( 14 mars, 2020 )

Comment prendre soin des autres quand on ignore comment prendre soin de soi-même ?

Les professionnels du bien-être pullulent comme des petits pains, promettant le bonheur en quelques séances. Une fois encore, je suis perplexe devant ces nouveaux commerces qui sont à double tranchant. Il est important pour chacun de vivre pleinement l’instant T et je ne peux qu’encourager ce type de pratique, seulement, trop de ces praticiens n’œuvrent pas pour de bonnes raisons. La plupart ont pris cette orientation suite à une fracture dans leur vie : violence subie, adultère, rejet des autres, burn-out et ce virage leur offre la rédemption. Prendre soin des autres leur permet d’oublier ce qu’ils ont vécu. C’est là où cela coince, car un individu qui n’a pas réglé totalement ses propres souffrances, ses propres fêlures ne peut aider véritablement les autres sans projeter ses limites à travers eux. C’est donc terriblement dangereux !

Je discutais dernièrement avec une personne suivie en sophrologie et qui ressortait des séances sans énergie. La praticienne avait opté pour cette formation sérieuse et aboutie pour exister, car elle n’était « rien » dans son couple. ( ce sont les mots de mon interlocutrice) alors je m’interroge, ce transfert sur le patient n’est-il pas un moyen de se soigner lui-même ? Ces professions de médecine parallèles ne devraient-elles pas être plus réglementées ?

Et pour aller beaucoup plus loin dans cette réflexion, un infirmier ou un aide-soignant, tout comme un médecin qui véhiculerait des douleurs et traumatismes ou des blessures dans son « moi » serait-il vraiment à même de prendre soin des autres ?

 

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( 13 mars, 2020 )

Ces cours de récréation

Ma caquette enseignante rangée depuis plusieurs mois, il m’arrive régulièrement en promenade de passer devant des cours d’école, et ma constatation s’avère toujours la même : des enfants parqués dans un bout de béton dérisoire.

Certes, je vis au coeur de la banlieue parisienne et les cours qui donnent sur la plage frisent la science-fiction. Et pourtant, on ne peut nier une réalité, des moments bruyants où les élèves hurlent, se battent.

Lorsque j’enseignais, je pestais après ces récrés où le retour au calme était si difficile une fois en classe. Certains vont donner des justificatifs comme « défoulement ». « Détente », mais franchement, comment deux cents gosses peuvent-ils se détendre dans du béton ?

Visionnant une émissions sur les écoles nordiques, je me suis surtout émerveillée devant le calme des « pauses » où les bambins ne hurlaient pas.

Des cours aménagées avec des paniers de baskets tous les deux mètres … ça change du foot qui a pris la place de roi et dont les « matchs » finissent toujours des bastons.

Mais les autres ? Ceux qui n’aiment pas le foot ? si, si, ça existe !

Et bien il y a des sortes de boîtes à livres comme chez nous en France dans les jardins éparpillées là autour de la cour avec des coins de pelouses.

Les élèves de ces pays retournent calmes en classe, car la pause n’est pas faite pour se défouler, mais pour se détendre, ce que n’a pas encore compris l’éducation nationale ! Apprendre à se vider de la pression et la concentration par des moments de relaxation et de bien-être.

C’est vrai que j’en oublie que chez nous, la classe n’est plus toujours un lieu où on travaille, mais où on « met le bordel »… le monde à l’envers !

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( 12 mars, 2020 )

Confinement des personnes âgées …

L’annonce est tombée dans les Ehpad, les visites sont proscrites, les mesures de confinement sont déclarées. Principe de précaution pour éviter une hécatombe.

Tout le monde trouve cela normal. On préserve nos anciens, mais est-ce eux que l’on préserve où la manne financière qu’ils rapportent ? Qui se préoccupe de la souffrance de ces personnes âgées qui se savent au bout de leur vie et qui du jour au lendemain vont être privées de la seule chose qui les retient en vie, leurs proches. Je ne peux inexorablement que penser à ma maman, elle qui me disait sans cesse que c’est long de mourir et dont l’unique bonheur était ces quelques minutes où je passais pour lui caresser la main.

Que l’on cesse de me dire que ces endroits sont fabuleux ! Elle était dans un institut plus que correct, très cher, et pourtant comme je l’écris dans mon livre qui sortira en fin d’année, elle y était si seule, si triste, parce que cet endroit était simplement rassurant pour moi.

Si elle était encore là, je n’ose imaginer cette sensation d’abandon qu’elle aurait ressentie. Les maladies comme la DCL sont perfides, elles ne permettent pas à la personne de toujours comprendre une situation, et l’état de peur et de psychose double chez elle. Rien n’est pire que cette solitude chez les personnes âgées.

J’ai une pensée pour tous les aidants qui vont avoir ce coeur serré pendant des semaines sans contact, car beaucoup ne peuvent plus téléphoner. Une pensée pour les résidants qui vont soudainement se trouver confinés sans rien comprendre.

Une mamie disait dans un article :  « Je suis prête à mourir du Coranavirus, mais pas d’ennui ».

Qui a pensé à ce que eux voudraient ? Confiner ces pauvres êtres pour protéger qui ? Notre bonne conscience ? Nos propres peurs ? Leur vie qui n’est que douleur ?

Je sais que je suis peut-être dure mais je pleure sur cet égoïsme de préservation qui va tuer nos anciens de l’intérieur bien plus que ne le fera le virus !

 

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( 11 mars, 2020 )

Pourquoi tombe-t-on amoureux de ceux qui ne veulent pas nous aimer ?

Aujourd’hui, j’ai envie de répondre indirectement à une question posée dernièrement sur mon blog. « Pourquoi tombe-t-on amoureux de ceux qui ne veulent pas nous aimer ? » Ce n’est pas mon cas et cela ne l’a jamais été donc je vais un peu tâtonner en jouant l’avocat du Diable, car j’ai tendance à penser l’inverse.  Je pense que l’on ne tombe amoureux que de ceux qui veulent nous aimer, un peu comme si nous étions reliés par une sorte d’alchimie. Certains vous parlerons même d’hormones qui permettent à l’autre de savoir la disponibilité.

Malheureusement certaines personnes reproduisent inlassablement le même schéma de non-amour. Elles vont tomber amoureuses d’une personne non disponible ou incapable d’aimer et cela n’a rien d’un simple hasard. Si on creuse un peu la vie de ces individus, on trouvera de vraies carences affectives, liées à l’enfance, et l’enfant devenu adulte ne pourra choisir ( car c’est un vrai choix) de vivre une relation sereine, car il reproduira consciencieusement ou non cette absence d’amour. Au lieu de se sécuriser dans une relation positive et épanouissante, il choisira une personne tout aussi abîmée que lui, qui recherchera également ce qu’aucun ne pourra lui donner. Il est donc impératif de casser ce cercle sans fin. Lorsque l’on constate que l’on se fourvoie dans une relation où on n’est qu’un objet ou un exutoire, il faut en sortir et se poser la vraie question : « pourquoi je ne vis que ce type de relation ? »

 

Peut-être redessiner le regard que l’on a sur soi, car une fois encore, si on ne s’aime pas, on ne pourra pas ouvrir sa porte pour les autres. Peut-être faut-il également ne pas définir à l’avance ses exigences comme je l’entends trop souvent : je veux trouver un mec beau, riche, gentil, sérieux. Il faut atterrir, car l’homme idéal n’existe pas et celui doté de toutes ces qualités n’est pas encore né ! Et puis, ce n’est qu’un conseil qui n’engage que moi, fuir ceux qui ne veulent pas aimer ! Après tout, on n’est pas là pour combler les blessures laissées par « maman » ni pour satisfaire des égos démesurés ni pour n’être qu’un trophée sur un tableau de chasse.

Dans mes romans, j’adore écrire que l’autre s’inscrit comme une évidence, mais ce ne sont que des mots. Dans la réalité, on choisit de donner suite à cette évidence si elle a une raison d’être, si elle peut nous apporter le bonheur. L’amour ne devrait jamais faire souffrir ! Alors que chacun en tire les leçons nécessaires !

En tous les cas, aimer malgré la vie qui file, c’est possible, c’est accepter que la relation change, qu’elle se transforme et qu’au final elle grandisse….

C’est mon avis et vous ?

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( 10 mars, 2020 )

Contrat signé

Contrat signé pour un roman qui sortira en Juin

Quel bonheur de signer un contrat d’édition directement dans les locaux où je fus reçue avec gentillesse et bienveillance, avec un déjeuner offert au restaurant ensuite.

« Appelez-moi Camille » est l’histoire d’une femme d’aujourd’hui, d’hier et certainement de demain, dont la vie va être presque exclusivement vécue au travers de ses émotions, de son amour pour la vie et pour les mots.

Quel bonheur de tomber sur une édition aimant les mots comme moi, aimant les entendre vibrer, chanter, que dis-je, enchanter, dont le comité de lecture est un vrai comité de lecture de personnes lettrées.

Je suis également ravie de mon contrat où aucune clause d’exclusivité ou de préférence ne me lie, me permettant de garder ma liberté d’être. Rien n’est pire que ces clauses qui enlèvent l’envie et cassent l’imagination. Se sentir libre de dire ou d’écrire ce que l’on veut et quand on veut, c’est cela le vrai bonheur !

 

Heureuse ? Totalement !

Souhaitons une longue vie à Camille, car je suis certaine que vous allez l’adorer !

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( 10 mars, 2020 )

Les secrets dans notre société

On parle beaucoup depuis quelques temps du secret des sources des journalistes, de celui des juristes, des politiques, du secret dans les administrations, dans les cités, dans le monde médical ou dans le clergé.

Les secrets sont intimement liés à la loi du silence. On dirait presque que le mot secret fait partie de la vie de chacun. Le mari qui bat sa femme, l’enfant violé, la mère alcoolique ou dépressive, l’homme sans travail, tout n’est que secret.

Avant, la plupart des secrets de famille avait un rapport avec l’adultère, sacrilège, fait caché voire protégé. Aujourd’hui, on ne cesse de parler des secrets qui empêchent parfois de fonctionner : secret de l’instruction, secret médical.

Prenons ce dernier qui reste très compliqué. Le secret médical couvre les faits découverts, lors des soins par exemple, Les faits devinés, compris ou déduits du fait de la maladie ; Les faits ou circonstances en rapport avec l’état du patient, de son affection, les éléments qui le concernent tels que : prescriptions, médicaments, pronostics.

En théorie, un médecin se doit d’être honnête et de respecter ce serment, qui est sensé être inviolable. Pourtant, de nombreux cas existent, malheureusement, où ce secret médical est violé ( bavardages non approprié ou simplement besoin d’un médecin de se faire valoir auprès d’un confrère) et pourtant, il est bon de le rappeler : « Le secret médical est une obligation générale et absolue. Un médecin ne peut ainsi pas communiquer de données médicales à une autre personne même tenue au secret professionnel »

En clair, tout comme dans un confessionnal, en aucun cas un médecin n’est autorisé à poser un diagnostic sur une personne que cette dernière soit ou non sa patiente.

Tout comme avant le curé de la paroisse était détenteur de nombreux secrets, le médecin est lui-même aujourd’hui le gardien des mots tout autant que celui des maux.

Doit-on ouvrir ce droit ou dans ce cas ne risquons-nous pas de flirter avec une ligne rouge qui conduirait le patient à ne plus oser se confier ?

Il me semble qu’une des plus belles preuves d’intérêt pour une personne est de savoir l’écouter puis de garder son secret, à condition que le poids de ce dernier ne soit pas nocif pour nous.

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( 9 mars, 2020 )

Thyroïde, tu nous fatigues !

Fatigante cette thyroïde et ce n’est pas une psychose collective lorsque l’on constate le nombre de témoignages dans chaque groupe. Alors bien sûr, on trouvera toujours des personnes qui vont super bien ( et elles appuient sur le « super »), d’autres qui ont vu leur souci se régler en juste six semaines. Bravo ! Pour moi ce sont de vraies chanceuses !

Vivre avec un dérèglement thyroïdien n’est pas drôle, c’est même lourd que l’on soit en hypo, hyper, Hashimoto ou Basedow, cancer ou autres.  Il y a d’un côté, le médical, de l’autre comment bien vivre avec. Facile disent certains. Facile si le traitement médical est efficace, car lorsque l’on va mal, un peu dur de vivre bien.

Alors cet article s’adresse à ceux qui ont envie d’entendre, de partager, dans un esprit de bienveillance en n’oubliant jamais que nous sommes tous différents !

Vous êtes nombreux à me demander des conseils, car effectivement je n’ai jamais cessé de garder le sourire depuis huit ans même avec des anticorps qui explosent les plafonds. C’est dans ma nature, c’est tout. J’ai toujours serré les dents lorsque j’avais mal quelque part, refusé les antalgiques ou autres. C’est pareil dans la vie avec Hashimoto. Je n’ai pas changé, ne m’écoute pas ou plutôt si, je n’écoute que mon corps ce qui est bien différent d’avant. Ainsi j’adapte. Je m’adapte.

Dernièrement, j’ai fait une grosse crise de thyroïdite. Pour ceux qui s’interrogent sur ce que sont ces crises liées à Hashimoto, c’est lorsque la thyroïde est attaquée par les anticorps. Avec les années, elles sont de moins en moins nombreuses et vite repérables ( thyroïde qui gonfle, réagit, fatigue intense, concentration horrible etc) Chez moi, cela survient en quelques jours sans crier garde ( ce qui s’avère bien compliqué lorsque l’on a une vie sociale)

Cette crise n’avait aucun sens. J’en ai eu de nombreuses depuis la découverte de ma maladie toutes liées au stress. Là ce n’était pas le cas ! Nous avons donc cherché avec mon médecin pourquoi ce brusque changement, qu’avais-je pu faire de spécial ?

Euréka, je m’étais mise depuis un salon du bien-être un mois avant  à prendre chaque matin un thé ayurvédique citron-gingembre. Après avoir contacté des spécialistes d’auyurvéda, il semblerait que pour quelques personnes le gingembre possède le même effet que le pamplemousse et ne doit pas se boire à moins de trois heures du traitement.

J’ai donc déplacé mon thé que j’adore à l’après repas et ma fatigue a disparu.

Pourquoi vous raconter cela ? Simplement pour énoncer une réalité méconnue, notre thyroïde réagit à des centaines de petites choses surtout si vous avez en prime une MAI. Pour certains ce sera une contrariété au travail, et hop, elle va réagir, pour d’autres, le rhume du bébé contre lequel vous allez devoir lutter doublement, une nuit blanche plus longuement récupérable, un deuil, ou un aliment. La liste est longue.

Alors oui, on peut choisir de se prendre la tête et de ne vivre que pour cette maladie, mais est-ce vivre ? Ou simplement chercher l’élément déclencheur pour vite résoudre sans pour autant sauter sur un bilan sanguin qui coûte cher à la sécu ou une augmentation de son traitement.

Si j’en parle, c’est que je suis stabilisée depuis quatre ans, c’est à dire que mon traitement ne bouge plus, sauf parfois d’une goutte en moins l’été car je réagis fortement à l’iode. Mais cela reste stable parce que j’écoute cette fatigue qui parle.

Lorsque ces dernières années, je sentais la fatigue liée à la thyroïde se pointer, je levais le pied. Si le stress en était la cause, j’ai appris à le gérer.

J’essaie de bouger au maximum chaque jour tout en m’octroyant des moments de plénitude.

Les personnes ayant juste un petit dérèglement dû à un déséquilibre ( grossesse, ménopause, etc) auront certainement cette chance que connaissent peu de vrais Hashimoto, de « guérir » rapidement, tout comme ceux ayant eu une ablation totale pourront ne plus jamais avoir d’effets secondaires ou subir comme Hashimoto des variations non prévisibles, de ne pas être sensible aux variations de saison ou aux « rhumes ».

Dans tous les cas, cette thyroïde fatigue ! Cette fatigue n’est pas psychologique, elle n’est pas non plus « dans la tête », elle est une réalité et il faut s’habituer à vivre avec, à s’adapter.

Depuis quelques jours, le Coronavirus inquiète beaucoup les malades en particulier ceux atteints d’une maladie auto-immune. Il faut rappeler que auto-immune ne veut pas dire autodéprimée. Avant les malades Hashimoto, il y a de nombreuses personnes beaucoup plus à risque comme toutes les personnes cancéreuses avec un traitement lourd, immunothérapie par exemple. Nous sommes très loin derrière !

Ce qui ne veut pas dire que le Coronavirus ne va pas nous épargner ! C’est évident que comme la grippe, dont beaucoup d’entre nous ne se vaccinent pas à cause des réactions possibles, on peut trinquer, car la thyroïde se mettra en défense.

Résultat, fatigue, encore ! Mais de là à cesser de vire : non !

Restez positifs les papillons ! Fatigués oui mais pas à terre !

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( 9 mars, 2020 )

Taxes, surtaxes et surtaxes.

Suis-je la seule à m’insurger contre le coût exorbitant des taxes en tous genres en particulier celles que je nomme « les taxes mauvaises surprises » ?

Récemment, mon fils pour son anniversaire a fait l’acquisition d’un objet en vente exclusivement aux States. Les frais d’envois de plus de 50€ se sont ajoutés au prix de la marchandise. Quelle ne fut pas ma surprise en allant chercher son colis à la Poste que ce dernier avait une taxe douanière du prix de l’envoi ! Inutile de dire que le cadeau commençait à être coûteux ! Le même scénario est arrivé à une amie ayant acheté une petite robe 19€ et qui s’est au final retrouvée avec 48€ de taxe douanière.

Les fervents partisans du « made in France » diront « bien fait ! » seulement, la liberté permet tout de même d’acheter où on veut, surtout si l’article n’existe pas en France.

Faut-il alors, pour se pas se faire avoir, passer plutôt par le géant Amazon qui lui ne surtaxe pas les envois ?

Et au coeur même de notre joli pays, que doit-on penser de cette TVA qui nous bouffe ? 20% si je ne m’abuse sur l’achat d’une voiture ( ça reste en travers, non ?), 5,5% sur les livres ( toujours trop élevés) et j’en passe !

Je sais que les économistes diront que ces prélèvements sont indispensables à la bonne marche de notre société, mais pourquoi alors ai-je un sérieux doute ?

La France reste tout de même en tête des recettes fiscales et pourtant elle est bien placée avec certaines grosses fortunes comme la famille Wertheimer avec 40 000 millions d’euros ou Hermès 38 000 millions d’euros. À eux deux, ils comblent les dettes de notre pays et ne sont même pas taxés au-delà d’un certain chiffre…

« L’impôt de solidarité sur la fortune a été supprimé et remplacé par un impôt sur la fortune immobilière au 1er janvier 2018. Comme celui de l’impôt sur le revenu, le calcul de l’ISF, et, désormais, de l’IFI, dépend d’un barème progressif par tranche. »

Au-delà de 10 millions d’euros de valeur nette taxable : 1,5%.

Seulement ai-je envie de dire ?  Et nous, les petits et moyens salaires, pourquoi sommes-nous tant taxés sur tout ?

 

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( 8 mars, 2020 )

L’attente

L’attente, un sujet que j’aime beaucoup traiter et qui revient régulièrement dans les vies de chacun, un sentiment que nous connaissons tous qui que nous soyons. L’attente fait partie de nous. Cela ne veut pas dire pour autant que cette émotion est facile à accepter, parce que le simple fait d’attendre génère des émotions diverses. Pour les uns, ce sera plaisir de l’attente, pour les autres ce sera l’angoisse de l’attente.

Pourquoi passons-nous notre vie à attendre ?

Regardez ces personnes amoureuses prêtes à attendre des années que l’amour de leur vie soit libre ou ceux qui ne vivent que dans l’espoir de gagner au loto. Tous plus nombreux les uns que les autres comme si le temps les avait figés sur un quai de gare.

Quel temps perdu !

J’ai toujours pour ma part détesté l’attente que je trouve angoissante et qui au fond lors de sa réalisation ne s’avère qu’un souffle.

Il faut apprendre à apprivoiser l’attente et surtout à cesser de tout attendre.

Une vie ne peut se vivre dans ce sentiment. « Soeur Anne ne vois-tu rien venir ? » n’est plus concevable !

Les choses arrivent quand elles doivent arriver et à trop les attendre, on ne les apprécie plus autant.

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( 7 mars, 2020 )

Pourquoi certaines personnes ne partagent que du négatif ?

J’ai beaucoup de mal à comprendre ces partages de plus en plus nombreux essentiellement négatifs : plein feu sur le Coronavirus, sur les dangers de, sur le cancer, sur les dangers des pesticides, du sucre, le cholestérol, la liste est longue. Il suffit avec les algorithmes facebook d’avoir stupidement cliqué un jour sur un article similaire et on se paie durant six mois de posts négatifs qui donneraient envie de se flinguer. Pourquoi ce besoin de donner aux autres ces informations de malheur plutôt que de partager les jolies choses qui arrivent chaque jour : cette personne qui a sauvé un chien sur le bord de la route, ces gamins qui ont sauvé des personnes âgées d’un incendie etc. C’est tout de même plus beau, non ?

Voir le verre à moitié plein ne vaut-il pas mieux que le verre à moitié vide ? Regarder la face éclairée de chaque chose plutôt que la face sombre, disperser les mots qui font du bien plutôt que ceux qui font du mal.

Ce n’est pas plus agréable, honnêtement ?

 

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