( 13 décembre, 2014 )

Citation du jour

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Heureux ceux qui n’ont jamais souffert quoique … Peut-être n’ont-ils jamais vraiment aimé . Les souffrances les plus grandes sont celles qui sont tues, celles que l’on n’a pas dites, celles que l’on garde pour soi, celles que l’on rêverait un jour de chuchoter au creux d’une épaule compatissante juste pour que les mots effacent à jamais les larmes enfouis. Ces souffrances, au final, ne sont pas si inutiles. Elles nous gardent simplement vivants.

( 9 décembre, 2014 )

La maladie d’Hashimoto

La maladie d’Hashimoto.

Vous êtes nombreux à vous interroger sur cette maladie sournoise, invisible qui arrive sans s’annoncer. Ma thyroïde a commencé sa destruction accélérée suite à un gros choc émotionnel. Le résultat fut foudroyant : 70% de destruction en trois mois. C’est très dur à accepter. On s’autodétruit telle une bombe que l’on aurait fabriquée pour se faire sauter la cervelle. Ensuite on se heurte à l’incompréhension des autres qui ne veulent pas comprendre qu’une minuscule petite glande puisse faire un tel dégât. Lorsque, comme moi, on a toujours été très active, c’est la stupeur ! Eh oui, on n’arrive plus à bouger autant, on fatigue plus vite. Quant aux médecins, hormis quelques-uns qui se comptent sur les doigts d’une main, on a droit juste à un sourire ironique :  » Ce n’est pas un cancer ! De quoi vous plaignez-vous? »

Et bien, chers toubibs, de ne pas être comprise tout simplement

« Mon nom est Hashimoto.

Je suis une maladie auto-immune invisible, j’attaque ta thyroïde pour te causer de l’ hypothyroïdie. Je suis maintenant scotchée à toi pour toute ta vie’ Je suis si sournoise que je ne me montre pas toujours dans ton analyse de sang. Les autres autour de toi ne peuvent pas me voir ou m’entendre, mais TON corps, TON organisme me sentent. Je peux t’ attaquer n’importe où et de n’importe quelle façon. Je peux te causer des douleurs intenses ou si je suis de bonne humeur, je peux juste faire en sorte que tu aies mal partout.

Souviens-toi quand tu étais pleine d’énergie, que tu courais et dont tu t’amusais ?
Je t’ai pris cette énergie et je t’ai donné l’épuisement : essaie de t’amuser maintenant. Je peux prendre ton bon sommeil et à sa place, te donner le brouillard cérébral et le manque de concentration. Tu vas perdre tes mots. Tu auras l’impression d’avoir quatre-vingt ans. Je peux faire tomber tes cheveux par poignées, les faire devenir secs et fragiles, causer de l’acné, causer de la peau sèche, des problèmes de cicatrisation. Je peux te faire prendre du poids et peu importe ce que tu mangeras ou combien de sports et d’exercices tu feras, je peux garder ce poids indéfiniment avec ou sans régime. 

Certaines de mes autres amies maladies auto-immunes me rejoignent souvent, te donnant bien plus à traiter : lupus, maladie coeliaque, polyarthrite, sclérose en plaques, zona.

Si tu souhaites planifier quelque chose ou si tu attends avec impatience un grand jour, je peux l’emporter sur toi. Je suis la plus forte. J’ai toujours le dernier mot. 

Tu ne m’as pas demandé : je t’ai choisi pour des raisons diverses. Je prospère sur le stress. C’est mon terrain préféré. 

Si tu as la chance d’être diagnostiquée dès la chute, tu es une privilégiée sinon tu iras de médecin en médecin. Certains te traiteront pour dépression, d’autres pour anxiété au final, c’est juste moi qui tire les ficelles. 

Tension ? C’est moi …

Cholestérol ? C’est encore moi …

Problème cardiaque ? C’est peut-être bien moi …

Essoufflement  ? Probablement moi.

Enzymes de foie élevées ? probablement moi.

Dents qui tombent et problèmes de gencives ? Acouphènes ? Migraines ? Ouaip, c’est, encore moi je t’ai dit, que la liste était INFINIE.

On te dira de penser positivement, tu seras poussée, poussée et SURTOUT, jamais prise au sérieux quand tu essayeras d’expliquer au nombre infini de docteurs que tu as des symptômes qui te pourrissent la vie. Ta famille, amis et collaborateurs, tous aucun ne t’écoutera. Ils s’en fichent. Ce n’est pas mortel. Certains d’entre eux diront des choses comme « Oh, tu es juste dans un mauvais jour » ou « C’est normal, tu ne peux pas faire les choses que tu faisais quand tu avais 20 ans, c’est l’âge  » ou te diront : « Lève-toi, bouge, sors dehors  » Ils ne comprendront pas que j’emporte l’essence de ton énergie, que j’ai tout pouvoir sur ton corps, ton organisme et ton esprit pour TE PERMETTRE de faire ces choses.

Perte de mémoire, étourderies, étourdissements, vertiges, frilosité, crise de nerfs, irritabilité, envie de dormir, infections urinaires, baisse de libido et j’en passe…Tu peux toujours soigner ta thyroïde, mais moi je ne partirai jamais. Je suis maintenant une partie de toi. Je t’accompagnerais jusqu’à la fin de ta vie. 

Je suis la Maladie d’Hashimoto. »

 

Tout est dit … Les médecins devraient un peu plus s’intéresser à cette maladie. J’ai eu la chance d’avoir un médecin traitant extraordinaire qui a su faire un diagnostic rapide et efficace m’évitant des mois de gouffre. Je côtoie sur les groupes des réseaux sociaux tellement de personnes en souffrance. Je dis NON ! La médecine aujourd’hui doit accepter de rester humble, de dire à un patient : je suis dépassée, car elle est dépassée devant une maladie où pour etre qur pied une TSH doit se trouver hors des normes de laboratoire. Quand je vois que j’ai croisé deux médecins qui ne savaient pas qu’avec Hashimoto une thyroïde devait être au repos alors qu’un simple employé de laboratoire médical, lui, me l’avait bien expliqué !

On vit avec Hashimoto, on travaille avec Hashimoto, on aime avec Hashimoto, mais c’est une maladie qui change la vie. Par elle, on doit apprendre à fuir les énergies négatives qui réactivent notre hypothyroïdie, par elle, on doit accepter d’être à l’origine de notre maladie. Notre corps sous l’emprise d’un choc violent a simplement dit STOP !

Stoppez avant d’être stoppés. Écoutez votre corps. Il est le meilleur indice. N’ayant plus honte de devoir vous reposer. Ce sont ceux qui vous regardent avec mépris qui sont à plaindre.

Quitte à mourir avec Hashimoto autant essayer de vivre le mieux que l’on peut en attendant ce jour.

Et vous qui n’avez pas cette maladie, cessez de juger sans comprendre, cessez de montrer du doigt les faiblesses des autres. On se croit invincible. On ne l’est pas. On pense que la douleur ne peut plus nous toucher et une phrase venant d’un ami peut vous détruire. Alors, soyez indulgents. Cette maladie touche tout le monde même les enfants. Ce n’est pas un cancer, mais un cancer peut se guérir. Cette maladie, non. Soyez solidaire de la souffrance ressentie.

Texte protégé par Copyright reproduction interdite sans le nom de l’auteur 

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( 6 décembre, 2014 )

Il y a un an …

Il y a un an, je rêvais du jour où Rouge sortirait, piaffant dans l’attente de recevoir la fameuse BAT.
Il y a un an, je m’étais lancée comme défi de vendre une cinquante de livres en six mois.
Il y a un an, j’espérais avoir au moins une ou deux personnes qui aimeraient mon roman.
Un an après, mes lecteurs ont aimé Rouge qui  fut vendu à plus de trois cents exemplaires, voire plus, et des ailes m’ont poussé. Je me suis sentie début 2014, sur un petit nuage au pays des Bisounours. Changer de milieu m’a offert une richesse intellectuelle fabuleuse. Les rencontres avec d’autres auteurs furent intenses. Les chaînes de solidarité fortes.
De l’amateurisme, je passais à la passion pure. Je restais pourtant une novice, tremblotante.
Rouge comportant de nombreuses erreurs, je me mis à les travailler, à noter toutes les imperfections.
J’ai écrit Blanc en suivant tous les conseils de mes amis auteurs. J’y ai mis mon âme respirant le parfum du sud de la France.
 Puis, il y eut CARLA, un simple défi, une idée propulsée sur ce blog, un livre écrit juste pour les femmes ou pour les hommes qui aiment les femmes. Une frénésie d’écriture me libérant de mots, de maux.
Étrange année, étrange résultat.  Là où certains se seraient écroulés, je me suis révélée. Là où certains n’auraient pas osé, j’ai tout tenté. Là où d’autres auraient mis des années, je n’ai mis que quelques mois à remplir mes pages blanches avec ma plume à l’encre de mes veines. J’ai adoré cela.
Il a ensuite fallu des mois de réécriture pour arriver au résultat d’aujourd’hui, mais cette satisfaction d’atteindre un but est fabuleuse.
Et ce n’est pas fini ! Bleu est également terminé. S
La sortie de CARLA étant  retardée, celle de Bleu n’arrivera que pour l’été prochain. Pourquoi être pressée ? Peut-être Bleu seduira-t-il, entre temps, une maison d’édition spéciale polars ? Croire en ses rêves ne m’a jamais arrêtée ..
Personne ne m’arrêtera sur l’objectif que je me suis fixée : continuez à m’évader en écrivant et surtout vous donner du plaisir à me lire.
Le plus important restant de se faire plaisir et de se dire : j’ai vécu cette année avec passion, j’ai réalisé des défis que je pensais impossible. Il ne me reste plus qu’à continuer !
( 5 décembre, 2014 )

Les cons

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Un peu d’humour aujourd’hui pour finir une semaine difficile : et si nous parlions un peu des cons ?
J’adore une citation de Michel Audiard dans le fabuleux film  » les tontons flingueurs » :  » Les cons, ça ose tout; c’est même à ça qu’on on les reconnaît. » Excellent, non ? Qui sont les cons aujourd’hui ? »
Y’a ceux qui sont cons parce qu’ils sont cons. Ce n’est pas de leur faute, ils sont comme ça depuis toujours à tel point que c’est devenu pour eux une seconde nature.
Il y a aussi les vrais cons, ceux qui ont la grosse tête, qui veulent prendre le pouvoir, qui en deviennent imbuvables à force de vouloir être les meilleurs. Les cons qui écrasent tout sur leur passage, sans une once d’empathie, sans un regret.
Ensuite y’a les cons de mauvaise foi, les plus fréquents. Ceux que vous rencontrez dans votre famille, vos amis, vos collègues. Ils ne sont pas méchants mais ils vont inlassablement trouver un prétexte ou une excuse pour justifier ce qu’ils ont fait ou ce qu’ils sont. Ces cons là sont convaincus que tout le monde est con !
Il y en a tant des cons que la liste serait immense et je laisse la parole aux grands de ce monde pour en définir quelques uns car au fond, certains cons, on les aime bien.
  1. « La différence essentielle entre un jeune con et un vieux con réside dans le temps qu’il leur reste à être cons. » (Jean Dion)
  1. « Comme disait mon grand-père tout les ans il y a de plus en plus de cons, mais cette année j’ai l’impression que les cons de l’année prochaine sont déjà là. »(Patrick Timsit)
  1. « Ce qui est surprenant avec les jeunes cons, c’est leur propension à devenir de vieux cons. » (Doug )

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( 28 novembre, 2014 )

Une autoéditée nous livre son témoignage

1962633_10204931694641953_5759978104942836558_n« Les chevaux m’ont sauvé la vie »de Marie Ambourg

Bonjour à tous… je continue sur ma lancée ! Je m’étais arrêtée au moment où je me demandais quel genre d’édition j’allais choisir pour faire éditer mon livre. Hé bien, puisque vous connaissez les déboires que j’ai malheureusement eu avec des éditeurs, j’ai pris une lourde décision : celle de m’autoéditer ! Pourquoi « une lourde décision » ? Tout simplement parce je ne savais pas du tout comment faire pour éditer mon livre moi-même, j’étais débutante dans le monde de l’écriture ainsi que dans celui de l’édition, surtout dans le monde de l’édition… Sans oublier qu’il devait y avoir un travail monstre à fournir, il fallait se dégager du temps et avoir de la patience… ! Alors, aurais-je la patience ? Je n’arrêtais pas de repousser l’échéance, me disant que mes déboires avec les éditeurs allaient cesser. Seulement, des mois plus tard, j’eue la chance d’avoir une personne qui m’a remis la tête sur les épaules. C’était un ami qui, de par son expérience, m’a proposé de l’aide. Aide que j’ai accepté… Cette aide était un peu comme des cours par téléphone, ensuite c’était à moi d’agir ! Et surtout d’OSER agir ! J’ai osé ! Je me suis faite une fiche pour savoir par quoi commencer… pour faire les choses correctement, et ne rien oublier ! C’était parti ! La première chose à faire était de trouver des bêta-lecteurs pour trouver des avis et surtout une correctrice afin de corriger les erreurs (fautes d’orthographe, fautes de syntaxes, etc). J’ai été déçu au début… J’avais trouver une correctrice qui me faisait tout à un prix trop élevé. Puis, j’ai décidé de comparer plusieurs correcteurs ! J’ai fini par trouver mon bonheur sur les réseaux sociaux ! En ce moment précis, j’étais loin de me douter que facebook allait devenir mon meilleur ami et mon meilleur allié. J’ai trouvé une correctrice formidable, qui respectait mes idées, faisait en sorte de les conserver pour mieux les intégrer dans le texte, m’en proposait également, m’a fait une mise en page parfaite et surtout, le point important : je m’entendais parfaitement avec elle ! Ce travail effectué, il fallait également que je trouve une graphiste pour ma première de couverture, ma tranche et ma quatrième de couverture. Là, encore facebook m’a beaucoup apporté… Les relations aimant l’écriture, les livres, se révélaient pratiques… car il y avait beaucoup d’entraide ! Tout s’est rapidement mis en place comme une joyeuse musique… Les échanges entre ma graphiste et ma correctrice s’enchainaient ; les jours passaient et je continuais à avoir des résultats de plus en plus aboutis et surtout un texte qui commençait à devenir plus fluide… J’avais également la chance d’avoir une correctrice répondant à la moindre de mes questions, et me faisant comprendre mes erreurs pour que j’arrive à mieux écrire. Que demander de plus ? Parallélement à tout ça, il fallait que je demande un code ISBN pour donner un caractère unique à mon livre, que j’ai demandé à la l’AFNIL ! Par la suite, j’étais sûre de pouvoir donner les informations nécessaires à la future imprimerie que je trouverais pour faire imprimer mon ouvrage. Pour cela, bien évidemment, il me fallait trouver l’imprimerie… Je me suis alors retrouvé à faire des calculs et surtout à comparer des tas de prix afin de trouver le bon plan. J’ai eu des moments où j’ai cru que l’on marchait sur la tête ; certains prix étaient desespérant et m’auraient obligé à mettre mon livre à un prix beaucoup trop élevé : dans les 50 euros voire plus ! Je n’aurais jamais vendu mon livre comme cela ! Des imprimeries à 1200 euros ou plus, j’en ai trouvé, pas mal ! Surtout un conseil, ne vous faites pas avoir dans l’espoir de voir votre rêve entre les mains, votre porte monnaie ne demande pas ça… et vos lecteurs potentiels non plus ! En parlant de connaissances sur les réseaux sociaux, c’est ainsi que j’ai pu trouver mon bonheur. Une femme m’a conseillé l’imprimerie où elle faisait imprimer ses livres, et c’était tout à fait ce que je recherchais ! Une fois mon livre terminé, la couverture de ce dernier également, j’ai donc commandé plusieurs exemplaires ! Le premier reçu, j’ai déposé mon ouvrage à la BNF pour le dépôt légal. A présent, les ventes ont commencés ! Je commence à voir de bons résultats, de bons retours… Croyez moi, c’est l’une des meilleures décisions que j’ai due prendre dans cette aventure ! Voici la fin de mon histoire et qui se termine bien je dois dire ! Bien entendu, il a fallu prendre des risques, c’était un pari risqué… Mais je l’ai gagné car au final, le peu que j’ai dépensé, je l’ai rapidement retrouvé, tout autant que j’ai retrouvé le sourire. Au commencement, je vous avais parlé d’un choix difficile… Ce choix difficile s’est révélé être une excellente motivation de tous les instants, de tous les jours… C’est moi qui avais toutes les cartes en mains, j’ai joué et j’ai réussi. Cela m’a apporté énormément de ne pas commencer par le monde actuel de l’édition. J’en suis profondément heureuse et fière aujourd’hui ! Bon courage à vous tous !

 

 

Un clin d’oeil …

( 25 novembre, 2014 )

Le choix

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Rien n’est plus vrai que cette citation. J’ai croisé dans ma vie des individus dont la seconde nature n’était que mensonge. Faisaient-ils semblant ou bien pensaient-ils vraiment être ce qu’ils prétextaient être, oscillant entre périodes d’euphorie ou de dépression. Tristes personnages à qui il aurait juste suffi, une fois dans leur vie, d’être honnêtes, non envers les autres car finalement on s’en fiche de ce que pensent les autres, juste d’être sincères envers eux-mêmes. Inconsciemment ou consciemment, qui peut le dire, ce type de personnages emmène dans son sillon larmes et déceptions. Alors, ne nous laissons pas intimider par ces hommes, car curieusement ce sont souvent des hommes. Restons ferme sur notre volonté de vivre, sur nos choix et sur notre liberté de pensées et tant pis si ces êtres, au final, méprisables continuent à nous dénigrer, l’important reste que nous, les femmes nous continuons à nous serrer les coudes, à avancer et à faire nos propres choix au risque de nous tromper !

( 24 novembre, 2014 )

Deux petits pas sur le sable

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Parfois on choisit un livre sur les conseils d’amis, parfois au hasard. En ce qui concerne  » Deux petits pas sur le sable », j’en avais lu une excellente critique sur un groupe littéraire. Je l’ai donc choisi ce we pour me changer les idées. J’en sors bouleversée. C’est un livre magnifique mais plus encore, c’est un livre que j’aurai pu écrire. Terrible de lire une histoire qui me ressemble tant. Cette petite Thaïs atteinte d’une maladie dégénérative mortelle, du même âge que mon fils, sa petite sœur Azylis devant subir une greffe tout comme mon ange. J’ai lu chaque geste que j’ai pu faire, chaque angoisse que j’ai eue. Difficile de plonger dans un miroir quand on a fermé le livre depuis longtemps pourtant je suis allée jusqu’au bout, simplement parce que c’est un peu un hommage que je devais à cette petite fille qui est partie tout comme mon fils, trop vite, trop tôt.

Rien n’est un hasard. Lorsque parfois on doute, lorsque l’on se pose des questions, on tombe sur un roman parmi plus de cinq cents autres. On le lit. On se dit juste : Que c’est beau le Présent ! Pourquoi passe-t-on notre temps à regarder en arrière ou à vouloir faire tourner les aiguilles du temps. Vivons ! Vivons à fond et accrochons-nous à nos rêves !
À ce sujet, bientôt CARLA … Ce roman n’est pas non plus un hasard ! Signe que tout a un sens …
( 23 novembre, 2014 )

Idée de cadeau de Noël …

N’hésitez plus ! Bientôt Noel … Foncez sur ces deux romans policiers en attendant la sortie de Carla.

 

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( 21 novembre, 2014 )

Concours nouvelle

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Ce soir sera dévoilé le thème du concours Edilivre en 48 heures. L’an dernier, ma nouvelle avait été bien placée. Je ne sais pas encore si je vais ou non participer n’ayant pas beaucoup de temps ce we mais ce type de défi restant amusant, je reste bien tentée. Juste pour le plaisir, une fois encore, de jouer avec les mots, de jongler avec les rêves, de me tester … À suivre donc … Tout se jouera sur le thème qui sera mis en ligne à 19h.

( 20 novembre, 2014 )

Ma liseuse KOBO

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Mon chéri m’a offert une superbe liseuse Kobo H20. Avis aux réfractaires du numérique : c’est un petit bijou.
D’abord une fois que l’on a compris comment elle marche ( pas si facile pour une quiche en informatique ), c’est très simple d’y installer la bibliothèque d’ebooks. Pour commencer, j’en ai mis juste 300. Un bon début !
Lecture parfaite avec des caractères gros. Pas besoin de lunettes ! Éclairage également super …
Habituée à lire sur mon iPad, je larmoyais chaque fin de soirée à cause de la luminosité. Le rétro éclairage change tout !
Ma Kobo se glisse partout même dans mon sac à main, peut être mouillée ( bon, ce n’est pas moi qui irait nager dans la mer avec mais se dire qu’un verre d’eau peut ne pas la bousiller), supporte le soleil ( enfin un été où je pourrais lire sur ma tablette allongée sur mon transat !)
En résumé, une bibliotheque de livres toujours sous la main.
Je recommande à tous ceux qui doutaient du numérique ce superbe cadeau !
Bien sûr, cela ne remplace pas le livre papier mais pouvoir lire partout autant de livres que l’on veut. Quel bonheur !
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