vie n’est pas un conte de fées, cela se saurait. Personne ne peut vivre éternellement dans un monde édulcoré, feutré. Il y a toujours un jour où la rose va avoir une épine plus acérée, où un simple caillou sur notre chemin va nous blesser.

On a beau être positif, vivre avec le sourire aux lèvres, on n’y échappe pas. Curieusement même, ce sera toujours au moment où on a retrouvé nos repères, où nous surfons sur une vague de bonheur, que la vie se rappelle à nous par un coup du destin, une santé qui défaille, un doute. La vie est parfois simplement une histoire qui se termine, parce que l’on a compris la leçon, même si elle a mis des mois, parce que l’on en a assez de toujours ressasser les mêmes erreurs, et surtout parce que le mot fin est inéluctablement au bout de chaque route, que nous soyons pauvres ou riches.

Alors six mois, un an, vingt ans, doit-on vraiment se projeter autant dans une histoire que dans notre propre histoire ? Demain, nul ne peut dire ce qu’il sera, un astéroïde et la Terre disparaîtra, un verdict fatal, et notre vie s’arrêtera, un choix pris trop vite, et un amour s’envolera. La vie est ainsi, faite de dizaines d’histoires qui se terminent, que l’on oublie parfois, ou pas, mais qui toujours nous ramène à une réalité, le sablier du temps ne s’écoule que dans un sens, et quoique l’on fasse, nous ne pouvons remonter le passé. Alors vivons, avant que notre histoire prenne un point final sur lequel on ne pourra pas revenir.

 

E91F6FA9-3624-46EB-AA55-7B41F0C68F43

( 25 octobre, 2018 )

Pourquoi Rire est si important …

 

On a tous en tête ces fous rires, souvent liés à notre jeunesse, mais qui parfois peuvent encore nous échapper sous le coup d’un regard, d’un clin d’œil. Lorsque mon fils était en chimiothérapie, j’ai vu arriver les premiers clowns du rire, « les nez rouges » si mes souvenirs sont bons, ces clowns là pour apporter ce petit plus qui n’a pas de prix, ce rire sauveur, ce rire salvateur, ce rie bonheur. Les médecins à cette époque parlaient d’un effet du cerveau qui libère la dopamine donnant du plaisir à ces enfants. Quant aux fous rire que l’on a trop peu adultes, ce sont des bienfaits qu’il ne faut plus ignorer, qui agirait sur l’hypertension, les soucis cardiaques, même nos « bons » anticorps.  Alors n’ayons pas honte de vouloir rire aux éclats, de s’esclaffer devant une vidéo stupide ou un film digne d’une série B, le rire est excellent pour notre moral, pour nous libérer de nos soucis, d’une vie stressante. Quel bonheur les personnes qui savent manier l’humour ! Personnellement, je ne suis pas douée pour cela, mais heureusement, je suis une bonne interlocutrice ! Au final, qu’est-ce que c’est bon de rire !

 

5098FB55-1923-4FD8-AC9E-3558A2239ECA

( 25 octobre, 2018 )

Conseils ; jeunes auteurs et les comités de lecture

 

Publier dans une maison d’édition connue ou reconnue tel est souvent le rêve d’un jeune auteur. Seulement, le parcours pour atterrir dans une ME est digne de celui d’un combattant, rempli de pièges, de questions sans réponse.

Une fois le fameux Graal envoyé, ce manuscrit dans lequel l’auteur a mis toute son âme, tout commence en général par un comité de lecture, et là, c’est le poker.

Je sais que de nombreuses éditions vous diront le contraire, mais voilà, j’ai participé au choix des manuscrits dans trois éditions que je ne nommerai pas, mais dont je vais vous livrer les ficelles.

D’abord, être « lectrice » dans un comité de lecture, se fait bénévolement. Ensuite, chaque édition a son propre système de sélection, ce qui rend le parcours plus compliqué.

La première, dont j’ai fait partie, fort connue, publie de nombreux ouvrages et propose aux lecteurs un catalogue rempli de manuscrits. Le comité de lecture reçoit les livres soit en version papier par la poste, soit en numérique, avec des fiches très réfléchies à compléter. Tous les romans proposés sont des premiers romans ou tout du moins des romans inédits ce qui facilite la sélection. Trois personnes vont noter ces lectures qui seront ensuite valider par une directrice de collection.

Qu’en dire ? Un moyen de sélection correcte même si les avis restent subjectifs. En aucun cas l’éditeur ne va lire un seul de ces romans ( même si la plutôt des auteurs signant le contrat ensuite le pensent)

Ma seconde expérience s’est passée dans une petite édition. Les auteurs envoyaient leur manuscrit que je réceptionnais. La plupart pensait que c’était l’éditeur qui lisait. Personne n’a jamais démenti, et je me suis farcie une quarantaine de livres durant un an dont certaines pépites. Seulement, l’édition ne voulait publier que des Noms  ( le copain du copain etc) de nombreux manuscrits que j’avais sélectionnés n’ont jamais vu le jour. Une fort mauvaise expérience pour ma part. J’ai eu l’impression de perdre mon temps, l’impression de juste servir de faire valoir.

Le troisième comité de lecture faisait suite à une pré-sélection effectuée par les directrices de collection. Sur quel critère allez-vous me dire ? Le résumé, les premières pages, la dernière page. Ensuite je devais lire trois romans dans le même genre et sélectionner celui qui se rapprochait le plus de mon coup de coeur. Une bonne expérience, car beaucoup furent sélectionnés vu que c’était une édition exclusivement numérique.

Conclusion

Être choisi par une grande édition, la chance ou le piston ?

Honnêtement, je ne crois guère en la chance, car il ne faut pas se leurrer, si vous êtes amis avec Tartanpion  qui est le pote de Trupion, et bien vous avez toutes les chances de voir votre manuscrit se positionner en haut de la pile à lire, ce qui ne garantit pourtant pas un contrat.

Après de vraies petites éditions ont un bon comité de lecture, alors faites bien vos choix !

En clair, jeunes auteurs, accrochez-vous ! Étant une éternelle optimiste, je pense qu’un bon manuscrit finira toujours par trouver acquéreur même s’il faut le présenter plusieurs fois au même éditeur. Un auteur, chez un éditeur connu, m’a avoué avoir envoyé cinq fois sous divers pseudos son roman qui fut refusé quatre fois. Qu’est-ce qui a changé entre toutes ces fois et la dernière ? La conjoncture actuelle ? L’éditeur qui s’était levé du bon pied ? Aller savoir ! En tous les cas, surtout, ne jamais renoncer !

 

35F52F54-248F-4AF8-8DC3-BC7FC03B3BBD

 

 

( 24 octobre, 2018 )

Inexorable

Inexorable de Claire Favan

 

Une histoire très prenante, celle d’un enfant différent, qui malheureusement va se retrouver dans des situations qui vont le faire chavirer quelque soit son âge. J’aime beaucoup cette auteure, et j’ai apprécié son livre, même si je trouve qu’il manquait un petit quelque chose. Je m’attendais à un polar, ce n’en est pas un , c’est surtout un plaidoyer pour la différence, contre les jugements trop rapides. Un peu trop de raccourcis par rapport au milieu scolaire ! Heureusement que de nombreux enseignants ne fonctionnent pas ainsi ! Même si ce cri du coeur de l’auteure est honorable, cette vision rapide du milieu éducatif qui catalogue les enfants m’a choquée. Qu’elle vienne un peu voir nos écoles où chaque enfant est pris en charge, où justement le côté aide va primer sur le scolaire. Cela reste un bon livre même si je ne le mets pas dans la catégorie extraordinaire comme Miettes de sang que j’avais adoré.

 

E2E7B7FB-6CA2-4CDF-8FCD-FB769357A643

( 24 octobre, 2018 )

Enfermé-e

Enfermé-e de Jacques Saussey

 

Voilà un livre bien particulier. J’ai lu des commentaires où il n’y avait que des « j’adore » et d’autres « je déteste ». En ce qui me concerne, ce roman m’a intrigué, presque fasciné par son style et surtout son histoire bien particulière, personnage de Virginie auquel on s’attache. On fonce en plein dans un sujet très à la mode , celui des transgéniques, ces personnes emprisonnées dans un corps qui n’est pas le leur. Le livre est violent, dur, montrant cette pauvre femme montrée du doigt, violée, insultée.

Bouleversant, certainement, après c’est un livre qui de par cette violence peut mettre mal à l’aise. Je le redis c’est un roman bien particulier qui ne peut plaire à tout le monde. J’ai bien aimé, adoré, non, car un peu trop de couches de violence qui n’apportaient rien à la douleur de ce livre. Ce qui était écrit, décrit entre les lignes aurait suffi à mon avis. Après le mélange prison, puis EGPA, trop caricatural, surtout le second que je connais trop bien, aurait pu être évité.

1DCAD434-D8E2-4943-9842-EE23B618A1AC

( 24 octobre, 2018 )

Cette manie de relayer les informations sans les vérifier.

Les réseaux sociaux regorgent de « chaînes » complètement débiles à partager, jouant sur l’empathie des autres. Si tu ne partages pas cette image sur le cancer du sein, c’est que tu n’es vraiment pas sympa, et tu mérites d’être un jour malade. Ces mots sont chuchotés entre les lignes, dangereux, pervers ! Alors non ! Je ne partage aucune chaîne, et je sature de celles qui me sont régulièrement envoyées comme si notre monde ne fonctionnait que sur la peur. Les gens sont-ils si bêtes pour s’imaginer que s’ils partagent « une sorte de mantra », ils recevront un immense bonheur dans les deux heures ? Quelle stupidité ! Et je ne parle même pas de ces « fausses informations » dites Hoax relayés en permanences sur les réseaux sociaux. Cet hôpital qui recherche un sang rare, cette annonce qui met en garde contre tel produit. Et les gens courent à toute vitesse pour plonger dedans à pieds joints !

On se retrouve dans un processus similaire à celui de la rumeur facile, ces informations que nul ne vérifie, ce besoin de croire à un fait même s’il n’est pas vérifié, simplement pour se rassurer peut-être.

Alors comme je ne cesse de le dire à mes élèves, fuyez les info intox, et surtout vérifier plusieurs fois sur des sites différents ce que l’on vous partage, ce qui vous est raconté.

En clair, dirais-je avec un peu d’humour, et l’intelligence ! Bordel !

7B7A77BA-28D3-4F20-8C18-50C57FDAFDCB

( 23 octobre, 2018 )

Maladies cardiaques et thyroïde.

Trop de médecins oublient les risques liés aux maladies thyroïdiennes préférant parler normes, TSH. La thyroïde joue sur l’accélération et le ralentissement du corps en particulier le coeur. Seulement voilà, les différents symptômes engendrés par une glande défaillante occulte les soucis cardiaques.

Une hypothyroïdie se traduit souvent par un ralentissement des battements du coeur au dessous de 60 pulsations par minute, induisant une diminution des performances cardiaques, et surtout une augmentation du cholestérol en particulier du mauvais cholestérol.  À cela, on peut rajouter l’hypertension artérielle

On comprend immédiatement qu’un malade avec un haut taux de cholestérol, même s’il n’a pas pris de poids, devrait voir sa thyroïde observée avec vigilance, car donner un médicament anticholestérolémie n’est pas toujours l’unique solution.

À l’inverse, une thyroïde qui fonctionne beaucoup trop vite, avec des troubles cardiaques pouvant conduire à des troubles cardiaques. « Ce trouble du rythme se manifeste par la survenue de contractions cardiaques rapides (de 400 à 600 battements par minute) et inefficaces des oreillettes, provoquant secondairement la contraction irrégulière et rapide des ventricules. »

Comme vous l’avez compris, bon nombre de personnes atteintes de dysfonctionnements thyroïdiens ont des problèmes d’hypertension, seulement trop de soignants ne réfléchissent pas, regardant juste alarmés, les chiffres du tensiomètre. Et voilà le malade avec un comprimé à prendre, encore un ! Si on analyse avec ironie la situation, certains auront leur Levothyrox, un comprimé pour la tension, un autre pour le cholestérol, un autre pour la dépression, rajoutant des traitements pour le foie qui ralentit, pour la peau, pour les soucis hormonaux. Le malade bourré de médocs s’étonne de voir son état s’aggraver. Normal puisque personne ne lui a expliqué que lorsque sa glande se remet à fonctionner presque normalement sa tension va redevenir normale voire pire il va se retrouver s’il est sous traitement anti tenseur avec des malaises. À l’inverse, une hypothyroïdie sévère est au contraire associée à une baisse de la tension artérielle. De quoi,y perdre son latin !

En résumé, avant de se bourrer de médicaments, stabiliser au mieux votre thyroïde  !

 

 

N’hésitez pas à découvrir le recueil Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie en vente Fnac, Amazon etc

 

C19E0DB3-49E1-4459-9B09-3842721316E9

 

 

 

12345...7
« Page Précédente  Page Suivante »
|