( 22 mars, 2015 )

salon du livre 2015 : retour de dédicaces.

Merveilleuse journée et super salon du livre. Pouvoir dédicacer ses livres pour la première fois au salon du livre Porte de Versailles, c’est vraiment quelque chose de fabuleux, d’unique. D’abord, entrer par la porte  » des auteurs », moi qui toute ma vie ne suis entrée que par les entrées commune, ensuite se retrouver sur un stand, celui d’Edilivre, très bien situé cette année, avec un accueil de rêve. Faire  connaissance avec d’autres auteurs d’Edilivre forts sympathiques, échanger durant trois heures tout en livrant au passage une petite dédicace.

Beaucoup de monde à ce salon dont la plupart n’était là que pour les hautes personnalités. On a plus de ventes si on se nomme Juppé.
Puis retrouver enfin mon nouveau roman en version papier, le tenir entre les mains. Bonheur de toucher cette petite merveille ! Une petite place en dédicaces durant trente minutes pour son lancement à côté d’une célébrité fort connue Saphro. Là, mon stylo s’est activé d’une trentaine de ventes.
Je ne suis ni une fan des salons, ni du public relation mais quelle joie de retrouver des auteurs croisés sur le net ou des amis venus de partout juste pour m’encourager. Cela fait chaud au cœur un endroit où on pose sur soi un regard sympathique et vrai.  Ces rencontres nouvelles ou anciennes sont purement magiques !
Un merveilleux souvenir à graver dans ma mémoire.P1020684
En attendant, continuez à acheter Carla  ! Collectors jusqu’au numéro 200.
( 14 mars, 2015 )

Pensée du jour

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Superbe citation. Je n’ajouterai rien de plus. Tout est dit avec ces quelques mots.

Bon we à tous.
( 28 février, 2015 )

Y aura-t-il une suite à CARLA ?

 

Plusieurs retours aujourd’hui et quelques premières critiques ( il en faut !) sur les scènes jugées trop érotiques. À l’époque où cinquante nuances de Grey s’est vendu à plus de deux millions d’exemplaires en France et quarante-cinq millions aux États Unis, il est normal qu’une ligne éditoriale demande un peu plus d’érotisme que je n’en mets habituellement dans mes romans policiers. Je sais que je reste en général soft et très romantique mais que l’on ne s’arrête pas juste à quelques lignes : en aucun cas CARLA n’est un roman dit « hard ». CARLA est une femme passionnée, amoureuse, qui veut aimer et être aimée. Une femme comme beaucoup de femmes de notre époque revendiquant son droit à l’amour, à avoir des coups de coeur, des désirs violents, à faire des erreurs. Ce n’est pas une mauvaise femme, comme m’a dit une lectrice dans un message privé. C’est juste une femme d’aujourd’hui qui aime, vraiment, sincèrement que ce soit son Philibert ou « lui ».
Une suite ? Bien évidemment CARLA a certainement encore de nombreux carnets en désordre rangés dans ses cartons. Beaucoup de surprises possibles en vue ! Mais le monde ne s’est pas fait en un jour et écrire reste un travail difficile, long et parfois fastidieux. L’inspiration ne vient pas quand on veut mais quand on le sent dans son âme. Et si les  ventes montrent que des lecteurs comme Valérie sont de plus en plus nombreux à montrer un intérêt pour une suite, il ne me restera plus qu’à trouver cette inspiration  durant des vacances au soleil, seul endroit où je suis vraiment productive. Je rappelle que je ne vis pas de mes romans et que lorsque je travaille, ma seule priorité est ce travail.
Pour la question de Simon sur FB, CARLA fut signé aux Ateliers de Grandhoux qui est une vraie maison d’édition numérique. Je n’ai de contrat d’exclusivité que pour des romans du type CARLA mais je conserve la totale liberté pour tous autres types d’écrits. Le travail avec un éditeur est long et parfois difficile, notre texte peut-être retravaillé par les éditeurs, oui, il faut le savoir. On l’accepte quand on signe. Je l’ai fait avec plaisir pour CARLA. J’ai refusé par contre de signer en parallèle avec une très grande maison de polars car je veux rester maître de ces textes. Seul un roman de type CARLA aura ce privilège. Je n’écris ni sur commande, ni quand on me le demande. Cela me bloque. Je ne peux donc me lier avec une maison qui m’imposerait ( comme cela aurait été avec l’édition dont je pense ) un manuscrit tous les neuf mois. Je suis, je reste enseignante avant tout jusqu’à ma retraite.
En attendant, bienvenue à tous ceux qui découvrent ce blog. Le graphique des visites est à son apogée ces derniers jours. Entrez dans mon univers, découvrez CARLA, la meilleure amie d’Adelyse une des héroïnes de Rouge et Blanc, découvrez aussi mes autres romans dont les ventes aussi montent. Vous avez le droit de ne pas aimer CARLA , vous avez le droit d’adorer, l’important est de l’avoir lu pour pouvoir le juger. Je rappelle une dernière fois : je ne suis pas CARLA ! Ce n’est pas ma vie en dehors de mon combat dans un des chapitres pour la maladie d’Hashimoto. CARLA est la résultante de nombreux retours sur ce blog, de réactions à mon blog. CARLA 2 se fera dans le même esprit. Je suis une humaniste qui ne fera jamais ni politique, ni débat religieux, ni pornographique. Comme dit une chanson : » Non, je n’ai pas changé « … Je reste moi !
Bonne journée à tous !
( 20 février, 2015 )

Un bonheur sans nom

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Que dire ? La sortie de Carla m’a offert un bonheur sur lequel je ne peux même pas poser de mots.
Des larmes de joie, des vraies. Rares pour ceux qui me connaissent. L’impression d’avoir gravi une montagne immense et d’être en haut, sereine. Pouvoir me dire que malgré le peu de temps qui m’est alloué, ma fatigue liée à ma maladie, mon travail difficile, j’ai réussi ! Une belle revanche sur la vie.
CARLA est né d’un défi sur ce blog, de témoignages, de douleurs partagées. Nombreuses sont les femmes qui se reconnaîtront. Des hommes aussi, peut-être, j’espère …
Qui sait ? CARLA sera peut-être juste le lien permettant d’effacer les incompréhensions et les erreurs.
Déjà des premiers retours de lecteurs qui font du bien, qui rendent heureux. Le message passe.
C’est magique !
Merci de continuer de croire en moi.
( 19 février, 2015 )

Sortie de Carla.

CARLA est en vente en Édition numérique depuis aujourd’hui. Un pas dans la cour des grands. Jusqu’à maintenant, je me terrais, fidèle à moi-même dans l’édition alternative qui ne m’engageait pas trop. J’aime bien plus œuvrer dans l’ombre que dans la lumière. Vous commencez à le savoir. J’ai même refusé une vraie maison d’édition spécialisée dans les polars à cause de cela. Ma liberté d’écrire et de penser m’est tellement précieuse. Et j’ai rencontré par hasard, mais est-ce vraiment un hasard, mon éditrice. J’ai tout de suite su qu’avec elle, je garderai mon authenticité, ce que je suis. Notre chemin qui dure depuis plus de huit mois ( et oui, on ne publie pas dans une « vraie » maison en deux clics comme en autoédition ) m’a beaucoup fait progresser. Je me suis surtout lancée dans un genre nouveau : le roman. Quelques semaines d’écriture puis des mois de réécriture.
 Je m’attends à vos questions. Pourquoi le choix des Ateliers de Grandhoux alors que n’intéressais aussi d’autres petites maisons d’édition déjà connues ?
 Tout d’abord parce qu’une maison d’édition à droit d’éditeur qui se lance fut, pour moi, un défi de plus et j’adore surfer depuis toujours sur des défis. C’est le moteur de ma vie, dans mon travail, mes relations avec les autres. J’aime réaliser l’impossible. Ensuite, je suis convaincue que le numérique est l’avenir même si je resterai toujours une amoureuse du livre papier et que j’espère voir ce roman voir en version papier d’ici fin 2015 ( un nouveau défi ?) .
La version numérique de CARLA va permettre à tout le monde de se l’offrir. Son prix est bas. L’histoire est sympa et sa présentation, par période de vie offrira la possibilité d’être lue sur liseuse entre deux pauses, deux réunions ou même dans le métro.
CARLA est le roman idéal pour se vider l’esprit, pour oublier ses soucis, même si j’y glisse mes idées et mes convictions pour changer les mentalités de certains. Je ne vais pas jouer les marchands de tapis mais s’il n’y a qu’un livre, un seul, à lire ce mois-ci, c’est celui là.
Je remercie tous ceux qui furent là avec moi pour me soutenir durant tous ces mois. Ils sont dans ma page de remerciements bien sûr mais j’ai pu en oublier. Merci à vous qui me suivez sur ce blog. Vos commentaires, vos messages quotidiens me poussent à toujours aller plus loin.
ROUGE était le début d’un rêve que je pensais irréalisable et même sans publicité, sans com, ses ventes ont dépassé tous mes espoirs. CARLA est la continuité, la concrétisation de ce rêve. Une éditrice reçoit chaque jour une pile de manuscrits. Avoir été choisie, moi la petit instit œuvrant dans l’ombre, la petite gribouilleuse, est un véritable honneur et je l’en remercie du fond du cœur.
Elle croit en CARLA . J’y crois aussi. À vous d’y croire et de vous laisser emporter  pour un joli voyage à travers les mots.
Vous pouvez le commander sur le site des Ateliers de Grandhoux
( 28 janvier, 2015 )

Anniversaire de la libération des camps.

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C’était il y a 70 ans, hier. Auschwitch libéré. Curieusement, il n’y a que ma génération ou celle de mes parents qui semble vraiment touchée. J’ai discuté avec des jeunes de la résidence. Ils devraient savoir. Ils ne savent pas ou ont oublié. Ils ne devraient pas. L’oubli est pire que tout.
Je ne suis pas une politicienne, ni une militante. Ce n’est pas mon truc. Je ne prône que la paix et refuse toute forme de guerre. Je suis juste une humaniste et depuis plusieurs années, je tente d’allumer dans les petits cerveaux que je croise, une réflexion de citoyen. Je sens de plus en plus de réticence et de critiques de mes collègues au fil des ans comme si certains sujets devenaient subitement tabous ou devraient juste être chuchotés. Bientôt, je le sais, on va m’interdire de parler sous prétexte qu’il ne faut pas les traumatiser ces bichounets, leur montrer ce que fut le passé pourrait leur donner des cauchemars.
Mais comment un enfant peut-il construire un avenir meilleur sans cette mémoire du passé ? Comment peut-on penser qu’il est préférable d’oublier ?
Un jour, je devrais fermer ma bouche. Je fermerais aussi définitivement la porte de ma classe.  Mais mes mots, eux,  continueront de voler afin que vous, prisonniers de ces camps, vous ne soyez pas définitivement rayés de notre histoire.
( 27 janvier, 2015 )

Le bonheur

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J’ai flashé sur cette image résumant parfaitement le bonheur. Être capable de pardonner qui effectivement libère d’un grand poids, ne pas faire de mal volontairement car ce dernier revient toujours en boomerang, faire le maximum pour que ce soit bien ! C’est important ! S’aimer soi-même , la clé de la vraie sérénité et toujours voir le meilleur dans chaque chose.
Au final, le bonheur demande bien peu d’efforts juste un peu d’attention …
Soyons tous heureux et diffusons tous le maximum de bonheur autour de nous.
( 25 janvier, 2015 )

Les rumeurs

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Ah ! Les rumeurs ! L’envie d’en parler me titille depuis une semaine face à une rumeur malveillante ( encore une !) à laquelle comme tout personnage public, on n’échappe pas !
 » On m’a dit que, sais-tu que à ce qu’il paraît, elle aurait dit que … » À mourir de rire si cela n’en était pas si pathétique. La rumeur passionne le français moyen qui honnêtement n’a rien d’autre à faire car si il croulait sous le travail, il n’irait pas déblatérer sur radio trottoir !
Je constate que ce phénomène récurant surgit toujours dans des moments de panique. Je me souviens d’une collègue il y a de nombreuses années qui s’est vu étiquetée de  » fille facile », regardée de travers par les parents, se sentant obliger de changer de poste pour le sud tellement la situation s’avérait intolérable. Le comble ? Nul ne le savait mais elle préférait les femmes. Rumeur ayant détruit plusieurs années de sa vie. Ne parlons même pas des femmes jalouses dégainant armes blanches afin que leurs gentils et fidèles maris ne s’approchent trop près !
Mettre le poison avant que faute il y est, me semble un crime quasi impardonnable.
Et puis il y a la rumeur conne, celle des personnes qui ont un vrai souci dans leur tête, celle qui va s’échanger à la vitesse de la lumière, transformée, répétée, symbole de notre triste société.
Je ne vais pas m’y appesantir mais juste vous livrer une des dernières dont je fus victime.
N’hésitez pas à éclater de rire ! Je vous y autorise !
Lors d’une journée bien échauffée et un travail bruyant mais parfaitement maîtrisée, une adorable petite élève me demande si je suis fatiguée. Je lui réponds gentiment que nous avons tous nos soucis et suite à une de ses questions, qu’un fait m’a peinée. Quelques minutes plus tard, un élève turbulent tombe de sa chaise et avec humour constate que je vais finir par avoir mal à la tête !
Et une élève inquiétude susurre : ou tu vas faire une crise cardiaque ! Nous avions parlé en cours sur la circulation des risques d’AVC. Toute la classe a ri et après avoir rassuré tout le monde, nous nous sommes tous remis au travail.
Fait divers ? Quelques jours plus tard, il a été dit que la maîtresse menaçait les élèves de chantage en inventant une possible crise cardiaque !
Et voilà où va le monde !
Vous qui me lisez, fuyez les rumeurs car pour moi, ce sont des faits propagés par des envieux et juste répétés par des cons ! Seuls les gens intelligents vont vérifier les sources !
( 23 janvier, 2015 )

Journée de stress

 

Je ne vais pas m’attarder ce matin ! En mode stress complet ! Je sais, je n’ai rien à perdre, je bosse le mieux que je peux mais voilà ! Nul n’aime se retrouver en situation d’infériorité.
Adaptons donc la pensée positive ! Toujours croire que le meilleur va nous arriver. J’y arrive au quotidien mais face à une évaluation de mes compétences, je rentre dans ma petite coquille comme si j’étais toujours la loupiote avec une queue de cheval. Respirons un bon coup. J’ai confiance en mes loulous. Tout ira mieux ce soir ! Positive attitude !
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( 21 janvier, 2015 )

Pensée du jour

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inutike de de rajouter quelque chose ! J’aurai plus à dire demain.

bon mercredi à tous

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