( 30 septembre, 2021 )

Peindre seul ou en groupe

Je vais encore me faire des ennemis surtout parmi « les autodidactes », les « vrais » artistes allergiques aux groupes artistiques.Et bien moi, je ne suis certainement pas une vraie artiste et je m’en moque. Je revendique le droit de ne pas peindre en solitaire. J’adore participer à des cours ou à des stages de dessin ou de peinture, et pour moi, cette activité peinture n’enlève en rien la beauté du côté artistique. Se retrouver avec des personnes vibrant pour la même passion est riche d’enseignement. Les ateliers artistiques permettent de discuter d’oeuvres diverses, de partager son ressenti, de ne pas vivre égoïstement son art. Et puis, c’est drôlement plus sympa que de déprimer seul devant sa toile blanche.

Après, je rejoins les artistes, l’inspiration pure, la création reste solitaire.

Peindre seul, peindre en groupes, l’important reste de peindre et de se faire plaisir !

En tous les cas, personnellement, j’ai autant de plaisir à créer dans mon atelier qu’à peindre avec d’autres personnes. :)

936716F7-E42D-47D1-8B68-56F6442A96C9

( 29 septembre, 2021 )

Être positif, un art de vivre

Pourquoi est-ce si important de vivre positif, de penser positif ? De nombreuses études ont démontré qu’une majorité des personnes dépressives vivait ou avait vécu dans un entourage négatif. Lorsqu’une personne a entendu toute sa vie des critiques, des mots qui rabaissent, elle ne peut se construire en ayant confiance en elle. Oublier une enfance, par exemple, négative ou violente, n’est jamais simple surtout lorsque l’on s’entoure de personnes négatives, et comme on le sait, le négatif attire le négatif. Il en ressort des couples souvent mal assortis où l’un est dépressif et l’autre se vautre dans « un ronron » pour ne pas souffrir. Penser positivement permet de vivre sereinement, de s’ouvrir avec gratitude aux autres et au monde. Penser positivement, c’est ne plus être touché par les provocateurs, les médisants, en s’autorisant à ne pas leur répondre, à ne pas réagir ( et c’est le plus dur) Il faut se donner simplement la permission de laisser la place aux idées, aux images, aux personnes qui nous font du bien, et ne pas s’encombrer des autres même si cela peut sembler compliqué au début.

Être positif, c’est se dire : j’ai le droit d’être heureux même si cela va déplaire ! J’ai le droit d’aimer qui je veux, j’ai le droit de vivre de la manière qui me plaît, la seule limite est que mes choix n’influent pas négativement sur les autres.

Être positif, c’est voir la vie autrement, toujours du bon côté, et même si des idées noires s’infiltrent ( cela arrive même aux meilleurs), juste se dire que c’est un nuage qui passe et que demain tout ira mieux ! Car c’est nous et nous seul qui dessinons notre DEMAIN !

175FA474-8610-40AD-8CBE-966381D1B5E7

( 28 septembre, 2021 )

L’automne s’est installé

Depuis quelques jours, l’automne s’est installé. Les feuilles commencent à prendre de jolies teintes, à tomber. C’est une saison aux couleurs magnifiques que j’adore. Je ne m’en lasse jamais. En automne, il peut encore faire beau, sans pour autant avoir une température caniculaire. Le froid n’arrive en général qu’aux portes de l’hiver ces dernières années. On va pourtant pouvoir commencer à rêver de chocolats chauds, de thé au coin du feu, de marrons grillés, de champignons à ramasser, de promenades en forêt.

J’ai sorti mes toiles, mes tubes de peinture, et m’apprête à faire vibrer les couleurs de l’automne, du rouge, du jaune, de la lumière. J’adore ces couleurs. J’adore le feu qui brûle dedans. J’adore l’approche de cette nature qui se délaisse de ses vêtements couleur braise si encombrant pour se mettre en pause le temps de l’hiver. J’adore l’automne, mais je déteste l’hiver où j’hiberne telles les marmotte !

Alors je vais savourer cet automne sans me presser d’arriver en hiver.

61C87E6E-1A9B-43DE-91E8-E931A6340504

( 27 septembre, 2021 )

Hashimoto et la mémoire du corps

La mémoire du corps ne parle pas souvent aux médecins, et pourtant ! Chaque année, à l’époque où on m’a diagnostiquée Hashimoto, je fais une thyroïdite, qui ne s’attarde pas, mais tout de même. Une adhérente me confiait avoir elle, mal à la thyroïde à une date précise, celle de son ablation totale. Étonnant vu qu’elle n’a plus de thyroïde. On connaissait des cas identiques lors des amputations. Alors peu importe le « pourquoi scientifique », l’important est de savoir qu’une thyroïde qui se dérègle sur le temps ou qui n’est plus, pourra voir une réminiscence des souvenirs.

« Une atteinte de la thyroïde, ce n’est rien ! » Combien de malades l’ont entendu cette phrase. « Un comprimé et votre vie sera normale ». Comme si c’était si facile !

Devons-nous rappeler que la thyroïde, glande souvent ignorée par la plupart des gens, est le chef d’orchestre du corps. Sans elle, rien ne va plus ! Tout va marcher à l’envers, et même si le comprimé magique dont parle les toubibs sera efficace, rien ne sera jamais plus comme avant. Cette affirmation a pourtant des variations liées à l’âge. Plus on est jeune, et plus on a de chance de retrouver une normalité. C’est le cas pour toutes les pathologies. Plus on prend des années et plus la fatigue sera importante et invalidante. De même tout dépend de l’impact de la maladie : une hypothyroïdie faisant suite à une grossesse aura plus de chance de se régler vite qu’un dysfonctionnement faisant suite à un choc émotionnel. On comprend dans ce second cas l’importance de la mémoire du corps.

Faut-il pour autant renoncer à vivre ? Absolument pas, au contraire ! Il faut juste apprendre à vivre autrement. Bien cibler les périodes où la thyroïde se dérègle. Pour cela, je conseille un petit carnet, et on remarque vite d’années en années les symptômes qui reviennent. Vivre le plus « zen » possible ( certainement le plus compliqué dans notre société). Et apprendre à vivre autrement.

Avant, vous étiez une sportive de haut niveau, il va falloir du temps pour retrouver cette forme. Ne pas renoncer pour autant. Débuter « petit » avec des sports doux comme la marche ou le vélo, et cela malgré les douleurs musculaires. Mieux vaut peu que pas du tout.

Avant, vous aviez une taille de guêpe, là on sait que seulement 50% des personnes vont retrouver leur poids initial ( avec ou sans régime). Pour les autres, se faire aider par une diététicienne et perdre doucement ( oublier les régimes à base de protéines ou les jeûnes violents) Le corps a besoin de se retrouver. Là encore l’âge est important. Il est plus compliqué de perdre après la ménopause.

Avant, vous n’étiez jamais fatigué, c’était avant. Malheureusement, la fatigue peut continuer à surgir sans cogner à votre porte et du jour au lendemain. C’est un vrai calvaire. Vous vous couchez après avoir passé une journée d’enfer et le lendemain, c’est l’horreur, dès le lever, pas envie, pas motivé, épuisé, baillant toute la journée. C’est cela une thyroïde qui se dérègle. Contre cette fatigue, se reposer ! Ne pas avoir de scrupules à s’arrêter un jour ou deux, à refuser une sortie. Mieux vaut travailler en étant performant qu’en recevant des remarques acides.

Avant vous étiez imbattables aux jeux de mémoire, maintenant par moment, vous oubliez où sont vos clés qui sont rangés dans le frigo ! Sur ce poids, la majorité des malades ne voit ce symptôme que lorsque la thyroïde se dérègle de nouveau. Il est donc important de bien prendre garde à son apparition qui nécessite souvent une adaptation du traitement.

Oui, mais comment vivre avec ces prises de sang tous les trente-six du mois ? Que l’on se rassure ! Les PDS régulières ne se font que lorsque l’on débute une maladie, un peu pour rassurer. Nous avons eu une adhérente qui en faisait tous les quinze jours, et comme la TSH fluctue, elle était encore plus angoissée ! Alors, j’ai tendance à conseiller une prise de sang par an, sauf montée des symptômes. ( TSH et T4)

Le reste du temps, le corps va réagir à de nombreuses agressions comme les rhumes, une surcharge de travail, une dispute, une bonne nouvelle … inutile de courir faire un bilan sanguin ! Une thyroïde va se résorber en une quinzaine de jours. Si par contre la fatigue persiste, là, il faut vérifier.

Se libérer de ces maladies ( en particulier celles qui sont auto-immunes et à vie), c’est y penser le moins possible, et non comme un fardeau, mais un changement de vie. Quand on prend des cheveux blancs, on n’en fait pas un drame. Il faut essayer ( je dis bien essayer) de ne pas dramatiser, de rester ferme face aux critiques, car non, on n’est pas « hypocondriaque » car on a un dysfonctionnement thyroïdien, on n’est pas fou, on n’est pas volontairement fatigué. Que ceux qui doutent se mettent dans la peau d’un malade quelques jours ! Quitte à le rabâcher, il faut que les méfaits soient entendus par le monde médical et par les proches.

Pensons à la mémoire du corps et surtout vivons pleinement le reste du temps, car quand tout va bien, tout va super bien !

Bon courage les papillons

texte protégé par copyright reproduction interdite sans autorisation

C17A8FF6-5D6E-46F1-ACE7-56FD26884996

( 27 septembre, 2021 )

L’art des rues

J’adore l’art des rues, le street art comme on dit à l’américaine. Je suis une vraie fan traquant la moindre oeuvre sur les murs « en passant ». Je trouve fabuleuses ces fresques qui sont pour moi de vraies peintures artistiques. Je ne parle pas des « tags » vite faits que laissent les jeunes pour affirmer leur groupe, mais les dessins, structurés, parfois aboutis. J’aime surtout ces artistes qui ne peignent pas pour vendre ( ce qui est le cas de plus en plus de personnes), qui proposent simplement leur art pour qu’il soit vu, partagé, admiré, ailleurs que dans une galerie où ne vont que ceux qui le peuvent. Ces dessins en plein air, je trouve cela fabuleux. Les grands artistes vous diront que le Street Art n’est pas du vrai art. Je trouve au contraire que cet art éphémère est du grand art, car c’est un mode de culture destiné à tout public, et le véritable art ne doit pas réservé à une élite.

Et si on ouvrait encore plus le Street art en proposant aux artistes des murs, des vieilles portes, peut-être changerait-on le regard sur la culture ?

D6B0E739-982A-4DA2-B89F-E3B3B1A4D01C

( 26 septembre, 2021 )

Je veux vivre en paix !

Il m’a fallu des années pour oser le poing et dire au monde, je veux vivre en paix.

Pour moi, vivre en paix n’est pas pardonner, parce que le pardon est difficile, mais se pardonner, parce qu’il me semble important de bien prendre conscience de l’impact de ses actes, parfois irréfléchis, même s’ils étaient sincères. Qui n’a jamais fait d’erreurs ?

Vivre en paix, c’est savoir ce que l’on veut vraiment, qui on est vraiment, ne pas avoir peur de se regarder dans les yeux dans une glace ( ce que je fais régulièrement), et peu importe si on a l’âge de nos artères, cela ne fait que renforcer ma conviction : vivre pleinement, c’est vivre en paix.

Vivre en paix, c’est s’éloigner des personnes et des lieux nocifs, même si cela demande beaucoup d’énergie, même si ce n’est pas simple. Quitter un travail par exemple que l’on adorait, se retrouver avec les poches troués, mais serein.

Vivre en paix, c’est apprendre à se poser, se reconnecter à la terre, à la nature, prendre le temps de méditer, de faire le vide, s’autoriser à ne rien faire.

Vivre en paix, c’est vivre mieux !

On comprend mieux pourquoi tant de personnes s’évertuent à tout faire pour empêcher les autres de vivre en paix :) Je veux finir ma vie EN PAIX. Qu’on se le dise ! Et vous  ?

25B8F721-49DF-4CE2-8FC9-7AAC523146CC

( 25 septembre, 2021 )

Doit-on tout accepter au nom de la science ?

On trouve de plus en plus de vidéos, livres ou de thèses scientifiques qui poussent les limites de la science, sachant que cette dernière ne peut tout expliquer. Le mystère de la mort, de l’univers, de notre passage sur la terre. Vouloir aller au-delà des limites dans un but de sauver les gens d’une maladie, s’avère un combat correct, mais jusqu’à quelle limite ?

On parle beaucoup actuellement de notre rôle de cobaye dans ce combat contre le covid, même si le terme de « cobaye » choque de nombreuses personnes, et pourtant, prenons un exemple qui parlera à tous, face à un virus inconnu, face à un vaccin récent, on reste des cobayes. Mais n’en sommes-nous depuis plus d’un siècle ? Des cobayes involontaires qui vont réagir aux fluctuations de la société, adaptation face aux ondes de la 4G, bientôt de la 5G, et je ne parlerai pas de tous les traitements dont certains laissent un goût amer dans la bouche comme le Médiator des laboratoires Serbier, le Distilbène, les vaccins H1N1 ( énorme « bide »), le Vioxx, la pilule Diane 35, le nouveau Levothyrox de Merck, et j’en passe ! Il fallait des cobayes vivant a expliqué le président des laboratoires Serbier, parce qu’effectivement, pour qu’un médicament, un vaccin soit efficace, il faut des années de recul, car certains effets secondaires, peuvent apparaître jusqu’à cinq ans après.

Alors, on revient à la question, pour avancer dans la science, faut-il tout accepter ? Je vous laisse y répondre !

08AF13FE-130D-44B1-BD00-A5C90CB9A724

 

( 24 septembre, 2021 )

Comment se distinguer des autres ?

Pour se vendre, il faut savoir se distinguer des autres. C’est ce que m’a dit récemment une auteure. Je n’aime pas me vendre. J’ai l’impression d’être un objet, alors que c’est de mes livres que l’on parle. Résultat, je n’ai jamais cherché à me distinguer des autres. Ceux qui aiment me lire le font, les autres et bien tant pis pour eux. J’ai tout de même écouté les conseils de cette auteure, qui peuvent m’être utiles un jour.

Pour bien vendre en art, littérature, voire même dans différents autres domaines, il faut se montrer et devenir irremplaçable. Ce n’est pas parce que ce n’est pas mon truc, que ce sera le cas de tout le monde. Cela passe par la création d’un réseau Facebook, Twitter, Instagram avec beaucoup de followers. Poster sa «  tête » plusieurs fois dans la journée jusqu’à ce que vous deveniez « la copine » plus que l’auteure.

Je n’ai jamais réussi à comprendre Twitter, même si les auteurs qui vendent beaucoup passent par ce réseau. Ensuite trouver le concept original. Ce pourra être balancer quotidiennement des photos « des endroits » où le roman fut planté, des images représentant les personnages. J’ai même vu un auteur reproduire son livre sous forme de roman-photos ( cela donnait vraiment envie de le lire !)

Lorsque l’on est un « petit » auteur, on se doit d’être le plus fidèle possible à ce que l’on est dans la réalité, sinon le manque de sincérité se lira sur ces images « de pub ». Donc ne pas s’enliser dans une version de ventes classique avec juste un lien et le livre balancé. Cela ne fonctionne que rarement. Alors j’ai juste envie de dire que pour se distinguer des autres, il faut laisser cours à ses envies. Ne pas brider ses émotions, faire fie du regard des autres, ne faire que ce qui nous semble juste. Certains auteurs vont se démarquer par leur gentillesse, leurs petits mots gentils, d’autres par une publication chronophage où ils vont donner beaucoup d’énergie, d’autres encore dans des salons et dédicaces, mais l’important est de conserver cette distinction qui nous rend unique, sans perdre le respect que l’on a pour soi. C’est mon avis, et il n’engage que moi.

59BDB8FF-69C6-4A4A-B987-E2C7951F16F9

( 23 septembre, 2021 )

Écrire, pourquoi ?

Nombreux sont les auteurs qui se posent inéluctablement les mêmes questions : est-ce bien ce que j’écris, est-ce que cela va plaire ? Je ne me pose jamais cette question malgré la ferveur de certains, éditeurs ou simples relations, se revendiquant un regard sur mes livres. Je n’ai jamais écrit pour les autres, juste pour moi. Je me moque complètement de ce que vont dire ou penser les lecteurs lorsque ma plume court sur la feuille. Je sais juste une chose, les mots doivent sortir, c’est la seule chose qui importe. Je sais qu’il y aura un « après » l’écriture, et curieusement cet « après » ne m’a jamais mis en transe. Ce que j’aime c’est écrire, jouer avec les mots, avec la musique des phrases. Dernièrement une auteure me disait avoir envie d’écrire une histoire, mais y renoncer car le thème était désuet. Et alors ai-je envie de dire ! Peu importe ! Que le thème ne soit pas dans l’air du temps, si le besoin d’écrire s’impose, il faut foncer !

Écrire, c’est un acte égoïste, mais qui reste important. Il ne faut surtout fuir ces mots qui crient. Il faut les laisser jaillir ! Écrire, pourquoi ? Parce que c’est dans l’ADN de tous les auteurs, tout simplement, une manière de rester en vie, tout comme tous les artistes.

6A65DD33-E0F5-4164-83FE-4D867D38C682

( 22 septembre, 2021 )

Les déserts médicaux

La France possède le plus meille  système de santé du monde. Que de pays envient notre fonctionnement, cette carte Vitale qui permet de ne pas avancer les frais médicaux. Que de français oublient que dans certains pays le fait de se soigner nécessite parfois des prêts bancaires à vie. Je me souviens d’une enfant lorsque je faisais mes études en pédiatrie. La petite venait du Canada où elle avait subi une grosse intervention cardiaque. La maman s’était endettée sur quinze ans pour payer tous les frais chirurgicaux et les médicaments. Quinze ans pour une lourde opération, alors on peut imaginer combien coûterait le traitement d’une leucémie ou d’une maladie plus longue côté traitement. En France, nous avons la chance d’avoir un remboursement presque total d’une consultation médicale, nous pouvons aller dans des centres de santé sans sortir un centime. Mais cela coûte beaucoup d’argent à notre sécurité sociale. Résultat, les chambres ont fermé dans les hôpitaux ( je ne dis pas qu’il n’y avait pas d’autres solutions, je constate) , les médecins sont saturés de patients et on assiste de plus en plus aux déserts médicaux. Certaines villes n’ont plus de médecins traitants. Comme dans de nombreuses professions, les médecins retraités ne sont pas remplacés, résultat on assiste à une pénurie de médecins à tel point que de nombreuses personnes lors de leur déménagement ne changent pas de médecins par peur de ne pas en trouver un nouveau. Les statistiques montrent que d’ici dix ans, il n’y aura presque plus de gynécologue par exemple, la plupart partant en retraite prochainement.

Une fois encore, je ne sais pas si une solution existe, mais j’ai juste envie de lever le poing afin de dire : ne détruisez pas l’avenir de nos enfants ! La santé est le bien le plus précieux.

992984F7-EC01-4B7D-BC83-B92A3F76F4FF

 

1234
Page Suivante »
|