( 12 octobre, 2021 )

Jeux vidéos : avancée technologique ou danger ?

Je suis de la génération qui a vu émerger l’univers des jeux vidéos, qui s’est extasiée devant le premier jeu ATARI. Je me souviens encore de l’achat de cette console pour mon aîné, de l’admiration pour «  cette forme de jeu ludique ». Et pourtant, qu’est-ce que ce petit bonhomme qui sautait à la vitesse d’un escargot se trouve aujourd’hui ridiculisé par tous ces jeux en ligne comme Fortine et bien d’autres. Bien sûr, on ne peut nier cette prodigieuse avancée technologique, en quelques années on est passé de la Préhistoire à l’ère des lumières.  On peut communiquer, payer, être localisé, juste avec un Smarthphone.  On peut jouer sur ce même support à n’importe quel jeu, avec des personnes à l’autre bout du monde. C’est magique !

Oui, mais, car tout ce qui semble trop beau a toujours un « mais ». Ces jeux sont proposés à des enfants de plus en plus jeunes, à des gamins qui n’ont aucune conscience de la notion de temps, qui vont parfois ne plus arriver à faire la différence entre virtuel et réel. Contrairement à la pensée commune, ce n’est pas la violence des jeux qui est un problème, mais la déconnexion totale avec la réalité. Plus de limites, des harcèlements fréquents, des dérives, car les jeux en ligne deviennent une addiction.

Les jeux vidéos restent une belle avancée, mais il est important de poser, imposer des limites aux enfants pour que le jeu reste un jeu et surtout pour que les jeux vidéos ne soient pas les uniques moyens de jouer.

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( 11 octobre, 2021 )

La thyroïde et le système cardiovasculaire

Nul besoin de le répéter, un dysfonctionnement thyroïdien, que ce soit une hypothyroïdie, une hyperthyroidie, une maladie auto-immune, ou une ablation de la thyroïde, un souci thyroïdien va jouer directement sur le coeur et le système cardio-vasculaire. En clair, c’est la galère et peu de personnes échappent à un moment à un de ces symptômes. Lorsque l’on détecte un souci de thyroïde en milieu hospitalier, c’est souvent en lien avec le coeur. « L’association entre hypothyroïdie et athérosclérose est connue de longue date. Une première description de cette association a été réalisée dans les années 1960. Il s’agissait d’une étude autopsique qui retrouvait des atteintes coronariennes d’athérosclérose plus importantes chez les patientes hypothyroïdiennes . » Ce n’est donc pas nouveau, et pourtant, peu de médecins généralistes font le rapprochement, ce qui est dommage, car en général, c’est le médecin de famille que le malade va voir en premier. Seulement, au début d’un souci de thyroïde, il n’est pas systématique de voir la tsh « augmenter ou baisser ».

Est-ce plus grave en hypothyroïdie ou en hyperthyroïdie, demandent souvent nos adhérentes ?

Le coeur est un muscle, certainement le muscle le plus résistant du corps humain, et comme tous les muscles, il a besoin d’oxygène pour fonctionner. Malheureusement, un dysfonctionnement thyroïdien peut dérégler le coeur.

Dans le cas d’une hyperthyroïdie, le corps s’accélère, car l’hormone thyroïdienne déverse trop d’hormones dans le corps, alors le coeur va s’emballer, parfois à l’extrême. On pourra voir des rythmes cardiaques de 120 battements /minutes au repos, et en activité à plus de 170. On imagine sans peine qu’à une telle vitesse, le corps fatigue. Le malade va ressentir des palpitations, qui pourront aller jusqu’à des malaises vagaux. Le plus gros problème reste qu’une augmentation trop fréquente peut élever la tension artérielle en montant en particulier le chiffre «  du bas ».

Les problèmes de tension existent également dans une hypothyroïdie ou après une ablation de la thyroïde.

Il est donc évident que ces soucis thyroïdiens peuvent conduire à l’extrême à une insuffisance cardiaque ou une angine de poitrine. Il est important donc de tout faire pour bien stabiliser sa thyroïde, non sans oublier que les normes sont différentes selon les cas. En clair, une thyroïde à 0,6 sera de l’hyperthyroïdie avec un simple dérèglement, alors que ce sera une norme de confort avec Hashimoto ou pour certains malades à qui on a enlevé la glande.

En hypothyroïdie, on a tendance à parler de rythme cardiaque ralenti et d’hypotension. Il n’en est rien. Beaucoup de malades en hypo ont de nombreuses extrasystoles, et peuvent avoir des battements cardiaques plus rapides. Une hypothyroïdie prolongée cause des changements métaboliques dans l’organisme et peut produire une élévation du taux de cholestérol, et parfois une augmentation de la tension.

D’où le problème de prendre un traitement hypotenseur en cas d’hypertension. Si cette tension est liée à un souci d’hypothyroïdie, la tension se stabilisera avec un traitement équilibré. En cas extrême, on assistera à un épanchement péricarde. C’est heureusement très rare.

Faut-il voir un cardiologue ? Un bilan cardiaque est toujours une bonne chose. Il est bon de surveiller avec un Doppler et une échographie cardiaque. Mieux vaut se rassurer !

Faut-il prendre des bétas bloquant ? Une fois encore, on donne fréquemment des bétas bloquant lorsque le malade présente des extrasystoles ou un anxiolytique. Si cela rassure le malade, pourquoi pas ? Mais une fois encore, l’organisme retrouvera son rythme avec une thyroïde stabilisée.

Dans tous les cas, ne pas rester sur les idées reçues. Les palpitations ne sont pas la panacée de l’hyperthyroïdie. 10% des hypothyroïdiens ont des palpitations, et c’est même un des signes qu’un malade habitué repère lorsque survient une thyroïdite.

Et surtout, une simple crise d’angoisse peut accélérer le coeur ! Apprendre à se relaxer, voir à maîtriser sa respiration par la Cohérence Cardiaque.

https://www.coherenceinfo.com

Bon courage à tous les papillons

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( 11 octobre, 2021 )

L’insécurité est-elle une fatalité ?

Où que l’on pose les yeux, toujours la même rengaine, l’insécurité ! Insécurité dans les villes, insécurité dans les villages, insécurité dans les campagnes et bien sûr, insécurité dans les écoles, les commerces, en clair insécurité PARTOUT ! Et toujours cette même question : pourquoi ? Pourquoi ne pouvons-nous plus vivre en paix et en sécurité ? Chacun aura sa version, je ne peux que vous livrer humblement la mienne.

D’abord, nous sommes entrés dans une société de surconsommation, une société où les publicités ne font que donner envie de plus, des téléphones toujours plus performants, des voitures toujours plus puissantes, des consoles ou des téléviseurs qui font de plus en plus envie. Toujours plus beaux. Toujours plus chers. Seulement qui peut s’offrir de tels objets si ce ne sont les fortunés ? Et je ne parle même pas d’Internet qui est un vrai fléau, permettant les magouilles en tous genres, le piratage des données augmentant l’insécurité. Quant aux économies que font certaines villes depuis le covid en stoppant l’éclairage de nuit, c’est une vraie catastrophe ! Les vols se sont multipliés. On pourrait aussi parler de la surpopulation, de l’incivilité des personnes, d’une absence de moralité.

Je ne sais pas si l’insécurité est une fatalité, ne voyant à priori pas trop de solutions, malheureusement, mais une chose est sûre, l’insécurité est une réalité !

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( 10 octobre, 2021 )

L’importance de la musique

Lorsque j’étais petite, nous avions des cours de musique à l’école, nous chantions, apprenions les rythmes. De nos jours, c’est extrêmement rare de voir un professeur de musique venir dans les écoles élémentaires. Pourtant, chacun sait qu’il existe des thérapies musicales, que la musique adoucit les gens, apaise, calme les angoisses. Peut-être éviterions-nous cette violence omniprésente. Et pourtant, rares sont les hôpitaux où la musique retentit, rares sont les cabinets médicaux, et pourtant attendre en musique fait passer le temps. La musique, cela donne du plaisir, cela enlève les idées noires. Personnellement, j’apprécie particulièrement les chansons à thème, car j’aime les mots. Je pense à des chansons de Vianney et de plein d’autres, ces artistes qui lient paroles et musique. Je ne suis pas une adepte du classique. C’est ainsi.

Alors, écoutons de la musique, pas à s’en faire éclater les tympans, non, juste pour se faire du bien.

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( 9 octobre, 2021 )

Comment choisir un livre ?

Quand on a une énorme PAL, on se heurte toujours à un choix cornélien, quel livre lire en premier ? Doit-on prendre le dernier acheté sur un coup de tête ? Celui que la copine nous a offert ? Celui dont on ne cesse de lire les louanges sur les groupes ? Ou simplement ne lire que les livres connus applaudis par la masse critique littéraire ?

J’ai toujours un mal fou à choisir. Il y a tellement de livres qui sortent, surtout en ce moment, tellement de choix possibles. Je me laisse souvent influencer par le nom de l’auteur, surtout si j’ai aimé un livre précédent, parfois par la couverture. Régulièrement, j’opte aussi pour le pur hasard, révélant de bonnes ou de mauvaises surprises. Pour moi, un livre est là pour me permettre de m’évader, pour me mettre en mode « pause » hors du temps.  Même si j’ai une nette préférence pour les romans policiers ou les thrillers, je lis un peu de tout, évitant tout de même les livres hyper médiatiques comme les prix littéraires qui souvent ne m’ont pas fait vibrer. Souvent, je les lis quelques mois après lorsque les critiques se sont tassées.

Dans tous les cas, je vais vous dire un secret : je privilégie au final surtout le bouche à oreille, en particulier des lectrices qui ont le même feeling que moi. Après, je fais mon propre jugement. Je laisse aussi le hasard de la vie, en piochant dans les boîtes à livres ou les bibliothèques. Je suis une dévoreuse livresque et rien ne m’arrête dans ma chasse aux livres.

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( 8 octobre, 2021 )

Les côtés sombres d’Internet

De plus en plus de thrillers ont pour toile de fond les côtés sombres du Net, ce que l’on nomme le Dark Web, une noire réalité réservée aux gens qui ont de l’argent. Ne me demandez pas comment on y accède, cela semble bien compliqué et réservé aux geeks. Il semblerait que l’on y trouve de tout, même des « salons » qui n’ont plus que le virtuel de nom. Le dernier livre de Cédric Sire est sur ce thème, un accès dans un des coins sombres du Net où se joue « en vrai » les scènes sadiques les pires. Je ne dis pas que cela n’existait pas avant, peut-être, mais une chose est sûre, cette facilité ouvre des portes à tous les tarés de l’Univers. Internet est une porte ouverte qui dans ses recoins autorise tout et n’importe quoi, pour parfois des sommes astronomiques en bitcoins. Je n’ai jamais été une adepte du web. Trop peu fiable, trop intrusif, mais pratique, il faut le reconnaître pour les achats et la paperasse administrative. Découvrir qu’il existe un monde derrière le monde, un univers si noir que même la cybercriminalité n’arrive pas toujours à l’atteindre, cela me glace. Jusqu’où ces horreurs peuvent-elles aller ? Y aura-t-il  un jour une limite ? Et surtout la noirceur humaine en a-t-elle une ?

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( 7 octobre, 2021 )

L’art ( peinture, dessin, culture avec un grand C) et l’inspiration …

Dernièrement, je lisais cette citation :

« L’art trouve souvent sa source dans une blessure, un manque, et il n’est pas rare que les artistes soient foncièrement des révoltés, des êtres en recherche. Par l’art, je crois que nous cherchons à dépasser la douleur pour laisser advenir un monde meilleur. La création, c’est comme un cri. » Michael Lonsdale

Qu’en penser ? Artistes du pinceau, de la plume, de l’argile, sommes-nous tous des révoltés ? Des coeurs écorchés, des âmes perdues, des blessés de la vie ? N’est-ce pas un peu réducteur ? D’un autre côté, il est vrai que nous trouvons souvent l’inspiration dans les moments difficiles, dans les creux de la vague, là où nos mots ou nos couleurs sont une véritable force. Vivant dans une plénitude totale actuellement, l’encre de ma plume sèche un peu … mais comme la paix n’est jamais éternelle  :) Non ? Et vous ?

 

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( 6 octobre, 2021 )

Ces prêtres pédophiles

Le rapport Sauvé dénonce les violences sexuelles dans l’église catholique. On ne va pas se mentir. On s’en doutait. Voir le résultat de cette enquête glace le sang. Subir des attouchements, voire des viols reste une monstruosité. Je n’arrive même pas à concevoir comment c’est possible, comment l’innocence peut-elle être ainsi bafouée. Les pédophiles existent depuis la nuit des temps, pensons juste à l’Ogre dans les contes de fées. Mais que ces actes ignobles puissent venir d’une personne qui a déjà renoncé à toute vie sexuelle et qui se doit d’être là pour aider, cela reste une ignominie. Seront-ils punis ou la « punition » se fera-t-elle simplement en interne, loin de la justice des hommes ? Une fois encore, les gens ont préféré ne pas voir, ne pas entendre, ne pas vouloir savoir, parce que cela remet beaucoup de choses en question. Pourquoi tant de pédophiles dans l’église ? Prise de pouvoir inconsciente ? Désir de l’interdit ? En tous les cas, ce rapport n’a pas fini de libérer la parole, enfin !

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( 5 octobre, 2021 )

Les leçons de choses

Je me souviens de ces leçons de choses, une autre époque, une autre société. C’était du temps où nos pupitres étaient en bois, notre encrier qui faisait des taches, notre blouse qui cachait nos vêtements. Au tableau, la maîtresse écrivait une phrase de morale que nous devions recopier proprement. Les leçons de choses étaient en fait les précurseurs des sciences à l’école, en bien plus amusant. Je m’en souviens encore ! L’idée était de nous mettre un objet sous les yeux, de discuter, commenter. Souvent, nous allions au parc pour observer les insectes ou les fleurs, nous vivions concrètement la science. La maîtresse nous apprenait tout le vocabulaire lié à la balade. C’était un moment exaltant où nous apprenions en nous amusant. De nos jours, avec les règles de Vigipirate où on ne peut plus sortir spontanément les élèves, et je ne parle même pas du Covid, ces leçons de choses ont déserté bon nombre d’écoles. Je trouve cela bien triste ! Un enfant apprend tellement mieux en étant acteur et non juste observateur ! Peut-être ce rôle devrait-il se développer un peu plus dans les familles plutôt que de laisser jouer les gamins sur leurs consoles ?

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( 4 octobre, 2021 )

Angoisse et thyroïde

Dernièrement je suis tombée sur un article scientifique récent qui disait : « Les causes des troubles anxieux sont multiples. Récemment, des chercheurs ont mis en évidence que l’inflammation de la thyroïde pourrait être impliquée dans le développement de l’anxiété. Des résultats présentés lors du dernier Congrès de la Société Européenne d’Endocrinologie. » J’ai envie de dire «  enfin ! « . Enfin, on s’intéresse au lien entre un dysfonctionnement thyroïdien et les crises d’angoisse.  Enfin, on prend en considération le malade dans sa globalité et non des petits bouts. Enfin, on ne pose pas juste une étiquette «  folle » ou « dépressive ».

Il est important de noter que cette recherche montre que cette anxiété pourrait arriver même si la tsh est dans la norme, ce qui n’exclurait en rien l’inflammation. On retrouve cette possibilité dans les maladies auto-immunes de la thyroïde stabilisées ou simplement qui n’ont pas impactées la tsh. Faut-il rappeler que pour Hashimoto, par exemple, c’est l’inflammatoire qui va détruire la thyroïde qui est à prendre en compte, et vu qu’il y a destruction, le malade se retrouvera nécessairement un jour en hypothyroïdie, d’où l’appellation de maladie hypothyroïdie Hashimoto.

Autre point à noter, dans sa globalité, 35% des français souffrent de troubles anxieux, mais on ne fera en France le lien avec la thyroïde que dans 12% des cas. Pour les autres, les anxiolytiques ou les antidépresseurs seront privilégiés.

Les patients atteints de thyroïdite auto-immune sont 3,5 fois plus susceptibles de souffrir de dépression, 2,3 fois plus susceptibles de souffrir d’anxiété. Au global, les patients atteints thyroïdite auto-immune représenteraient plus de 40% de tous les cas de dépression et 30% de tous les cas d’anxiété.

Ne pas négliger l’impact de cette fichue thyroïde sur l’humeur et l’angoisse. Un changement brutal devrait faire penser à un dérèglement, une thyroïdite même ponctuelle. Un sommeil perturbé, oui, ce peut-être la thyroïde. Un sentiment d’énervement, oui cela peut-être la thyroïde. Une légère paranoïa, oui, ce peut-être la thyroïde.

Rien n’est plus compliqué qu’une thyroïde qui débloque, rien n’est plus dur à stabiliser, voire à soigner, d’où la solution de facilité : envoyer le malade chez un psychiatre ou un psychologue, lui donner des médicaments, qui ne seront qu’un pansement.

L’anxiété est un sentiment qui peut générer une énorme souffrance autant au malade qu’à son entourage. On sait par exemple que lors de la maladie de Basedow, la personne peut ressentir des crises d’anxiété aiguës parfois difficiles à contrôler.

Après, une note qui peut rassurer. Lorsque l’on est bien stabilisé, les crises d’angoisse vont petit à petit disparaître même si elles peuvent pointer leur nez par vagues en cas de thyroïdite. Il faut également avoir conscience qu’en début de maladie, on ne sait pas où on va, on ne comprend pas pourquoi cela nous arrive et cela génère beaucoup d’anxiété. On peut également être anxieux parce que le traitement n’est pas miraculeux ! On voudrait que l’hormone de substitution soit à effet immédiat, comme un antibiotique et on découvre qu’il va falot tâtonner. Anxiété parce que les proches, les médecins, les collègues ne comprennent pas. Anxiété parce que l’on n’est pas pris au sérieux, parce que l’on croise trop de regard ironique.

Avec le temps, on ne s’attache plus autant à ce que pensent les autres, et les crises d’anxiété peuvent baisser voire disparaître.

Quel dommage donc que personne ne s’y intéresse dès les premiers symptômes ?

Dans tous les cas, ne jamais culpabiliser si vous avez besoin d’un anxiolytique ( préférable à un AD) et surtout prendre la dose la plus faible possible ( même 1/4 de comprimés peut aider sans donner une addiction), et puis même si vous devez vous sécuriser avec 1/8 de comprimés, faites-le sans honte. L’important est de pouvoir continuer à vivre le plus positivement possible.

Courage les papillons !

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