( 18 octobre, 2015 )

Les « on dit »

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Je ne me lasse jamais de cette phrase que j’aime dire régulièrement à mes élèves pour leur montrer à quel point le monde d’aujourd’hui est cancanier. Longtemps je fus naïve, pensant qu’il suffisait d’apprécier les autres, de sourire avec gentillesse pour récolter la paix. Un jour, la calomnie a fait partie de ma vie, brutalement, simplement parce que j’avais commis l’erreur d’être amie avec un homme ( oh sacrilège ! ) et que cette relation portait inéluctablement à fantasmes. Rancunes des uns dont cette entente nuisant soit disant à leur amitié avec moi, jalousies des autres ne supportant pas que certaines amitiés existent tout simplement. Le sourd en a entendu des choses à tel point que l’aveugle ne pouvait retranscrire ce qu’il ne voyait pas les a inventés … Le drame dans tout cela ? L’attitude de cet ami qui pour sauver une réputation entachée par des ragots s’est enlisé et a tourné le dos ! Car au final, le tout n’est pas ce que l’on fait vraiment mais ce que les autres pensent ce que l’on a fait qui devient un Fait réel dans l’esprit d’autrui.
Moralité, car il y en a toujours une. Méfiez-vous des faux amis. Ils seront toujours là non pour nous soutenir mais pour se mettre, eux en avant. Méfiez-vous aussi des personnes insatisfaites de leur vie qui vous ferons payer très cher leur propre échec. Dans tous les cas, si comme moi, vous croyez à la puissance de l’amitié, de la vie, de l’union des êtres alors ne renoncez jamais aux autres. On peut tous tomber sur des cons mais il restera toujours les vrais liens qui eux résisteront au temps.

( 16 octobre, 2015 )

Hashimoto, mon amour

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C’est pour des témoignages comme celui-ci que j’ai écrit Hashimoto, mon amour.
De tout coeur, merci ! Mon premier objectif est atteint malgré les critiques avant sa parution, les témoignages positifs affluent. Parce que ce n’est plus possible de laisser dans l’ombre des maladies invisibles comme Hashimoto, la Fibromyalgie, le Lupus et tant d’autres. Seul, on ne peut rien. Ensemble, on va secouer les mentalités et faire bouger un peu ce gouvernement qui s’en fiche, ces personnes qui nous montrent du doigt car on s’est arrêté quelques jours. On va dire non à la malveillance ! Oui à la tolérance !

( 13 octobre, 2015 )

Écrire quotidiennement sur ce blog : mes raisons.

Lorsque j’ai ouvert ce blog en décembre 2013, cette plateforme était destinée simplement à la promotion de mon premier livre Rouge. Je n’y connaissais rien en édition. Je rêvais d’atteindre cinquante ventes en six mois, ce fut au final dix fois plus.
Le dialogue s’est instauré avec mes lecteurs suite à ce roman policier qui traitait de faits de société, de problèmes de couples. Nombreux furent ceux qui se sont reconnus dans mes lignes, certains, amusés allant jusqu’à me dire s’être rasés les cheveux pour ne pas trop ressembler à Matt. Comme dans la vie, quand une relation s’établit, le lien perdure. Je me suis donc astreinte, malgré mon travail, ma fatigue par moment, à venir régulièrement poster car sans contact, un lien s’évanouit vite.
J’ai beaucoup de « suiveurs » réguliers et je les en remercie. Ils me motivent à toujours aller plus loin, à me poser les bonnes questions, à revenir parfois sur des certitudes ( car seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !). Certains articles sont répétitifs, j’en ai conscience car malheureusement la vie instaure des injustices, des douleurs répétitives. Ma plume sur ce blog est un peu comme une traînée de poudre multicolore faire de mille émotions inscrite dans la mémoire du temps. Deux mois que je n’ai pas écrit une ligne de mon polar et l’envie recommence à me vriller l’estomac !
Dans cinq jours, je reprendrais mon manuscrit, je replongerai dans mes vingt premiers chapitres, je m’imprégnerai de mes héros, ne faisant qu’un avec eux, puis je laisserai l’encre couler. Vous êtes nombreux à trouver le temps long avant qu’Antoine ne revienne. Il arrive ! Bientôt ! Dans une enquête encore plus tordue ! :)

( 6 octobre, 2015 )

L’art thérapie

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J’ai une certaine affection pour les nouvelles activités qui inondent les magasins, je parle de l’art thérapie. Née d’une pratique utilisée en psychothérapie pour prendre contact avec sa vie intérieure, cette technique permet d’ouvrir l’imagination, la créativité. Le temps me manque pour m’y adonner mais le plaisir du coloriage m’a parfois permis de réaliser quelques mandalas ou dessins. Faisant une recherche sur ce sujet, je fus surprise de constater que ce mode de soin était utilisé de plus en plus pour les personnes âgées, mais aussi pour de nombreux malades atteints d’un cancer afin de leur faire oublier leur souffrance.
Malheureusement au-delà du côté thérapeutique et distraction se mêle le coût financier dont ne lésine pas les différentes marques, livres de plus en plus somptueux avec de magnifiques coloriages à faire, assortis à une palette de crayons de couleur hors de prix, associés à des suppléments, paillettes etc.
Je pense juste aux coloriages que je mets à disposition des élèves en autonomie depuis des années, qui eut cru qu’en fait, indirectement, je faisais en avant première de l’art thérapie !

( 7 septembre, 2015 )

Les ados

 

Un peu d’humour et de légèreté pour ce début de semaine avec ce dessin humoristique qui m’a fait éclater de rire tellement j’ai l’impression qu’il fut dessiné pour moi. En clair, j’ai le même à la maison ! À se demander ce que deviendraient nos ados sans leur fichu ordi !
Bon Lundi à tous.
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( 1 septembre, 2015 )

La liberté d’être ce que l’on est.

Le retour dans le monde du travail reste un moment agréable malgré les mois difficiles qui vont certainement suivre, moment où on découvre de nouveaux élèves, de nouveaux collègues, où on se sent en phase avec ses convictions. Longtemps, je fus ce que l’on attendait de moi, me fondant dans un moule anonyme où personne ne me remarquait, ce qui me convenait tout à fait. Je n’ai pas changé sur ce dernier point sauf que j’ai en main les clés de mon destin. Je suis aujourd’hui une spectatrice amusée d’une société où chacun a des difficultés à trouver ses marques. Des courbettes ? Je n’en fais plus. Si j’aime, je le dis, si je n’aime pas, je ne vais pas cirer les pompes pour faire plaisir. J’évite de dire des mots négatifs pour ne pas blesser car faire du mal reste pour moi une des choses qui me rebutent le plus. Facile allez-vous me dire ? La difficulté n’est-elle pas surtout de prendre conscience que l’on se retrouve parfois prisonnier malgré soi ? Trouver la clé de son destin reste simple si on a conscience de ce que l’on vit mais nombreux sont ceux qui n’ont pas cette prise de conscience, préférant se contenter d’un semblant d’être plutôt que d’être vraiment.

 

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( 31 août, 2015 )

La boucle est tournée !

En route pour la reprise après des vacances bien méritées, les jeunes enseignants vont découvrir leur classe avec un sourire radieux tandis que les moins jeunes vont soupirer en écoutant les nouvelles réformes qui vont se dessiner pour la nouvelle année
 mais au final, le rythme sera repris en moins d’une semaine. Profitons de ce premier pas pour établir de sages résolutions, rester zen en toutes circonstances même si on rencontre des parents agressifs ou cancaniers, sourire quoiqu’il arrive même si certains élèves n’ont aucune éducation et surtout savoir appuyer sur le bouton pause au bon moment car nul n’est irremplaçable et la caisse en acajou qui nous attend pour l’éternité, nul n’en veut cette année.
Avançons tous sur de nouvelles bases, saines, tournons la page même si le plus difficile n’est pas de pardonner la personne qui nous a blessés ou épuisés  mais de se pardonner à soi-même de l’avoir laissé nous blesser. Qu’en cette nouvelle année, nous ne nous laissions plus atteindre par la méchanceté humaine car cela nous empêche d’être de bons enseignants ou simplement pour tout un chacun, de bonnes personnes, tout simplement.
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( 30 août, 2015 )

Hashimoto, mon amour : pourquoi ?

 

L’essai n’est pas encore sorti et déjà vous me comblez par votre enthousiasme. J’espère ne pas vous décevoir, ce livre n’étant pas, je l’écris de nouveau noir sur blanc, ni le récit autobiographique de ma maladie, ni un ouvrage médical. En clair, il n’y aura ni recette pour guérir, ni formule magique. Il ne contient que des mots, ceux de nombreux malades ayant voulu crier leurs souffrances, leurs difficultés à être compris par leur entourage médical, familial ou professionnel. Car ces maladies invisibles, sournoises dont l’évolution n’est pas linéaire n’est pas toujours comprise. J’ai même assisté dernièrement sur des groupes à des remarques de personnes malades assez agressives à l’égard d’autres malades. Il faut accepter d’être différent et cette différence ne doit pas s’avérer un handicap mais une force commune.
Bien sûr, je n’ai pu mettre qu’un nombre de témoignages limité sinon l’essai aurait fait plus de mille pages et aurait fatigué tout le monde. Je m’excuse par avance pour ceux qui ne trouveront pas leur cas précis mais je répète, ce n’était pas le but qui était juste de montrer « aux autres », à ceux qui pensent toujours que parce que l’on sourit, que l’on va travailler, on va bien ! Non, Hashimoto peut par moment être un vrai handicap et nous limiter. Il faut le faire savoir pour être compris.
Hashimoto, mon amour est un livre important qui j’espère soudera les individus, le mari qui ne comprend plus son épouse, le patron qui ne supporte plus sa vendeuse trop laxiste selon lui, le médecin fatigué d’écouter sa patiente se plaindre. Il y a une vie pleine de soleil avec Hashimoto, à nous de l’offrir à chaque malade.
Cet essai est mon cinquième ouvrage et le plus important pour moi. Mon parcours de vie fut difficile jalonné de situations dont je n’ai pas compris la raison. Hashimoto me permet de mettre un sens sur un non sens, de pouvoir, par mon combat aux côtés des malades, de dire que le passé a une utilité celui d’offrir  un avenir meilleur. Même si cet ouvrage n’est utile qu’à une petite poignée de personnes,  ce combat ne sera pas vain et tout ce que j’ai enduré durant quatre ans naura pas été  inutile. Aujourd’hui, je suis debout,  assez forte pour lever l’étendard au nom de tous les malades et leur famille. La vie n’est pas un hasard. Trouvons simplement le lien qui nous permet de donner un sens même à une souffrance afin de pouvoir de nouveau mettre un arc en ciel de couleur dans nos vies.
       D’avance à tous, merci.
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( 28 août, 2015 )

La maladie d’Hashimoto : le livre qu’il faut acheter pour la rentrée

 

De nombreux livres sortent pour la rentrée littéraire mais un seul sur la maladie d’Hashimoto alors n’hésitez pas à courir dès mercredi le commander sur le site des Ateliers de Grandhoux, offrez le à vos amis qui ne vous comprennent pas, à votre famille qui grogne parfois, à vos collègues qui vous trouvent différents.
Cet essai sortira pour la rentrée littéraire le 15 SEPTEMBRE
Hashimoto mon amour…
Sylvie Grignon
10,99 € – 110 pages – 11 x 18
Livre numérique en format pdf et epub : 7,99 €
« Hashimoto, mon amour »… le titre nous interpelle avant même de comprendre ce dont il s’agit. La maladie d’Hashimoto est une maladie auto-immune de la thyroïde. Sylvie Grignon en est elle-même atteinte, mais a eu la chance de bénéficier d’un diagnostic rapide et d’un traitement approprié. Tel n’est malheureusement pas le cas pour nombre de malades.
Pourtant, la littérature sur les maladies auto-immunes abonde, des blogs et des forums y sont consacrés, témoignant de la détresse de patients qui souffrent de l’incompréhension de leur entourage et du manque de formation du corps médical. L’auteure a recueilli et réuni les témoignages de malades et nous les livre dans cet ouvrage, à l’état brut, respectant le langage de ces témoins.
Souffrance, incompréhension, idées préconçues, manque de formation et de communication, Sylvie Grignon cherche par cet ouvrage à sensibiliser les professionnels de la santé, tout en offrant à tous ceux atteints de cette maladie et à leurs proches un regard nouveau sur la maladie d’Hashimoto.
Un livre passionnant, coup de poing !
Soyez tous au rendez-vous ! image
Sut sur le site dès mercredi    http://www.lesateliersdegrandhoux.com
( 20 août, 2015 )

Ensemble luttons pour être reconnus

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Hashimoto, mon amour, le combat de ma vie !
Disponible en avant première sur le site des ateliers de Grandhoux, tirages limités à partir du 2 Septembre puis sortie nationale à partir du 15 Septembre dans vos librairies, Fnac, etc . ( Ebook et papier )
Rejoignez mon combat car vous avez peut être un ami, un collègue, un parent Hashimoto sans le savoir !  Une autre maladie auto immune qui vous mènera un jour malheureusement à Hashimoto.
Ensemble, soyons reconnus par tous
Merci
Résumé du livre

Dans ce texte aussi court que violent, Sylvie Grignon raconte avec sincérité sa vie avec la maladie d’Hashimoto, et nous livre de bouleversants témoignages de malades.

En effet, on peut lire nombre d’ouvrages sur les maladies auto-immunes, les articles sur ce sujet abondent sur internet. Des blogs, des forums entiers y sont consacrés. La maladie D’Hashimoto a touché Sylvie Grignon qui a bénéficié d’un diagnostic rapide, contrairement à de nombreux malades qui se trouvent confrontés à l’incompréhension des professionnels de santé et souhaite que chaque personne ait cette chance.

Elle a réuni des témoignages de malades et les rend, dans ce livre, à l’état brut. Afin de faire ébranler les mentalités.
Elle offre à tous ceux atteints de cette maladie et à leurs proches, ainsi qu’aux professionnels de santé la possibilité d’un regard nouveau sur cette maladie dont le sujet est abordé en toute liberté.

Ce témoignage est un cri d’alarme destiné à secouer les idées préconconçues.

Un livre passionnant, coup de poing, écrit sans langue de bois !

http://www.lesateliersdegrandhoux.com

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